1000 resultados para Krille, Otto, 1870-
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Management sciences and corporate practices of companies bring extensive views on the ethics and the corporate responsibility. The practical experiments try to build, and to make appropriate themselves to itself by the actors of companies, the deontological ethics governed by principles. Dialogue and deliberation are the political frame given to this construction. A question seems then central, that of the ultimate rational foundation of the morality and its normative contents. K.O. Apel’s propositions concerning his ethics of the discussion founded in a pragmatico-transcendental way seems to me to allow an essential advance on the subject. According to Apel, this foundation should supply: 1) The bases of an ultimate rational foundation of the morality and its normative contents, 2) The bases of the universal validity of a principle of justice, solidarity and co responsibility, 3) The bases of an ethics of the responsibility, but not an deontological ethics, governed by principles which could come to complete and to legitimize socio organizational processes and systems of relations which, placed in a new ethical context, could continue. In this article, I try to show in what K.O. Apel’s propositions allow to enrich a reflection opened by the research works in business ethics and in organizational behavior.
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Perçue comme organisation institutionnelle, l'activité théâtrale peut être divisée en quatre grands secteurs (ou instances) : la production, la distribution, la consommation et la légitimation. À l'intérieur de chacun de ces secteurs, différents agents assument des fonctions précises et complémentaires : interpréter, écrire, produire, distribuer, regarder, juger, etc. Dans ce partage des responsabilités et des pouvoirs, la critique joue un rôle complexe dont l'importance et la pertinence varient selon les époques et les lieux. La critique relève de l'instance de légitimation. Dans une société organisée et hiérarchisée (comme la France du XIXe siècle), elle s'exprime autant dans les grands journaux que dans les périodiques spécialisés et les ouvrages érudits. Elle constitue la première étape de l'oeuvre dramatique vers sa consécration. Les académies, par leurs prix et leurs concours, et l'École, par la mise au programme de certains textes, assurent le couronnement définitif des oeuvres et des auteurs. Le Québec de la fin du XIXe siècle ne dispose pas d'une instance de légitimation aussi structurée. Son organisation interne et sa situation géographique le soumettent à des pressions si variées et si nombreuses qu'il doit continuellement chercher à l'extérieur de ses frontières le pouvoir de consécration qui lui manque. Il n'a pas d'académie, pas de grand concours dramatique (d'écriture ou d'interprétation), et les sommités qui remplissent les rares chaires littéraires des universités Laval de Québec et de Montréal sont des Français de passage. On pourrait donc croire qu'en raison de l'absence d'autres agents, la critique locale aurait envahi tout le champ de la légitimation et assumé seule le couronnement des oeuvres et des auteurs au Québec. Mais il n'en fut rien! [Introduction]
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Jamais les scénographes du Québec — appelons-les ainsi par commodité — n'ont autant fait parler d'eux! Ils sont partout et s'affirment avec toute la vigueur de ceux qui sont convaincus du bien fondé de leur cause et qui réclament enfin leur dû. Qui pourrait, qui oserait les en blâmer? D'expositions en colloques, d'émissions radiophoniques en numéros de revues spécialisées, ils imposent, individuellement ou par le biais de leur Association (des professionnels des arts de la scène du Québec), une nouvelle donne au monde du théâtre québécois dont ils constituent désormais l'une des forces majeures.
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Perçue comme organisation institutionnelle, l'activité théâtrale peut être divisée en quatre grands secteurs (ou instances): la production, la distribution, la consommation et la légitimation. À l'intérieur de chacun de ces secteurs, différents agents assument des fonctions précises et complémentaires : interpréter, écrire, produire, distribuer, regarder, juger, etc. Dans ce partage des responsabilités et des pouvoirs, la critique joue un rôle complexe dont l'importance et la pertinence varient selon les époques et les lieux. [...]
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Averiguar la situación de la clase trabajadora en cuanto a analfabetismo, para precisar en qué medida el factor cultural influyó no tanto en las formas organizativas de que se dotó como en la práctica social y en la respuesta que dio a las ofertas ideológicas de que fue objeto. El analfabetismo en Asturias durante los tres últimos decenios del siglo XIX. Se intenta establecer la relación existente entre analfabetismo e ideologías presentes en Asturias a fines del siglo XIX, en la clase obrera. Para ello se tratan previamente aspectos diferentes de la cuestión educativa en la España del siglo XIX. Del analfabetismo se estudian los aspectos: reparto por zonas, análisis de los dos nucleos de población más importantes: Oviedo y Gijón, etc. Por otra parte se analizan las diferentes corrientes ideológicas: socialista, anarquista, católica, y cómo influye en ellas el analfabetismo. La bibliografía, libros de acuerdos y actas de sesiones del Archivo Municipal de Oviedo, censos de población, prensa, etc. Análisis de las fuentes manuscritas y de las obras bibliográficas desde la perspectiva histórica. Estudio comparativo de Asturias con otras cinco provincias. Estudio pormenorizado de los municipios y zonas de la región en cuanto a analfabetismo, expresando los resultados en frecuencias y porcentajes, representaciones en gráficos y mapas y se añaden al final del trabajo varios apéndices documentales, en los que se expresan: distribución de maestros/as con relación a la población en varias provincias españolas, distribución provincial de analfabetos en la Península, escuelas de adultos en Asturias entre 1871 y 1872, número de escuelas en la provincia de Oviedo en los cursos 1866-67 y 1870, distribución de analfabetos por zonas de Asturias y municipios, presupuestos de instrucción pública en el municipio de Gijón. Entre 1860 y 1986 en relación con el promedio nacional, el analfabetismo en Asturias descendió de manera progresiva e intensa. En las regiones industriales el analfabetismo disminuyó más que en el resto. En las cuencas mineras entre 1877 y 1986 el analfabetismo acusó un descenso (12 por ciento) superior al de otras zonas de España como Vizcaya (11 por ciento) y al de Barcelona (10 por ciento). Entre 1877 y 1986 se experimentó un retroceso en el proceso de alfabetización, determinado por la afluencia de población motivada por el aumento de la industrialización en Gijón. En relación con la implantación del movimiento obrero se observa un decrecimiento analfabético en los municipios industriales tanto de influencia socialista (Mieres, Langreo, y Oviedo), como de influencia católica. En cambio en Gijón, donde predomina influencia anarquista y un mayor interés por la enseñanza desde las instancias municipales y otras entidades, no se tradujo el avance que por los esfuerzos realizados cabría esperar.