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Summary: Detailed knowledge on tumor antigen expression and specific immune cells is required for a rational design of immunotherapy for patients with tumor invaded liver. In this study, we confirmed that Cancer/Testis (CT) tumor-associated antigens are frequently expressed in hepatocellular carcinoma (HCC) and searched for the presence of CD8+ T cells specific for these antigens. In 2/10 HLA-A2+ patients with HCC, we found that MAGE-A10 and/or SSX-2 specific CD8+ T cells naturally responded to the disease, since they were enriched in tumor lesions but not in non-tumoral liver. Isolated T cells specifically and strongly killed tumor cells in vitro, suggesting that these CTL were selected in vivo for high avidity antigen recognition, providing the rational for specific immunotherapy of HCC, based on immunization with CT antigens such as MAGE-Al 0 and SSX-2. Type 1 NKT cells express an invariant TCR α chain (Vα24.1α18, paired with Vβ11 in human) and share a specific reactivity to αGalactosylceramide (αGC) presented by CD1d. These cells can display paradoxical immuno-regulatory properties including strong anti-tumor effects upon αGC administration in murine models. To understand why NKT cells were not sufficiently protective against tumor development in patients with tumor invaded liver, we characterized the diversity of Vα24/Vβ11 NKT cells in healthy donors (HD) and cancer patients: NKT cells from HD and patients were generally diverse in terms of TCR β chain (Vβ11) variability and NKT cells from HD showed a variable recognition of αGC loaded CD 1 d multimers. Vα24/ Vβ11 NKT cells can be divided in 3 populations, the CD4, DN (CD4-/CD8-) and CD8 NKT cell subsets that show distinct ability of cytokine production. In addition, our functional analysis revealed that DN and CD8 subsets displayed a higher cytolytic potential and a weaker IFNγ release than the CD4 NKT cell subset. NKT cell subsets were variably represented in the blood of HD and cancer patients. However, HD with high NKT cell frequencies displayed an enrichment of the DN and CD8 subsets, and few of them were suggestive of an oligoclonal expansion in vivo. Comparable NKT cell frequencies were found between blood, non-tumoral liver and tumor of patients. In contrast, we identified a gradual enrichment of CD4 NKT cells from blood to the liver and to the tumor, together with a decrease of DN and CD8 NKT cell subsets. Most patient derived NKT cells were unresponsive upon αGalactosylceramide stimulation ex vivo; NKT cells from few patients displayed a weak responsiveness with different cytokine polarization. The NKT cell repertoire was thus different in tumor tissue, suggesting that CD4 NKT cells infiltrating tumors may be detrimental for protection against tumors and instead may favour the tumor growth/recurrence as recently reported in mice. Résumé en français scientifique : Afin de développer le traitement des patients porteurs d'une tumeur dans le foie par immunothérapie, de nouvelles connaissances sont requises concernant l'expression d'antigènes par les tumeurs et les cellules immunitaires spécifiques de ces antigènes. Nous avons vérifié que des antigènes associés aux tumeurs, tels que les antigènes « Cancer-Testis » (CT), sont fréquemment exprimés par le carcinome hepatocéllulaire (CHC). La recherche de lymphocytes T CD8+ spécifiques (CTL) de ces antigènes a révélé que des CTL spécifiques de MAGE-A10 et/ou SSX-2 ont répondu naturellement à la tumeur chez 2/10 patients étudiés. Ces cellules étaient présentes dans les lésions tumorales mais pas dans le foie adjacent. De plus, ces CTL ont démontré une activité cytolytique forte et spécifique contre les cellules tumorales in vitro, ce qui suggère que ces CTL ont été sélectionnés pour une haute avidité de reconnaissance de l'antigène in vivo. Ces données fournissent une base pour l'immunothérapie spécifique du CHC, en proposant de cibler les antigènes CT tels que MAGE-A10 ou SSX-2. Les cellules NKT de type 1 ont une chaîne α de TCR qui est invariante (chez l'homme, Vα24Jα18, apparié avec Vβ11) et reconnaissent spécifiquement l'αGalactosylceramide (αGC) présenté par CD1d. Ces cellules ont des propriétés immuno¬régulatrices qui peuvent être parfois contradictoires et leur activation par l'αGC induit une forte protection anti-tumorale chez la souris: Afin de comprendre pourquoi ces cellules ne sont pas assez protectrices contre le développement des tumeurs dans le foie chez l'homme, nous avons étudié la diversité des cellules NKT Vα24/Vβ11 d'individus sains (IS) et de patients cancéreux. Les cellules NKT peuvent être sous-divisées en 3 populations : Les CD4, DN (CD4- /CD8-) ou CDS, qui ont la capacité de produire des cytokines différentes. Nos analyses fonctionnelles ont aussi révélé que les sous-populations DN et CD8 ont un potentiel cytolytique plus élevé et une production d'IFNγ plus faible que la sous-population CD4. Ces sous-populations sont représentées de manière variable dans le sang des IS ou des patients. Cependant, les IS avec un taux élevé de cellules NKT ont un enrichissement des sous- populations DN ou CDS, et certains suggèrent qu'il s'agit d'une expansion oligo-clonale in vivo. Les patients avaient des fréquences comparables de cellules NKT entre le sang, le foie et la tumeur. Par contre, la sous-population CD4 était progressivement enrichie du sang vers le foie et la tumeur, tandis que les sous-populations DN ou CD8 était perdues. La plupart des cellules NKT des patients ne réagissaient pas lors de stimulation avec l'αGC ex vivo et les cellules NKT de quelques patients répondaient faiblement et avec des polarisations de cytokines différentes. Ces données suggèrent que les cellules NKT CD4, prédominantes dans les tumeurs, sont inefficaces pour la lutte anti-tumorale et pourraient même favoriser la croissance ou la récurrence tumorale. Donc, une mobilisation spécifique des cellules NKT CD4 négatives par immunothérapie pourrait favoriser l'immunité contre des tumeurs chez l'homme. Résumé en français pour un large public Au sein des globules blancs, les lymphocytes T expriment un récepteur (le TCR), qui est propre à chacun d'entre eux et leur permet d'accrocher de manière très spécifique une molécule appelée antigène. Ce TCR est employé par les lymphocytes pour inspecter les antigènes associés avec des molécules présentatrices à la surface des autres cellules. Les lymphocytes T CD8 reconnaissent un fragment de protéine (ou peptide), qui est présenté par une des molécules du Complexe Majeur d'Histocompatibilité de classe I et tuent la cellule qui présente ce peptide. Ils sont ainsi bien adaptés pour éliminer les cellules qui présentent un peptide issu d'un virus quand la cellule est infectée. D'autres cellules T CD8 reconnaissent des peptides comme les antigènes CT, qui sont produits anormalement par les cellules cancéreuses. Nous avons confirmé que les antigènes CT sont fréquemment exprimés par le cancer du foie. Nous avons également identifié des cellules T CD8 spécifiques d'antigènes CT dans la tumeur, mais pas dans le foie normal de 2 patients sur 10. Cela signifie que ces lymphocytes peuvent être naturellement activés contre la tumeur et sont capables de la trouver. De plus les lymphocytes issus d'un patient ont démontré une forte sensibilité pour reconnaître l'antigène et tuent spécifiquement les cellules tumorales. Les antigènes CT représentent donc des cibles intéressantes qui pourront être intégrés dans des vaccins thérapeutiques du cancer du foie. De cette manière, les cellules T CD8 du patient lui-même pourront être induites à détruire de manière spécifique les cellules cancéreuses. Un nouveau type de lymphocytes T a été récemment découvert: les lymphocytes NKT. Quand ils reconnaissent un glycolipide présenté par la molécule CD1d, ils sont capables, de manière encore incomprise, d'initier, d'augmenter, ou à l'inverse d'inhiber la défense immunitaire. Ces cellules NKT ont démontré qu'elles jouent un rôle important dans la défense contre les tumeurs et particulièrement dans le foie des souris. Nous avons étudié les cellules NKT de patients atteints d'une tumeur dans le foie, afin de comprendre pourquoi elles ne sont pas assez protectrice chez l'homme. Les lymphocytes NKT peuvent être sous-divisés en 3 populations: Les CD4, les DN (CD4-/CD8-) et les CD8. Ces 3 classes de NKT peuvent produire différents signaux chimiques appelés cytokines. Contrairement aux cellules NKT DN ou CDS, seules les cellules NKT CD4 sont capables de produire des cytokines qui sont défavorables pour la défense anti-tumorale. Par ailleurs nous avons trouvé que les cellules NKT CD4 tuent moins bien les cellules cancéreuses que les cellules NKT DN ou CD8. L'analyse des cellules NKT, fraîchement extraites du sang, du foie et de la tumeur de patients a révélé que les cellules NKT CD4 sont progressivement enrichies du sang vers le foie et la tumeur. La large prédominance des NKT CD4 à l'intérieur des tumeurs suggère que, chez l'homme, ces cellules sont inappropriées pour la lutte anti-tumorale. Par ailleurs, la plupart des cellules NKT de patients n'étaient pas capables de produire des cytokines après stimulation avec un antigène. Cela explique également pourquoi ces cellules ne protègent pas contre les tumeurs dans le foie.
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RESUME Objectif : Les lymphomes épiduraux primaires représentent moins de 10% des tumeurs épidurales et de 0,1 à 3,3% de tous les lymphomes. Le but de cette étude a été d'évaluer le profil clinique de cette maladie rare, son traitement, ses résultats ainsi que ses facteurs de pronostic. Matériel et méthode : Entre 1982 et 2002, 52 patients présentant un lymphome épidural primaire ont été traités dans neuf institutions membres du Rare Cancer Network. Les critères d'inclusion comprenaient : une biopsie confirmant le lymphome non-hodgkinien, un stade IE et IIE selon la classification de Ann Arbor, un traitement à visée curative de radiothérapie combinée ou non à une chimiothérapie et un suivi d'au moins six mois. Selon la Working Formulation, 12 patients (23%) présentaient un lymphome de bas grade, 28 (54%) un grade intermédiaire et 12 (23%) un haut grade. Les hommes étaient atteints 1.9 fois plus fréquemment que les femmes. L'âge moyen était de 61 ans (intervalle : 21 à 96). Le bilan incluait un Ct-scan spinal (98%), une IRM (52%), un CT-scan thoraco-abdominal (77%) et une aspiration ou biopsie de moelle osseuse (96%). Les symptômes les plus fréquents comprenaient des douleurs dorsales (79% des patients), une faiblesse musculaire (92%) et des déficits sensoriels (71 %). Quarante-huit patients ont subi une laminectomie de décompression avec résection partielle ou complète (42% et 13% des cas respectivement), tous ont reçu une radiothérapie seule (20 patients) ou en combinaison avec une chimiothérapie (32 patients). La dose médiane totale était de 36 Gy (intervalle 6-50 Gy) avec une moyenne de 20 Gy par fraction (intervalle : 1-25). Le suivi moyen était de 71 mois (intervalle : 22-165 mois). Résultats : Suite au traitement, une progression locale a été observée chez 6 patients après un temps de latence moyen de 6 mois. Le taux de rechute systémique a été de 42% (22 patients) le plus souvent dans les ganglions lymphatiques (n=9) après un intervalle de temps moyen de 20 mois. Lors du dernier contrôle, 28 patients étaient vivants et 24 patients étaient décédés. Le taux de survie à 5 ans, le taux de survie sans maladie et le contrôle local étaient de 69%, 57% et 88% respectivement. En analyse univariée, les facteurs pronostics favorables statistiquement significatifs concernant la survie sans maladie étaient un âge inférieur à 63 ans, ainsi qu'une réponse neurologique complète. Pour la survie à 5 ans, les facteurs favorables étaient un âge inférieur à 63 ans. En analyse multivariée, les facteurs pronostics favorables pour la survie globale à 5 ans étaient une réponse neurologique complète, un traitement combiné, un volume de radiothérapie plus que focal, une dose totale de radiothérapie supérieure à 36 Gy et une résection partielle ou complète de la tumeur. En ce qui concerne la survie sans maladie, les facteurs pronostics favorables étáient un âge inférieur à 63 ans et un traitement combiné. Conclusion : Ce qui ressort de cette analyse est que le bilan diagnostic devrait inclure une IRM ou un CT-scan, un échantillon de tissu pour poser le diagnostic pathologique définitif de la lésion, une histoire médicale et un examen physique complet, une chimie sanguine, un CTscan thoraco-abdominal et une biopsie de la moelle osseuse, un PET-scan devrait également faire partie du bilan. Le traitement devrait consister, dans la phase aiguë, en une chirurgie de décompression avec ou sans résection, suivie d'une radiothérapie d'au moins 36Gy en 2 Gy par fraction et d'une chimiothérapie. Tous les patients présentant un lymphome de haut grade ou de grade intermédiaire devraient pouvoir bénéficier d'un traitement combiné.
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Historically, it has been difficult to monitor the acute impact of anticancer therapies on hematopoietic organs on a whole-body scale. Deeper understanding of the effect of treatments on bone marrow would be of great potential value in the rational design of intensive treatment regimens. 3'-deoxy-3'-(18)F-fluorothymidine ((18)F-FLT) is a functional radiotracer used to study cellular proliferation. It is trapped in cells in proportion to thymidine-kinase 1 enzyme expression, which is upregulated during DNA synthesis. This study investigates the potential of (18)F-FLT to monitor acute effects of chemotherapy on cellular proliferation and its recovery in bone marrow, spleen, and liver during treatment with 2 different chemotherapy regimens.
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We present and validate BlastR, a method for efficiently and accurately searching non-coding RNAs. Our approach relies on the comparison of di-nucleotides using BlosumR, a new log-odd substitution matrix. In order to use BlosumR for comparison, we recoded RNA sequences into protein-like sequences. We then showed that BlosumR can be used along with the BlastP algorithm in order to search non-coding RNA sequences. Using Rfam as a gold standard, we benchmarked this approach and show BlastR to be more sensitive than BlastN. We also show that BlastR is both faster and more sensitive than BlastP used with a single nucleotide log-odd substitution matrix. BlastR, when used in combination with WU-BlastP, is about 5% more accurate than WU-BlastN and about 50 times slower. The approach shown here is equally effective when combined with the NCBI-Blast package. The software is an open source freeware available from www.tcoffee.org/blastr.html.
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INTRODUCTION. The role of turbine-based NIV ventilators (TBV) versus ICU ventilators with NIV mode activated (ICUV) to deliver NIV in case of severe respiratory failure remains debated. OBJECTIVES. To compare the response time and pressurization capacity of TBV and ICUV during simulated NIV with normal and increased respiratory demand, in condition of normal and obstructive respiratory mechanics. METHODS. In a two-chamber lung model, a ventilator simulated normal (P0.1 = 2 mbar, respiratory rate RR = 15/min) or increased (P0.1 = 6 mbar, RR = 25/min) respiratory demand. NIV was simulated by connecting the lung model (compliance 100 ml/mbar; resistance 5 or 20 l/mbar) to a dummy head equipped with a naso-buccal mask. Connections allowed intentional leaks (29 ± 5 % of insufflated volume). Ventilators to test: Servo-i (Maquet), V60 and Vision (Philips Respironics) were connected via a standard circuit to the mask. Applied pressure support levels (PSL) were 7 mbar for normal and 14 mbar for increased demand. Airway pressure and flow were measured in the ventilator circuit and in the simulated airway. Ventilator performance was assessed by determining trigger delay (Td, ms), pressure time product at 300 ms (PTP300, mbar s) and inspiratory tidal volume (VT, ml) and compared by three-way ANOVA for the effect of inspiratory effort, resistance and the ventilator. Differences between ventilators for each condition were tested by oneway ANOVA and contrast (JMP 8.0.1, p\0.05). RESULTS. Inspiratory demand and resistance had a significant effect throughout all comparisons. Ventilator data figure in Table 1 (normal demand) and 2 (increased demand): (a) different from Servo-i, (b) different from V60.CONCLUSION. In this NIV bench study, with leaks, trigger delay was shorter for TBV with normal respiratory demand. By contrast, it was shorter for ICUV when respiratory demand was high. ICUV afforded better pressurization (PTP 300) with increased demand and PSL, particularly with increased resistance. TBV provided a higher inspiratory VT (i.e., downstream from the leaks) with normal demand, and a significantly (although minimally) lower VT with increased demand and PSL.
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BACKGROUND: Two long synthetic peptides representing the dimorphic and constant C-terminal domains of the two allelic families of Plasmodium falciparum merozoite surface proteins 2 are considered promising malaria vaccine candidates. The aim of the current study is to characterize the immune response (epitope mapping) in naturally exposed individuals and relate immune responses to the risk of clinical malaria. METHODS: To optimize their construction, the fine specificity of human serum antibodies from donors of different age, sex and living in four distinct endemic regions was determined in ELISA by using overlapping 20 mer peptides covering the two domains. Immune purified antibodies were used in Western blot and immunofluorescence assay to recognize native parasite derivate proteins. RESULTS: Immunodominant epitopes were characterized, and their distribution was similar irrespective of geographic origin, age group and gender. Acquisition of a 3D7 family and constant region-specific immune response and antibody avidity maturation occur early in life while a longer period is needed for the corresponding FC27 family response. In addition, the antibody response to individual epitopes within the 3D7 family-specific region contributes to protection from malaria infection with different statistical weight. It is also illustrated that affinity-purified antibodies against the dimorphic or constant regions recognized homologous and heterologous parasites in immunofluorescence and homologous and heterologous MSP2 and other polypeptides in Western blot. CONCLUSION: Data from this current study may contribute to a development of MSP2 vaccine candidates based on conserved and dimorphic regions thus bypassing the complexity of vaccine development related to the polymorphism of full-length MSP2.
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This factsheet outlines how parents can help their child speak more fluently, without stammering.
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Treatment-resistant hypertension is still common despite the availability of several types of antihypertensive agents acting by different mechanisms. The existence of refractory hypertension should lead to rule out "white-coat hypertension", poor adherence to prescribed drugs as well as classical causes of secondary hypertension such as renal artery stenosis, primary aldosteronism, pheochromocytoma and renal disease. It is also important to consider the possible existence of obstructive sleep apnea or the regular intake of vasopressive drugs or substances.
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Methanolic extracts of the leaves of Atlantia monophylla (Rutaceae) were evaluated for mosquitocidal activity against immature stages of three mosquito species, Culex quinquefasciatus, Anopheles stephensi, and Aedes aegypti in the laboratory.Larvae of Cx. quinquefasciatus and pupae of An. stephensi were found more susceptible, with LC50 values of 0.14 mg/l and 0.05 mg/l, respectively. Insect growth regulating activity of this extract was more pronounced against Ae. aegypti, with EI50 value 0.002 mg/l. The extract was found safe to aquatic mosquito predators Gambusia affinis, Poecilia reticulata, and Diplonychus indicus, with the respective LC50 values of 23.4, 21.3, and 5.7 mg/l. The results indicate that the mosquitocidal effects of the extract of this plant were comparable to neem extract and certain synthetic chemical larvicides like fenthion, methoprene, etc.
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BACKGROUND: Jaffe-Campanacci is a rare syndrome characterised by the association of café-au-lait spots, axillary freckles, multiple non-ossifying fibromas of the long bones and jaw, as well as some features of type 1 neurofibromatosis. There are less than 30 reported cases, and a genetic profile has not yet been determined. Furthermore, it has not been clarified whether it is a subtype of type 1 neurofibromatosis or a separate syndrome. The risk of pathological fracture is over 50%, due to substantial cortical thinning of the weight-bearing bones. CASE PRESENTATION: A 17-year-old female patient, known for type 1 neurofibromatosis, presented with a low-energy distal femoral fracture due to disseminated large non-ossifying fibromas. Investigations revealed all of the distinctive signs of Jaffe-Campanacci syndrome. Both her distal femurs and proximal tibias exhibited multiple non-ossifying fibromas. The fracture was treated by open reduction and internal plate fixation. Some of the bony lesions were biopsied to confirm the diagnosis. The fracture healed eventless, as did the lesions biopsied or involved in the fracture. The other ones healed after curettage and bone grafting performed at the time of plate removal. CONCLUSION: Jaffe-Campanacci is a rare syndrome having unclear interactions with type 1 neurofibromatosis, which still needs to be characterised genetically. It is associated with a high risk of pathological fracture, due to the presence of multiple large non-ossifying fibromas of the long bones, with an expected normal healing time. Curettage and bone grafting promote healing of the lesions and should be considered to prevent pathological fracture. We agree with other authors that all patients with newly-diagnosed type 1 neurofibromatosis should undergo an osseous screening to detect disseminated non-ossifying fibromas, and evaluate the inherent risk of pathological fracture.
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La migraine de l'enfant est paradoxale à plus d'un titre : lors des crises, la douleur est sévère, les enfants sont souvent livides, « cadavériques », incapables de bouger, ils sont obligés de s'allonger dans la pénombre, vomissent parfois massivement, voient, sentent, entendent des « choses bizarres » - correspondant aux auras ; mais ils se réveillent en pleine forme après avoir dormi quelques heures... et tous les examens sont normaux. Alors que 5 à 10 % des enfants sont migraineux, le diagnostic n'est posé que pour une petite partie d'entre eux. La migraine est pourtant la première cause de céphalées intenses récurrentes chez l'enfant, la plupart des professionnels cherchant vainement une cause, et évoquant « les yeux, une gastro, les sinus ou bien une origine psy... ». Cet ouvrage a pour double objectif de présenter l'état de la science (épidémiologie, physiopathologie, génétique...) qui s'est largement enrichi ces dix dernières années et d'apporter aux professionnels des outils concrets pour identifier les céphalées et améliorer la prise en charge des enfants et des adolescents migraineux. Les céphalées de tension, les céphalées chroniques, les syndromes épisodiques associés à la migraine sont aussi détaillés. Illustré de nombreuses vignettes cliniques, cet ouvrage précise les critères diagnostiques, les pièges et les idées fausses ; il décrit comment rechercher les facteurs déclenchants et particulièrement ceux d'origine psychosociale, comment utiliser et combiner les traitements médicamenteux et non médicamenteux (notamment les approches psychothérapeutiques et psychocorporelles). Telle est l'ambition de ce livre, destiné à tous les professionnels confrontés à des enfants et des adolescents migraineux, mais également accessible en grande partie aux familles.
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Purpose:To determine the surgical outcomes of patients undergoing repeat deep sclerectomies with collagen implant (DSCI) at a tertiary referral centre. Methods:The medical notes of 208 patients undergoing multiple DSCI were reviewed. Those undergoing repeat DSCI were identified and post operative data for each DSCI were analysed. Group A: the first DSCI; group B: second DSCI; group C: third DSCI. Results:Mean age was 66.8 ±13.0 years. At 12 months, percentage of mean IOP reduction in groups were 18%, 24% and 17% respectively. Mean interval to starting glaucoma medications, re-operation, mitomycin injection and goniopuncture all decreased as the number of operations increased. There was a significant reduction in complete success rates between groups A and B and groups B and C. Few minor complications were observed in all 3 groups. Conclusions:Despite the possibility of bleb independent outflow pathways in patients undergoing non-penetrating surgery, there are significantly reduced success rates in eyes undergoing repeat DSCI. This has important implications for the choice of subsequent operations in patients who have failed non-penetrating filtration surgery.