Influência de diferentes níveis de vitamina C na ração sobre parâmetros hematológicos de alevinos de Piaractus mesopotamicus Holmberg (Osteichthyes, Characidae)

Haematological changes in ascorbic acid deficient fishes, observed by some authors, awoked the interest in the haematological response of pacu, Piaractus mesopotamicus. The present work studied the influence of different levels of ascorbic acid (vitamin C) in the ration on the haematological parameters of pacu. Fishes at the beginning of the experiment, presented average body weight 8.64±1.62g and 6.15±0.33cm standard length, were fed with diets containing 0. 50, 100 and 200mg ascorbic acid/kg dry ration. The present work was developed for a period of 24 weeks at the Fish Nutrition Laboratory of Aquaculture Center of Universidade Estadual Paulista (Unesp), Jaboticabal (São Paulo). The fishes were distributed by the completely randomized design in 20 aquaria of 100 liters capacity with six animals in each and five fold treatment. Condutivity, alcalinity. pH and oxigen were measured weekly and temperature daily. The blood colect was done in 60 anesthetized fishes with 50mg MS-222/1. The results suggests that 50mg ascorbic acid/kg dry ration improved the mean corpuscular volume, mean corpuscular haemoglobin, mean corpuscular haemoglobin concentration and decreased haematocril in unsupplemented fishes, although not differing significantly (P>0.05). The erytrocyte diameter indicated the presence of macrocytic cells in unsupplemented fishes (P<0.05) and the regression analysis showed too reduced neutrophils in unsupplemenled ones, 50mg ascorbic acid/kg dry ration supplementation was enough to development and haematological responses. Furthtermore, the optimum level to the growth is 139mg vitamin C/kg dry ration (P<0.05).

L'hepcidine : un possible lien entre l'inflammation chronique et le métabolisme du fer dans les maladies rénales chroniques félines

Le rôle de l'inflammation dans le développement et la progression des maladies rénales chroniques (MRC) chez le chat a été peu étudié. L'hepcidine est une protéine de la phase aigue (PPA) de l'inflammation qui contribue au développement des anémies lors de MRC chez l'homme. Les objectifs de cette étude sont de comparer les concentrations en PPAs, en erythropoietine (EPO) ainsi que le statut en fer entre un groupe de chats sains et en MRC. 18 chats sains et 38 chats en MRC ont été recrutés de façon prospective. Les examens réalisés incluaient hématologie, biochimie, analyse d'urine, Serum amyloid A (SAA), haptoglobine (HAP), EPO, hepcidine,fer, TIBC et ferritinne. Nous avons observé une augmentation significative des concentrations en SAA et en hepcidine ainsi qu'une diminution significative du fer et du TIBC dans le groupe MRC (P < .05). Une corrélation positive entre la créatinine et certaines PPAs (SAA and hepcidin; P < .05) était présente. L'augmentation de SAA et hepcidine était significativement associé avec une diminution du TIBC et de l'hématocrite dans le groupe MRC. Les 14 (37%) chats anémiques du groupe MRC avaient une concentration significativement plus basse en fer et en TIBC (P < .05), changements compatibles avec une déficience fonctionelle en fer. Aucun chat n'avait un panel de fer compatible avec une carence en fer absolue. En conclusion, les résultats de cette étude suggèrent que les MRC chez le chat sont des conditions pro-inflammatoires, ayant un impact sur le métabolisme du fer.

L'hepcidine : un possible lien entre l'inflammation chronique et le métabolisme du fer dans les maladies rénales chroniques félines

Le rôle de l'inflammation dans le développement et la progression des maladies rénales chroniques (MRC) chez le chat a été peu étudié. L'hepcidine est une protéine de la phase aigue (PPA) de l'inflammation qui contribue au développement des anémies lors de MRC chez l'homme. Les objectifs de cette étude sont de comparer les concentrations en PPAs, en erythropoietine (EPO) ainsi que le statut en fer entre un groupe de chats sains et en MRC. 18 chats sains et 38 chats en MRC ont été recrutés de façon prospective. Les examens réalisés incluaient hématologie, biochimie, analyse d'urine, Serum amyloid A (SAA), haptoglobine (HAP), EPO, hepcidine,fer, TIBC et ferritinne. Nous avons observé une augmentation significative des concentrations en SAA et en hepcidine ainsi qu'une diminution significative du fer et du TIBC dans le groupe MRC (P < .05). Une corrélation positive entre la créatinine et certaines PPAs (SAA and hepcidin; P < .05) était présente. L'augmentation de SAA et hepcidine était significativement associé avec une diminution du TIBC et de l'hématocrite dans le groupe MRC. Les 14 (37%) chats anémiques du groupe MRC avaient une concentration significativement plus basse en fer et en TIBC (P < .05), changements compatibles avec une déficience fonctionelle en fer. Aucun chat n'avait un panel de fer compatible avec une carence en fer absolue. En conclusion, les résultats de cette étude suggèrent que les MRC chez le chat sont des conditions pro-inflammatoires, ayant un impact sur le métabolisme du fer.

CALR mutation profile in Irish patients with myeloproliferative neoplasms

Insertion and/or deletion mutations of the CALR gene have recently been demonstrated to be the second most common driver mutations in the myeloproliferative neoplasms (MPNs) of essential thrombocythemia (ET) and primary myelofibrosis (PMF). Given the diagnostic and emerging prognostic significance of these mutations, in addition to the geographical heterogeneity reported, the incidence of CALR mutations was determined in an Irish cohort of patients with MPNs with a view to incorporate this analysis into a prospective screening program. A series of 202 patients with known or suspected ET and PMF were screened for the presence of CALR mutations. CALR mutations were detected in 58 patients. Type 1 and Type 1-like deletion mutations were the most common (n = 40) followed by Type 2 and Type 2-like insertion mutations (n = 17). The CALR mutation profile in Irish ET and PMF patients appears similar to that in other European populations. Establishment of this mutational profile allows the introduction of a rational, molecular diagnostic algorithm in cases of suspected ET and PMF that will improve clinical management.