992 resultados para Virginia Cavalry. 4th regt., 1861-1865. Co. D.


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Donateur : Maunoir, Charles (1830-1901)

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It has been previously described that p21 functions not only as a CDK inhibitor but also as a transcriptional co-repressor in some systems. To investigate the roles of p21 in transcriptional control, we studied the gene expression changes in two human cell systems. Using a human leukemia cell line (K562) with inducible p21 expression and human primary keratinocytes with adenoviral-mediated p21 expression, we carried out microarray-based gene expression profiling. We found that p21 rapidly and strongly repressed the mRNA levels of a number of genes involved in cell cycle and mitosis. One of the most strongly down-regulated genes was CCNE2 (cyclin E2 gene). Mutational analysis in K562 cells showed that the N-terminal region of p21 is required for repression of gene expression of CCNE2 and other genes. Chromatin immunoprecipitation assays indicated that p21 was bound to human CCNE2 and other p21-repressed genes gene in the vicinity of the transcription start site. Moreover, p21 repressed human CCNE2 promoter-luciferase constructs in K562 cells. Bioinformatic analysis revealed that the CDE motif is present in most of the promoters of the p21-regulated genes. Altogether, the results suggest that p21 exerts a repressive effect on a relevant number of genes controlling S phase and mitosis. Thus, p21 activity as inhibitor of cell cycle progression would be mediated not only by the inhibition of CDKs but also by the transcriptional down-regulation of key genes.

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Purpose: Letrozole (LET) has recently been shown to be superior to tamoxifen for postmenopausal patients (pts). In addition, LET radiosensitizes breast cancer cells in vitro. We conducted a phase II randomized study to evaluate concurrent and sequential radiotherapy (RT)-LET in the adjuvant setting. We present here clinical results with a minimum follow-up of 24 months. Patients and Methods: Postmenopausal pts with early-stage breast cancer were randomized after conservative surgery to either: A) concurrent RT-LET (LET started 3 weeks before the first day of RT) or B) sequential RT-LET (LET started 3 weeks after the end of RT). Whole breast RT was delivered to a total dose of 50 Gy. A 10-16 Gy boost was allowed according to age and pathological prognostic factors. Pts were stratified by center, adjuvant chemotherapy, boost, and radiation-induced CD8 apoptosis (RILA). RILA was performed before RT as previously published (Ozsahin et al. Clin Cancer Res, 2005). An independent monitoring committee reviewed individual safety data. Skin toxicities were evaluated by two different clinicians at each medical visit (CTCAE v3.0). Lung CT-scan and functional pulmonary tests were performed regularly. DNA samples were screened for SNPs in candidate genes as recently published (Azria et al., Clin Cancer Res, 2008). Results: A total of 150 pts were randomized between 01/05 and 02/07. Median follow-up is 26 months (range, 3-40 months). No statistical differences were identified between the two arms in terms of mean age; initial TNM; median surgical bed volume; post surgical breast volume. Chemotherapy and RT boost were delivered in 19% and 38% of pts, respectively. Nodes received 50 Gy in 23% of patients without differences between both arms. During RT and within the first 6 weeks after RT, 10 patients (6.7%) presented grade 3 acute skin dermatitis during RT but no differences were observed between both arms (4 and 6 patients in arm A and B, respectively). At 26 month of follow-up, grade 2 and more radiation-induced subcutaneous fibrosis (RISCF) was present in 4 patients (3%) without any difference between arm A (n = 2) and B (n = 2), p=0.93. In both arms, all patients that presented a RICSF had a RILA lower than 16%. Sensitivity and specificity were 100% and 39%, respectively.No acute lung toxicities were observed and quality of life was good to excellent for all patients.SNPs analyses are still on-going (Pr Rosenstein, NY). Conclusion: Acute and early late grade 2 dermatitis were similar in both arms. The only factor that influenced RISCF was a low radiation-induced lymphocyte apoptosis yield. We confirmed prospectively the capacity of RILA for identifying hypersensitive patients to radiation. Indeed, patients with RILA superior to 16% did not present late effects to radiation and confirmed the first prospective trial we published in 2005 (Ozsahin et al., Clin Cancer Res).

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Introduction générale : Depuis peu, la colère gronde au sein des actionnaires. Certains d'entre eux s'estiment écartés à tort de certaines ©cisions importantes et se plaignent de ne pouvoir exercer aucune influence sur la façon dont est gérée la société, dont ils sont pourtant propriétaires. Ce sentiment d'impuissance et même d'injustice est exacerbé par l'octroi, à certains dirigeants parfois peu scrupuleux, de rémunérations astronomiques et en ©calage avec les résultats obtenus. Bien que l'assemblée générale soit, aux termes de l'art. 698 al. 1 CO, le pouvoir suprême de la société, les administrateurs et les directeurs donnent l'impression d'être omnipotents et exempts de toute responsabilité Certains actionnaires estiment en d'autres termes que les sociétés anonymes souffrent d'un manque de contrôle. Ce sentiment correspond-il à la réalité ? Notre étude tente de répondre à cette question en examinant l'éventuel rapport hiérarchique entre l'assemblée générale et le conseil d'administration, les devoirs de ce dernier, les conditions auxquelles il peut ©léguer la gestion, enfin, la responsabilité de ses membres. Face à l'ampleur du sujet, nous avons été contraint d'effectuer des choix, forcément arbitraires. Nous avons ©ci© d'écarter la problématique des groupes de sociétés. De même, les législations sur les bourses, les banques et les fusions ne seront que mentionnées. Signalons enfin que certaines problématiques abor©es par notre étude occupent actuellement le législateur. Nous avons ¨s lors tenu compte des travaux préparatoires effectués jusqu'à la fin de l'année 2008. Nous commencerons par étudier dans une première partie les relations et l'éventuel rapport hiérarchique entre l'assemblée générale, pouvoir suprême de la société, et le conseil d'administration, chargé d'exercer la haute direction et de gérer les affaires de la société. La ©termination de leurs positions hiérarchiques respectives devrait nous permettre de savoir si et comment l'assemblée générale peut s'immiscer dans les compétences du conseil d'administration. Nous nous intéresserons ensuite à la gestion de la société, le législateur postulant qu'elle doit être conjointement exercée par tous les membres du conseil d'administration dans la mesure où elle n'a pas été ©léguée. Or, comme un exercice conjoint par tous les administrateurs ne convient qu'aux plus petites sociétés anonymes, la gestion est très fréquemment ©léguée en pratique. Nous examinerons ainsi les conditions formelles et les limites matérielles de la ©légation de la gestion. Nous étudierons en particulier les portées et contenus respectifs de l'autorisation statutaire et du règlement d'organisation, puis passerons en revue la liste de compétences intransmissibles et inaliénables du conseil d'administration dressée par l'art. 716a al. 1 CO. Nous nous attarderons ensuite sur les différents destinataires de la ©légation en insistant sur la flexibilité du système suisse, avant de consi©rer la problématique du cumul des fonctions à la tête de la société, et de nous demander si la gestion peut être ©léguée à l'assemblée générale. Nous conclurons la première partie en étudiant la manière dont l'assemblée générale peut participer à la gestion de la société, et exposerons à cet égard les récentes propositions du Conseil fé©ral. Dans une deuxième partie, nous constaterons que face à l'ampleur et à la complexité des tâches qui lui incombent, il est aujourd'hui largement recomman© au conseil d'administration d'une grande société de mettre en place certains comités afin de rationnaliser sa façon de travailler et d'optimiser ainsi ses performances. Contrairement aux ©veloppements menés dans la première partie, qui concernent toutes les sociétés anonymes in©pendamment de leur taille, ceux consacrés aux comités du conseil d'administration s'adressent principalement aux sociétés ouvertes au public et aux grandes sociétés non cotées. Les petites et moyennes entreprises seraient toutefois avisées de s'en inspirer. Nous traiterons de la composition, du rôle et des tâches de chacun des trois comités usuels que sont le comité de contrôle, le comité de rémunération et le comité de nomination. Nous exposerons à cet égard les recommandations du Code suisse de bonne pratique pour le gouvernement d'entreprise ainsi que certaines règles en vigueur en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, états précurseurs en matière de gouvernement d'entreprise. L'étude des tâches des comités nous permettra également de ©terminer l'étendue de leur propre pouvoir ©cisionnel. Nous aborderons enfin la problématique particulièrement sensible de la répartition des compétences en matière de rémunération des organes dirigeants. Notre troisième et dernière partie sera consacrée à la responsabilité des administrateurs. Nous exposerons dans un premier temps le système de la responsabilité des administrateurs en général, en abordant les nombreuses controverses dont il fait l'objet et en nous inspirant notamment des récentes ©cisions du Tribunal fé©ral. Comme la gestion n'est que rarement exercée conjointement par tous les administrateurs, nous traiterons dans un deuxième temps de la responsabilité des administrateurs qui l'ont ©léguée. A cet égard, nous nous arrêterons également sur les conséquences d'une ©légation ne respectant pas les conditions formelles. Nous terminerons notre travail par l'étude de la responsabilité des administrateurs en rapport avec les tâches confiées à un comité de conseil d'administration. Comme le conseil d'administration a des attributions intransmissibles et inaliénables et que les principes d'un bon gouvernement d'entreprise lui recommandent de confier certaines de ces tâches à des comités spécialisés, il s'agit en effet de ©terminer si et dans quelle mesure une répartition des tâches au sein du conseil d'administration entraîne une répartition des responsabilités.

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Molar heat capacities of the binary compounds NiAl, NiIn, NiSi, NiGe, NiBi, NiSb, CoSb and FeSb were determined every 10 K by differential scanning calorimetry in the temperature range 310-1080 K. The experimental results have been fitted versus temperature according to C-p = a + b . T + c . T-2 + d . T-2. Results are given, discussed and compared to estimations found in the literature. Two compounds, NiBi and FeSb, are subject to transformations between 460 and 500 K. (C) 1999 Elsevier Science Ltd. All rights reserved.

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