999 resultados para Français (langue) -- Aspect social -- Ouvrages avant 1800
Resumo:
[Historia Francorum (français). 1859-1862]
Resumo:
[Historia Francorum (français). 1859-1862]
Resumo:
[Historia Francorum (français). 1859-1862]
Resumo:
[Historia Francorum (français). 1859-1862]
Resumo:
Comprend : Version latine abrégée, attribuée à saint Jérôme, d'une cosmographie supposée écrite en grec ; Version latine abrégée... d'une cosmographie supposée écrite en grec...
Resumo:
Ce travail de recherche a visé deux aspects: celui d'identification et d'analyse des textes et celui de parution des deux premières traductions en langue anglaise et italienne des contes. La recherche s'est développée essentiellement tenant compte de trois notions importantes: dialogue, intertextualité et intercultureLa première étape a donc été de repérer la première traduction en langue italienne et anglaise des contes pour une évaluation du texte qui puisse ainsi permettre de commencer le parcours d'analyse comparée. En ce qui concerne celle anglaise il y avait déjà une date certaine, 1729, et le nom du traducteur: Robert Samber; La version anglaise, ayant paru en 1960 dans une édition partielle sous la direction de Jacques Barchilon et Henry Pettit, était plus facile à repérer; en outre la British Library avait dans son catalogue celle originelle et complète de 1729. Repérer la version italienne a pris plus de temps et a été complexe car on ne connaissait que certaines dates, 1754 et 1752, et aucune autre indication. La première des deux s'avérait inexacte, tandis que la deuxième était celle d'une réédition mais ce n'était pas la date de la première traduction italienne. Traduction que l'on estimait ne plus exister, ou bien perdue. Toutefois, au cours des recherches préliminaires j'ai finalement trouvé une édition en italien des contes de 1727: c'est la plus ancienne connue et, peut-être, c'est bien la première traduction italienne et, de toute façon, à considérer comme la première dans une langue européenne. Les chapitres initiaux se développent autour de l'aspect qui concerne le complexe dialogue interculturel qui a eu lieu et qui a mené, à travers une compliquée mosaïque d'intrigues, au changement de perspective d'un genre dans les différentes cultures: de cunto à conte de fées d'un côté et de conte de fée à fiaba et à fairy taie de l'autre. Les chapitres successifs sont consacrés à la présentation du texte des deux traductions et à l'analyse de celui-ci selon la méthode de la comparaison différentielle. La partie qui concerne plus précisément l'analyse du texte des deux traductions vise à mettre en exergue tous les points de divergence de celui français de l'édition Barbin de 1697, qui est repris ici pour les deux traductions comme le texte fondamental de départ, et a représenté d'un côté l'élément pour une évaluation de l'oeuvre du traducteur et de l'autre a fourni les éléments pour comprendre quel a été l'accueil du texte lui-même dans le nouveau contexte culturel cible. Les points de vue littéraire et linguistique ont été privilégiés dans la recherche, par rapport à celui folkloriste et anthropologique.Avec cette étude on a démontré que, dans les contextes linguistiques et culturels anglais et italien visés, il y a une présence des contes de Perrault. Que cette présence se réalise par l'intermédiaire du travail de traduction qui en a modifié et, parfois, changé la perspective et le plan énonciatif du message selon la nécessité dans laquelle se trouvait le traducteur. Et enfin que chacune des deux traductions peut être considérée comme une ré-énonciation sui generts.Etant donné que les textes des deux traductions ne sont pas faciles à repérer, celui italien de 1727 est à considérer comme une véritable découverte éditoriale, leur parution intégrale constitue non seulement un complément indispensable à la recherche mais aussi une contribution pour leur connaissance et leur étude et approfondissement supplémentaires.
Resumo:
RESUME : Cette étude est une analyse métrique et stylistique de La Pulcella d'Orléans de Vincenzo Monti - traduction-réécriture de l'homonyme poème de Voltaire, La Pucelle d'Orléans - commencée à Milan en 1798 et terminée à Chambéry, en Savoie, en 1799. Le texte italien a été considéré comme une version autonome par rapport au texte français, étant donné le particulier choix de réduire la composante philosophique et idéologique d'origine, et de mettre en relation le modèle avec une littérature italienne spécifique, principalement par l'adoption d'une grille strophique fortement marquée. La Pulcella est traduite en octaves, un mètre chevaleresque qui possède au moins depuis trois siècles sa propre "grammaire" ainsi qu'une formidable tradition de référence. De plus, avec sa traduction, l'auteur a voulu mettre l'accent sur les aspects de l'histoire les plus amusantes et provocatrices de Jeanne d'Arc - déjà narrée par Voltaire avec un ton ironique et irrévérencieux - dans le but d'une grande expérimentation au niveau de la langue, de la métrique et de la syntaxe. La traduction de la Pucelle est en effet liée à une dimension hédonistique et livresque: elle n'est pas un prétexte pour connaitre une oeuvre étrangère, ni un texte conçu pour être publiée; il s'agit plutôt d'un exercice personnel, un divertissement privé, demeuré dans le tiroir de l'auteur. Alors que pour Voltaire le but principal du poème est la polémique idéologique du fond, exprimée par un registre fort satirique, pour Monti la réécriture est un jeu stylistique, une complaisance littéraire, qui repose autant sur les composantes désacralisantes et provocatrices que sur les éléments poétiques et idylliques. Le modèle français est donc retravaillé, en premier lieu, au niveau du ton: d'un côté la traduction réduit l'horizon idéologique et la perspective historique des événements; de l'autre elle accroît les aspects les plus hédonistiques et ludiques de Voltaire, par la mise en évidence de l'élément comique, plus coloré et ouvert. En raison de la dimension intime de cette traduction, de nos jours la tradition de la Pulcella italienne se fonde sur trois témoins manuscrits seulement, dont un retrouvé en 1984 et qui a rouvert le débat philologique. Pour ma thèse j'ai utilisé l'édition critique qu'on possède à présent, imprimée en 1982 sous la direction de M. Mari et G. Barbarisi, qui se fonde seulement sur deux témoins du texte; de toute façon mon travail a essayé de considérer aussi en compte le nouvel autographe découvert. Ce travail de thèse sur la Pulcella est organisé en plusieurs chapitres qui reflètent la structure de l'analyse, basée sur les différents niveaux d'élaboration du texte. Au début il y a une introduction générale, où j'ai encadré les deux versions, la française et l'italienne, dans l'histoire littéraire, tout en donnant des indications sur la question philologique relative au texte de Monti. Ensuite, les chapitres analysent quatre aspects différents de la traduction: d'abord, les hendécasyllabes du poème: c'est à dire le rythme des vers, la prosodie et la distribution des différents modules rythmiques par rapport aux positions de l'octave. La Pucelle de Voltaire est en effet écrite en décasyllabes, un vers traditionnellement assez rigide à cause de son rythme coupé par la césure; dans la traduction le vers français est rendu par la plus célèbre mesure de la tradition littéraire italienne, l'endécasyllabe, un vers qui correspond au décasyllabe seulement pour le nombre de syllabes, mais qui présente une majeure liberté rythmique pour la disposition des accents. Le deuxième chapitre considère le mètre de l'octave, en mettant l'accent sur l'organisation syntaxique interne des strophes et sur les liens entre elles ; il résulte que les strophes sont traitées de manière différente par rapport à Voltaire. En effet, au contraire des octaves de Monti, la narration française se développe dans chaque chant en une succession ininterrompue de vers, sans solutions de continuité, en délinéant donc des structures textuelles très unitaires et linéaires. Le troisième chapitre analyse les enjambements de la Pulcella dans le but de dévoiler les liaisons syntactiques entre les verses et les octaves, liaisons presque toujours absentes en Voltaire. Pour finir, j'ai étudié le vocabulaire du poème, en observant de près les mots les plus expressives quant à leur côté comique et parodique. En effet, Monti semble exaspérer le texte français en utilisant un vocabulaire très varié, qui embrasse tous les registres de la langue italienne: de la dimension la plus basse, triviale, populaire, jusqu'au niveau (moins exploité par Voltaire) lyrique et littéraire, en vue d'effets de pastiche comique et burlesque. D'après cette analyse stylistique de la traduction, surgit un aspect très intéressant et unique de la réécriture de Monti, qui concerne l'utilisation soit de l'endécasyllabe, soit de l'octave, soit du vocabulaire du texte. Il s'agit d'un jeu constant sur la voix - ou bien sur une variation continue des différents plans intonatives - et sur la parole, qui devient plus expressive, plus dense. En effet, la lecture du texte suppose une variation mélodique incessante entre la voix de l'auteur (sous forme de la narration et du commentaire) et la voix de personnages, qu'on entend dans les nombreux dialogues; mais aussi une variation de ton entre la dimension lexical littéraire et les registres les plus baissés de la langue populaire. Du point de vue de la syntaxe, par rapport au modèle français (qui est assez monotone et linéaire, basé sur un ordre syntactique normal, sur le rythme régulier du decasyllabe et sur un langage plutôt ordinaire), Monti varie et ennoblit le ton du discours à travers des mouvements syntaxiques raffinés, des constructions de la période plus ou moins réguliers et l'introduction de propositions à cheval des vers. Le discours italien est en effet compliquée par des interruptions continues (qui ne se réalisent pas dans des lieux canoniques, mais plutôt dans la première partie du vers ou en proximité de la pointe) qui marquent des changements de vitesse dans le texte (dialogues, narration, commentaires): ils se vérifient, en somme, des accélérations et des décélérations continues du récit ainsi qu'un jeu sur les ouvertures et fermetures de chaque verse. Tout se fait à travers une recherche d'expressivité qui, en travaillant sur la combinaison et le choc des différents niveaux, déstabilise la parole et rend l'écriture imprévisible.
Resumo:
A clinicopathologic case of a 41-year-old female patient exhibited a single cutaneous tumor at the inner part of the free margin of the inferior left eyelid. It was a pink, fleshy, and nodular well-circumscribed exophytic mass with thin vessels on its surface. Experienced already for 20 years, this lesion had been observed 6 years before and has not exhibited much change since then. However, its clinical appearance argued for a possible small basal cell carcinoma, which had grown over the inferior left lachrymal duct. After surgical removal, histopathology showed that the tumor was an amelanotic dermal nevus. No disturbance of lachrymal drainage was observed after surgery. This case shows that nodular amelanotic tumors of the eyelid, even when located on the inner segment of the eyelid, may be a nevus.
Resumo:
Cette thèse doctorale étudie le rôle de la citoyenneté Suisse et le modèle libérale de l'Etat social dans la production du racisme institutionnel au sein des services sociaux en Suisse. Cette thèse pose la question comment le régime de la citoyenneté Suisse rend possible et contraint les travailleurs sociaux à racialiser et discriminer leur clients avec des différences culturelles alors que les normes de l'aide sociale (normes de CSIAS) ne prévoient pas des traitements différentialistes selon la culture ou l'origine. Le modèle théorique du racisme institutionnel développé se passe sur une approche néo- institutionaliste et des ethnie and racial studies, prenant en compte le niveau individuel, collectif et institutionnel. En incluant ces deux approches, on dépasse le déterminisme des structuralistes dans les études sur le racisme institutionnel. Cette recherche qualitative montre que les travailleurs sociaux utilisent les ressources de la citoyenneté Suisse, de l'Etat social Suisse et leur expériences personnelles quand ils interagissent avec des clients. En plus, cette thèse démontre que le workfare logique en combinaison avec l'idée de l'assimilation culturelle rend possible la production d'un discours sur la nécessité de mériter d'être un membre de la communauté nationale et d'accéder à l'aide sociale. Cette compréhension néo-libérale de la citoyenneté renforce et légitime les travailleurs sociaux de racialiser et pratiquer la discrimination à l'égard de leurs clients et les rend incapable de développer une réflexivité critique. Toutefois, cette thèse montre également que les travailleurs sociaux produisent du travail social interculturel s'ils ont pu développer une telle réflexivité critique dans les institutions de l'aide sociale qui mettent en avant une conception "individuelle" de l'aide sociale.-Cette thèse vise à aller au-delà du silence qui constitue les débats publiques et la recherche sur le racisme au sein des institutions publiques en Suisse. - This thesis questions the role of the Swiss citizenship regime and the Swiss liberal social welfare model in the production of institutional racism in social services in Switzerland. Considering the absence of intercultural formal guidelines in the norms of social welfare (SKOS norms), this research investigates how the Swiss citizenship regime constrains and enables social workers to racialise and discriminate against their clients with cultural differences. This thesis develops a model of institutional racism, taking into account ethnic and racial studies and a neo-institutionalist approach on institutions, addressing the individual, collective and institutional level. In this framework, this thesis allows to overcome the structuralist determinism in the studies on institutional racism. Based on a qualitative inquiry, this research shows that social workers use the resources from the Swiss citizenship regime, social welfare model and their personal experiences when they interact with their clients. This study also shows that the workfare logic in combination with the idea of cultural assimilation enables to produce a discourse on deserving social welfare and earning membership to the national community. This neo-liberal citizenship understanding reinforces and legitimises social workers to racialise and discriminate against their clients and hinders them to develop critical reflexivity. However, this thesis also shows that social workers are able to produce intercultural social work when they could develop such a reflexivity in social services with an "individual" social welfare conceptions. This thesis aims to go beyond a persisting silence regarding public debates and research on racism in public institutions in Switzerland.