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Collection : Nouvelle encyclopédie théologique, publiée par M. l'abbé Migne. T. XII

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Collection : Nouvelle encyclopédie théologique, publiée par M. l'abbé Migne. T. XII

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Traduction française, avec figures élégamment dessinées. — Les initiales de chaque chapitre sont semées de tleurs de lis d'or sur fonds d'azur. — Début : « Voyant que vostre divine conducte... »

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Montres d'armes et pièces militaires (1686-1690) ; — confirmation de l'hérédité aux notaires et procureurs (1690) ; — création de maréchaussées en Franche-Comté (1692) ; — création d'un président et de six notaires-secrétaires en la Chambre des comptes de Dole (1693) ; — suppression des offices de conseillers lieutenants-généraux de police, excepté à Paris, et création de nouveaux offices de conseillers lieutenants-généraux (1699) ; — création de contrôleurs des deniers patrimoniaux et d'octrois et de substituts des procureurs du roi (1694) ; — arrêt du Conseil d'État prescrivant la confection d'un état du personnel des corporations d'arts et métiers (1673) ; — procureurs du roi et greffiers des villes (1691) ; — officiers municipaux (1693) ; — notaires, procureurs, huissiers et sergents (1701) ; — détenteurs d'héritages (1711) ; — offices municipaux (1737-1738) ; — billets de monnaie (1707) ; — laines de Languedoc, de Provence et du Dauphiné (1742) ; — loterie royale (1755) ; — loterie de l'École militaire (1757) ; — récit de la victoire remportée par la flotte française à Gibraltar (1756) ; — ode sur la paix ; — mausolée de Languet de Gergy, curé de St-Sulpice ; — factum pour Jean Sarrazin contre Nicolas Le Fèvre ; — arrêt sur la péremption (1703) ; — attaque du fort St-Philippe (1756) ; — les cabriolets justifiés ; — plan d'association ; — compliment à F.-M. de Verthamon ; — conjuration à Malte (1749) ; — requête du curé de Fontenoy au roi ; — les Tronchinades ; — lettre d'un Français à un Anglais ; — pamphlet en vers contre le pape ; — Nantes (1705) ; — Constitution Unigenitus (1720-1733) ; — condamnation d'une thèse de Jean-Martin de Prades (1752) ; — arrêt en faveur du curé de St-Nicolas-des-Champs (1754) ; — arrêt contre la Lettre de M. l'évêque de Boulogne à M. le Procureur général (1754) ; — arrêt contre Laugieur de Beaurecueil, curé de Ste-Marguerite, à Paris (1755) ; — chapitre Ste-Croix d'Orléans (1755) ; — suppression de deux chambres des Enquêtes (1757) ; — officiers et affaires du Parlement (1753) ; — arrêt concernant la délivrance des prisonniers d'Orléans à l'avènement des évêques de cette ville (1753) ; — mandements de l'archevêque de Paris, des vicaires-généraux de Bourges et de l'évêque de Troyes (1756-1758) ; — règlement pour la chambre des Vacations, tenue aux Grands-Augustins (1753) ; — St-Sauveur de Lille.

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Traduction. commençant par : « Prologue ou preface du translateur de ce present livre. Combien que la commune oppinion des docteurs de l'Eglise et autres philozophes... » et finissant par : «... et laisse tel soing et cure à ceulx qui vivront apres toy. Cy finist le second livre, où il est disputé de fortune adverse »

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Contient : 1° « Le Chasteau perilleux, compilé et ordonné d'un moyne de l'ordre Chartreuse pour une nonnain de l'ordre de Frontevaulx » ; 2° « Le Livre appellé l'Orreloge de sapience, lequel fist Frere JEHAN DE SOUHAUBE, de l'ordre des Freres Prescheurs », traduction faile en 1389 par « JEHAN », religieux de l'ordre de St-François, de Neufchâtel en Lorraine ; 3° « Le Livre du Seul parler St AUGUSTIN, autrement Meditacions de veoir Dieu et congnoistre »

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Contient : 1° Traité de « Consolacion » de la philosophie, par « BOECE », traduction de « JEHAN DE MEUN » ; 2° « Moralitez des philosophes », ou Livre de SENEQUE ; 3° Traité sur « les forcez et les vertuz des pierres » précieuses d'«Hernaus »

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Contient : 1° Douze « Oraisons de CICERO », traduction par « ESTIENNE LE BLANC » ; 2° « Description des offices, dignitez et magistratz par lesquelz les Rommains se sont gouvernez depuis Romulus,... jusques à Julles Cesar » ; 3° « Argument sur l'oraison que faict CICERO à la louenge de Pompée »

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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.

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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.

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Contient : Gravure du sceau des cordeliers de Blois ; Signature de « Scipion Begon » ; Signature du curé de S. Sauveur de Blois en 1680 ; Pièce imprimée contenant un arrêt du conseil d'État, daté de Paris le 5 juillet 1657, sur une requête de Philippe de France, duc d'Orléans et comte de Blois, contre Me Claude Baudouin, traitant, au bas duquel on lit, après la formule imprimée : « Collationné à l'original par moy, conseiller secretaire du roy et de ses finances », la signature manuscrite « BEGON » avec paraphe ; Lettre autographe signée : « MOREAU, presbtre, curé de S. Laurent de Montoire », et adressée le 11 fevrier 1680 à l'abbé Bégon ; Lettre autogr. signée : « AUDEBERT », concernant l'hôpital général de Blois. Postérieure au mois de mai 1659 ; Dessin à l'encre représentant un château. Ce dessin est signé : « F. Anseaume » et est daté « 1680 » ; Lettre autogr. signée : « THORIN ». Elle est adressée à l'abbé Bégon, sousdoyen de S. Sauveur de Blois, et est datée de Chartres le 28 mars 1678 ; « Arrest de la cour de parlement contre les religieuses... de Saincte Veronique de Blois. 29 mars 1649. Pièce imprimée ; Armoiries gravées ; Lettre autogr. signée : « CLAIRE TERESE DE JESUS, religieuse carmelite indigne », à M. l'abbé Bégon ; Deux sceaux, plaqués en cire rouge, du couvent des Ursulines de Blois. Ces sceaux portent au centre un lis et autour de ce lis la légende : « De saincte Ursule de Blois » ; Lettre autogr. signée du R. P. « PATRICE GASTINEAU », datée de Blois, 21 mars 1678, et adressée à l'abbé Bégon ; Armoiries dessinées à l'encre de « Thibault, comte de Blois » ; Processions de Blois ; « Liste des paroisses du bailliage de Blois » ; « Nombre des feus de l'eslection » de Blois en l' « année 1639 » ; Armoiries dessinées à l'encre. Au-dessous on lit : « Raoul » ; Liste des paroisses de l'élection de Blois ; Esquisse à l'encre des armes de « Gaston, duc d'Orléans, comte de Blois » ; Lettre autographe signée : « C. HUGUES METURAS, curé de Monteaux », à l'abbé Bégon ; Lettre autographe signée : « GIRARDEAU, presbtre, curé de Tour », à l'abbé Bégon. Tour, 27 novembre 1680 ; Paroisses qui dépendent de l'archidiaconé de Vendôme ; Gravure représentant la couronne d'épines et au milieu de cette couronne les mots : Jésus Maria. Six têtes d'anges la contemplent ; Liste des 93 paroisses de l'élection de Vendôme ; Lettre autographe signée : « MORIN, chanoine ». Vendôme, 11 décembre 1682. A l'abbé Bégon ; Archidiaconé de Vendôme. Liste des prieurés et chapelles ; Paroisses de l'élection de Vendôme ; Lettre autographe signée : « FRANÇOIS DEGYNES », à l'abbé Bégon. Vendôme, 29 août 1680 ; Lettre autographe sans signature. A l'abbé Bégon. « A Faix, ce 17 novembre 1676 » ; « Armes de Vierzon », dessinées à l'encre ; Lettre autographe signée : « Fr. Antoine d'Orléans, capucin, gardien indigne » du couvent de Vendôme. A l'abbé Bégon. Orléans, 9 mai 1618 ; « Marquisat de Vatan »

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Elle est divisée en huit livres ; le dernier seul (fol. 71-79) est consacré aux rois de France. Elle commence (fol. 1) par : « Le premier livre de ceste presente cronique. De la creation du monde. Le premier jour Dieu crea les anges... » et finit (fol. 79 v°) par : «... Loys XIIe de ce non... qui a present regne en l'an de grace mil Ve et quatre ». A la fin du volume (fol. 80-84) est une traduction abrégée des Enseignements de saint Louis, commençant par : « Pour accomplissement de nostre euvre, j'ay redigé par escrit, selon la cronique latine, les beaux et bons enseignemens que le tres illustre et noble roy sainct Loys, roy de France... donnoit à son filz Philippes IIIe de ce non, jusques au nombre de XXXI... ». Au fol. A v° sont les armes d'Orléans, avec les deux vers suivants pour devise : « Cynthia, cresce, sua coeant tua cornua luce Aurea ; gryneis stabis adulta comis » .

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Elle est divisée en huit livres ; le dernier seul (fol. 71-79) est consacré aux rois de France. Elle commence (fol. 1) par : « Le premier livre de ceste presente cronique. De la creation du monde. Le premier jour Dieu crea les anges... » et finit (fol. 79 v°) par : «... Loys XIIe de ce non... qui a present regne en l'an de grace mil Ve et quatre ». A la fin du volume (fol. 80-84) est une traduction abrégée des Enseignements de saint Louis, commençant par : « Pour accomplissement de nostre euvre, j'ay redigé par escrit, selon la cronique latine, les beaux et bons enseignemens que le tres illustre et noble roy sainct Loys, roy de France... donnoit à son filz Philippes IIIe de ce non, jusques au nombre de XXXI... ». Au fol. A v° sont les armes d'Orléans, avec les deux vers suivants pour devise : « Cynthia, cresce, sua coeant tua cornua luce Aurea ; gryneis stabis adulta comis » .

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Fauré-Fremiet, Mme. Manuscrit(s) provenant d'elle

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Contient : Histoire abrégée de Jérusalem, par JACQUES DE VITRY, traduction française du livre Ier. Début : « Puis que la misericorde Nostre Segneur ... (Table de cent chapitres.) I. La sainte tiere de promission... » — Fin. (xc) : « ... Nos ne navions point par mer por marceander, car en la mer on soefre moult de... » ; Chronique du PSEUDO-TURPIN, traduite en français par PIERRE. Incomplète du début : «... quant uns rois de France i venroit... » — Fin : « ... si ont encore non cil de Navare et aront tous jors, car cil qui les encacierent les nommerent ensi. Ci fine l'estoire de Carlemainne et de ses gens » ; Chronique abrégée des rois de France, s'arrêtant à l'année 1204. Début : « Si com nous trovons en escrit es anciens livres, Troies fu ancianement... — Fin : « ... par le commant au roi Jehan meisme, qui secorre ne les pooit. A tant s'en taist la matere. Amen. » — Suivent (f. 68) quelques notes sur les événements des années 1244-1249, qui occupent une colonne et se terminent par les mots : « ... et le diemence par matin, à l'eure de miedi, li rois entra en Damiete a toutes ses gens et n'i troverent que I. peu de gens, car li Sarrasin estoient tout fuit. » (Cf. Notices et extraits des mss., XXXII, II, 57) ; Chronique d'un anonyme de Béthune, s'arrêtant à l'année 1220, publiée par Fr. Michel, en 1840, sous le titre de Histoire des ducs de Normandie et des rois d'Angleterre (Société de l'histoire de France) ; L'Ordre de chevalerie, en prose. Début : « Ci en droit dist li contes que au tans le roi Salehadin ... » — Fin : « ... et ausi fu il au prince de Galilée. Ci faut li contes de mon seigneur Huon de Tabarie, le prince de Galilée et de Salehadin »