998 resultados para Sophia de Mello Breyner Andresen
Resumo:
A taxonomic review of the genus Neopachylus Roewer, 1913 together with keys to the species for both males and females are presented. Gephyropachylus marginatus Mello-Leitão, 1931 is considered a junior subjective synonym of Neopachylus serrinha Soares & Soares, 1947, and Huralvius incertus Mello-Leitão, 1935 is considered a synonym of Neopachylus nebulosus (Mello-Leitão, 1936). This genus is restricted to southern Brazil, occurring in states of Paraná, Santa Catarina and Rio Grande do Sul.
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ABSTRACT Alpaida venger sp. nov. is described based on males and females from Pedra Branca State Park, Rio de Janeiro, Brazil. This species seems to be related to Alpaida scriba (Mello-Leitão, 1940) and Alpaida alticeps (Keyserling, 1879) due to similar body shape and color, but is easily distinguished by the very elongated median apophysis, the massive lobe of tegulum and the hooked paracymbium of male palp. Females have elongated epigyne as A. scriba, but can be distinguished by the wider lips and shorter scape.
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A fauna escorpionica do Brasil é constituida de 37 especies e uma variedade, pertencentes a 4 familias e 10 generos. São as seguintes: FAM. BUTHIDAE. 1. Genero Ananteris - Com a especie A. balzani. 2 Genero Isometrus - Com a especie I. maculatus. 3. Genero Tityus - com as especies: T. microcystis, T. magnimanus, T. metuendus, T. cambridgei, T. duckei, T. paraensis, T. mattogrossensis, T. paraguavensis, T. pusillus, I. silvestris, T. intermedius, T. stigmurus, T. baiensis, T. costatus, T. trivittatus, T. dorsomaculatus, T. serrulatus. 4. Genero Rhopalurus - Com as especies: R. agamemnon, R. debilis, R. stenocuirus, R. melleipalpus, R. barythemar, R. rochai, R. acromelas, R. borelli, R. laticauda. FAM. SCORPIONIDAE. 5. Genero Diplocentrus - Com a especie: D. gundlachi. FAM. CHACTIDAE. 6. Genero Broteas. Com as especies: B. gervaisii. 7. Genero Broteochacatas - Com as especies B. parvulus e B. delicatus. FAM. BOTHRIURIDAE 8. Genero Bothriurus - Com as especies: B. bonariensis, B.signatus a var asper de B. bonariensis. 9. Genero Thestylus - Com a especie T. glasioui. 10. Genero Urophonius - Com a especie U. brachycentrus. De um modo eschematico, pode-se dizer que a fam. Bothriuridae está limitada ao sul do paiz e as fam. Chactldae e Scorpionidae limitadas ao norte (bacia amazonica). A fam. Buthidae se distribue do seguinte modo: o gen. Ananteris é limitado a Matto Grossoo gen. Isometrus é cosmopolita, o gen. Rhopalurus predomina no nordeste brazileiro e o genero Tityus é representado em todo o paiz, ao norte pelos grupos Cambridgei (bacia amazonica) e pusillus (bacia amazonica e Estado do Matto Grosso), no centro e sul pelo grupo stigmurus. No Estado de Minas predominam as especies T. bahiensis e T. serrulatus, aquella em Ouro-Preto, e esta em Bello Horizonte, Santa Barbara, Itabira. etc. Das especies referidas, 6 foram descriptas pelo auctor em collaboração ccm ADOLPHO LUTZ. São as seguintes: T serrulatus, T. dorsomaculatus, T. microcystis, T. intermedius, R. acromelas e R. melleipalpus.
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Nous avons travaillé à Bello Horizonte, Etat de Minas, avec le venin de 4 espèces de Scorpions: Tityus bahiensis (C. L. KOCK, 1836). Tityus serrulatus (LUTZ-MELLO, 1922). Tityus dorsomaculatus (LUTZ MELLO, 1922). Bothriurus (espèce em étude), sur un total de 13.640 individus. Nous avons essayé et observe laction du venin sur 97 espèces differentes dêtres vivants depuis les chlamydozoaires jusquà l«Homo sapiens». Nous avons cherché à déterminer une unité toxique «plus précise, plus régulierè». Les étalons dits «unité vésicule», «unité morsure» sont inconstants et sans rigueur. Tout au plus, peuvent ils server à létude de laction générale du venin, et cela meme, dans certains cas seulement. Nous avons employé la pesée pour determiner lunité toxique. Ce qui est important pour qui étudie ces sujets ce nest pás lê nombre de vésicules, mais bien la quantité de venin humide ou desséché quelles contiennent. La balance, pour notre travail, est um moyen indicateur de bien plus grande précision que la «vésicule» ou la «morsure». Nous sommes parvenus à prouver quil existe une relation constante entre le poid brut des vésicules et la quantité de venin humide ou desséché quelles contiennent dans leur intérieur. Donc em pesant les vésicules, nous pesons indirectement le venin. Peu nous importe quil y ait 10 ou 100 vésicules. Il nous importe seulement de savoir combien elles pèsent, et de déterminer par ce fait, la quantité proportionnelle de vain pur. La technique générale est la suivante: Nous pesons um certain nombre de vésicules. Nous triturons ensuite, dans um mortier stérilisé et nous emulsionnons, par laddition consécutive deau distillée, stérilisée. Nous filtrons lémulsion sur le papier filtre employé em chimie, préalablement taré et desséché dans une atmosphere de chlorure de calcium. Après le filtrage on sèche à nouveau les papiers filtre employés d'abord à l'étuve et ensuite dans la même atmosphère de chlorure de calcium. Nous pesons plusieurs fois et on obtient la moyenne de ces pesées. On soustrait de cette dernière pesée le taux des substances non venimeuses, glandulaires, également dissoutes et calculées à 23 du poids brut et celles retenues par les papiers,-on obtient ainsi la moyenne réelle du venin pur contenu dans les vésicules utilisèés. Une simple divisiôn suffit pour fixer la moyenne de chacune. Ces données ont été vérifiées par les expériences faites avec du venin pur, largement obtenu dans notre Laboratoire. Nous avons trouvé de la sorte pour une vésicule de Tityus serrulatus: 0,gr.000,386 de T. bahiensis: 0,gr.001.261.24 de venin pur ce qui donne. 7/15,96 pour la 1ère. 1/8,36 pour la 2ème du poids sec de chaque vésicule. Le poids sec, pour une moyenne obtenue de 1.000 vésicules, fut de 0,gr.008,236 pour Tityus bahiensis. Maximum 0,gr.011. Minimum 0,gr.004.4 pour chacun. Pour Tityus serrulatus, en 1.049 vésicules le poids fut de 0,gr.006,08. Maximum 0,gr.014.03. Minimum 0,gr.003,1 pour chacun. C'est pour cette raison que l'unité-vésicule est incertaine. 2 poules A et B.; l'une, A, pesant 2 K.030 gr. reçoit dans une veinè, une émulsion en sèrum physiologique à 8,50/%, stérilisé, de 19 vésicules totales de Tityus serrulatus, et présence de légers phénomènes toxiques. L'autre, B, pesant 2 K.320 gr. meurt avec tous les phénomènes classiques de l'empoisonnement, par l'injection endoveineuse del'émulsion de 16 vésicules totales de venin de Tityus serrulatus! Les premières 19 vésicules pesaient 0,gr.58; les 16 derniéres-84 milligrammes. Les premières contenaient 0,gr.003. 634 et les secondes 0,gr.005.263 de venin pur! La moyenne obtenue de 6346 scorpions, (entre T. bahiensis et T. serrulatus) nous a fourni pour chacun: 0,gr.000,131,53 de venin pur, par piqûre. Si l'on spécifie: Pour 5.197 T. bahiensis. La moyenne pour une piqûre est 0,gr.000.106.15. Pour 1.149 T. serrulatus, la moyenne pour une piqûre est.......0,gr.000.246.30. La quantité a varié, selon les individus, de 0,gr.000.035.71, à 0,gr.000.436.01 de venin pur, pour une piqûre. D'après ce qui vient d'étre dit, on peut voir combien la quantité de venin éjaculé varie, chaque fois, chez les scorpions. L'unité-piqûre ne peut done pas ètre utiliseé pour des expériences dèlicates. Le mieux est de se servir de venin pur, et c'est ce que nous avons fait pour les expériences minutieuses. Quand on n'en possède pas, on peut établir pour chaque série des expériences à tenter-la dose minima mortelle en poids (grammes et fractions) de vésicules. D'après les bases ici consignées, et avec une trés petite erreur, on peut calculer la quantité de venin pur de cette dóse. Ce calcul est d'ailleurs dispensable. On peut s'en rapporter simplement au poids sec des vésicules totales et dire que la D. m. m. est de tant de milligr. secs. Comme le venin se conserve mal dans les vésicules, il faut, dans ce procédé, doser la D. m. m. toutes les fois que l'on veut procéder á une sériê d'expériences. Le venin desséché rappelle, d'après le temps de conservations au Laboratoire, celui de Crotatus terrificus et celui des Lachesis (quand il est vieux). Il est retenu au passage en partie, par les bougies Berkfeld et Chamberland. La conservation en état de dessication est la meilleure. Ainsi gardé, à l'abri de la lumierè, aux approches de 0,gr., pendant 8 mois, il perd à peine 1,2 à 1,4 de sa valeur primitive. L'echauffement à 100 gr. trouble une dissolution de venin dans l'eau distilleé; sans atteindre toutefois son pouvoir toxique, quand on l'injecte par la voie intra-cérébrale. Nous avons fait l'experience par 11 voies diverses. Sur des animaux sensibles, nous n'avons pas obtenu de phénomènes toxiques, apparemment, par les voies suivantes: 1) buccale; 2) gastrique; 3) rectale; 4) chambre oculaire antérieure; 5) cornéenne; 6) trachéenne; 7) meningée {sur; intra; 8) simple contact, bien que direct, avec le systemè nerveux central. La gravité des phènomènes décroît suivant l'échelle ci-dessous: 1) intra-cérébrale...
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A critical study of three methods for the determination of lactic acid (EDWARDS, MENDEL & GOLDSCHEIDER, MILLER & MUNTZ) is presented and some modifications are proposed. It was shown t hat more accurate results could be obtained with Edward's technic when an Iena glass filter is connected with the absorption tube. Before the dropping of the permanganate solution it is necessary to pass a current of air through the reaction flask to avoid the oxidation of the non-lactic acid substances which interfere with the reaction. The absorption tube must be maintained at 18°C during the destillation and the titration of the bisulphite binding aldehyde at 4°C. When the sample contains more than 5 mg it is useful to work with greater quantities of the bisulphite. More permanganate is consumed when the lactic acid concentration is higher. The sensivity of the method permits the titration of 0.04 mg to 5 mg of lactic acid in the sample. The calculated error of the method gave 0.018 % and the normal values for blood determined in 20 human cases averaged 10.30 mg per 100 ml (Table VI). MENDEL and GOLDSCHEIDER'S method was modified in the following details: Somogyis deproteinization was performed instead metaphosphoric acid as in the original method; to avoid the evaporation of the acetic aldehyde during the heating time with sulfuric acid a special glass stopped tube is proposed (Fig. 2). The reaction with sulfuric acid and veratrol is performed in an ice bath. Blood proteins precipitants were tried and Somogyi's lattest tecnic showed better results (Table V). Colorimetric readings were done in the PULFRICH photometer using filter S 53 and a 10 mm cup. The method is accurate within an error of 0.23 % and samples of 5 to 70 microg. could be easily determined. Normal values for human blood averaged 10.78 mg per 100 ml. More accurate results were obtained with the technic of MILLER & MUNTZ. Slight modifications were introduced: deproteinization with copper sulfate and sodium tungstate; satured p-hydroxydiphenyl solution according to KOENEMANN which is stable for 5 months when stored in the ice-box. Using the PULFRICH step-photometer the error is 0.17% with samples varying from 0.1 to 10 microg. of lactic acid. The filter employed was S 57 with the 5 mm cup. The method was adapted to 0.1 ml of blood. Normal values for human blood gave an average of 10.58 mg per 100 ml.
Resumo:
A chemical test previously described for the diagnosis of pregnancy was applied to the study of the excretion of gonadotropin in the urine during menstrual cycle. The chemical test is based on the selective adsorption by kaolim of the reducing substances biologically related to urinary gonadotropin. The active substance when acidified to pH 4.0 is adsorbed by the kolin and eluated with O.1N sodium hydroxide. The alkaline solution is treated by Somogyi's copper reagent and the excess not reduced is titrated by 0.005 N sodium thiosulfate. Gonadotropin is quantitatively addorbed by kaolin at pH 4.0 and eluated by alkaline solution as previously demonstrated by the A. (1). In the present paper the complete menstrual cycle was studied daily. It was observed that normally there are two distinct maxima of excretion. This study is based on 11 normal cycles (24-30 days) and 34 abnormal ones. Normal cycles showed a intramenstrual estrogens elimination from 200 to 260 mice units determinated by the Allen - Doisy full estrus smear test. The abnormal cycles belonging also to normal women showed much less estrogen excretion (14 to 25 mice units) Table II). In those cases with decreased estrogen excretion no fall in the curve after 14 th. day was observed. The A. suggest that the peaks of gonadotropin excretion is not related to the oculation but possibly due, the first one, to the follicle stimulating hormone and the second to the luteinizing hormone of hormone stimulating of the inerstitial tissue.
Estudos e revisão dos principais testes para o diagnóstico precoce da gravidez: I. Testes biológicos
Resumo:
A anemia que se processa em caes quando se administra grandes doses de benzoato de estradiol, nao parece ser produzida por processes conhecidos de destrui?ao intra-organica. Esta substantia paraliza os fenomenos de rege¬nerate hematica, parece interferir por processo desconhecido na fisiologia sanguinea, produz graves lesoes na rede circulatoria que irriga a mucosa do intestino, principalmente jejuno, ocasipnando nesse orgao «extravasamento variavel de sangue, fator seguramente coadjuvante na formação da anemia.
Resumo:
Os autores verificaram, em três casos de anemia ancilostomótica, diminuição acentuada na eliminação de cloreto de sódio na urina (2.5 g NaCl em 1.000 cm3 de urina) e progressivo retôrono à normalidade, após administação isolada de sais de ferro, sem eliminação dos helmintos do intestino.
Resumo:
Benzoato de estradiol aplicado em altas doses a cães tem uma ação essencialmente trombocitopênica e o mecanismo de formação da anemia que se estabelece é semelhante ao observado na anemia da purpura experimental pelo sôro anti-plaqueta. O quadro patológico é, em ambos os casos, resultante desta trombocitopenia aguda.
Resumo:
É apresentada uma revisão das recentes aquisições na anemia ancilostomótica, assinalando a importância de alimentação qualitativamente deficiente junto á infestação helmíntica na gênese desta doença. Acentuou-se que a anemia ancilostomótica é uma doença de carência. Profilaxia clássica da Ancilostomose resume-se em evitar a infestação do homem pelos ancilostomídeos. Critica-se a aplicabilidade destas medidas e eficiência das mesmas no que diz respeito á incidência da anemia. O presente trabalho mostra aquisições preliminares sôbre fundamentos de uma profilaxia de carência (tipo profilaxia do bócio endêmico) da anemia ancilostomótica, baseada na administração de alimentos contaminados por um sal de ferro. As misturas sulfato ferroso-farinha de mandióca e citrato férrico amoniacal-caldo de feijão, mostraram-se eficientes em prevenir a queda das cifras hemáticas durante largos períodos de tempo em indivíduos maciçamente infestados (6-8 meses). Não foi verificada a dose diária mínima eficiente dêstes sais, obtendo-se resultados satisfatorios mesmo com 0.1 g diária de sulfato ferroso (correspondendo a 0.037 g de ferro metálico). Numerosos alimentos e sais de ferro foram experimentados com resultados infrutíferos por diferentes razões. A influência dos helmintos, pela hemorragias intestinais que acarretam poude ser mais uma vez estudada, nos casos de sais de ferro administrados em doses ineficientes ou em períodos de prova sem medicação marcial. É proposta nova classificação de intensidade de infestação, levando em consideração o conhecido fato de ser a atividade dos helmintos, exclusivamente expoliadora. Em conclusão, nos parece exequível a profilaxia da anemia ancilostomótica mediante ingestão de alimentos contaminados por quantidades eficientes de sais de ferro. Êste método profilático extremamente econômico será na prática, provàvelmente, muito superior aos métodos de profilaxia anti-helmíntica, que além de onerosos são pouco práticos, pois interferem em hábitos enraizados nas populações rurais.
Resumo:
São resumidas as referências encontradas na literatura sôbre infestações de acarianos em culturas de cogumelos e as dificuldades encontradas para exterminá-los. Descrevem-se com detalhes as características das culturas infestadas que permitem a suspeita e mesmo certeza de infestação pela simples observação da cultura. É feito um estudo sôbre a morfologia, evolução e hábitos dos acarianos que infestaram a micoteca do Instituto Oswaldo Cruz, provávelmente Tyroglyphus longior e Tarsonemus floricolus. São descritas as experiências feitas com várias drogas no sentido de combater os acarianos. Finalmente os autores aconselham o uso do querosene em larga escala não só para matar os acarianos como também para evitar novas infestações. O querosene deverá ser pingado externamente nas rõlhas de algodão dos tubos de cultura e aplicado largamente sôbre suportes, armários, etc.; as placas de petri deverão ser colocadas sôbre papel de filtro embebido em querosene.