994 resultados para épigraphie latine, inscriptions funéraires, Helvétie
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Collection : Publications hors série de l'École française d'Extrême-Orient
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Teokset Biblia sacra hebraice, graece & latine, Heidelberg 1587; teoksen omistanut Marcus Henrici Helsingius, joka on ostanut sen Wittenbergistä 1592; etukannen keskellä Lutherin kuva avattu kirja käsissään, sekä Georg Major, Enarrationes Epistolarum S. Pauli(I) Wittenberg 1569; teos kuulunut Christianus Bartholdii Ruuthille, jonka nimikirjaimet etukannan yläosassa; 1574 viittaa sidotusvuoteen.
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[spa]El presente trabajo culmina un proyecto dedicado al estudio de cuatro láminas de plomo con escritura ibérica procedentes del área ilergeta, que habñian sido extraídas de forma irregular de forma irregular a principios de la década de los años 80 del pasado siglo y que acabaron en el Instituto de Estudios Ilerdenses. En 2005 se dio a conocer el plomo de Olriols (Sant Esteve de Llitera), en 2009 los plomos 1 y 2 de Monteró (Camarasa) y ahora finalmente el plomo del Tossal del Mor (Tárrega). Este texto es muy corto, sólo consta de cuatro segmentos, todos posiblemete antropónimos sin ningún morfo añadido. Desde el punto de vista paleográfico, es significativo que por primera vez se documente un signo dual ko complejo en la zona ilergeta. Mientras que del léxico, cabe destacar que en uno de los antroponimos se documenta por primera vez con claridad en una inscripción ibérica el elemento iber. Independientemente de su significado parece plausible su relación con el etnónimo o con el río con los que antiguos griegos y romanos identificaban a los íberos. [eng]This work is the culmination of a project dedicated to the study of four sheets of lead with Iberian writing from the Ilerget area that had been extracted without authorisation in the early 1980s and that found way to the Institut d"Estudis Ilerdencs (Lleida). In 2005, the lead from Olriols (Sant Esteve de Llitera) was presented, as were lead sheets 1 and 2 from Monteró (Camarasa) in 2009 and now finally the lad piece from Tossal del Mor (Tàrrega). The text is very short, with only four segments, all possibly anthroponyms without any added morph. From the palaeographic point of view, it is significant that, for the first time, a complex dual ko sign is documented in the Ilerget area. Regarding the lexis, it is of note that in one of the anthroponyms the element ibeŕ is documented clearly for the first time in an Iberian inscription. Independently of its meaning, it seems plausible to link it to the ethnonym or the river with which the ancient Greeks and Romans identified the Iberians.
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Cette étude porte sur les 1829 graffiti sur céramique d'époque gallo-romaine retrouvés sur le site d'Avenches. Ils offrent de précieux repères pour estimer les effets de la romanisation et les persistances des traditions indigènes. Soumis à un examen attentif combinant les approches linguistique, iconographique, céramologique, spatiale et chronologique, ils nous renseignent sur certains domaines, comme les pratiques religieuses, les modes de consommation, les usages commerciaux et le système de mesure employé, mais également sur la composition de la société, via les tendances onomastiques. Les dessins et les graffiti indéterminés, qui sont difficiles ou impossibles à comprendre, permettent néanmoins de susciter la réflexion sur plusieurs questions, comme la valeur des symboles et de certains dessins, le sens des graffiti équivoques. Les informations épigraphiques, la restitution des inscriptions et l'étude de l'alphabet fournissent également des renseignements importants sur l'écriture, la langue, l'éducation et le degré d'alphabétisation de la population. Se rapportant à une autre catégorie de la population d'Avenches, celle des artisans, les quelques graffiti ante cocturam livrent quant à eux des informations concernant l'organisation sociale et l'histoire des artisans. Combiner les résultats obtenus dans différents domaines est primordial pour comprendre le phénomène des graffiti à Avenches durant l'époque romaine. Deux questions reviennent systématiquement dans chacun de nos chapitres : l'identité des auteurs des graffiti et la signification du message gravé. Cette dernière est parfois limpide ; plus souvent elle donne lieu à diverses interprétations. Mais qui sont les scripteurs ? Certaines couches de la société sont-elles à exclure ou à privilégier ? On sait que l'élite des helvètes avait obtenu très tôt la citoyenneté romaine, mais les utilisateurs des récipients appartenaient-ils à cette élite ? En principe, tout un chacun avait la possibilité d'inscrire son nom sur un récipient, qu'il fût de basse extraction ou qu'il se trouvât au somment de la hiérarchie sociale de la cité. Ce sont les circonstances qui conduisent un individu à graver son nom sur un récipient : pour éviter de le perdre, pour qu'on ne l'utilise pas, ou pour le reconnaître à l'occasion d'une célébration, dans un cadre communautaire. Vu la prédominance des noms latins indigènes et gaulois, les nombreux noms grecs et la rareté des noms italiens, faut-il déduire que les scripteurs appartenaient aux couches basses et moyennes de la population ? Ce serait faire fi des mises en garde et des précautions appliquées tout au long de l'étude. D'un point de vue terminologique, il apparaît que la formule « marque de propriété » est une appellation générique se rapportant à un geste bien précis, mais réalisé dans des circonstances très variables. Les auteurs des graffiti ne composent en tout cas pas un groupe homogène. Des femmes, des hommes et peut-être des enfants ont laissé leurs traces sur les récipients. Leur statut, leur condition sociale et leur origine ne sont pas aisés à identifier. L'origine des noms révèle des tendances sur la mode onomastique, tandis que la forme qu'ils revêtent en relation avec le statut de la ville nous conduit à d'intéressantes constatations diachroniques sur l'onomastique de la population d'Avenches. La présence des indications chiffrées et des abréviations codifiées est à mettre en relation avec les besoins domestiques, de la cuisine et de l'approvisionnement, avec le monde du commerce et de l'artisanat, pour la vente ou pour le contrôle de la production. La variété des écritures est probablement liée au support et au type de message inscrit, mais elle témoigne également d'une production épigraphique provenant d'un spectre relativement large de la population, qui se tourne vers cette pratique de l'écrit pour répondre à des besoins quotidiens.