997 resultados para Aragon (région)
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Contient : N° 53 Sceau de Catherine d'Alençon, duchesse de Bavière (1416) ; Nos 56 et 57 Sceaux de Jean, duc de Calabre et de Lorraine (31 octobre 1465) et de son fils aîné ; N° 58 Sceau de Marguerite, reine d'Angleterre (1470) ; N° 59 Sceau de Bernardin Bochetel, évêque de Rennes (1564) ; N° 61 « S. Petri, Dei gratia archiepiscopi Tholosani » [Pierre V de Lion ?] ; Nos 62 et 64 Sceau de Robert d'Alençon, comte du Perche (1370 et 1375) ; Nos 72 et 81 Médailles du roi René (dessins) ; N° 73 Sceau de Jeanne, reine de Jérusalem, Sicile et Aragon (1498), avec contre-sceau ; N° 74 Sceau et contre-sceau de Louis de France, duc d'Anjou et roi de Sicile ; N° 75 Sceau d'Isabelle, comtesse du Maine et de Guise (1462), avec contresceau ; N° 76 Sceau et contre-sceau de René d'Anjou, roi de Sicile et de Jérusalem ; N° 77 « [S. Nicolai] ducis Calabrie, Lotharingie, A[ndegavie]..., » avec contre-sceau ; N° 78 Sceau de Pierre, comte d'Alençon, seigneur de Fougères, vicomte de Beaumont (1378), avec contre-sceau ; Nos 79 et 82 Sceau et contre-sceau de Louis II, roi de Jérusalem et de Sicile et comte d'Anjou (1407 et 1408) ; Nos 80 et 88 Sceau et contre-sceau de Robert, comte d'Artois ; N° 84 « S. novum Ludovici, regis Fran. filii, ducis Andegavensis et comitis Cenomannensis, » avec contre-sceau (1374) ; N° 85 Sceau et contre-sceau de Catherine, fille aînée du duc d'Alençon, « comtesse de Montfort, dame de Sonois » ; N° 86 Sceau et contre-sceau de Charles, comte du Maine (1451) ; N° 87 « Scel René d'Anjou, chlr., baron et s. de Mézières et de Thury, » avec contre-sceau ; N° 89 Sceau de Yolande reine de Jérusalem et de Sicile (1428) ; N° 94 Sceau d'Henri de Carinthie, évêque de Troyes ; cf. vol. 3101, n° 8 ; N° 101 Sceau de Charles, comte d'Alençon (1361) ; N° 112 Sceau d'Antoine de Cravant, abbé de la Trinité de Vendôme ; cf. vol. 3113, n° 7 ; N° 113 « Sigillum Johannis, episcopi Silvanectensis » [Jean Neveu † 1499, ou Jean Calveau † 1522] ; N° 115 Sceau de Jean de Tinteniac du Percher, abbé de Saint-Aubin († 1525) ; N° 120 « Scel Pierre, bastart d'Alençon » (1419) ; N° 128 « Constras. Ludovici, regis condam Francor. filii, ducis Andegavie et comit. Cenamanie. » ; N° 154 Sceau de Mathieu, évêque de Troyes (1169-1180) ; N° 257 Sceau de René, duc d'Alençon (1478)
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La région-capitale comme principal relais européen vers et depuis l'extérieur Paris est dans le trio de tête des villes globales dans les réseaux mondiaux des entreprises, après Londres et New York, davantage grâce au rayonnement de ses entreprises que par son attractivité aux entreprises étrangères. Sa spécificité tient à son rôle particulier de coordination entre des villes européennes. Très bien placée pour relayer les entrées continentales vers d'autres pays européens, elle occupe un rôle de relais dominant pour la sortie des investissements européens dans le monde en particulier vers le Japon. Par ailleurs, elle est la première ville mondiale en relation avec les villes africaines. Une faiblesse relative de son attractivité La région-capitale ne représente pas la destination première des investissements contrôlés depuis les villes qu'elle investit, notamment en Europe, à l'exception de Bruxelles et Francfort. Elle ne représente la première destination des investissements que pour les deux tiers des villes françaises, et hors d'Europe, elle n'est privilégiée que par les villes africaines. Par ailleurs, elle montre une relative faiblesse dans les activités les plus qualifiées. Vers une métropole francilienne plus high-tech collaborant davantage avec les entreprises étrangères Des mesures incitant les entreprises françaises à davantage s'internationaliser, coopérer avec les entreprises étrangères en créant des joint-ventures à l'exemple de Raytheon et Thalès renforcerait l'attractivité de la métropole francilienne. De même, une meilleure identité du Grand Paris avec la création d'espaces dédiés à l'accueil de secteurs de pointe high tech manquant actuellement de lisibilité et soutenus par de grandes entreprises françaises performantes contribueraient à renforcer son attractivité.
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Référence bibliographique : Weigert, 464
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Référence bibliographique : Weigert, 465
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Référence bibliographique : Weigert, 466
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Référence bibliographique : Weigert, 68a
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Référence bibliographique : Weigert, 68b
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Référence bibliographique : Weigert, 68c
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L'objectif initial du programme dans lequel ont été réalisées les études était d'analyser les conflits d'utilisation de l'eau. Il est apparu que le principal problème en termes d'aménagements hydrauliques pour l'approvisionnement en eau potable et l'irrigation est l'inadaptation des projets aux caractéristiques hydrologiques de la région et aux besoins des populations. La fourniture d'eau potable est un enjeu majeur, les programmes d'aménagement de puits ont privilégié un objectif d'accès à l'eau par la construction de puits cimentés n'offrant aucune amélioration, comparativement aux puits traditionnels, en matière de qualité de l'eau. L'eau des puits modernes est en effet hautement contaminée du fait de la contamination généralisée des nappes. Les investissements en matière d'approvisionnement en eau domestique ont été insuffisants par rapport aux besoins. Les investissements sont par contre hors de proportion pour ce qui concerne le développement de l'irrigation. Les agriculteurs ayant développé l'irrigation sans l'appui d'un projet ont opté pour une stratégie d'investissement à bas coût. L'investissement est de quelques centaines de millier de FCFA par hectare alors qu'il se chiffre en dizaines de million pour l'aménagement des périmètres hydro agricoles et à plus d'un million dans le cas du programme d'appui à la petite irrigation privée. De plus, les conditions d'attribution d'une aide financière dans le cadre de ce programme excluent la grande majorité des agriculteurs.
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Référence bibliographique : Weigert, 87
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SUMMARY: The shrews of the Sorex araneus group are morphologically .very similar, but have undergone a spectacular chromosomal evolution. Altogether, the shrews of this group present a complete array of every possible level of chromosomal and genetic differentiation. In South-Western Europe, four species are recognised: S. antiriorii, S. araneus, S. coronatus and S. granarius, which differ essentially by the amount and the composition of Robertsonian metacentric chromosomés. Additionally, several chromosome races of S. araneus are also present in the same region (i.e. Bretolet, Carlit, Cordon, Jura and Vaud). The objective of this thesis was to examine the genetic relationships between populations, races and /or species of the Sorex araneus group with a special emphasis onsex-specific markers (mtDNA and Y chromosome). We first investigate the evolutionary history of the shrews of the Sorex araneus group distributed in the South-Western Europe. The results of. these analyses confirmed the difficulty to draw a single dichotomic tree within this group. Incongruent mtDNA and Y chromosome phylogenies suggest further that genetic and chromosomal evolution are in this group partially independent processes and that the evolutionary history of the south-western European populations of the S. araneus group can only be understood if we consider secondary contacts between taxa, after their divergence (with genetic exchanges by means of hybridization and / or introgression). Using one male-inherited, one female inherited and eight biparentally inherited markers, we investigate the population genetic structure of the Valais shrew (Sorex antinorii). Overall there results suggest that two already well-differentiated genetic lineages colonized the Swiss Alps after the last glacial period and came into contact in the Rhône Valley. After the Valais shrew (Sorex antinorii) reached the Swiss Alps, it came into contact with the common shrew (Sorex araneus). When two species come into contact and hybridize, endogenous counter-selection of hybrids is usually first expressed as a reduced fertility or viability in hybrids of the heterogametic sex, a mechanism know as Haldane's rule (Haldane 1922). We first evaluated the extent of introgression for Y chromosome, mtDNA and autosomal markers in a hybrid zone between S. antinoriii and S. araneus. The overall level of genetic and karyotypic differentiation between the two species must be strong .enough to allow the detection asymmetric introgression. Secondly, we compared the levels of gene flow between chromosome common to both species and chromosome differently rearranged in each of them. We detected a significantly stronger genetic structure in rearranged chromosomes. Over a 10-year period, we even observed a decrease of genetic structure for common chromosomes. These results strongly support the role of chromosomal rearrangements in the reproductive barrier between S. araneus and S. anfinorii. Overall, this thesis underlines the need to use different inherited (paternally, maternally and / or biparentally) and chromosomally located (on common vs. on rearranged chromosomes) markers to obtain more accurate pictures of genetic relationships between populations or species. RÉSUMÉ: Les musaraignes du groupe Sorex araneus sont morphologiquement très proches, mais ont connu une spectaculaire évolution chromosomique. Prises dans leur ensemble, les musaraignes de ce groupe présentent tous les nivaux possibles de différenciation génétique et chromosomique. Dans le sud-ouest de l'Europe, quatre espèces appartenant à ce groupe sont présentes : S. antinorii, S. araneus, S. coronatus et S. granarius. Celles-ci diffèrent essentiellement par leur caryotype dont la variabilité est principalement due à des fusions Robertsoniennes. De plus, plusieurs races chromosomiques appartenant à S. araneus sont aussi présentes dans la même région (i.e. les races Bretolet, Carlit, Cordon, Jura et Vaud). L'objectif de cette thèse était d'examiner les relations génétiques entre populations, races et/ou espèces du groupe S. araneus, en utilisant particulièrement des marqueurs liés aux sexes (ADN mitochondrial et Chromosome Y). Nous avons dans un premier temps retracé l'histoire évolutive des musaraignes de ce groupe dans le sud-ouest de l'Europe. Les résultats dé ces analyses confirment qu'il est difficile de tracer un simple arbre dichotomique au sein de ce groupe. Les arbres phylogénétiques obtenus sur l'ADN mitochondrial et le chromosome Y sont incongruents et suggèrent de plus que l'évolution génétique et chromosomique sont des processus indépendants. L'histoire évolutive -des populations de ce groupe ne peut. être comprise qu'en considérant des contacts secondaires entre taxa postérieure à leur divergence et induisant des échanges génétiques par hybridation et/ou introgression. Par la suite, nous avons examiné la structure génétique des populations de la musaraigne du Valais, S. antinorii, en utilisant un marqueur transmis par les mâles, un marqueur transmis par les femelles et huit marqueurs transmis par les 2 sexes. Nos résultats suggèrent que deux lignées génétiquement bien différenciées aient colonisé les Alpes Suisses, après les dernières glaciations et entrent en contact dans là Vallée du Rhône. Après avoir franchi les Alpes Suisses, la musaraigne du Valais est entrée en contact avec là musaraigne commune (S. araneus). Lorsque deux espèces entrent en contact et s'hybrident, la sélection contre les hybrides implique habituellement une baisse de fertilité ou de viabilité des hybrides du sexe hétérogamétique (i.e. les mâles XY chez les mammifères). Ce mécanisme est connu sous le nom de règle de Haldane (Haldane 1922) et implique une plus forte structuration génétique de marqueurs males - spécifiques que des marqueurs femelles spécifiques. Nous avons donc évalué le degré d'introgression des marqueurs situés sur le chromosome Y, sur l'ADN mitochondrial et sur des autosomes dans une zone hybride entre S. araneus et S. antinorii. Le niveau de différenciation chromosomique et génétique entre les 2 espèces doit être suffisamment fort pour ne pas permettre la détection d'une introgression asymétrique entre les sexes. Dans un second temps, nous avons comparé les niveaux de flux de gênes mesurés à l'échelle du chromosome, pour des chromosomes communs aux deux espèces et pour des chromosomes différemment arrangées dans chacune des deux espèces. Nous avons détecté une structure génétique significativement plus forte sur les chromosomes réarrangés et comme la zone hybride a été étudiée à dix années d'intervalle, nous observons même une diminution de la structure génétique pour les chromosomes communs au cours du temps.. Ces résultats soutiennent fortement l'hypothèse d'un rôle des réarrangements chromosomiques dans l'établissement d'une barrière reproductive entre S. araneus et S. antinorii. Ainsi cette thèse souligne l'utilité d'utiliser des marqueurs génétiques avec différents modes de transmission. (par les mâles, par les femelles et/ou par les 2 sexes) ou localisés au niveau du chromosome (chromosomes communs vs chromosomes réarrangés) afin d'obtenir une image plus juste ou du moins plus complète des relations génétiques entre populations ou espèces.
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Résumé Les rongeurs utilisent leurs moustaches (vibrisses) pour explorer le milieu environnant. Chaque moustache est mue par un système des muscles. Les récepteurs situés à sa base transmettent les informations au système nerveux central. La transmission vers l'écorce se fait via trois neurones de relais qui se trouvent au niveau du ganglion trigéminé, du tronc cérébral et du thalamus. La représentation corticale d'une vibrisse est une concentration des axones thalamo-corticaux (ATC) autour desquelles s'organisent leurs cibles, les cellules de la couche IV. La structure peut être identifiée histologiquement en coupes tangentielles et porte le nom de « barrel » (« tonneau »). Cette correspondance vibrisse - barrel fait de ce système un model idéal pour étudier l'influence de l'activité périphérique sur l'établissement et le maintien des cartes somatotopiques. Notre laboratoire dispose d'une souche de souris qui a subi une mutation spontanée pour le gène codant l'adenylyl cyclase I (ACI). Cette enzyme membranaire catalyse la formation de l'AMPc et joue un rôle important dans le guidage axonal, la libération des neurotransmetteurs et l'intégration des signaux postsynaptiques. Nous avons démontré dans un premier temps que cette souris adulte ne développe pas de barrels. Cela est dû à un manque d'organisation des ATC et aussi des cellules de la couche IV. De plus, les résultats électrophysiologiques montrent que les informations venant des vibrisses adjacentes ne sont pas intégrées d'une manière normale. Dans ce travail de thèse, j'ai analysé la morphologie des ATC révélés individuellement avec de la biocytine. L'analyse quantitative des ATC a mis en évidence les points suivants: 1. Les axones de la souris normale (NOR) quittent le thalamus, traversent la capsule interne et la substance blanche sous-corticale et pénètrent dans le cortex somato-sensoriel primaire. A l'intérieur de l'écorce ils traversent au maximum 3 colonnes corticales adjacentes dont une contient le barrel cible. En passant à travers les couches VI et V, ces axones arborisent et convergent progressivement vers le barrel dans lequel ils forment une riche arborisation. Un petit nombre des branches « errantes », pleines de boutons synaptiques, pénètrent dans les barrels voisins. Deux axones NOR provenant de corps cellulaires très proches dans le thalamus peuvent avoir un cheminement très divergent lors de la traversée de la capsule interne et de la substance blanche sous-corticale mais, à leur entrée dans le cortex, ils sont distants d'au maximum 2 colonnes corticales de la colonne qui contient le barrel cible et ils convergent progressivement vers ce barrel. 2. Les axones de la souris mutante (BRL) ont le même trajet sous-cortical que les axones NOR, mais leur entrée dans le cortex somato-sensoriel primaire est aléatoire. A l'interface entre la substance blanche sous-corticale et le cortex, l'axone principal se divise rapidement en troncs axonaux qui traversent les couches VI et V d'une manière divergente pour arriver dans la couche IV. Cela contraste beaucoup avec la trajectoire des NOR qui convergent graduellement vers leur barrel cible. Le nombre de branches radiales que les axones BRL utilisent pour entrer dans le cortex et dans la couche IV est double par rapport aux axones NOR. Parmi ces branches, seules quelques-unes donnent des arborisations, les autres ne sont pas développées et leur morphologie est semblable à celle des branches formées par les axones de la souris normale lors du développement. Deux axones BRL issus de corps cellulaires proches dans le thalamus peuvent avoir une trajectoire très divergente jusqu'à leur entrée dans la couche IV, mais à ce niveau ils sont réorientés pour se retrouver et faire un nombre maximal de branches et boutons synaptiques dans la même région corticale. Dans un cas extrême, un des axones observés est entré dans le cortex à la limite entre l'aire somatosensorielle primaire et secondaire et a parcouru une distance de 2 mm pour retrouver son partenaire thalamique et donner avec celui-ci un nombre maximal de branches dans la même région de la couche IV. 3. Les mesures quantitatives ont montré que les arborisations corticales des axones NOR ont une longueur moyenne de 18mm et sont formées par 200 segments qui portent 1200 boutons synaptiques. Par rapport à la souris NOR, les axones BRL ont en moyenne la même longueur, le même nombre de segments et boutons synaptiques, mais donnent deux fois plus de branches radiales. La surface tangentielle occupée par les arborisations BRL dans la couche IV est 2 fois plus grande que celle des NOR. Cela signifie que les 1000 boutons synaptiques qui caractérisent les arborisations NOR et BRL dans la couche IV sont disséminés sur une surface tangentielle double chez les derniers, et donc que la densité des boutons par unité de surface corticale est en moyenne plus faible. En effet, l'augmentation de la surface corticale tangentielle des BRL est due aux surfaces de faible et moyenne densité synaptique (0 - 8 boutons / 400pn2) qui augmentent 2 fois tandis que les surfaces de haute densité synaptiques (8 - 64 boutons / 4001.tm2) sont les mêmes. Nous émettons l'hypothèse selon laquelle, durant le développement, les ATC de la souris BRL divergent et forment un nombre exubérant de branches. Grâce à cette divergence et aux branches supranuméraires, ils trouvent l'endroit de l'écorce où se trouvent leurs voisins thalamiques et arborisent abondamment dans cette région. Cependant, le déficit en AGI ne leurs permet pas par la suite, sous influence de l'activité périphérique, de retirer les branches qui se trouvent dans les endroits inappropriés de l'écorce, avec de possibles conséquences sur la discrimination tactile.
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Rapport de synthèseLe syndrome métabolique représente un ensemble de facteurs de risque métaboliques souvent présents simultanément et il est associé à un risque accru de développer des maladies cardiovasculaires. La prevalence du syndrome métabolique est à la hausse au niveau mondial comme cela a souvent été documenté, en particulier dans les pays développés. Pourtant, les données concernant le syndrome métabolique dans les pays de la région sub-saharienne restent rares.Au cours des dernières années, plusieurs définitions du syndrome métabolique ont été formulées, dont celle du 'National Cholesterol Education Program Adult Treatment Panel III', celle de 1 Organisation Mondiale de la Santé et celle du 'International Diabetes Federation'. Parmi les controverses au sujet du syndrome métabolique persiste la question de l'utilité de rechercher la présence du syndrome métabolique chez les patients diabétiques, étant donné que la présence d'un diabète en soit suffit pour identifier un individu à haut risque de faire un événement cardiovasculaire.L'objectif de ce travail de thèse a été de déterminer la prévalence du syndrome métabolique selon les trois définitions majeures mentionnées ci-dessus, grâce à une étude de population transversale, réalisée aux Seychelles en 2004 dans un échantillon représentatif de la population âgée de 24-65 ans (n=1255, taux de participation de 80.3%). L'intérêt d'examiner cette question dans ce pays était d'obtenir des informations dans un pays en transition épidémiologique.Les résultats de ce travail montrent que la prévalence du syndrome métabolique aux Seychelles est élevée, quelque soit la définition utilisée. Selon la définition utilisée, cette prévalence était d'environ 25% chez les hommes et variant entre 25 et 35% chez les femmes.Cependant, malgré des prévalences semblables selon ces trois définitions, la concordance entre ces définitions n'était pas bonne, impliquant que ces différentes définitions classifient, à un certain degré, des individus différents comme étant porteurs du syndrome métabolique.En outre, la plupart (environ 80%) des individus diabétiques avaient un syndrome métabolique. Après exclusion des individus diabétiques, la prévalence du syndrome métabolique dans la population est réduite d'environ un tiers, à environ 20-25%.Ces résultats montrent que, d'une part, le fardeau de maladie dû au syndrome métabolique aux Seychelles, un pays en voie de développement, est considérable. Cette observation peut potentiellement s'appliquer à d'autres pays à un stade de développement semblable. Cela renforce le besoin de mettre en oeuvre des stratégies de santé publique afin de cibler les causes de ces désordres métaboliques, tels que le surpoids et la sédentarité. D'un point de vue du diagnostic, les trois définitions du syndrome métabolique semblent classifier un nombre semblable de personnes atteints du syndrome métabolique dans cette population. Par contre, la relativement mauvaise concordance entre ces définitions - certaines personnes identifiés comme porteurs du syndrome métabolique selon une définition ne le sont pas selon une autre - confirme la nécessité de clarifier la signification de ces différentes définitions et/ou éventuellement de développer une définition unifiée et fiable du syndrome métabolique.
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SUMMARY : Phytochromes constitute a family of red/far-red photoreceptors regulating all the major transitions during the life cycle of plants. In Arabidopsis, five members: phyA,_ B, C, D and E, were identified. Phytochromes are synthesized in their inactive red-light absorbing form called Pr. Upon light absorbance they convert to the far-red light absorbing Pfr form. The Pfr form is the active conformer which converts back to the Pr form either rapidly upon far-red perception or in a slower process called dark reversion. ph~A represents an exception, in that it does not significantly dark-revert and two specific processes have been developed by the plants to decrease the amount of biologically active phyA. The first one is alight-dependent repression of the PHYA gene expression and the second one is alight-dependent degradation of the phyA protein. The latter is the most efficient process to rapidly decrease the level of active phyA. The ability of plants to regulate the amount of active phyA is critical in a far-red rich environment, a situation observed under a canopy. In these conditions, phyA is essential to induce the germination and the deetiolation of the young seedling. Later in the development the ability of phyA to repress growth counteracts the shade avoidance response. Therefore decreasing the amount of phyA allows stem growth and to compete with neighbours for the light. In this thesis, I investigate the light-dependent degradation of phyA. I developed a reverse genetic approach based on the systematic analysis of the light-dependent accumulation of phyA in the different cullin mutant cull, cul3a; cul3b and cul4. This analysis allowed me to show that CUL1 and CUL3A-based E3 ligase complexes are involved in the regulation of phyA degradation. Surprisingly, our results also demonstrate that cu14 is not affected in the degradation of phyA whereas constitutive Photomorphogenic 1 (COP1) a subunit of one CUL4based E3 complex was reported to be involved. Further investigations showed that the phenotype of cop1 is conditional, the mutant being defective in phyA degradation only in the presence of metabolisable sugars. I also showed that phyA is degraded by a proteasome-dependent mechanism both in the cytoplasm and in the nucleus using mutants and transgenic lines affected in the localization of phyA. Interestingly, I observed that phyA degradation was faster in the nucleus than in the cytosol and that rapid degradation of Pr also occurred in the nucleus suggesting that cytosolic accumulation of phyA in the dark is a way to regulate its proteolysis. Finally, we identify a short region similar to a PEST sequence required for phyA stability and we developed a unbiased genetic screen to identify new components involved in the regulation of the light-dependent degradation of phyA. The significance of these results are discussed. RESUME : Les phytochromes (phy) constituent une famille de photorécepteurs absorbant la lumière rouge et rouge lointaine et régulant toutes les étapes de transitions majeures dans la vie des plantes. Chez Arabidopsis, cinq membres : phyA, B, C, D et E ont été identifiés. Les phytochromes sont synthétisés sous une forme inactive appelée Pr absorbant la lumière rouge. Après perception de lumière ils passent sous une forme active Pfr absorbant dans le rouge lointain. La forme Pfr peut retourner sous la forme Pr après absorption de lumiëre rouge lointaine ou dans un processus lent appelé «réversion à l'obscurité ». phyA représente une exception à cette règle car il ne retoune pas significativement sous sa forme inactive dans le noir. Deux processus spécifiques ont donc été développés pour diminuer le taux de phyA actif. Le premier consiste en la répression du gène PHYA en condition de lumière et le second en une dégradation induite par la lumière de la protéine phyA. Ce dernier processus est le plus efficace pour diminuer rapidement le niveau de phyA. La capacité des plantes à réguler le taux de phyA actifs est critique dans un environnement riche en lumière rouge lointaine, une situation observée sous une canopée. Sous une canopée, phyA est essentiel pour induire la germination et la dé-étiolation de la jeune pousse. Plus tard dans le développement la capacité de phyA de réprimer la croissance freine la «réponse à l'évitement de l'ombre ». Par conséquent diminuer le taux de phyA permet la croissance de la tige et donc de rentrer en compétition pour la lumière avec les plantes avoisinantes. Dans cette thèse, j'ai étudié la dégradation de phyA. J'ai développé une approche génétique inverse basée sur l'analyse systématique de l'accumulation de phyA en condition de lumière dans les différents mutants cullin, cul1, cul3a, cul3b et cul4. Ces analyses nous ont permis d'identifier qu'un complexe E3 ligase CUL1 et un complexe E3 ligase CUL3A sont impliqués dans la régulation de la dégradation de phyA. Mes résultats démontrent aussi que le mutant cul4 n'est pas affecté dans la dégradation de phyA alors que Çonstitutive Photomorphogenic 1 (COPI) une sous unité d'un complexe CUL4 à été identifier dans la régulation de cette dégradation. Des analyses supplémentaires suggèrent que l'effet de la mutation cop1 est dépendante dë la présence de sucres métabolisables. J'ai aussi montré que phyA est dégradé dans le noyau et dans le cytoplasme par un mécanisme dépendant du protéasome et que la dégradation dans le.noyau est non seulement aspécifique de la forme Pr ou Pfr mais aussi est plus rapide que dans le cytoplasme. Ceci suggère que l'accumulation de phyA dans le cytoplasme permet son accumulation à des niveaux élevés à l'obscurité. Enfin j'ai identifié une région similaire à un motif PEST requise pour la stabilité de phyA et j'ai aussi développé un criblage génétique non biaisé pour identifier de nouveaux composants impliqués dans la régulation de la dégradation de phyA. L'importance de ces résultats est discutée dans le dernier chapitre de cette thèse.
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Lorsque les problèmes fonctionnels dépassent l'espace institutionnel sur lequel le politique est compétent, la capacité des politiques publiques à répondre aux problèmes collectifs est affaiblie. Face à ce constat, des approches régionales se dessinent tant au niveau interne qu'au niveau transfrontalier. Par l'analyse de l'évolution de la politique genevoise de l'aménagement du territoire - d'une politique introvertie à une politique tournée vers le régional transfrontalier - notre étude fournit une grille de lecture pour aborder les aspects politico-administratifs de la coopération régionale transfrontalière. Notre modèle d'analyse repose sur une définition originale du concept de coopération régionale transfrontalière ainsi que sur une construction théorique solide applicable à d'autres cas. Aujourd'hui, la coopération régionale transfrontalière est une réalité vécue quotidiennement par les citoyens. La rigidité des cadres politiques appelle donc à un rattrapage évident. Dès lors, la pleine compréhension de la complexité politico-administrative de ce processus s'avère nécessaire.