1000 resultados para Dynamique de population


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Depuis son indépendance en 1975, le Cap Vert est résolument engagé dans la lutte contre la désertification et les effets de la sécheresse. Plus de 32.000.000 arbres ont été plantés au cours des vingt dernières années pour protéger le sol de l'érosion et reconstituer un espace forestier pratiquement anéanti par cinq siècles d'occupation humaine. Des milliers de kilomètres de murettes et de banquettes, des milliers de digues de correction torrentielle et d'ouvrages hydrauliques ont été construits sur l'ensemble de l'archipel. Les aménagements anti-érosifs ont été mis en place sur plus de 43 % des terres occupées par les cultures pluviales, soit plus de 16.000 hectares. Cet immense effort déployé par les Capverdiens pour lutter contre la dégradation de leurs ressources naturelles et l'appauvrissement des populations qui en dépendent, tire ses motivations historiques des sécheresses désastreuses qui ont secoué le pays au fil des années, jusqu'à celle de 1947 - 49 qui a provoqué des milliers de morts. Ce Programme d'Action National (PAN) s'inscrit dans la continuité de ces efforts. Il est le fruit d'une réflexion conjointe de l'ensemble des acteurs concernés par le problème de la désertification. Il repose à la fois sur le bilan des actions menées jusqu'à ce jour par les différents intervenants, et sur une consultation massive, menée sur l'ensemble du pays, des populations touchées par la désertification et les effets de la sécheresse. Il ne prétend pas innover dans le domaine des techniques de lutte, ni remettre en question le rôle des différents acteurs engagés dans cette lutte. Il vise simplement à une meilleure coordination des efforts et à une plus large participation de la population. Conscientes des problèmes posés par l'interaction de l'homme et de l'environnement sur l'ensemble de la planète, les nations du monde se sont réunies à Rio de Janeiro au mois de juin 1992 lors de la Conférence Mondiale de L’Environnement. Cette conférence organisée par les Nations Unies visait à rapprocher les pays en voie de développement et les pays industrialisés pour garantir l'avenir de la planète terre. Trois conventions internationales fixant des accords de partenariat et des modalités concrètes de mise en oeuvre sont issues de cette rencontre. Il s'agit de: - La Convention sur la Diversité Biologique; - La Convention sur les Changements Climatiques; - Et enfin la Convention de Lutte Contre la Désertification dans les pays gravement touchés par la sécheresse et/ou la désertification, en particulier en Afrique, qui fut adoptée à Paris le 17 juin 1994, et ouverte à la signature en octobre de la même année. Parmi la centaine de signataires de la convention, la République du Cap-Vert fut le deuxième signataire au monde et le premier pays en Afrique. La Convention de Lutte Contre la Désertification (CCD) repose sur quatre grands principes: a) "Les décisions concernant la conception et l'exécution des programmes de lutte contre la désertification doivent être prises avec la participation des populations et des collectivités et un environnement porteur doit être créé aux échelons supérieurs pour faciliter l'action aux niveaux national et local"; b) La nécessité "d'améliorer, dans un esprit de solidarité et de partenariat internationaux, la coopération et la coordination au niveau sous-régional, régional et international, et de concentrer les ressources financières, humaines, organisationnelles, et techniques là où elles sont nécessaires"; c) La nécessité "d'instituer une coopération entre les pouvoirs publics à tous les niveaux, les collectivités, les organisations non gouvernementales et les exploitants des terres pour mieux faire comprendre, dans les zones touchées, la nature et la valeur de la terre et des rares ressources en eau, et pour promouvoir une utilisation durable de ces ressources"; d) Enfin, "la prise en considération de la situation et des besoins particuliers des pays en voie de développement, tout spécialement les moins avancés d'entre eux". Afin de mettre en oeuvre les résolutions de la convention, il a été demandé à chaque pays signataire d'élaborer un Programme d'Action National, pour en faire l'élément central de sa stratégie en matière de LCD. Le Comité Inter-Etats de Lutte Contre la Sécheresse au Sahel (CILSS), qui regroupe neuf pays dont la République du Cap-Vert, a été désigné pour appuyer et pour coordonner au niveau sous-régional la mise en oeuvre de la convention. Au niveau national, le Secrétariat Exécutif pour l'Environnement (SEPA) a été désigné pour assurer la coordination de la mise en oeuvre du PAN. Dans cette tâche, le SEPA compte déjà avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD/UNSO) et de la Coopération Française - chef de file des bailleurs de fonds pour la mise en oeuvre de la CCD au Cap-Vert. L’élaboration du PAN a été un processus relativement long qui a commencé par la réalisation du Premier Forum National en novembre 1995. Ce Forum a permis, entre autres, d’informer les différents partenaires sur la CCD. Par la suite, le Secrétariat Exécutif pour l’Environnement avec l’aide du projet “Appui à la Mise en Oeuvre de la CCD”, a réalisé des tournées d’information et de discussions dans toutes les 17 municipalités qui composent le Pays. Ces tournées ont permis de dialoguer et d’engager effectivement le processus de décentralisation dans l’élaboration du PAN. Il a été convenu que chaque commune doit élaborer un Programme Municipal de Lutte Contre la Désertification. Une formation en approche participative (Méthode accélérée de recherche participative) a été organisée à l’attention des représentants des communes. Cela a permis aux municipalités de réaliser un diagnostic participatif au niveau des communautés. Des Commissions Municipales pour l’Environnement ont été créées pour la mise en oeuvre de la CCD. Ces Commissions sont formées par les représentants des services publics, des ONG, des associations paysannes et des confessions religieuses. Chaque Municipalité a réalisé un diagnostic participatif et élaboré un rapport qui décrit la situation socio économique des différentes zones et les propositions des communautés pour lutter contre la désertification. Sur la base des diagnostics participatifs et avec l’appui du SEPA, les différentes municipalités ont élaboré leurs propres programmes. Ces programmes ont été validés au cours d’ateliers municipaux avec la participation de tous les partenaires concernés. Le PAN comporte 190 projets municipaux présentés sous forme de fiches de projets dans le volume annexe, auxquels s’ajoutent 5 projets nationaux. Ces derniers ont été définis, d’une part pour répondre à des problèmes et préoccupations manifestées au niveau municipal, mais dont les solutions ont un caractère national et d’autre part pour créer la complémentarité nécessaire avec les autres Programmes Nationaux. Parmi les objectifs majeurs que le Cap-Vert s'est fixé dans son 4ème Plan National de Développement, figurent des objectifs économiques comme la valorisation des ressources naturelles, et des objectifs sociaux, comme la lutte contre la pauvreté et le sous-emploi, la sécurité alimentaire, la protection de l'environnement, et la couverture des besoins essentiels de la population. Tous ces objectifs rentrent dans le champ d'action du PAN, qui contribue donc largement à l'objectif principal du 4ème Plan, à savoir l'intégration dynamique du Cap-Vert dans l'économie mondiale.

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Cet article présente le résumé de l'atelier consacré au dépistage du cancer du sein organisé dans le cadre de la 70e Assemblée annuelle de la Société suisse dedecine interne qui s'est tenue à Genève du 25 au 27 avril 2002. L'objectif de cet atelier était d'identifier, sur la base des programmes pilotes conduits en Suisse ainsi que dans le Bas-Rhin (France), les modalités d'organisation les mieux adaptées au contexte sanitaire et culturel local afin d'optimiser la participation de la population aux programmes de dépistage du cancer susceptibles d'être mis en oeuvre dans les prochaines années. En effet, une participation élevée constitue, avec l'exigence de qualité, la condition nécessaire pour que ces programmes soient efficaces.

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Depuis son indépendance en 1975, le Cap Vert est résolument engagé dans la lutte contre la désertification et les effets de la sécheresse. Plus de 32.000.000 arbres ont été plantés au cours des vingt dernières années pour protéger le sol de l'érosion et reconstituer un espace forestier pratiquement anéanti par cinq siècles d'occupation humaine. Des milliers de kilomètres de murettes et de banquettes, des milliers de digues de correction torrentielle et d'ouvrages hydrauliques ont été construits sur l'ensemble de l'archipel. Les aménagements anti-érosifs ont été mis en place sur plus de 43 % des terres occupées par les cultures pluviales, soit plus de 16.000 hectares. Cet immense effort déployé par les Capverdiens pour lutter contre la dégradation de leurs ressources naturelles et l'appauvrissement des populations qui en dépendent, tire ses motivations historiques des sécheresses désastreuses qui ont secoué le pays au fil des années, jusqu'à celle de 1947 - 49 qui a provoqué des milliers de morts. Ce Programme d'Action National (PAN) s'inscrit dans la continuité de ces efforts. Il est le fruit d'une réflexion conjointe de l'ensemble des acteurs concernés par le problème de la désertification. Il repose à la fois sur le bilan des actions menées jusqu'à ce jour par les différents intervenants, et sur une consultation massive, menée sur l'ensemble du pays, des populations touchées par la désertification et les effets de la sécheresse. Il ne prétend pas innover dans le domaine des techniques de lutte, ni remettre en question le rôle des différents acteurs engagés dans cette lutte. Il vise simplement à une meilleure coordination des efforts et à une plus large participation de la population. Conscientes des problèmes posés par l'interaction de l'homme et de l'environnement sur l'ensemble de la planète, les nations du monde se sont réunies à Rio de Janeiro au mois de juin 1992 lors de la Conférence Mondiale de L’Environnement. Cette conférence organisée par les Nations Unies visait à rapprocher les pays en voie de développement et les pays industrialisés pour garantir l'avenir de la planète terre. Trois conventions internationales fixant des accords de partenariat et des modalités concrètes de mise en oeuvre sont issues de cette rencontre. Il s'agit de: - La Convention sur la Diversité Biologique; - La Convention sur les Changements Climatiques; - Et enfin la Convention de Lutte Contre la Désertification dans les pays gravement touchés par la sécheresse et/ou la désertification, en particulier en Afrique, qui fut adoptée à Paris le 17 juin 1994, et ouverte à la signature en octobre de la même année. Parmi la centaine de signataires de la convention, la République du Cap-Vert fut le deuxième signataire au monde et le premier pays en Afrique. La Convention de Lutte Contre la Désertification (CCD) repose sur quatre grands principes: a) "Les décisions concernant la conception et l'exécution des programmes de lutte contre la désertification doivent être prises avec la participation des populations et des collectivités locales, et un environnement porteur doit être créé aux échelons supérieurs pour faciliter l'action aux niveaux national et local"; b) La nécessité "d'améliorer, dans un esprit de solidarité et de partenariat internationaux, la coopération et la coordination au niveau sous-régional, régional et international, et de concentrer les ressources financières, humaines, organisationnelles, et techniques là où elles sont nécessaires"; c) La nécessité "d'instituer une coopération entre les pouvoirs publics à tous les niveaux, les collectivités, les organisations non gouvernementales et les exploitants des terres pour mieux faire comprendre, dans les zones touchées, la nature et la valeur de la terre et des rares ressources en eau, et pour promouvoir une utilisation durable de ces ressources"; d) Enfin, "la prise en considération de la situation et des besoins particuliers des pays en voie de développement, tout spécialement les moins avancés d'entre eux". Afin de mettre en oeuvre les résolutions de la convention, il a été demandé à chaque pays signataire d'élaborer un Programme d'Action National, pour en faire l'élément central de sa stratégie en matière de LCD. Le Comité Inter-Etats de Lutte Contre la Sécheresse au Sahel (CILSS), qui regroupe neuf pays dont la République du Cap-Vert, a été désigné pour appuyer et pour coordonner au niveau sous-régional la mise en oeuvre de la convention. Au niveau national, le Secrétariat Exécutif pour l'Environnement (SEPA) a été désigné pour assurer la coordination de la mise en oeuvre du PAN. Dans cette tâche, le SEPA compte déjà avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD/UNSO) et de la Coopération Française - chef de file des bailleurs de fonds pour la mise en oeuvre de la CCD au Cap-Vert. L’élaboration du PAN a été un processus relativement long qui a commencé par la réalisation du Premier Forum National en novembre 1995. Ce Forum a permis, entre autres, d’informer les différents partenaires sur la CCD. Par la suite, le Secrétariat Exécutif pour l’Environnement avec l’aide du projet “Appui à la Mise en Oeuvre de la CCD”, a réalisé des tournées d’information et de discussions dans toutes les 17 municipalités qui composent le Pays. Ces tournées ont permis de dialoguer et d’engager effectivement le processus de décentralisation dans l’élaboration du PAN. Il a été convenu que chaque commune doit élaborer un Programme Municipal de Lutte Contre la Désertification. Une formation en approche participative (Méthode accélérée de recherche participative) a été organisée à l’attention des représentants des communes. Cela a permis aux municipalités de réaliser un diagnostic participatif au niveau des communautés. Des Commissions Municipales pour l’Environnement ont été créées pour la mise en oeuvre de la CCD. Ces Commissions sont formées par les représentants des services publics, des ONG, des associations paysannes et des confessions religieuses. Chaque Municipalité a réalisé un diagnostic participatif et élaboré un rapport qui décrit la situation socio économique des différentes zones et les propositions des communautés pour lutter contre la désertification. Sur la base des diagnostics participatifs et avec l’appui du SEPA, les différentes municipalités ont élaboré leurs propres programmes. Ces programmes ont été validés au cours d’ateliers municipaux avec la participation de tous les partenaires concernés. Le PAN comporte 190 projets municipaux présentés sous forme de fiches de projets dans le volume annexe, auxquels s’ajoutent 5 projets nationaux. Ces derniers ont été définis, d’une part pour répondre à des problèmes et préoccupations manifestées au niveau municipal, mais dont les solutions ont un caractère national et d’autre part pour créer la complémentarité nécessaire avec les autres Programmes Nationaux. Parmi les objectifs majeurs que le Cap-Vert s'est fixé dans son 4ème Plan National de Développement, figurent des objectifs économiques comme la valorisation des ressources naturelles, et des objectifs sociaux, comme la lutte contre la pauvreté et le sous-emploi, la sécurité alimentaire, la protection de l'environnement, et la couverture des besoins essentiels de la population. Tous ces objectifs rentrent dans le champ d'action du PAN, qui contribue donc largement à l'objectif principal du 4ème Plan, à savoir l'intégration dynamique du Cap-Vert dans l'économie mondiale.

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PURPOSE. Longevity has been attributed to decreased cardiovascular mortality. Subjects with long-lived parents may represent a valuable group to study cardiovascular risk factors (CVRF) associated with longevity, possibly leading to new ways of preventing cardiovascular disease. Purpose: Longevity has been attributed to decreased cardiovascular mortality. Subjects with long-lived parents may represent a valuable group to study cardiovascular risk factors (CVRF) associated with longevity, possibly leading to new ways of preventing cardiovascular disease. Methods: We analyzed data from a population-based sample of 2561 participants (1163 men and 1398 women) aged 55--75 years from the city of Lausanne, Switzerland (CoLaus study). Participants were stratified by the number of parents (0, 1, 2) who survived to 85 years or more. Trend across these strata was assessed using a non-parametric kmean test. The associations of parental age (independent covariate used as a proxy for longevity) with fasting blood glucose, blood pressures, blood lipids, body mass index (BMI), weight, height or liver enzymes (continuous dependent variables) were analyzed using multiple linear regressions. Models were adjusted for age, sex, alcohol consumption, smoking and educational level, and BMI for liver enzymes. Results: For subjects with 0 (N=1298), 1 (N=991) and 2 (N=272) long-lived parents, median BMI (interquartile range) was 25.4 (6.5), 24.9 (6.1) and 23.7 (4.8) kg/m2 in women (P<0.001), and 27.3 (4.8), 27.0 (4.5) and 25.9 (4.9) kg/m2 in men (P=0.04), respectively; median weight was 66.5 (16.1), 65.0 (16.4) and 63.4 (13.7) kg in women (P=0.003), and 81.5 (17.0), 81.4 (16.4) and 80.3 (17.1) kg in men (P=0.36). Median height was 161 (8), 162 (9) and 163 (8) cm in women (P=0.005), and 173 (9), 174 (9) and 174 (11) cm in men (P=0.09). The corresponding medians for AST (Aspartate Aminotransferase) were 31 (13), 29 (11) and 28 (10) U/L (P=0.002), and 28 (17), 27 (14) and 26 (19) U/L for ALT (Alanin Aminotransferase, P=0.053) in men. In multivariable analyses, greater parental longevity was associated with lower BMI, lower weight and taller stature in women (P<0.01) and lower AST in men (P=0.011). No significant associations were observed for the other variables analyzed. Sensitivity analyses restricted to subjects whose parents were dead (N=1844) led to similar results, with even stronger associations of parental longevity with liver enzymes in men. Conclusion: In women, increased parental longevity was associated with smaller BMI, attributable to lower weight and taller stature. In men, the association of increased parental longevity with lower liver enzymes, independently of BMI, suggests that parental longevity may be associated with decreased nonalcoholic fatty liver disease.

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Introduction: Vitamin D plays a major role in bone metabolism and neuromuscular function. Supplementation with vitamin D is effective to reduce the risk of fall and of fracture. However adherence to oral daily vitamin D supplementation is low. Screening and correcting vitamin D insufficiency in a general rheumatologic population could improve both morbidity and quality of life in these patients with chronic painful disorders and at high risk of osteoporosis. After determining the prevalence of vitamin D deficiency in this population, we evaluated if supplementation with a single high dose of oral 25-OH vitamin D3 was sufficient to correct this abnormality. Methods: During one month (November 2009), levels of 25-OH vitamin D were systematically determined in our rheumatology outpatient clinic and classified into three groups: vitamin D deficiency (<10 µg/l), vitamin D insufficiency (10 to 30µg/l) or normal vitamin D (>30 µg/l). Patients with insufficiency or deficiency received respectively a single high dose of 300'000 IU or 600'000 IU oral vitamin D3. In addition, all patients with osteoporosis were prescribed daily supplement of calcium (1g) and vitamin D (800 IU). 25-OH vitamin D levels were reevaluated after 3 months. Results: Vitamin D levels were initially determined in 292 patients (mean age 53, 211 women, 87% Caucasian). 77% had inflammatory rheumatologic disease (IRD), 20% osteoporosis (OP) and 12% degenerative disease (DD). Vitamin D deficiency was present in 20 (6.8%), while 225 (77.1%) had insufficiency. Of the 245 patients with levels <30µg/l, a new determination of vitamin D level was available in 173 (71%) at 3 months (table 1). Conclusion: Vitamin D insufficiency is highly prevalent in our rheumatologic population (84%), and is not adequately corrected by a single high dose of oral vitamin D3 in more than half of the patients with IRD and DD. In patients with OP, despite association of a single high dose with daily oral vitamin D supplementation, 40% of patients are still deficient when reevaluated at 3 months.

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Plutonium and (90)Sr are considered to be among the most radiotoxic nuclides produced by the nuclear fission process. In spite of numerous studies on mammals and humans there is still no general agreement on the retention half time of both radionuclides in the skeleton in the general population. Here we determined plutonium and (90)Sr in human vertebrae in individuals deceased between 1960 and 2004 in Switzerland. Plutonium was measured by sensitive SF-ICP-MS techniques and (90)Sr by radiometric methods. We compared our results to the ones obtained for other environmental compartments to reveal the retention half time of NBT fallout (239)Pu and (90)Sr in trabecular bones of the Swiss population. Results show that plutonium has a retention half time of 40+/-14 years. In contrast (90)Sr has a shorter retention half time of 13.5+/-1.0 years. Moreover (90)Sr retention half time in vertebrae is shown to be linked to the retention half time in food and other environmental compartments. These findings demonstrate that the renewal of the vertebrae through calcium homeostatic control is faster for (90)Sr excretion than for plutonium excretion. The precise determination of the retention half time of plutonium in the skeleton will improve the biokinetic model of plutonium metabolism in humans.

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Estudia las fluctuaciones de recolección de la anchoveta peruana entre 1961 y 1976

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A number of health economics works require patient cost estimates as a basic information input.However the accuracy of cost estimates remains in general unspecified. We propose to investigate howthe allocation of indirect costs or overheads can affect the estimation of patient costs in order to allow forimprovements in the analysis of patient costs estimates. Instead of focusing on the costing method, thispaper proposes to highlight changes in variance explained observed when a methodology is chosen. Wecompare three overhead allocation methods for a specific Spanish population adjusted using the ClinicalRisk Groups (CRG), and we obtain different series of full-cost group estimates. As a result, there aresignificant gains in the proportion of the variance explained, depending upon the methodology used.Furthermore, we find that the global amount of variation explained by risk adjustment models dependsmainly on direct costs and is independent of the level of aggregation used in the classification system.

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Genetic variability of a population of Aedes aegypti from Paraná, Brazil, using the mitochondrial ND4 gene. To analyze the genetic variability of populations of Aedes aegypti, 156 samples were collected from 10 municipalities in the state of Paraná, Brazil. A 311 base pairs (bp) region of the NADH dehydrogenase subunit 4 (ND4) mitochondrial gene was examined. An analysis of this fragment identified eight distinct haplotypes. The mean genetic diversity was high (h = 0.702; p = 0.01556). AMOVA analysis indicated that most of the variation (67%) occurred within populations and the F ST value (0.32996) was highly significant. F ST values were significant in most comparisons among cities. The isolation by distance was not significant (r = -0.1216 and p = 0, 7550), indicating that genetic distance is not related to geographic distance. Neighbor-joining analysis showed two genetically distinct groups within Paraná. The DNA polymorphism and AMOVA data indicate a decreased gene flow in populations from Paraná, which can result in increased vectorial competence.

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Many dynamic revenue management models divide the sale period into a finite number of periods T and assume, invoking a fine-enough grid of time, that each period sees at most one booking request. These Poisson-type assumptions restrict the variability of the demand in the model, but researchers and practitioners were willing to overlook this for the benefit of tractability of the models. In this paper, we criticize this model from another angle. Estimating the discrete finite-period model poses problems of indeterminacy and non-robustness: Arbitrarily fixing T leads to arbitrary control values and on the other hand estimating T from data adds an additional layer of indeterminacy. To counter this, we first propose an alternate finite-population model that avoids this problem of fixing T and allows a wider range of demand distributions, while retaining the useful marginal-value properties of the finite-period model. The finite-population model still requires jointly estimating market size and the parameters of the customer purchase model without observing no-purchases. Estimation of market-size when no-purchases are unobservable has rarely been attempted in the marketing or revenue management literature. Indeed, we point out that it is akin to the classical statistical problem of estimating the parameters of a binomial distribution with unknown population size and success probability, and hence likely to be challenging. However, when the purchase probabilities are given by a functional form such as a multinomial-logit model, we propose an estimation heuristic that exploits the specification of the functional form, the variety of the offer sets in a typical RM setting, and qualitative knowledge of arrival rates. Finally we perform simulations to show that the estimator is very promising in obtaining unbiased estimates of population size and the model parameters.

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Allele frequencies for 17 STR loci were analyzed in a sample of unrelated males from the Cabo Verde Archipelago. The samples were gathered in such a way that the origin of the subjects was perfectly identified, and they could be included in one of the leeward or windward groups of islands. This study reveals that there are significant differences between both groups of islands, and between Cabo Verdeans and other populations from sub-Sahara Africa including the Guineans, the most probable source population for Cabo Verdeans. This study confirms mtDNA data and, together with HLA and Y chromosome data already published, shows that the Cabo Verde population is substructured and atypical, diverging substantially from mainland sub-Saharan populations. Overall these differences are most probably due to admixture between sub-Saharan slaves brought into the islands and other settlers of European origin. In the absence of a clear indication of a different ethnic composition of the first sub-Saharan settlers of Cabo Verde, the differentiation exhibited in both groups of islands can be most probably be attributed to genetic drift.

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QUESTIONS UNDER STUDY: To describe a population-based sample of patients with diabetes and the quality of their care in the canton of Vaud, Switzerland, as a baseline measure for the evaluation of the "Programme cantonal Diabète". METHODS: We conducted a self-administered paper-based questionnaire survey. Non-institutionalised adult (aged ≥18 years) patients with diabetes diagnosed for at least 1 year and residing in the canton of Vaud were recruited by community pharmacies. Women with gestational diabetes, people with obvious cognitive impairment or people not sufficiently fluent in French were excluded. Primary outcomes were recommended processes-of-care and outcomes of care (glycosylated haemoglobin [HbA1c], generic and disease-specific health-related quality of life (HRQoL), overall care score in relation to the Chronic Care Model). Other measures included diabetes education, self-management support and self-efficacy, health status, health behaviour and demographics. RESULTS: A total of 519 patients with diabetes were included. Whereas the mean HbA1c level was 7.3% (n = 177, 95% confidence interval 7.1-7.5), diabetes-specific processes-of-care and influenza vaccination were reported by less than two-thirds of the patients. Physical activity and diet recommendations results mirrored patients' difficulties with their management in daily life and diabetes-specific HRQoL was worst in the dimensions relative to diet (eating and drinking) and sex life. A minority of patients reported ever having participated in diabetes education courses (32.8%). Overall, patients were satisfied with their care and the support they received. CONCLUSIONS: This study provides a broad picture of the experiences of people living with diabetes in the canton of Vaud. It shall guide the development of targeted interventions within the "Programme cantonal Diabète".