978 resultados para aortic stiffness
Resumo:
The aim of this study is to describe the characteristics of infective endocarditis (IE) after transcatheter aortic valve implantation (TAVI). This study was performed using the GAMES database, a national prospective registry of consecutive patients with IE in 26 Spanish hospitals. Of the 739 cases of IE diagnosed during the study, 1.3% were post-TAVI IE, and these 10 cases, contributed by five centres, represented 1.1% of the 952 TAVIs performed. Mean age was 80 years. All valves were implanted transfemorally. IE appeared a median of 139 days after implantation. The mean age-adjusted Charlson comorbidity index was 5.45. Chronic kidney disease was frequent (five patients), as were atrial fibrillation (five patients), chronic obstructive pulmonary disease (four patients), and ischaemic heart disease (four patients). Six patients presented aortic valve involvement, and four only mitral valve involvement; the latter group had a higher percentage of prosthetic mitral valves (0% vs. 50%). Vegetations were found in seven cases, and four presented embolism. One patient underwent surgery. Five patients died during follow-up: two of these patients died during the admission in which the valve was implanted. Conclusions: IE is a rare but severe complication after TAVI which affects about 1% of patients and entails a relatively high mortality rate. IE occurred during the first year in nine of the 10 patients.
Resumo:
Le rétrécissement valvulaire aortique (RVA) est causé par une calcification et une fibrose progressive de la valve aortique. Le risque de développer la maladie augmente avec l’âge. À cause de l’augmentation de l’espérance de vie, le RVA est devenu un problème de santé publique. Le RVA est fatal en absence de traitement médical. Actuellement, la chirurgie est le seul traitement pour le stade sévère de la maladie, mais près de 50% des individus avec RVA n’y sont pas éligibles, principalement due à la présence de comorbidités. Plusieurs processus biologiques ont été associés à la maladie, mais les voies moléculaires spécifiques et les gènes impliqués dans le développement et la progression du RVA ne sont pas connus. Il est donc urgent de découvrir les gènes de susceptibilité pour le RVA afin d’identifier les personnes à risque ainsi que les biomarqueurs et les cibles thérapeutiques pouvant mener au développement de médicaments pour inverser ou limiter la progression de la maladie. L’objectif de cette thèse de doctorat était d’identifier la base moléculaire du RVA. Des approches modernes en génomique, incluant l’étude de gènes candidats et le criblage génomique par association (GWAS), ont été réalisées à l’aide de collections d’ADN provenant d’un grand nombre de patients bien caractérisés pour le RVA. Des études complémentaires en transciptomique ont comparé le profil d’expression global des gènes entre des valves calcifiées et non-calcifiées à l’aide de biopuces à ADN et de séquençage de l’ARN. Une première étude a identifié des variations dans le gène NOTCH1 et suggère pour la première fois la présence d’un polymorphisme commun dans ce gène conférant une susceptibilité au RVA. La deuxième étude a combiné par méta-analyse deux GWAS de patients provenant de la ville de Québec et Paris (France) aux données transcriptomiques. Cette étude de génomique intégrative a confirmé le rôle de RUNX2 dans le RVA et a permis l’identification d’un nouveau gène de susceptibilité, CACNA1C. Les troisième et quatrième études sur l’expression des gènes ont permis de mieux comprendre les bases moléculaires de la calcification des valves aortiques bicuspides et ainsi d’identifier de nouvelles cibles thérapeutiques pour le RVA. Les données générées par ce projet sont la base de futures découvertes importantes qui permettront d’améliorer les options de traitement et la qualité de vie des patients atteints du RVA.
Resumo:
El objetivo del presente estudio fue cuantificar la contribución del sobrepeso en la magnitud de la lipemia posprandial en sujetos normolipídicos. Se incluyeron 33 adultos normolipídicos en dos grupos (n=20, sobrepeso y (n=13 eutróficos, 66% hombres, edad media 31,2±7,6 años). Se midió la vasodilatación mediada por flujo (VMF), la velocidad de onda de pulso (VOP), el perfil lipídico, el cociente Log TG/c-HDL, la glucosa y presión arterial tras una ingesta estándar con alto contenido de grasa (79% Kcal/grasa). Se calculó, el Z-score de riesgo cardiovascular a partir de la suma de los residuos tipificados (Z) de las variables de riesgo cardiovascular. El estado de lipemia posprandial se midió en ayuno (0 min) y a los (60, 120, 180, y 240 min) posprandiales. El valor basal de la VMF y la VOP fue de 6,9±5,9% y 7.0±0.8 m/s, respectivamente. Se identificó que la lipemia posprandial reducía la WMF en 19,2% a los 60 min (5,9±1,5%) y a los 240 min (3,7±1,2%) (p<0,04), respectivamente. Este hallazgo se acompañó con un aumento en la VOP (p<0,05). Al dividir los sujetos en dos grupos según el IMC, los participantes en sobrepeso muestran cifras más elevadas en el Z-score de riesgo cardiovascular, la VOP, el Log TG/c-HDL y el Δ-VOP, (p<0,001). En conclusión los sujetos clasificados en sobrepeso muestran un perfil cardiometabolico asociado con un mayor riesgo cardiovascular.