986 resultados para Hnrnp A1
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ATP, released by both neurons and glia, is an important mediator of brain intercellular communication. We find that selective activation of purinergic P2Y1 receptors (P2Y1R) in cultured astrocytes triggers glutamate release. By total internal fluorescence reflection imaging of fluorescence-labeled glutamatergic vesicles, we document that such release occurs by regulated exocytosis. The stimulus-secretion coupling mechanism involves Ca2+ release from internal stores and is controlled by additional transductive events mediated by tumor necrosis factor-alpha (TNFalpha) and prostaglandins (PG). P2Y1R activation induces release of both TNFalpha and PGE2 and blocking either one significantly reduces glutamate release. Accordingly, astrocytes from TNFalpha-deficient (TNF(-/-)) or TNF type 1 receptor-deficient (TNFR1(-/-)) mice display altered P2Y1R-dependent Ca2+ signaling and deficient glutamate release. In mixed hippocampal cultures, the P2Y1R-evoked process occurs in astrocytes but not in neurons or microglia. P2Y1R stimulation induces Ca2+ -dependent glutamate release also from acute hippocampal slices. The process in situ displays characteristics resembling those in cultured astrocytes and is distinctly different from synaptic glutamate release evoked by high K+ stimulation as follows: (a) it is sensitive to cyclooxygenase inhibitors; (b) it is deficient in preparations from TNF(-/-) and TNFR1(-/-) mice; and (c) it is inhibited by the exocytosis blocker bafilomycin A1 with a different time course. No glutamate release is evoked by P2Y1R-dependent stimulation of hippocampal synaptosomes. Taken together, our data identify the coupling of purinergic P2Y1R to glutamate exocytosis and its peculiar TNFalpha- and PG-dependent control, and we strongly suggest that this cascade operates selectively in astrocytes. The identified pathway may play physiological roles in glial-glial and glial-neuronal communication.
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Rapport de synthèseLe syndrome d'apnées obstructives du sommeil (SAOS) est une pathologie respiratoire fréquente. Sa prévalence est estimée entre 2 et 5% de la population adulte générale. Ses conséquences sont importantes. Notamment, une somnolence diurne, des troubles de la concentration, des troubles de la mémoire et une augmentation du risque d'accident de la route et du travail. Il représente également un facteur de risque cardiovasculaire indépendant.Ce syndrome est caractérisé par la survenue durant le sommeil d'obstructions répétées des voies aériennes supérieures. L'arrêt ou la diminution d'apport en oxygène vers les poumons entraîne des épisodes de diminution de la saturation en oxygène de l'hémoglobine. Les efforts ventilatoires visant à lever l'obstacle présent sur les voies aériennes causent de fréquents réveils à l'origine d'une fragmentation du sommeil.La polysomnographie (PSG) représente le moyen diagnostic de choix. Il consiste en l'enregistrement dans un laboratoire du sommeil et en présence d'un technicien diplômé, du tracé électroencéphalographique (EEG), de l'électrooculogramme (EOG), de l'électromyogramme mentonnier (EMG), du flux respiratoire nasal, de l'oxymétrie de pouls, de la fréquence cardiaque, de l'électrocardiogramme (ECG), des mouvements thoraciques et abdominaux, de la position du corps et des mouvements des jambes. L'examen est filmé par caméra infrarouge et les sons sont enregistrés.Cet examen permet entre autres mesures, de déterminer les événements respiratoires obstructifs nécessaires au diagnostic de syndrome d'apnée du sommeil. On définit une apnée lors d'arrêt complet du débit aérien durant au moins 10 secondes et une hypopnée en cas, soit de diminution franche de l'amplitude du flux respiratoire supérieure à 50% durant au moins 10 secondes, soit de diminution significative (20%) de l'amplitude du flux respiratoire pendant au minimum 10 secondes associée à un micro-éveil ou à une désaturation d'au moins 3% par rapport à la ligne de base. La détection des micro-éveils se fait en utilisant les dérivations électroencéphalographiques, électromyographiques et électrooculographiques. Il existe des critères visuels de reconnaissance de ces éveils transitoire: apparition de rythme alpha (8.1 à 12.0 Hz) ou beta (16 à 30 Hz) d'une durée supérieure à 3 secondes [20-21].Le diagnostic de S AOS est retenu si l'on retrouve plus de 5 événements respiratoires obstructifs par heure de sommeil associés soit à une somnolence diurne évaluée selon le score d'Epworth ou à au moins 2 symptômes parmi les suivants: sommeil non réparateur, étouffements nocturne, éveils multiples, fatigue, troubles de la concentration. Le S AOS est gradué en fonction du nombre d'événements obstructifs par heure de sommeil en léger (5 à 15), modéré (15 à 30) et sévère (>30).La polysomnographie (PSG) comporte plusieurs inconvénients pratiques. En effet, elle doit être réalisée dans un laboratoire du sommeil avec la présence permanente d'un technicien, limitant ainsi son accessibilité et entraînant des délais diagnostiques et thérapeutiques. Pour ces mêmes raisons, il s'agit d'un examen onéreux.La polygraphie respiratoire (PG) représente l'alternative diagnostique au gold standard qu'est l'examen polysomnographique. Cet examen consiste en l'enregistrement en ambulatoire, à savoir au domicile du patient, du flux nasalrespiratoire, de l'oxymétrie de pouls, de la fréquence cardiaque, de la position du corps et du ronflement (par mesure de pression).En raison de sa sensibilité et sa spécificité moindre, la PG reste recommandée uniquement en cas de forte probabilité de SAOS. Il existe deux raisons principales à l'origine de la moindre sensibilité de l'examen polygraphique. D'une part, du fait que l'état de veille ou de sommeil n'est pas déterminé avec précision, il y a dilution des événements respiratoires sur l'ensemble de l'enregistrement et non sur la période de sommeil uniquement. D'autre part, en l'absence de tracé EEG, la quantification des micro-éveils est impossible. Il n'est donc pas possible dans l'examen poly graphique, de reconnaître une hypopnée en cas de diminution de flux respiratoire de 20 à 50% non associée à un épisode de désaturation de l'hémoglobine de 3% au moins. Alors que dans l'examen polysomnographique, une telle diminution du flux respiratoire pourrait être associée à un micro-éveil et ainsi comptabilisée en tant qu'hypopnée.De ce constat est né la volonté de trouver un équivalent de micro-éveil en polygraphie, en utilisant les signaux à disposition, afin d'augmenter la sensibilité de l'examen polygraphique.Or plusieurs études ont démontrés que les micro-éveils sont associés à des réactions du système nerveux autonome. Lors des micro-éveils, on met en évidence la survenue d'une vasoconstriction périphérique. La variation du tonus sympathique associée aux micro-éveils peut être mesurée par différentes méthodes. Les variations de l'amplitude de l'onde de pouls mesurée par pulsoxymétrie représentant un marqueur fiable de la vasoconstriction périphérique associée aux micro-réveils, il paraît donc opportun d'utiliser ce marqueur autonomique disponible sur le tracé des polygraphies ambulatoires afin de renforcer la sensibilité de cet examen.Le but de l'étude est d'évaluer la sensibilité des variations de l'amplitude de l'onde de pouls pour détecter des micro-réveils corticaux afin de trouver un moyen d'augmenter la sensibilité de l'examen polygraphique et de renforcer ainsi sont pouvoir diagnostic.L'objectif est de démontrer qu'une diminution significative de l'amplitude de l'onde pouls est concomitante à une activation corticale correspondant à un micro¬réveil. Cette constatation pourrait permettre de déterminer une hypopnée, en polygraphie, par une diminution de 20 à 50% du flux respiratoire sans désaturation de 3% mais associée à une baisse significative de l'amplitude de pouls en postulant que l'événement respiratoire a entraîné un micro-réveil. On retrouve par cette méthode les mêmes critères de scoring d'événements respiratoires en polygraphie et en polysomnographie, et l'on renforce la sensibilité de la polygraphie par rapport au gold standard polysomnographique.La méthode consiste à montrer en polysomnographie qu'une diminution significative de l'amplitude de l'onde de pouls mesurée par pulsoxymétrie est associée à une activation du signal électroencéphalographique, en réalisant une analyse spectrale du tracé EEG lors des baisses d'amplitude du signal d'onde de pouls.Pour ce faire nous avons réalisé une étude rétrospective sur plus de 1000 diminutions de l'amplitude de l'onde de pouls sur les tracés de 10 sujets choisis de manière aléatoire parmi les patients référés dans notre centre du sommeil (CIRS) pour suspicion de trouble respiratoire du sommeil avec somnolence ou symptomatologie diurne.Les enregistrements nocturnes ont été effectués de manière standard dans des chambres individuelles en utilisant le système d'acquisition Embla avec l'ensemble des capteurs habituels. Les données ont été par la suite visuellement analysées et mesurées en utilisant le software Somnologica version 5.1, qui fournit un signal de l'amplitude de l'onde de pouls (puise wave amplitude - PWA).Dans un premier temps, un technicien du sommeil a réalisé une analyse visuelle du tracé EEG, en l'absence des données du signal d'amplitude d'onde de pouls. Il a déterminé les phases d'éveil et de sommeil, les stades du sommeil et les micro¬éveils selon les critères standards. Les micro-éveils sont définis lors d'un changement abrupt dans la fréquence de l'EEG avec un pattern d'ondes thêta-alpha et/ou une fréquence supérieure à 16 Hz (en l'absence de fuseau) d'une durée d'au minimum trois secondes. Si cette durée excède quinze secondes, l'événement correspond à un réveil.Puis, deux investigateurs ont analysé le signal d'amplitude d'onde de pouls, en masquant les données du tracé EEG qui inclut les micro-éveils. L'amplitude d'onde de pouls est calculée comme la différence de valeur entre le zénith et le nadir de l'onde pour chaque cycle cardiaque. Pour chaque baisse de l'amplitude d'onde de pouls, la plus grande et la plus petite amplitude sont déterminées et le pourcentage de baisse est calculé comme le rapport entre ces deux amplitudes. On retient de manière arbitraire une baisse d'au moins 20% comme étant significative. Cette limite a été choisie pour des raisons pratiques et cliniques, dès lors qu'elle représentait, à notre sens, la baisse minimale identifiable à l'inspection visuelle. Chaque baisse de PWA retenue est divisée en 5 périodes contiguës de cinq secondes chacune. Deux avant, une pendant et deux après la baisse de PWA.Pour chaque période de cinq secondes, on a pratiqué une analyse spectrale du tracé EEG correspondant. Le canal EEG C4-A1 est analysé en utilisant la transformée rapide de Fourier (FFT) pour chaque baisse de PWA et pour chaque période de cinq secondes avec une résolution de 0.2 Hz. La distribution spectrale est catégorisée dans chaque bande de fréquence: delta (0.5 à 4.0 Hz); thêta (4.1 à 8.0Hz); alpha (8.1 à 12.0 Hz); sigma (12.1 à 16 Hz) et beta (16.1 à 30.0 Hz). La densité de puissance (power density, en μΥ2 ) pour chaque bande de fréquence a été calculée et normalisée en tant que pourcentage de la puissance totale. On a déterminé, ensuite, la différence de densité de puissance entre les 5 périodes par ANOVA on the rank. Un test post hoc Tukey est été utilisé pour déterminer si les différences de densité de puissance étaient significatives. Les calculs ont été effectués à l'aide du software Sigmastat version 3.0 (Systat Software San Jose, California, USA).Le principal résultat obtenu dans cette étude est d'avoir montré une augmentation significative de la densité de puissance de l'EEG pour toutes les bandes de fréquence durant la baisse de l'amplitude de l'onde de pouls par rapport à la période avant et après la baisse. Cette augmentation est par ailleurs retrouvée dans la plupart des bande de fréquence en l'absence de micro-réveil visuellement identifié.Ce résultat témoigné donc d'une activation corticale significative associée à la diminution de l'onde de pouls. Ce résulat pourrait permettre d'utiliser les variations de l'onde de pouls dans les tracés de polygraphie comme marqueur d'une activation corticale. Cependant on peut dire que ce marqueur est plus sensible que l'analyse visuelle du tracé EEG par un technicien puisque qu'on notait une augmentation de lactivité corticale y compris en l'absence de micro-réveil visuellement identifié. L'application pratique de ces résultats nécessite donc une étude prospective complémentaire.
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Disturbances of the cholesterol metabolism are associated with Alzheimer's disease (AD) risk and related cerebral pathology. Experimental studies found changing levels of cholesterol and its metabolites 24S-hydroxycholesterol (24S-OHC) and 27-hydroxycholesterol (27-OHC) to contribute to amyloidogenesis by increasing the production of soluble amyloid precursor protein (sAPP). The aim of this study was to evaluate the relationship between the CSF and circulating cholesterol 24S-OHC and 27-OHC, and the sAPP production as measured by CSF concentrations of sAPP forms in humans. The plasma and the CSF concentrations of cholesterol, 24S-OHC and 27-OHC, and the CSF concentrations of sAPPα, sAPPβ, and Aß1-42 were assessed in subjects with AD and controls with normal cognition. In multivariate regression tests including age, gender, albumin ratio, and apolipoprotein E (APOE)ε4 status CSF cholesterol, 24S-OHC, and 27-OHC independently predicted the concentrations of sAPPα and sAPPβ. The associations remained significant when analyses were separately performed in the AD group. Furthermore, plasma 27-OHC concentrations were associated with the CSF sAPP levels. The results suggest that high CSF concentrations of cholesterol, 24S-OHC, and 27-OHC are associated with increased production of both sAPP forms in AD.
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[Table des matières] 1. Résumé. 2. Introduction. 3. Méthodes. 4. Population. 5. Résultats. 5.1. Tendances (Taux de recours à l'interruption de grossesse - Rapport entre interruptions de grossesse et naissances vivantes). 5.2. Comparaison intercantonale. 5.3. Caractéristiques sociodémographiques des résidentes vaudoises ayant interrompu leur grossesse en 2010 (Age - Nationalité - Niveau de formation et activité principale - Etat civil et type de ménage). 5.4. Fécondité et recours antérieur à l'interruption de grossesse. 5.5. Caractéristiques de l'interruption de grossesse(Motif de l'IG - Age gestationnel - Lieu d'intervention - Type d'intervention). 6. Conclusions. 7. Bibliographie. 8. Annexes. A1. Emploi de la Mifépristone. Avis d'expert no 15. A2. Formulaire de déclaration.
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In the liver of oviparous vertebrates vitellogenin gene expression is controlled by estrogen. The nucleotide sequence of the 5' flanking region of the Xenopus laevis vitellogenin genes A1, A2, B1 and B2 has been determined. These sequences have been compared to each other and to the equivalent region of the chicken vitellogenin II and apo-VLDLII genes which are also expressed in the liver in response to estrogen. The homology between the 5' flanking region of the Xenopus genes B1 and B2 is higher than between the corresponding regions of the other closely related genes A1 and A2. Four short blocks of sequence homology which are present at equivalent positions in the vitellogenin genes of both Xenopus laevis and chicken are characterized. A short sequence with two-fold rotational symmetry (GGTCANNNTGACC) was found at similar positions upstream of the five vitellogenin genes and is also present in two copies close to the 5' end of the chicken apo-VLDLII gene. The possible functional significance of this sequence, common to liver estrogen-responsive genes, is discussed.
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Cocktail parties, busy streets, and other noisy environments pose a difficult challenge to the auditory system: how to focus attention on selected sounds while ignoring others? Neurons of primary auditory cortex, many of which are sharply tuned to sound frequency, could help solve this problem by filtering selected sound information based on frequency-content. To investigate whether this occurs, we used high-resolution fMRI at 7 tesla to map the fine-scale frequency-tuning (1.5 mm isotropic resolution) of primary auditory areas A1 and R in six human participants. Then, in a selective attention experiment, participants heard low (250 Hz)- and high (4000 Hz)-frequency streams of tones presented at the same time (dual-stream) and were instructed to focus attention onto one stream versus the other, switching back and forth every 30 s. Attention to low-frequency tones enhanced neural responses within low-frequency-tuned voxels relative to high, and when attention switched the pattern quickly reversed. Thus, like a radio, human primary auditory cortex is able to tune into attended frequency channels and can switch channels on demand.
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INTRODUCTION: Video records are widely used to analyze performance in alpine skiing at professional or amateur level. Parts of these analyses require the labeling of some movements (i.e. determining when specific events occur). If differences among coaches and differences for the same coach between different dates are expected, they have never been quantified. Moreover, knowing these differences is essential to determine which parameters reliable should be used. This study aimed to quantify the precision and the repeatability for alpine skiing coaches of various levels, as it is done in other fields (Koo et al, 2005). METHODS: A software similar to commercialized products was designed to allow video analyses. 15 coaches divided into 3 groups (5 amateur coaches (G1), 5 professional instructors (G2) and 5 semi-professional coaches (G3)) were enrolled. They were asked to label 15 timing parameters (TP) according to the Swiss ski manual (Terribilini et al, 2001) for each curve. TP included phases (initiation, steering I-II), body and ski movements (e.g. rotation, weighting, extension, balance). Three video sequences sampled at 25 Hz were used and one curve per video was labeled. The first video was used to familiarize the analyzer to the software. The two other videos, corresponding to slalom and giant slalom, were considered for the analysis. G1 realized twice the analysis (A1 and A2) at different dates and TP were randomized between both analyses. Reference TP were considered as the median of G2 and G3 at A1. The precision was defined as the RMS difference between individual TP and reference TP, whereas the repeatability was calculated as the RMS difference between individual TP at A1 and at A2. RESULTS AND DISCUSSION: For G1, G2 and G3, a precision of +/-5.6 frames, +/-3.0 and +/-2.0 frames, was respectively obtained. These results showed that G2 was more precise than G1, and G3 more precise than G2, were in accordance with group levels. The repeatability for G1 was +/-3.1 frames. Furthermore, differences among TP precision were observed, considering G2 and G3, with largest differences of +/-5.9 frames for "body counter rotation movement in steering phase II", and of 0.8 frame for "ski unweighting in initiation phase". CONCLUSION: This study quantified coach ability to label video in term of precision and repeatability. The best precision was obtained for G3 and was of +/-0.08s, which corresponds to +/-6.5% of the curve cycle. Regarding the repeatability, we obtained a result of +/-0.12s for G1, corresponding to +/-12% of the curve cycle. The repeatability of G2 and G3 are expected to be lower than the precision of G1 and the corresponding repeatability will be assessed soon. In conclusion, our results indicate that the labeling of video records is reliable for some TP, whereas caution is required for others. REFERENCES Koo S, Gold MD, Andriacchi TP. (2005). Osteoarthritis, 13, 782-789. Terribilini M, et al. (2001). Swiss Ski manual, 29-46. IASS, Lucerne.
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O objetivo deste trabalho foi avaliar a relação entre atributos micromorfológicos e físicos de um Latossolo Vermelho eutroférrico, sob cultivo de cana-de-açúcar. As amostras de solo foram coletadas nos pontos de cruzamento de uma malha, com intervalos regulares de 10 m, perfazendo um total de 100 pontos, nos horizontes A1 e AB. Os altos valores da densidade do solo, microporosidade e resistência do solo à penetração, e os baixos valores da macroporosidade, porosidade total e condutividade hidráulica do solo saturado, principalmente no horizonte AB, indicaram compactação confirmada pela análise de imagens (micromorfologia).
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Summary Due to their conic shape and the reduction of area with increasing elevation, mountain ecosystems were early identified as potentially very sensitive to global warming. Moreover, mountain systems may experience unprecedented rates of warming during the next century, two or three times higher than that records of the 20th century. In this context, species distribution models (SDM) have become important tools for rapid assessment of the impact of accelerated land use and climate change on the distribution plant species. In my study, I developed and tested new predictor variables for species distribution models (SDM), specific to current and future geographic projections of plant species in a mountain system, using the Western Swiss Alps as model region. Since meso- and micro-topography are relevant to explain geographic patterns of plant species in mountain environments, I assessed the effect of scale on predictor variables and geographic projections of SDM. I also developed a methodological framework of space-for-time evaluation to test the robustness of SDM when projected in a future changing climate. Finally, I used a cellular automaton to run dynamic simulations of plant migration under climate change in a mountain landscape, including realistic distance of seed dispersal. Results of future projections for the 21st century were also discussed in perspective of vegetation changes monitored during the 20th century. Overall, I showed in this study that, based on the most severe A1 climate change scenario and realistic dispersal simulations of plant dispersal, species extinctions in the Western Swiss Alps could affect nearly one third (28.5%) of the 284 species modeled by 2100. With the less severe 61 scenario, only 4.6% of species are predicted to become extinct. However, even with B1, 54% (153 species) may still loose more than 80% of their initial surface. Results of monitoring of past vegetation changes suggested that plant species can react quickly to the warmer conditions as far as competition is low However, in subalpine grasslands, competition of already present species is probably important and limit establishment of newly arrived species. Results from future simulations also showed that heavy extinctions of alpine plants may start already in 2040, but the latest in 2080. My study also highlighted the importance of fine scale and regional. assessments of climate change impact on mountain vegetation, using more direct predictor variables. Indeed, predictions at the continental scale may fail to predict local refugees or local extinctions, as well as loss of connectivity between local populations. On the other hand, migrations of low-elevation species to higher altitude may be difficult to predict at the local scale. Résumé La forme conique des montagnes ainsi que la diminution de surface dans les hautes altitudes sont reconnues pour exposer plus sensiblement les écosystèmes de montagne au réchauffement global. En outre, les systèmes de montagne seront sans doute soumis durant le 21ème siècle à un réchauffement deux à trois fois plus rapide que celui mesuré durant le 20ème siècle. Dans ce contexte, les modèles prédictifs de distribution géographique de la végétation se sont imposés comme des outils puissants pour de rapides évaluations de l'impact des changements climatiques et de la transformation du paysage par l'homme sur la végétation. Dans mon étude, j'ai développé de nouvelles variables prédictives pour les modèles de distribution, spécifiques à la projection géographique présente et future des plantes dans un système de montagne, en utilisant les Préalpes vaudoises comme zone d'échantillonnage. La méso- et la microtopographie étant particulièrement adaptées pour expliquer les patrons de distribution géographique des plantes dans un environnement montagneux, j'ai testé les effets d'échelle sur les variables prédictives et sur les projections des modèles de distribution. J'ai aussi développé un cadre méthodologique pour tester la robustesse potentielle des modèles lors de projections pour le futur. Finalement, j'ai utilisé un automate cellulaire pour simuler de manière dynamique la migration future des plantes dans le paysage et dans quatre scénarios de changement climatique pour le 21ème siècle. J'ai intégré dans ces simulations des mécanismes et des distances plus réalistes de dispersion de graines. J'ai pu montrer, avec les simulations les plus réalistes, que près du tiers des 284 espèces considérées (28.5%) pourraient être menacées d'extinction en 2100 dans le cas du plus sévère scénario de changement climatique A1. Pour le moins sévère des scénarios B1, seulement 4.6% des espèces sont menacées d'extinctions, mais 54% (153 espèces) risquent de perdre plus 80% de leur habitat initial. Les résultats de monitoring des changements de végétation dans le passé montrent que les plantes peuvent réagir rapidement au réchauffement climatique si la compétition est faible. Dans les prairies subalpines, les espèces déjà présentes limitent certainement l'arrivée de nouvelles espèces par effet de compétition. Les résultats de simulation pour le futur prédisent le début d'extinctions massives dans les Préalpes à partir de 2040, au plus tard en 2080. Mon travail démontre aussi l'importance d'études régionales à échelle fine pour évaluer l'impact des changements climatiques sur la végétation, en intégrant des variables plus directes. En effet, les études à échelle continentale ne tiennent pas compte des micro-refuges, des extinctions locales ni des pertes de connectivité entre populations locales. Malgré cela, la migration des plantes de basses altitudes reste difficile à prédire à l'échelle locale sans modélisation plus globale.
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OBJECTIVE: Genetic studies might provide new insights into the biological mechanisms underlying lipid metabolism and risk of CAD. We therefore conducted a genome-wide association study to identify novel genetic determinants of low-density lipoprotein cholesterol (LDL-C), high-density lipoprotein cholesterol (HDL-C), and triglycerides. METHODS AND RESULTS: We combined genome-wide association data from 8 studies, comprising up to 17 723 participants with information on circulating lipid concentrations. We did independent replication studies in up to 37 774 participants from 8 populations and also in a population of Indian Asian descent. We also assessed the association between single-nucleotide polymorphisms (SNPs) at lipid loci and risk of CAD in up to 9 633 cases and 38 684 controls. We identified 4 novel genetic loci that showed reproducible associations with lipids (probability values, 1.6×10(-8) to 3.1×10(-10)). These include a potentially functional SNP in the SLC39A8 gene for HDL-C, an SNP near the MYLIP/GMPR and PPP1R3B genes for LDL-C, and at the AFF1 gene for triglycerides. SNPs showing strong statistical association with 1 or more lipid traits at the CELSR2, APOB, APOE-C1-C4-C2 cluster, LPL, ZNF259-APOA5-A4-C3-A1 cluster and TRIB1 loci were also associated with CAD risk (probability values, 1.1×10(-3) to 1.2×10(-9)). CONCLUSIONS: We have identified 4 novel loci associated with circulating lipids. We also show that in addition to those that are largely associated with LDL-C, genetic loci mainly associated with circulating triglycerides and HDL-C are also associated with risk of CAD. These findings potentially provide new insights into the biological mechanisms underlying lipid metabolism and CAD risk.
Water-filtered infrared-A radiation (wIRA) is not implicated in cellular degeneration of human skin.
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BACKGROUND: Excessive exposure to solar ultraviolet radiation is involved in the complex biologic process of cutaneous aging. Wavelengths in the ultraviolet-A and -B range (UV-A and UV-B) have been shown to be responsible for the induction of proteases, e. g. the collagenase matrix metalloproteinase 1 (MMP-1), which are related to cell aging. As devices emitting longer wavelengths are widely used in therapeutic and cosmetic interventions and as the induction of MMP-1 by water-filtered infrared-A (wIRA) had been discussed, it was of interest to assess effects of wIRA on the cellular and molecular level known to be possibly involved in cutaneous degeneration. OBJECTIVES: Investigation of the biological implications of widely used water-filtered infrared-A (wIRA) radiators for clinical use on human skin fibroblasts assessed by MMP-1 gene expression (MMP-1 messenger ribonucleic acid (mRNA) expression).Methods: Human skin fibroblasts were irradiated with approximately 88% wIRA (780-1400 nm) and 12% red light (RL, 665-780 nm) with 380 mW/cm(2) wIRA(+RL) (333 mW/cm(2) wIRA) on the one hand and for comparison with UV-A (330-400 nm, mainly UV-A1) and a small amount of blue light (BL, 400-450 nm) with 28 mW/cm(2) UV-A(+BL) on the other hand. Survival curves were established by colony forming ability after single exposures between 15 minutes and 8 hours to wIRA(+RL) (340-10880 J/cm(2) wIRA(+RL), 300-9600 J/cm(2) wIRA) or 15-45 minutes to UV-A(+BL) (25-75 J/cm(2) UV-A(+BL)). Both conventional Reverse Transcriptase Polymerase Chain Reaction (RT-PCR) and quantitative real-time RT-PCR techniques were used to determine the induction of MMP-1 mRNA at two physiologic temperatures for skin fibroblasts (30 degrees C and 37 degrees C) in single exposure regimens (15-60 minutes wIRA(+RL), 340-1360 J/cm(2) wIRA(+RL), 300-1200 J/cm(2) wIRA; 30 minutes UV-A(+BL), 50 J/cm(2) UV-A(+BL)) and in addition at 30 degrees C in a repeated exposure protocol (up to 10 times 15 minutes wIRA(+RL) with 340 J/cm(2) wIRA(+RL), 300 J/cm(2) wIRA at each time). RESULTS: Single exposure of cultured human dermal fibroblasts to UV-A(+BL) radiation yielded a very high increase in MMP-1 mRNA expression (11 +/-1 fold expression for RT-PCR and 76 +/-2 fold expression for real-time RT-PCR both at 30 degrees C, 75 +/-1 fold expression for real-time RT-PCR at 37 degrees C) and a dose-dependent decrease in cell survival. In contrast, wIRA(+RL) did not produce cell death and did not induce a systematic increase in MMP-1 mRNA expression (less than twofold expression, within the laboratory range of fluctuation) detectable with the sensitive methods applied. Additionally, repeated exposure of human skin fibroblasts to wIRA(+RL) did not induce MMP-1 mRNA expression systematically (less than twofold expression by up to 10 consecutive wIRA(+RL) exposures and analysis with real-time RT-PCR). CONCLUSIONS: wIRA(+RL) even at the investigated disproportionally high irradiances does not induce cell death or a systematic increase of MMP-1 mRNA expression, both of which can be easily induced by UV-A radiation. Furthermore, these results support previous findings of in vivo investigations on collagenase induction by UV-A but not wIRA and show that infrared-A with appropriate irradiances does not seem to be involved in MMP-1 mediated photoaging of the skin. As suggested by previously published studies wIRA could even be implicated in a protective manner.