999 resultados para Différence croisé- non-croisé


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La fécondation in vitro (FIV) n'est pas remboursée. Le Tribunal fédéral le répète inlassablement depuis bientôt 30 ans. Néanmoins, les assurées ne baissent pas les bras et périodiquement resoumettent la question, espérant que de nouvelles données scientifiques sauront infléchir la Haute Cour. En vain. Le tribunal l'a redit en octobre 2012:1 cette prestation n'est pas à charge des caisses.2 L'ordonnance sur les prestations de l'assurance-maladie (OPAS3) le prévoit explicitement, et il n'y a simplement pas lieu d'examiner une disposition d'une ordonnance du Département fédéral de l'intérieur (DFI). Le raisonnement est toutefois un peu court. Premièrement, le refus du Tribunal fédéral d'examiner si l'ordonnance respecte le cadre de la délégation législative ne convainc pas. Deuxièmement, la FIV remplit les critères imposés à la prise en charge tels que décidés par le législateur dans la loi sur l'assurance-maladie (LAMal4). Enfin, les assurés qui décident de recourir contre un refus de remboursement sont privés des garanties minimales de procédure que leur garantit pourtant la Convention européenne des droits de l'homme. La présente contribution commence par une brève description de la FIV. Elle expose ensuite la législation applicable (partie 2) et la jurisprudence fédérale qui en découle (partie 3). La partie suivante critique la position du Tribunal fédéral au regard des principes énoncés dans la législation. Une comparaison avec l'insémination intra-utérine (IIU), pour laquelle le Tribunal fédéral a admis le remboursement, met en lumière les incohérences de la jurisprudence. La compatibilité de la jurisprudence fédérale avec l'art. 6 de la Convention européenne sur les droits de l'homme est évaluée. La conclusion plaide pour une réforme partielle du système procédural gouvernant la prise en charge des prestations de soins, mais aussi des techniques médicales alternatives.

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Résumé : Objectif: Analyse d'un traitement de chimiothérapie à base de cisplatine de type néoadjuvant en comparaison à un traitement de radio-chimiothérapie suivi de la résection chirurgicale chez des patients présentant un carcinome pulmonaire non à petites cellules de stade Ill (N2) prouvé histologiquement par médiastinoscopie. Evaluation de la morbidité postopératoire, du down-staging ganglionnaire, des taux de survie globale et sans récidive ainsi que du site de récidive. Matériel et méthodes : 82 patients ont été inclus dans l'étude entre Janvier 1994 et Juin 2003, parmi eux 36 ont été traités avec une chimiothérapie néoadjuvante à base de cisplatine et doxétacel (groupe l). Les autres 46 patients ont été soumis à une radio-chimiothérapie néoadjuvante avec administration de 44 Gy (groupe II), soit de façon séquentielle (25 cas) soit concomitante (21 cas). Dans tous les cas des métastases à distance ont été exclues par une évaluation préopératoire comprenant une scintigraphie osseuse, un Ct scan thoraco-abdominal, ou un examen PET scan ainsi qu'une IRM cérébrale. La médiastinoscopie effectuée avant le traitement d'induction chez la totalité des patients, de même que la résection chirurgicale de la tumeur pulmonaire et la lymphadenectomie médiastinale ont été effectuées par le même chirurgien. Résultats : La tumeur pulmonaire était de stade Ti à T2 dans respectivement 47% et 28% des patients des groupes (e II, T3 dans 45% et 41% et T4 dans 8% et 31% des cas. Le type de résection effectué (lobectomie, lobectomie en manchon, pneumonectomie) était comparable dans les deux collectifs (p=0.03) Le taux de mortalité postopératoire à 90 jours était de respectivement 3% et 4 "Vo (p=0.6). Une résection complète (RO) a pu être obtenue dans 92% et 94% des cas (p=0.6) avec un downstaging ganglionnaire médiastinal dans 61% et 78% des patients respectivement (p<0.001). Les taux de survie globale à 5 ans et de survie sans récidive à 5 ans s'élevaient à 40% et à 36% respectivement, sans différence significative entre des tumeurs de stade Ti à T3 et T4. Le taux de survie globale n'était pas significativement différent entre les deux modalités de traitement d'induction, toutefois après radio-chimiothérapie on observait une plus longue survie sans récidive (p.0.04). Il n'y avait par ailleurs pas de différence significative, en termes de morbidité post-opératoire, résecabilité, downstaging ganglionnaire, survie globale et sans récidive, entre les patients traités par radio-chimiothérapie séquentielle ou concomitante. Conclusions : En cas de carcinome pulmonaire non à petites cellules de stade III (N2) un traitement d'induction par radio chimiothérapie suivi de la résection chirurgicale est associé avec un meilleur downstaqing médiastinal ainsi qu'une plus longue survie sans récidive en comparaison au traitement d'induction par chimiothérapie seule. Abstract : Objective: Comparison of prospectively treated patients with neoadjuvant cisplatin-based chemotherapy vs radiochemotherapy followed by resection for mediastinoscopically proven stage III NZ non-small cell lung cancer with respect to postoperative morbidity, pathological nodal downstaging, overall and disease-free survival, and site of recurrence. Methods: Eighty-two patients were enrolled between January 1994 to June 2003, 36 had cisplatin and doxetacel-based chemotherapy (group I) and 46 cisplatin-based radiochemotherapy up to 44 Gy (group II), either as sequential (25 patients) or concomitant (21 patients) treatment. All patients had evaluation of absence of distant metastases by bone scintigraphy, thoracoabdominal CT scan or PET scan, and brain MRI, and all underwent pre-induction mediastinoscopy, resection and mediastinal lymph node dissection by the same surgeon. Results: Group I and II comprised T1/2 tumors in 47 and 28%, 13 tumors in 45 and 41%, and 14 tumors in 8 and 31% of the patients, respectively (P=0.03). There was a similar distribution of the extent of resection (lobectomy, sleeve lobectomy, left and right pneumonectomy) in both groups (P=0.9). Group I and II revealed a postoperative 90-d mortality of 3 and 4% (P=0.6), a RO-resection rate of 92 and 94% (P=0.9), and a pathological mediastinal downstaging in 61 and 78% of the patients (P<0.01), respectively. 5y-overall survival and disease-free survival of all patients were 40 and 36%, respectively, without significant difference between T1-3 and T4 tumors. There was no significant difference in overall survival rate in either induction regimens, however, radiochemotherapy was associated with a longer disease-free survival than chemotherapy (P=0.04). There was no significant difference between concurrent vs sequential radiochemotherapy with respect to postoperative morbidity, resectability, pathological nodal downstaging, survival and disease-free survival. Conclusions: Neoadjuvant cisplatin-based radiochemotherapy was associated with a similar postoperative mortality, an increased pathological nodal downstaging and a better disease-free survival as compared to cisplatin doxetacel-based chemotherapy in patients with stage III (N2) NSCLC although a higher number of 14 tumors were admitted to radiochemotherapy.

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BACKGROUND: Indocyanine green video-angiography (ICG) is a recent examination technique, its possibilities and limitations as far as intraocular tumours are concerned, haven't been fully explored yet. MATERIAL AND METHODS: We have studied 50 cases of non-pigmented choroidal tumours, including 14 cases of choroidal hemangioma's, 11 cases of posterior uveal metastases and 25 cases of non-pigmented melanoma's. RESULTS: Characteristic images were obtained when examining choroidal hemangioma's and, until a certain point, posterior choroidal metastases. Non pigmented melanoma's on the contrary, presented a great variety of different indocyanine green angiographic pictures. CONCLUSION: Indocyanine green video-angiography (ICG) has a definite value in the differential diagnosis of non-pigmented posterior choroidal tumours.

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Non-medical use of prescription drugs (NMUPD) is increasing among the general population, particularly among teenagers and young adults. Although prescription drugs are considered safer than illicit street drugs, NMUPD can lead to detrimental consequences. The aim of the present study was to investigate the relationship between drug use (NMUPD on the one side, illicit street drugs on the other side) with mental health issues and then compare these associations. A representative sample of 5719 young Swiss men aged around 20 years filled in a questionnaire as part of the ongoing baseline Cohort Study on Substance Use Risk Factors (C-SURF). Drug use (16 illicit street drugs and 5 NMUPDs, including sleeping pills, sedatives, pain killers, antidepressants, stimulants) and mental health issues (depression, SF12) were assessed. Simple and multiple linear regressions were employed. In simple regressions, all illicit and prescription drugs were associated with poorer mental health. In multiple regressions, most of the NMUPDs, except for stimulants, were significantly associated with poorer mental health and with depression. On the contrary, the only associations that remained significant between illicit street drugs and mental health involved cannabis. NMUPD is of growing concern not only because of its increasing occurrence, but also because of its association with depression and mental health problems, which is stronger than the association observed between these problems and illicit street drug use, excepted for cannabis. Therefore, NMUPD must be considered in screening for substance use prevention purposes.

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PURPOSE Inotuzumab ozogamicin (CMC-544) is an antibody-targeted chemotherapy agent composed of a humanized anti-CD22 antibody conjugated to calicheamicin, a potent cytotoxic agent. This was a phase I study to determine the maximum-tolerated dose (MTD), safety, and preliminary efficacy of inotuzumab ozogamicin in an expanded MTD cohort of patients with relapsed or refractory CD22(+) B-cell non-Hodgkin's lymphoma (NHL). PATIENTS AND METHODS Inotuzumab ozogamicin was administered intravenously as a single agent once every 3 or 4 weeks at doses ranging from 0.4 to 2.4 mg/m(2). Outcomes included MTD, safety, pharmacokinetics, response, progression-free survival (PFS), and overall survival. Results Seventy-nine patients were enrolled. The MTD was determined to be 1.8 mg/m(2). Common adverse events at the MTD were thrombocytopenia (90%), asthenia (67%), and nausea and neutropenia (51% each). The objective response rate at the end of treatment was 39% for the 79 enrolled patients, 68% for all patients with follicular NHL treated at the MTD, and 15% for all patients with diffuse large B-cell lymphoma treated at the MTD. Median PFS was 317 days (approximately 10.4 months) and 49 days for patients with follicular NHL and diffuse large B-cell lymphoma, respectively. CONCLUSION Inotuzumab ozogamicin has demonstrated efficacy against CD22(+) B-cell NHL, with reversible thrombocytopenia as the main toxicity.

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Objectifs : Evaluer une méthode simple et rapide de mesure du volume atrial gauche. Matériels et méthodes : Cinquante patients ont été examinés avec un CT gaté pour mesure du score calcique. Trois méthodes ont été utilisées pour calculer le volume atrial gauche : 1) une méthode orthogonale avec mesure des surfaces/diamètres dans les plans axiaux/coronaux/sagittaux, 2) une méthode biplan inspirée de l'échocardiographie et 3) une méthode volumétrique. Les mesures ont été faites par le même observateur un mois plus tard et ont été répétées par trois autres observateurs. L'axe cardiaque a aussi été mesuré. La méthode Bland-Altmann et les corrélations de Spearman ont été utilisées. Résultats : La méthode volumétrique montre les variations intra/interobservateur les plus basses avec une variabilité de 6,1/7,4 ml, respectivement. Pour les mesures avec la méthode orthogonale (surfaces/diamètres), les variations intra/interobservateur sont 12,3/13,5 ml et 14,6/11,6 ml, respectivement. Pour la méthode biplan, les variations intra/interobservateur sont plus hautes : 23,9/19,8 ml. Comparée à la méthode de référence volumétrique, la méthode orthogonale avec les surfaces est mieux corrélée (R=0,959, p<0,001) que les autres méthodes. Il y a une faible influence de l'axe du coeur sur la méthode orthogonale avec les surfaces. Conclusion : La méthode volumétrique est le gold standard en terme de variabilité. Cependant elle est longue à metttre en oeuvre. La méthode orthogonale avec les surfaces est une alternative simple, sauf chez les patients obèses avec un coeur horizontalisé.

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La survenue d'une fracture non traumatique chez la personne âgée a un impact humain, médical et économique important. L'amélioration des connaissances et des moyens à disposition pour sa prise en charge doivent nous inciter à mettre en place une stratégie multidisciplinaire personnalisée et précoce (comprenant un médecin spécialisé dans les maladies osseuses qu'il soit rhumatologue, endocrinologue, interniste/généraliste, gériatre, et al.).

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Résumé en français: L'hyperémie réactive dans la microcirculation musculature et cutanée de l'avant-bras permet d'évaluer l'atteinte vasculaire dans les maladie cardiovasculaires. Cette méthode permet d'obtenir un reflet de la progression de l'atteinte vasculaire, de traquer la progression de la maladie ainsi que le risque cardio-vasculaires. Elle est en étude également pour tester l'efficacité d'une intervention thérapeutique. L'hyperémie réactive est dépendante d'une dilatation post ischémique par diminution des résistances artériolaires. Au niveau des membres, l'ischémie peut-être débutée et interrompue très facilement par une manchette à pression gonflée au-dessus de la pression systolique suivie quelques minutes plus tard de son dégonflement. Les mesures de flux sanguin musculaire et cutané au niveau d'un membre sont facile à réaliser chez l'homme, tout particulièrement au niveau de l'avant-bras. Pour l'instant aucune étude utilisant cette approche ne spécifiait quel avant-bras était utilisé. Il est cependant concevable que la réponse varie selon que l'on teste le bras dominant ou non-dominant. Il parait donc important de clarifier ce point. Le premier but de l'étude consiste donc à investiguer une éventuelle différence entre le bras dominant et le bras non-dominant d'un sujet lors de tests de l'hyperémie réactive dans le muscle et la peau. Il est connu que l'hyperémie réactive au niveau musculaire peut-être diminuée par les médicaments antiinflammatoires non stéro~idiens (AINS), indiquant une implication partielle des métabolites de la cyclo-oxygénase. L'influence des AINS sur la réponse cutanée est moins clairement établie. Ainsi, le second but de cette étude est de comparer l'effet de l'inhibition de la cyclo-oxygénase sur l'hyperémie réactive musculaire et cutanée chez des sujets sains. Le collectif de patients consiste en 23 sujets masculins volontaires, en bonne santé, non fumeurs, de 18 à 30 ans. Aucuns antécédents médicaux ne sont connus et aucune médication n'est prise durant la période de l'étude. Tous . les sujets ont donné leur consentement par écrit. Le flux sanguin musculaire de l'avant-bras est mesuré au moyen d'une pléthysmographie par occlusion veineuse, et le flux cutané l'est par imagerie laser Doppler. Les expériences ont lieu entre 16 et 18 h dans une chambre calme à température constante (23-24°C) chez un sujet couché. Les participants n'ont pas consommé d'AINS durant la semaine précédente ni bu de café dans les 12 h précédant l'expérience. Les mesures sont effectuées en triplicat au niveau musculaire puis cutané ou inversement selon un ordre aléatoire. Suite à une occlusion artérielle l'étude du flux se fait sur 3 min et 5 min de récupération sont prises entre 2 mesures. L'expérience 1 consiste à tester un possible effet systématique de la latéralisation du bras dominant ou non sur la réponse à l'hyperémie réactive dans la peau et le muscle de l'avant-bras. 16 sujets sont étudiés à 2 reprises, espacées de 1 à 3 jours. A la première visite, l'hyperémie musculaire est étudiée dans un avant-bras, la réaction cutanée dans l'autre et inversement lors de la deuxième visite. Une précaution est observée afin de mesurer le flux sanguin cutané à la même distance du poignet dans les 2 avant-bras. L'expérience 2 est développée pour évaluer l'impact d'une inhibition des cyclo-oxygénases. Sept sujet sont considérés à 2 occasions espacées de 7 à 10 j. L'étude s'effectue uniquement au niveau de l'avant-bras dominant. Le site cutané au niveau du poignet est marqué lors de la première visite afin d'utiliser le même site de mesure lors de la seconde visite. Le sujet ingère 1,8 g d'Aspegic (équivalant à 1 g d'acide acétylsalilcylique) dissout dans 125 ml de jus d'orange ou le jus d'orange seul lors de l'autre visite selon un ordre randomisé. Les mesures sont débutées 2 h après la prise. Summary Reactive hyperemia (RH) in forearm muscle or skin microcirculation has been considered as a surrogate endpoint in clinical studies of cardiovascular disease. We evaluated two potential confounders that might limit such use of RH, namely laterality of measurement and intake of non-steroidal anti-inflammatory drugs (NSAIDS). Twenty-three young non-smoking healthy adults were enrolled. In Experiment 1 (n=16), the RH elicited by 3 min of ischemia was recorded in the muscle (strain gauge plethysmography, hand excluded) and skin (laser Doppler imaging) of both forearms. In Experiment 2 (n=7), RH was determined in the dominant forearm only, one hour following oral acetylsalicylic acid (1 g) or placebo. In Experiment 1, peak RH was identical in both forearms, and so were the corresponding durations of responses. RH lasted significantly less in muscle than in skin (p=0.003), a hitherto unrecognized fact. In the skin, acetylsalicylate reduced duration (43 vs 57.4 s for placebo, p=0.03), without affecting the peak response. In muscle, duration tended to decrease with acetylsalicylate (21.4 vs 26.0 s with placebo, p=0.06) and the peak increase in blood flow was blunted (27.2 vs 32.4 ml/min/100 ml tissue with placebo, p=0.003). We conclude that, when using RH as a surrogate endpoint in studies of cardiovascular disease, a confounding by laterality of measurement need not be feared, but NSAIDS may have an influence, although perhaps not on the peak response in the skin.

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The opportunistic pathogen Pseudomonas aeruginosa PAO1 has a remarkable capacity to adapt to various environments and to survive with limited nutrients. Here, we report the discovery and characterization of a novel small non-coding RNA: NrsZ (nitrogen-regulated sRNA). We show that under nitrogen limitation, NrsZ is induced by the NtrB/C two component system, an important regulator of nitrogen assimilation and P. aeruginosa's swarming motility, in concert with the alternative sigma factor RpoN. Furthermore, we demonstrate that NrsZ modulates P. aeruginosa motility by controlling the production of rhamnolipid surfactants, virulence factors notably needed for swarming motility. This regulation takes place through the post-transcriptional control of rhlA, a gene essential for rhamnolipids synthesis. Interestingly, we also observed that NrsZ is processed in three similar short modules, and that the first short module encompassing the first 60 nucleotides is sufficient for NrsZ regulatory functions.

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A novel approach to the study of hepatic glycogen kinetics and fractional gluconeogenesis in vivo is described. Ten healthy female subjects were fed an iso-caloric diet containing 55% carbohydrate energy with a 13C abundance of 1.083 atom percent for a 3-day baseline period; then, a diet of similar composition, but providing carbohydrate with a 13C abundance of 1.093 atom percent was started and continued for 5 days. Resting respiratory gas exchanges, urinary nitrogen excretion, breath 13CO2 and plasma 13C glucose were measured every morning in the fasting state. The enrichment in 13C of hepatic glycogen was calculated from these measured data. 13C glycogen enrichment increased after switching to a 13C enriched carbohydrate diet, and was identical to the 13C enrichment of dietary carbohydrates after 3 days. The time required to renew 50% of hepatic glycogen, as determined from the kinetics of 13C glycogen enrichment, was 18.9 +/- 3.6 h. Fractional gluconeogenesis, as determined from the difference between the enrichments of glucose oxidized originating from hepatic glycogen and plasma glucose 13C was 50.8 +/- 5.3%. This non-invasive method will allow the study of hepatic glycogen metabolism in insulin-resistant patients.