995 resultados para Aqu2-2001-20


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A mediados del siglo XIX con la construcción del Canal de la Derecha del Ebro se expande el cultivo del arroz al hemidelta derecho y no llega hasta el 1912 al hemidelta izquierdo cuando se inauguró el Canal de la Izquierda. En este momento el delta del Ebro llegó a ser la segunda zona estatal de producción de arroz, por detrás de la tradicional zona valenciana. La fuerza que tomó este cultivo, por ser el que se adaptaba mejor a las condiciones deltaicas fue mejorado mucho después con la mecanización y la investigación química a nivel de insecticidas, herbicidas y fertilizantes que sobre el 1970 dio un empujón a la economía i a la producción de este cultivo (Ribas,1991). Hoy en día el cultivo del arroz al Delta del Ebro es la actividad predominante, ocupando aproximadamente el 80 % de la superficie agraria útil (Bartual, 1992). Las variedades de arroz cultivadas han ido variando en los últimos años, mediante una gradual renovación de las más antiguas, en función de las mejores características. Las nuevas variedades ofrecen mejores rendimientos, una mayor resistencia a plagas y enfermedades, altura más baja (mayor resistencia al “encamado”), mejor calidad de grano o bien una mayor producción (Franquet et al., 2004). La evolución de las variedades cultivadas al delta durante estos últimos 20 años es lo que pretende dar a conocer este artículo, ya que más de 70 variedades han sido cultivadas en el Delta del Ebro y la información sobre este tema es casi inexistente.

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Introduction:¦L'incidence annuelle du cancer de l'ovaire en Suisse est de 600 cas, il touche principalement les femmes âgées de plus de 60 ans. Le cancer de l'ovaire est aujourd'hui la 1ère cause de mortalité par cancer gynécologique chez la femme. Le but de notre recherche, est de créer une base de données de toutes les¦patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire et hospitalisées au CHUV pour la prise en charge de leur maladie.¦Cette étude rétrospective monocentrique nous permettra en premier lieu d'analyser les caractéristiques de¦cette tumeur présentées par les patientes, les traitements instaurés pour traiter ce cancer et les taux de¦récidives et de survie des patientes en fonction de ces variables.¦Méthodologie:¦Analyse rétrospective de 147 patientes diagnostiquées d'un cancer de l'ovaire et hospitalisées au CHUV entre¦septembre 2001 et mars 2010 pour la prise en charge de leur tumeur ovarienne. Utilisation du programme informatique ARCHIMED qui contient les dossiers médicaux de toutes les patientes inclues dans l'étude et création de 2 bases des données. La 1ère base de données regroupe l'ensemble des patientes de l'étude y¦compris les tumeurs type borderline, la 2ème base de données concerne uniquement les patientes ayant récidivé de leur tumeur. Les tumeurs bénignes ont été exclues de l'étude.¦Résultats:¦La probabilitéde survie à 1 an chez les patientes avec un cancer de l'ovaire, tous stades FIGO et prises en¦charge confondus, hospitalisées au CHUV est de 88,04% (95% CI = 0.7981-­‐0.9306), à 3 ans la probabilité de survie est de 70,4% (95% CI = 0.5864-­‐0.7936), et à plus de 5 ans, elle est de 60% (95% CI = 0.4315-­‐0.6859).¦Nous avons comparé le taux de survie en fonction du stade FIGO de la tumeur ovarienne et nous avons observé une différence significative de survie entre les stades FIGO précoces et les stades avancés (Pvaleur=¦0.0161).¦En plus d'une intervention chirurgicale, les patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire sont normalement traitées par une chimiothérapie. Dans notre étude, 70 patientes ont bénéficié d'une chimiothérapie; un¦traitement adjuvant a été donné dans 78 % des cas (N = 55), un traitement néoadjuvant a été administré chez 22% des patientes (N=15). Le type combiné carboplatine-­‐taxane est la chimiothérapie la plus fréquente (75%). Au total sur l'étude, 66 patientes sur les 147 (44%) ont récidivé de leur tumeur. En ce qui¦concerne leur prise en charge, 46% des patientes ont reçu une chimiothérapie unique comme du gemzar, cealyx ou taxotère après leur récidive. Une cytoréduction secondaire a également été effectuée chez 33% de ces patientes ayant une récidive. Nous avons également étudié l'intervalle de temps entre la date de la¦récidive et celle du décès. Parmi les 28 patientes décédées chez les récidives, 10 d'entre-­‐elles (36%) ont survécu moins d'un an une fois la récidive diagnostiquée, 8 (28%) patientes ont survécu jusqu'à 2 ans, et¦les 10 (36%) autres patientes ont survécu de 2 à 5 ans. En ce qui concerne le taux de mortalité; 39 patientes sur les 147 étudiées sont décédées pendant la période d'observation, soit 26% des cas. La tumeur¦type borderline, présente une prolifération épithéliale atypique sans invasion dans le stroma et représente¦10 à 20% de toutes les tumeurs ovariennes. Dans notre étude, 41 patientes sont porteuses de cette tumeur¦(28%) et la moyenne d'âge est de 49 ans. En ce qui concerne leur prise en charge, l'intervention chirurgicale¦la plus fréquente, soit 23% des cas, est l'annexectomie unilatérale, qui reste une attitude conservative pour¦ces patientes désirant préserver leur fertilité. 6 patientes présentant ce type de tumeur ont récidivé, soit 14% des cas, avec une progression pelvienne, et 3 de ces 6 patientes sont décédées. Dans notre analyse, on observe que la probabilité de vivre plus longtemps que 1an pour les patientes ayant une tumeur borderline est de 93,8% (95% CI= 0.6323-­‐ 0.9910), à 3 ans elle est également de 93,8% (95% CI = 0.6323-­‐0.9910) et à 5 ans elle est de 78,1% (95% CI = 0.3171-­‐0.9483). Nous n'avons pas observé de¦différence de survie dans notre étude entre les patientes présentant une tumeur borderline et le « non‐borderline ». (Pvaleur=0.3301)

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Rapport de Synthése : Introducfíon : la maladie diverticulaire est devenue un problème majeur de santé communautaire et occupe la cinquième place en termes de coûts des maladies digestives. La diverticulite représente sa complication la plus fréquente chez environ 20-25% des patients avec une maladie diverticulaire. Son taux de récidive après un premier épisode de diverticulite est estimé à 20%. Historiquement, il était accepté que le taux de complications et d'échec du traitement conservateur de la diverticulite soient plus élevés lors de récidive qu'après un épisode initial. Ceci a amené la communauté médicale ä un consensus qui est de proposer une sigmoidectomie élective suite à un 2ème épisode de diverticulite. De nouvelles données et réinterprétations de travaux antérieurs ont remis en question ce consensus. Par ces faits, les dernières recommandations de la société américaine de chirurgie colorectale restent encore évasives dues au manque d'évidence. Le but de cette thèse est de déterminer si la récidive de diverticulite a une présentation clinique et radiologique différente d'un épisode initiale et si le risque d'échec du traitement est réellement plus élevé. Méthode : étude rétrospective .de 271 patients consécutifs admis dans le service. de chirurgie viscérale CHUV pour diverticulite, confirmée par CT-scan, de 2001 à 2004. 202 patients présentaient un épisode initial (groupe I), et 69 une récidive (groupe R). Au total 20 paramètres cliniques et 15 radiologiques ont été analysés et comparés entre les 2 groupes, dont le taux de prise en charge chirurgicale, la présentation clinique initiale, la réponse au traitement, les complications, les paramètres de laboratoires, la présence de liquide libre, d'abcès ou de pneumopéritoine au scanner. Une analyse statistique univariée a été effectuée. Résultats : aucun des paramètres cliniques ou radiologiques n'étaient différents entre les deux groupes. Concernant la chirurgie, 15.8% des patients dans le groupe I ont nécessité une prise en charge chirurgicale à l'admission comparé à 5.8% dans le groupe R (p=0.04). Le taux d'échec du traitement conservateur dans les deux groupes était similaire (10.7% vs 10.0% ; p=0.84). Le taux de mortalité à 30 jours était de 3% dans le groupe I et 0% dans le groupe R (p= 0.34). Conclusion : selon les résultats de cette étude, la récidive de diverticulite n'entraîne pas plus de complications ni d'échec du traitement conservateur. De plus, le taux de prise en charge chirurgicale à l'admission du patient est moins fréquent en cas de récidive. Ces résultats remettent en questions le consensus actuel de prise en charge chirurgicale élective.

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RESUME DE THESEContexte de l'étudeLe but de cette étude est de comparer le drainage percutané (DP) et la chirurgie d'urgence (CU) de la vésicule biliaire (VB) pour le traitement de la cholécystite aiguë lithiasique/alithiasique dans un groupe homogène de patients gravement malades et hospitalisés aux soins intensifs (SI).Patients et méthodeEntre les années 2001 et 2007, tous les patients successivement traités par DP ou CU pour cholécystite aiguë aux SI ont été rétrospectivement analysés. Les cas ont été collectés à partir d'une base de données prospective. Le DP était effectué par voie trans-hépatique et la chirurgie par voie ouverte ou laparoscopique. L'état général des patients et la dysfonction des organes étaient évalués par deux scores validés (SAPS Π et SOFA, respectivement). L'analyse des données s'est portée sur les complications à court terme (morbidité, mortalité hospitalière) et à long terme (récurrence des symptômes) après drainage ou chirurgie en urgence.RésultatsQuarante-deux patients (âge médian 65 ans, 32-94 ans) ont été inclus dans l'étude ; 45% ont eu une CU (10 laparoscopics, 9 voies ouvertes) et 55% un DP (n=23) de la vésicule biliaire. Le DP et la CU ont eu des taux de succès respectifs de 91 et 100% pour la résolution du sepsis lié à la cholécystite aigiie. Après drainage et chirurgie de la VB, la dysfonction des organes secondaire au sepsis s'est résolue dans les 3 jours. Malgré le drainage, deux patients ont nécessité une cholécystectomie en urgence pour cholécystite gangréneuse. Le taux de conversion de la laparoscopic à la voie ouverte était de 20%. La morbidité majeure était de 0% après drainage et 21% après chirurgie en urgence (p=0.034). Finalement, la mortalité hospitalière était similaire (13% après DP vs. 16% après CU, p=1.0) et uniquement liée aux co-morbidités des patients. La récurrence des symptômes liés à la VB n'est apparue que chez des patients initialement drainés pour cholécystite lithiasique.ConclusionsChez les patients gravement malades des soins intensifs, le drainage percutané et la chirurgie en urgence de la VB sont tous deux efficaces pour la résolution d'un sepsis lié à une cholécystite aigiie. Cependant, la chirurgie d'urgence est associée à une morbidité majeure accrue et l'approche par laparoscopic n'est pas toujours réalisable. Le drainage percutané de la VB est donc une modalité de traitement valable, mais nécessite à distance de l'épisode aigu une cholécystectomie par laparoscopic, surtout après une cholécystite lithiasique.

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OBJECTIVE: Incomplete compliance is one of several possible causes of uncontrolled hypertension. Yet, non-compliance remains largely unrecognized and is falsely interpreted as treatment resistance, because it is difficult to confirm or exclude objectively. The goal of this study was to evaluate the potential benefits of electronic monitoring of drug compliance in the management of patients with resistant hypertension. METHODS: Forty-one hypertensive patients resistant to a three-drug regimen (average blood pressure 156/ 106 +/- 23/11 mmHg, mean +/- SD) were studied prospectively. They were informed that for the next 2 months, their presently prescribed drugs would be provided in electronic monitors, without any change in treatment, so as to provide the treating physician with a measure of their compliance. Thereafter, patients were offered the possibility of prolonging the monitoring of compliance for another 2 month period, during which treatment was adapted if necessary. RESULTS: Monitoring of compliance alone was associated with a significant improvement of blood pressure at 2 months (145/97 +/- 20/15 mmHg, P < 0.01). During monitoring, blood pressure was normalized (systolic < 140 mmHg or diastolic < 90 mmHg) in one-third of the patients and insufficient compliance was unmasked in another 20%. When analysed according to tertiles of compliance, patients with the lowest compliance exhibited significantly higher achieved diastolic blood pressures (P = 0.04). In 30 patients, compliance was monitored up to 4 months and drug therapy was adapted whenever necessary. In these patients, a further significant decrease in blood pressure was obtained (from 150/100 +/- 18/15 to 143/94 +/- 22/11 mmHg, P = 0.04/0.02). CONCLUSIONS: These results suggest that objective monitoring of compliance using electronic devices may be a useful step in the management of patients with refractory hypertension, as it enables physicians to take rational decisions based on reliable and objective data of drug compliance and hence to improve blood pressure control.

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Purpose: Sirolimus (SRL) has been used to replace calcineurin inhibitors (CNI) for various indications including CNI-induced toxicity. The aim of this study was to evaluate the efficacy and safety of switching from CNI to SRL in stable renal transplant recipients (RTR) with low grade proteinuria (<1 g/24 h). Methods and materials: Between 2001 and 2007, 41 patients (20 females, 21 males; mean age 47 ± 13) were switched after a median time post-transplantation of 73.5 months (range 0.2-273.2 months). Indications for switch were CNI nephrotoxicity (39%), thrombotic micro-angiopathy (14.6%), post-transplantation cancer (24.4%), CNI neurotoxicity (7.4%), or others (14.6%). Mean follow-up after SRL switch was 23.8±16.3 months. Mean SRL dosage and through levels were 2.4 ± 1.1 mg/day and 8 ± 2.2 ug/l respectively. Immunosuppressive regiments were SRL + mycophenolate mofetil (MMF) (31.7%), SRL + MMF + prednisone (36.58%), SRL + prednisone (19.51%), SRL + Azathioprine (9.75%), or SRL alone (2.43%). Results: Mean creatinine decreased from 164 to 143 μmol/l (p <0.03), mean estimated glomerular filtration rate (eGFR) increased significantly from 50.13 to 55.01 ml/minute (p <0.00001), mean systolic and diastolic blood pressure decreased from 138 to 132 mm Hg (p <0.03) and from 83 to78 mm Hg (p <0.01), but mean proteinuria increased from 0.21 to 0.63 g/24 h (p <0.001). While mean total cholesterolemia didn't increased significantly from 5.09 to 5.56 mmol/l (p = 0.06). The main complications after SRL switch were dermatitis (19.5%), urinary tract infections (24.4%), ankle edema (13.3%), and transient oral ulcers (20%). Acute rejection after the switch occurred in 7.3% of patients (n = 3), and 2 acute rejections were successfully treated with corticosteroids and 1 did not respond to treatment (not related to switch). SRL had to be discontinued in 17% of patients (2 nephrotic syndromes, 2 severe edema, 1 acute rejection, 1 thrombotic micro-angiopathy, and 1 fever). Conclusion: In conclusion, we found that switching from CNI to SRL in stable RTR was safe and associated with a significant improvement of renal function and blood pressure. Known side-effects of SRL led to drug discontinuation in less than 20% of patients and the acute rejection rate was 7.3%. This experience underlines the importance of patient selection before switching to SRL, in particular regarding preswitch proteinuria.

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L'objectif de cette étude est d'examiner la structure factorielle et la consistance interne de la TAS-20 sur un échantillon d'adolescents (n = 264), ainsi que de décrire la distribution des caractéristiques alexithymiques dans cet échantillon. La structure à trois facteurs de la TAS-20 a été confirmée par notre analyse factorielle confirmatoire. La consistance interne, mesurée à l'aide d'alpha de Cronbach, est acceptable pour le premier facteur (difficulté à identifier les sentiments (DIF)), bonne pour le second (difficulté à verbaliser les sentiments (DDF)), mais en revanche, faible pour le troisième facteur (pensées orientées vers l'extérieur (EOT)). Les résultats d'une Anova mettent en évidence une tendance linéaire indiquant que plus l'âge augmente plus le niveau d'alexithymie (score total TAS-20), la difficulté à identifier les sentiments et les pensées orientées vers l'extérieur diminuent. En ce qui concerne la prévalence de l'alexithymie, on remarque en effet que 38,5 % des adolescents de moins de 16 ans sont considérés comme alexithymiques, contre 30,1 % des 16-17 ans et 22 % des plus de 17 ans. Notre étude indique donc que la TAS-20 est un instrument adéquat pour évaluer l'alexithymie à l'adolescence, tout en suggérant quelques précautions étant donné l'aspect développemental de cette période.

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Least Squares estimators are notoriously known to generate sub-optimal exercise decisions when determining the optimal stopping time. The consequence is that the price of the option is underestimated. We show how variance reduction methods can be implemented to obtain more accurate option prices. We also extend the Longsta¤ and Schwartz (2001) method to price American options under stochastic volatility. These are two important contributions that are particularly relevant for practitioners. Finally, we extend the Glasserman and Yu (2004b) methodology to price Asian options and basket options.

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Ultrasound scans in the mid-trimester of pregnancy are now a routine part of antenatal care in most European countries. Using data from registries of congenital anomalies a study was undertaken in Europe. The objective of the study was to evaluate prenatal detection of cleft lip with or without cleft palate (CL(P)) and cleft palate (CP). All CL(P) and CPs suspected prenatally and identified at birth in the period 1996-98 were registered from 20 Congenital Malformation Registers from the following European countries: Austria, Croatia, Denmark, France, Germany, Italy, Lithuania, Spain, Switzerland, The Netherlands, UK, Ukraine. These registries followed the same methodology. A total of 709,027 births were covered; 7758 cases with congenital malformations were registered. Included in the study were 751 cases reported with facial clefts: 553 CL(P) and 198 CP. The prenatal diagnosis by transabdominal ultrasound of CL(P) was made in 65/366 cases with an isolated malformation, in 32/62 cases with chromosomal anomaly, in 30/89 cases with multiple malformations and in 21/36 syndromic cases. The prenatal diagnosis of CP was made in 13/198 cases. One hundred pregnancies were terminated (13%); in 97 of these the cleft was associated with other malformations.

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OBJECTIVES: To evaluate the current effectiveness of routine prenatal ultrasound screening in detecting gastroschisis and omphalocele in Europe. DESIGN: Data were collected by 19 congenital malformation registries from 11 European countries. The registries used the same epidemiological methodology and registration system. The study period was 30 months (July 1st 1996-December 31st 1998) and the total number of monitored pregnancies was 690,123. RESULTS: The sensitivity of antenatal ultrasound examination in detecting omphalocele was 75% (103/137). The mean gestational age at the first detection of an anomaly was 18 +/- 6.0 gestational weeks. The overall prenatal detection rate for gastroschisis was 83% (88/106) and the mean gestational age at diagnosis was 20 +/- 7.0 gestational weeks. Detection rates varied between registries from 25 to 100% for omphalocele and from 18 to 100% for gastroschisis. Of the 137 cases of omphalocele less than half of the cases were live births (n = 56; 41%). A high number of cases resulted in fetal deaths (n = 30; 22%) and termination of pregnancy (n = 51; 37%). Of the 106 cases of gastroschisis there were 62 (59%) live births, 13 (12%) ended with intrauterine fetal death and 31 (29%) had the pregnancies terminated. CONCLUSIONS: There is significant regional variation in detection rates in Europe reflecting different policies, equipment and the operators' experience. A high proportion of abdominal wall defects is associated with concurrent malformations, syndromes or chromosomal abnormalities, stressing the need for the introduction of repeated detailed ultrasound examination as a standard procedure. There is still a relatively high rate of elective termination of pregnancies for both defects, even in isolated cases which generally have a good prognosis after surgical repair.