996 resultados para Action Catholique du Canada
Resumo:
[Bible. A.T.. Psaumes (français). 1610]
Resumo:
Le Programme vaudois de dépistage du cancer du sein promeut, organise et mène depuis 1999 une action de prévention auprès de la population féminine du canton âgée de 50 à 69 ans. Premier programme organisé de dépistage du cancer en Suisse, et généralisation d'un projet pilote (1993-1998), le Programme vaudois a grandement contribué au développement d'initiatives similaires dans d'autres cantons. Il demeure aujourd'hui, notamment par son bassin populationnel, le programme suisse qui génère le plus important volume annuel de mammographies de dépistage. Des évaluations indépendantes et régulières permettent de s'assurer que la qualité et l'efficacité d'un programme de dépistage répondent à des normes internationalement admises et périodiquement révisées. Le présent rapport évalue, après 15 ans d'activité (1999-2013), l'évolution temporelle de l'activité de dépistage (chapitre 2), de l'utilisation (chapitre 3) et des performances du programme vaudois de dépistage du cancer du sein (chapitre 4). Couvrant 240'000 mammographies et près de 80'000 femmes, ce rapport s'intéresse aussi, au-delà des indicateurs classiques de performance, à mieux évaluer certains effets indésirables du dépistage comme les résultats faussement positifs ou les cancers survenant entre 2 examens de dépistage (dits cancers d'intervalle), auxquels une section entière est dédiée (chapitre 5). Enfin, la compilation (en annexe) des publications récentes ou les plus significatives liées au programme vaudois et à ses résultats souligne sa visibilité et son implication dans le contexte international, ainsi que son rôle phare en Suisse dans la recherche « evidence-based » sur le dépistage du cancer du sein. [...] [Auteurs, p. 7]
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 57044
Resumo:
Collectionneur : Sirot, Georges (1898-1977)
Resumo:
Introduction. - En Suisse, la prescription de produits biologiqueschez les patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde (PR) n'est nilimitée à des centres hospitaliers de rhumatologie, ni soumise à desdirectives strictes éditées par les autorités sanitaires sur le type oule nombre de traitements de fond préalables. La notion d'échec auxtraitements de fond n'est pas non plus précisément définie, et enparticulier l'activité de la maladie ne doit pas répondre à des critèresstricts, notamment en terme de valeurs de DAS, et ce contrairementà de nombreux autres pays où l'impact de ces restrictions aété publié récemment (1, 2).Le registre SCQM peut être considéré comme un bon reflet de lapopulation suisse avec PR, aussi bien pour la population suivie pardes centres hospitaliers que par les practiciens en cabinet privé, eton estime qu'environ 30 % des patients avec PR recevant des traitementsbiologiques en Suisse sont inclus dans ce registre.L'objectif primaire de cette étude est de comparer les caractéristiquesdes patients de notre registre à l'initiation et après un an de traitementbiologique avec celles de registres du même type dans des pays avecun accès plus restreint aux traitements biologiques. Les objectifssecondaires sont de comparer les patients traités en milieu hospitalieret ceux pris en charge en cabinet privé, et aussi d'examiner s'il existedes tendances temporelles (avant et après 2005).Patients et Méthodes. - Les données sont extraites du registre suissede PR (SCQM) qui comprend 4 500 patients inclus entre 1997 et2011. 2 715 patients bénéficient d'un traitement biologique, dont2 427 avec des données à l'introduction du traitement : DAS28/VS,DAS28/CRP, HAQ, durée de la maladie, nbre de tttt préalables, comorbidités,etc. Les principales données démographiques sont : âgemoyen 55 ans, 77 % de femmes 72 % FR+, médecins prescripteurs :62 % en cabinet, 21 % en centre hospitaliers et 16 % en centres universitaires.Nous avons calculés les moyennes (+/- écart type) pourdifférents paramètres de l'activité de la maladie.Résultats. - La moyenne du DAS28/VS à l'introduction du traitement(4,4 +/- 1,3) est nettement inférieur aux valeurs publiées pard'autres registres européens ou canadien (5,3 < > 6,6 ; 1,2). Il en ende même pour le HAQ (1 versus 1,4). Les biologiques sont introduitsaprès en moyenne 1,1 +/- 1 DMARD préalable contre > 3 en Suède,au Danemark ou au Canada.Les caractéristiques démographiques, le degré d'activité et les traitementsprodigués sont similaires entre les patients traités encabinet privé ou en milieu hospitalier, hormis pour une proportionmoindre de traitements iv en cabinet (20 % versus 40 %). Après2005, les traitements biologiques sont introduits beaucoup plusprécocemment, avec une durée médiane de maladie avant l'introductionde thérapies biologiques diminuant de 96 à 51 mois. Onnote également une répartition entre les divers produits biologiquesqui se diversifie. Même si les traitements sont introduits à undegré d'activité similaire (DAS28/VS moyen à 4,4 +/- 1,3) onobserve de meilleurs résultats à 1 an avec un DAS moyen à 1 an :3,5 +/- 1,4 avant 2005 contre 3,1 +/- 1,3 après 2005 (p = 0.0001).Conclusion. - Les données du registre suisse des PR (SCQM) suggèrentque, en l'absence de critères restrictifs d'accès aux traitements biologiques,ceux-ci sont prescrits à des scores d'activité de la maladie(DAS et HAQ) inférieurs, et plus précocemement en terme de nombrede DMARD préalables. Cette tendance se confirme dans le temps, etse retrouve aussi bien en milieu hospitalier qu'en cabinet.En terme de résultats, après 2005, plus de 50 % des patients atteignentun bas degré d'activité de la maladie en terme de DAS aprèsun an de traitement, chiffre qui semble justifier ce type de systèmepeu restrictif favorisant certainement une approche thérapeutiqueplus proche des nouveaux paragidmes de traitement avec une stratégiede type « treat to target ».Références[1] Curtis J R et al. Semin Arthritis Rheum. 40:2-14,2009.[2] Pease C, Pope JE, Truong D et al. Semin Arthritis Rheum, December2010.
Resumo:
[Acte. 1779-02-01. Paris]
Resumo:
[Procès de canonisation. Vincent de Paul]
Resumo:
Collection : Les archives de la Révolution française ; 8.1786
Resumo:
Acute exacerbation of COPD is one of the most common causes of hospital admission in patients affected with this disease. In most cases, consideration of differential diagnoses and assessment of important comorbidities will allow to make the decision whether or not the patient needs to be hospitalized. A decision to hospitalize will be based on specific symptoms and signs, as well on the patient's history. Contrary to bronchial asthma, a systematic action plan strategy is lacking for COPD. However, a disease management plan involving all the health care providers may have the potential to improve the patient's well being and to decrease costs related to these exacerbations.
Physiologie de l'action musculaire appliquée aux arts d'imitation , par le chevalier Sarlandière,...