998 resultados para chlorophyll fluorescence induction


Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Rats experimentally infected with Trypanosoma cruzi Y strain exhibited hypertrophy of the submandibular gland at 18 days after infection.SDS-PAGE of infected rats saliva revealed the presence of an additional band with an apparent molecular weight of about 13KDa. Electrophoresis of protein salivaand immunochemical analysis with antibody against rat cystatin S confirmed that the protein was identical to that induced by beta adrenergic stimulation.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Natural environments are constantly challenged by the release of hydrophobic organic contaminants, which represent a threat for both the ecosystem and human health. Despite a substantial degradation by naturally occurring micro-organisms, a non negligible fraction of these pollutants tend to persist in soil and sediments due to their reduced accessibility to microbial degraders. This lack of 'bioavailability' is acknowledged as a key parameter for the natural and stimulated clean-up (bioremediation) of contaminated sites. We developed a bacterial bioreporter that responds to the presence of polyaromatic hydrocarbons (PAHs) by the production of the green fluorescent protein (GFP), based on the PAH-degrading bacterium Burkholderia sartisoli. We showed in this study that the bacterial biosensor B. sartisoli strain RP037 was faithfully reporting the degradation of naphthalene and phenanthrene (two PAHs of low molecular weight) via the production of GFP. What is more, the magnitude of GFP induction was influenced by change in the PAH flux triggered by a variety of physico-chemical parameters, such as the contact surface between the pollutant and the aqueous suspension. Further experiments permitted to test the influence of dissolved organic matter, which is an important component of natural habitats and can interact with organic pollutants. In addition, we tested the influence of two types of biosurfactants (tensio-active agents produced by living organisms) on phenanthrene's degradation by RP037. Interestingly, the surfactant's effects on the biodegradation rate appeared to depend on the type of biosurfactant and probably on the type of bacterial strain. Finally, we tagged B. sartisoli strain RP037 with a constitutively expressed mCherry fluorescent protein. The presence of mCherry allowed us to visualize the bacteria in complex samples even when GFP production was not induced. The new strain RP037-mChe embedded in a gel patch was used to detect PAH fluxes from a point source, such as a non-aqueous liquid or particles of contaminated soil. In parallel, we also developed and tested a so-called multiwell bacterial biosensor platform, which permitted the simultaneous use of four different reporter strains for the detection of major crude oil components (e.g., saturated hydrocarbons, mono- and polyaromatics) in aqueous samples. We specifically constructed the strain B. sartisoli RP007 (pPROBE-phn-luxAB) for the detection of naphthalene and phenanthrene. It was equipped with a reporter plasmid similar to the one in strain RP037, except that the gfp gene was replaced by the genes luxAB, which encoded the bacterial luciferase. The strain was implemented in the biosensor platform and detected an equivalent naphthalene concentration in oil spilled-sea water. We also cloned the gene for the transcriptional activator AlkS and the operator/promoter region of the operon alkSB1GHJ from the alkane-degrader bacterium Alcanivorax borkumensis strain SK2 in order to construct a new bacterial biosensor with higher sensitivity towards long-chain alkanes. However, the resulting strain showed no increased light emission in presence of tetradecane (C14), while it still efficiently reported low concentrations of octane (C8). RÉSUMÉ : Les écosystèmes naturels sont constamment exposés à nombre de contaminants organiques hydrophobes (COHs) d'origine industrielle, agricole ou même naturelle. Les COHs menacent à la fois l'environnement, le bien-être des espèces animales et végétales et la santé humaine, mais ils peuvent être dégradés par des micro-organismes tels que les bactéries et les champignons, qui peuvent être capables des les transformer en produits inoffensifs comme le gaz carbonique et l'eau. La biodégradation des COHs est cependant fréquemment limitée par leur pauvre disponibilité envers les organismes qui les dégradent. Ainsi, bien que la biodégradation opère partiellement, les COHs persistent dans l'environnement à de faibles concentrations qui potentiellement peuvent encore causer des effets toxiques chroniques. Puisque la plupart des COHs peuvent être métabolisés par l'activité microbienne, leur persistance a généralement pour origine des contraintes physico-chimiques plutôt que biologiques. Par exemple, leur solubilité dans l'eau très limitée réduit leur prise par des consommateurs potentiels. De plus, l'adsorption à la matière organique et la séquestration dans les micropores du sol participent à réduire leur disponibilité envers les microbes. Les processus de biodisponibilité, c'est-à-dire les processus qui gouvernent la dissolution et la prise de polluants par les organismes vivants, sont généralement perçus comme des paramètres clés pour la dépollution (bioremédiation) naturelle et stimulée des sites contaminés. Les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAPs) sont un modèle de COH produits par les activités aussi bien humaines que naturelles, et listés comme des contaminants chroniques de l'air, des sols et des sédiments. Ils peuvent être dégradés par un vaste nombre d'espèces bactériennes mais leur taux de biodégradation est souvent limité par les contraintes mentionnées ci-dessus. Afin de comprendre les processus de biodisponibilité pour les cellules bactériennes, nous avons décidé d'utiliser les bactéries elles-mêmes pour détecter et rapporter les flux de COH. Ceci a été réalisé par l'application d'une stratégie de conception visant à produire des bactéries `biocapteurs-rapporteurs', qui littéralement s'allument lorsqu'elles détectent un composé cible pour lequel elles ont été conçues. En premier lieu, nous nous sommes concentrés sur Burkholderia sartisoli (souche RP007), une bactérie isolée du sol et consommatrice de HAP .Cette souche a servi de base à la construction d'un circuit génétique permettant la formation de la protéine autofluorescente GFP dès que les cellules détectent le naphtalène ou le phénanthrène, deux HAP de faible masse moléculaire. En effet, nous avons pu montrer que la bactérie obtenue, la souche RP037 de B. sartisoli, produit une fluorescence GFP grandissante lors d'une exposition en culture liquide à du phénanthrène sous forme cristalline (0.5 mg par ml de milieu de culture). Nous avons découvert que pour une induction optimale il était nécessaire de fournir aux cellules une source additionnelle de carbone sous la forme d'acétate, ou sinon seul un nombre limité de cellules deviennent induites. Malgré cela, le phénanthrène a induit une réponse très hétérogène au sein de la population de cellules, avec quelques cellules pauvrement induites tandis que d'autres l'étaient très fortement. La raison de cette hétérogénéité extrême, même dans des cultures liquides mélangées, reste pour le moment incertaine. Plus important, nous avons pu montrer que l'amplitude de l'induction de GFP dépendait de paramètres physiques affectant le flux de phénanthrène aux cellules, tels que : la surface de contact entre le phénanthrène solide et la phase aqueuse ; l'ajout de surfactant ; le scellement de phénanthrène à l'intérieur de billes de polymères (Model Polymer Release System) ; la dissolution du phénanthrène dans un fluide gras immiscible à l'eau. Nous en avons conclu que la souche RP037 détecte convenablement des flux de phénantrène et nous avons proposé une relation entre le transfert de masse de phénanthrène et la production de GFP. Nous avons par la suite utilisé la souche afin d'examiner l'effet de plusieurs paramètres chimiques connus dans la littérature pour influencer la biodisponibilité des HAP. Premièrement, les acides humiques. Quelques rapports font état que la disponibilité des HAP pourrait être augmentée par la présence de matière organique dissoute. Nous avons mesuré l'induction de GFP comme fonction de l'exposition des cellules RP037 au phénanthrène ou au naphtalène en présence ou absence d'acides humiques dans la culture. Nous avons testé des concentrations d'acides humiques de 0.1 et 10 mg/L, tandis que le phénanthrène était ajouté via l'heptamethylnonane (HMN), un liquide non aqueux, ce qui au préalable avait produit le plus haut flux constant de phénanthrène aux cellules. De plus, nous avons utilisé des tests en phase gazeuse avec des concentrations d'acides humiques de 0.1, 10 et 1000 mg/L mais avec du naphtalène. Contrairement à ce que décrit la littérature, nos résultats ont indiqué que dans ces conditions l'expression de GFP en fonction de l'exposition au phénanthrène dans des cultures en croissance de la souche RP037 n'était pas modifiée par la présence d'acides humiques. D'un autre côté, le test en phase gazeuse avec du naphtalène a montré que 1000 mg/L d'acides humiques abaissent légèrement mais significativement la production de GFP dans les cellules de RP037. Nous avons conclu qu'il n'y a pas d'effet général des acides humiques sur la disponibilité des HAP pour les bactéries. Par la suite, nous nous sommes demandé si des biosurfactants modifieraient la disponibilité du phénanthrène pour les bactéries. Les surfactants sont souvent décrits dans la littérature comme des moyens d'accroître la biodisponibilité des COHs. Les surfactants sont des agents tensio-actifs qui augmentent la solubilité apparente de COH en les dissolvant à l'intérieur de micelles. Nous avons ainsi testé si des biosurfactants (des surfactants produits par des organismes vivants) peuvent être utilisé pour augmenter la biodisponibilité du phénanthrène pour la souche B. sartisoli RP037. Premièrement, nous avons tenté d'obtenir des biosurfactants produits par une autre bactérie vivant en co-culture avec les biocapteurs bactériens. Deuxièmement, nous avons utilisé des biosurfactants purifiés. La co-cultivation en présence de la bactérie productrice de lipopeptide Pseudomonas putida souche PCL1445 a augmenté l'expression de GFP induite par le phénanthrène chez B. sartisoli en comparaison des cultures simples, mais cet effet n'était pas significativement différent lorsque la souche RP037 était co-cultivée avec un mutant de P. putida ne produisant pas de lipopeptides. L'ajout de lipopeptides partiellement purifiés dans la culture de RP037 a résulté en une réduction de la tension de surface, mais n'a pas provoqué de changement dans l'expression de GFP. D'un autre côté, l'ajout d'une solution commerciale de rhamnolipides (un autre type de biosurfactants produits par Pseudomonas spp.) a facilité la dégradation du phénanthrène par la souche RP037 et induit une expression de GFP élevée dans une plus grande proportion de cellules. Nous avons ainsi conclu que les effets des biosurfactants sont mesurables à l'aide de la souche biocapteur, mais que ceux-ci sont dépendants du type de surfactant utilisé conjointement avec le phénanthrène. La question suivante que nous avons abordée était si les tests utilisant des biocapteurs peuvent être améliorés de manière à ce que les flux de HAP provenant de matériel contaminé soient détectés. Les tests en milieu liquide avec des échantillons de sol ne fournissant pas de mesures, et sachant que les concentrations de HAP dans l'eau sont en général extrêmement basses, nous avons conçu des tests de diffusion dans lesquels nous pouvons étudier l'induction par les HAPs en fonction de la distance aux cellules. Le biocapteur bactérien B. sartisoli souche RP037 a été marqué avec une seconde protéine fluorescente (mCherry), qui est constitutivement exprimée dans les cellules et leur confère une fluorescence rouge/rose. La souche résultante RP037-mChe témoigne d'une fluorescence rouge constitutive mais n'induit la fluorescence verte qu'en présence de naphtalène ou de phénanthrène. La présence d'un marqueur fluorescent constitutif nous permet de visualiser les biocapteurs bactériens plus facilement parmi des particules de sol. Un test de diffusion a été conçu en préparant un gel fait d'une suspension de cellules mélangées à 0.5 % d'agarose. Des bandes de gel de dimensions 0.5 x 2 cm x 1 mm ont été montées dans des chambres d'incubation et exposées à des sources de HAP (soit dissouts dans du HMN ou en tant que matériel solide, puis appliqués à une extrémité de la bande). En utilisant ce montage expérimental, le naphtalène ou le phénanthrène (dissouts dans du HMN à une concentration de 2.5 µg/µl) ont induit un gradient d'intensité de fluorescence GFP après 24 heures d'incubation, tandis que la fluorescence mCherry demeurait comparable. Un sol contaminé par des HAPs (provenant d'un ancien site de production de gaz) a induit la production de GFP à un niveau comparable à celui du naphtalène. Des biocapteurs bactériens individuels ont également détecté un flux de phénanthrène dans un gel contenant des particules de sol amendées avec 1 et 10 mg/g de phénanthrène. Ceci a montré que le test de diffusion peut être utilisé pour mesurer des flux de HAP provenant de matériel contaminé. D'un autre côté, la sensibilité est encore très basse pour plusieurs sols contaminés, et l'autofluorescence de certains échantillons rend difficile l'identification de la réponse de la GFP chez les cellules. Pour terminer, un des points majeurs de ce travail a été la production et la validation d'une plateforme multi-puits de biocapteurs bactériens, qui a permis l'emploi simultané de plusieurs souches différentes de biocapteurs pour la détection des constituants principaux du pétrole. Pour cela nous avons choisi les alcanes linéaires, les composés mono-aromatiques, les biphényls et les composés poly-aromatiques. De plus, nous avons utilisé un capteur pour la génotoxicité afin de détecter la `toxicité globale' dans des échantillons aqueux. Plusieurs efforts d'ingénierie ont été investis de manière à compléter ce set. En premier lieu, chaque souche a été équipée avec soit gfp, soit luxAB en tant que signal rapporteur. Deuxièmement, puisqu'aucune souche de biocapteur n'était disponible pour les HAP ou pour les alcanes à longues chaînes, nous avons spécifiquement construit deux nouveaux biocapteurs. L'un d'eux est également basé sur B. sartisoli RP007, que nous avons équipé avec le plasmide pPROBE-phn-luxAB pour la détection du naphtalène et du phénanthrène mais avec production de luciférase bactérienne. Un autre est un nouveau biocapteur bactérien pour les alcanes. Bien que nous possédions une souche Escherichia coli DHS α (pGEc74, pJAMA7) détectant les alcanes courts de manière satisfaisante, la présence des alcanes à longues chaînes n'était pas rapportée efficacement. Nous avons cloné le gène de l'activateur transcriptionnel A1kS ainsi que la région opérateur/promoteur de l'opéron alkSB1GHJ chez la bactérie dégradant les alcanes Alcanivorax borkumensis souche SK2, afin de construire un nouveau biocapteur bactérien bénéficiant d'une sensibilité accrue envers les alcanes à longues chaînes. Cependant, la souche résultante E. coli DHSα (pAlk3} n'a pas montré d'émission de lumière augmentée en présence de tétradécane (C14), tandis qu'elle rapportait toujours efficacement de basses concentrations d'octane (C8). De manière surprenante, l'utilisation de A. borkumensis en tant que souche hôte pour le nouveau plasmide rapporteur basé sur la GFP a totalement supprimé la sensibilité pour l'octane, tandis que la détection de tétradécane n'était pas accrue. Cet aspect devra être résolu dans de futurs travaux. Pour calibrer la plateforme de biocapteurs, nous avons simulé une fuite de pétrole en mer dans une bouteille en verre ouverte de 5L contenant 2L d'eau de mer contaminée avec 20 ml (1%) de pétrole brut. La phase aqueuse a été échantillonée à intervalles réguliers après la fuite durant une période allant jusqu'à une semaine tandis que les principaux contaminants pétroliers étaient mesurés via les biocapteurs. L'émission de bioluminescence a été mesurée de manière à déterminer la réponse des biocapteurs et une calibration intégrée faite avec des inducteurs types a servi à calculer des concentrations d'équivalents inducteurs dans l'échantillon. E. coli a été utilisée en tant que souche hôte pour la plupart des spécificités des biocapteurs, à l'exception de la détection du naphtalène et du phénanthrène pour lesquels nous avons utilisé B. sartisoli. Cette souche, cependant, peut être employée plus ou moins selon la même procédure. Il est intéressant de noter que le pétrole répandu a produit une apparition séquentielle de composés dissouts dans la phase aqueuse, ceux-ci .étant détectables par les biocapteurs. Ce profil contenait d'abord les alcanes à courtes chaînes et les BTEX (c'est-à dire benzène, toluène, éthylbenzène et xylènes), apparaissant entre des minutes et des heures après que le pétrole a été versé. Leurs concentrations aqueuses ont par la suite fortement décru dans l'eau échantillonnée après 24 heures, à cause de la volatilisation ou de la biodégradation. Après quelques jours d'incubation, ces composés sont devenus indétectables. Les HAPs, en revanche, sont apparus plus tard que les alcanes et les BTEX, et leur concentration a augmenté de pair avec un temps d'incubation prolongé. Aucun signal significatif n'a été mis en évidence avec le biocapteur pour le biphényl ou pour la génotoxicité. Ceci démontre l'utilité de ces biocapteurs, spécifiquement pour la détection des composés pétroliers, comprenant les alcanes à courtes chaînes, les BTEX et les HAPs légers.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

During fluorescence cystoscopy, it is observed that the acquired images are sometimes blurred by a greenish background originating from the bladder washout fluid. Several fluorophores are involved in this overall liquid fluorescence, and their exact origin and relative contributions remain unknown. In this study, the bladder washout fluid is sampled at different times during fluorescence cystoscopy examinations. In total, 32 samples from 12 patients are analyzed with a spectrofluorimeter (excitation range: 350-445 nm, emission range 380-700 nm). This study shows clearly that the position of the fluorescence peaks (excitation/emission wavelengths: 450/525 nm, 405/625 nm) and shoulder (440/525 nm) is reproducible between different patients. It also suggests that an excitation at wavelengths higher than 400 nm helps to suppress this solution background fluorescence. Additionally, the pH of the solution seems to influence the position of the fluorescence peaks, and this suggests that changing the pH of the examination liquid could help in avoiding the greenish background.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

NK T cells produce cytokines when their semi-invariant TCR engages glycolipids associated with CD1d. The physiological consequences of NKT cell activation remain controversial, although they have been implicated in control of autoimmunity, parasites and tumors. We show here that specific activation of NKT cells in liver and spleen leads to a rapid induction of extensive NK cell proliferation and cytotoxicity. This NK cell activation is dependent, at least in part, on IFN-gamma production by NKT cells and IL-12 production by antigen-presenting cells. Remarkably, activation of NK cells by NKT cells is highly selective, since bystander T and B lymphocytes show transient expression of activation markers but almost no proliferation. Collectively our data suggest that CD1d-dependent NKT cells regulate innate immunity by sampling blood-borne glycolipid antigens and rapidly activating NK cells.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Insulin-dependent diabetes mellitus is an autoimmune disease in which pancreatic islet beta cells are destroyed by a combination of immunological and inflammatory mechanisms. In particular, cytokine-induced production of nitric oxide has been shown to correlate with beta cell apoptosis and/or inhibition of insulin secretion. In the present study, we investigated whether the interleukin (IL)-1beta intracellular signal transduction pathway could be blocked by overexpression of dominant negative forms of the IL-1 receptor interacting protein MyD88. We show that overexpression of the Toll domain or the lpr mutant of MyD88 in betaTc-Tet cells decreased nuclear factor kappaB (NF-kappaB) activation upon IL-1beta and IL-1beta/interferon (IFN)-gamma stimulation. Inducible nitric oxide synthase mRNA accumulation and nitrite production, which required the simultaneous presence of IL-1beta and IFN-gamma, were also suppressed by approximately 70%, and these cells were more resistant to cytokine-induced apoptosis as compared with parental cells. The decrease in glucose-stimulated insulin secretion induced by IL-1beta and IFN-gamma was however not prevented. This was because these dysfunctions were induced by IFN-gamma alone, which decreased cellular insulin content and stimulated insulin exocytosis. These results demonstrate that IL-1beta is involved in inducible nitric oxide synthase gene expression and induction of apoptosis in mouse beta cells but does not contribute to impaired glucose-stimulated insulin secretion. Furthermore, our data show that IL-1beta cellular actions can be blocked by expression of MyD88 dominant negative proteins and, finally, that cytokine-induced beta cell secretory dysfunctions are due to the action of IFN-gamma.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Purpose: Optimal induction and maintenance immunosuppressive therapies in renal transplantation are still a matter of debate.Chronic corticosteroid usage is a major cause of morbidity but steroid-free immunosuppression (SF) can result in unacceptably high rates of acute rejection and even graft loss. Methods and materials: We have conducted a prospective openlabelled clinical trial in the Geneva-Lausanne Transplant Network from March 2005 to May 2008. 20 low immunological risk (<20% PRA, no DSA) adult recipients of a primary kidney allograft received a 4-day course of thymoglobulin (1.5 mg/kg/d) with methylprednisolone and maintenance based immunosuppression of tacrolimus and entericcoated mycophenolic acid (MPA). The control arm consisted of 16 matched recipients treated with basiliximab induction, tacrolimus, mycophenolate mofetil and corticosteroids. Primary endpoints were the percentage of recipients not taking steroids and the percentage of rejection-free recipients at 12 months.Secondary end points were allograft survival at 12 months and significant thymoglobulin and/or other drugs side effects. Results: In the SF group, 85% of the kidney recipients remained steroid-free at 12 months. The 3 cases of steroids introduction were due to one acute tubulo-interstitial rejection occurring at day 11, one tacrolimus withdrawal due to thrombotic microangiopathy and one MPA withdrawal because of multiple sinusitis and CMV reactivations. No BK viremia was detected nor CMV disease. The 6 CMV negative patients who received a positive CMV allograft had a symptomatic primoinfection after their 6-month course valgancyclovir prophylaxis. In the steroid-based group, 3 acute rejection episodes (acute humoral rejection, acute tubulointerstitial Banff IA and vascular Banff IIA) occurred in 2 recipients, 3 BK virus nephropathies were diagnosed between 45 and 135 days post transplant No side effects were associated with thymoglobulin infusion.In the SF group, 4 recipients presented severe leukopenia or agranulocytosis and one recipient had febrile hepatitis leading to transient MPA withdrawal. Discontinuation of MPA was needed in 2 patients for recurrent sinusitis and CMV reactivations. Patient and graft survival was 100% in both groups at 12 month follow-up. Conclusion: Steroid-free with short-course thymoglobulin induction therapy was a safe protocol in low-risk renal transplant recipients. Lower rates of acute rejection and BK virus infections episodes were seen compared to the steroid-based control group. A longer follow-up will be needed to determine whether this SF immunosuppressive regimen will result in higher graft and patient survival.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Patients with stage I-III melanoma were vaccinated with the modified HLA-A2-binding gp100(209-2M)-peptide after complete surgical resection of their primary lesion and sentinel node biopsy. Cytoplasmic interferon-gamma production by freshly thawed peripheral blood mononuclear cells (direct ex vivo analysis) or by peripheral blood mononuclear cells subjected to 1 cycle of in vitro sensitization with peptide, interleukin-2, and interleukin-15 was measured following restimulation with the modified and native gp100 peptides, and also A2gp100 melanoma cell lines. Peptide-reactive and tumor-reactive T cells were detected in 79% and 66% of selected patients, respectively. Patients could be classified into 3 groups according to their vaccine-elicited T-cell responses. One group of patients responded only to the modified peptide used for immunization, whereas another group of patients reacted to both the modified and native gp100 peptides, but not to naturally processed gp100 antigen on melanoma cells. In the third group of patients, circulating CD8 T cells recognized A2gp100 melanoma cell lines and also both the modified and native peptides. T cells with a low functional avidity, which were capable of lysing tumor cells only if tumor cells were first pulsed by the exogenous administration of native gp100(209-217) peptide were identified in most patients. These results indicate that vaccination with a modified gp100 peptide induced a heterogeneous group of gp100-specific T cells with a spectrum of functional avidities; however, high avidity, tumor-reactive T cells were detected in the majority of patients.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

We demonstrate the use of laser-induced fluorescence confocal spectroscopy to measure analyte-stimulated enhanced green fluorescent protein (egfp) synthesis by genetically modified Escherichia coli bioreporter cells. Induction is measured in cell lysates and, since the spectroscopic focal volume is approximately the size of one bioreporter cell, also in individual live bacteria. This is, to our knowledge, the first ever proof-of-concept work utilizing instrumentation with single-molecule detection capability to monitor bioreporter response. Although we use arsenic inducible bioreporters here, the method is extensible to gfp/egfp bioreporters that are responsive to other substances.