981 resultados para Zalt (Peeter Willem). inscription dans un album (1598)


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L'illustration de la plupart des manuscrits de la Suite Vulgate met l'accent sur l'intervention prophétique de Merlin et sur l'accomplissement des désastres qu'il annonce au roi de Jérusalem Flualis, replaçant l'épisode dans une série de passages où Merlin fait la démonstration de ses pouvoirs surnaturels et de sa capacité à interpréter les songes. Pourtant, dans un petit groupe d'ouvrages, l'illustration se focalise sur la conversion ultime de Flualis et de sa femme, insistant sur le caractère exemplaire et édifiant d'un épisode qui propose une résolution des relations entre païens et chrétiens différente de celles habituellement mises en scène dans l'univers à coloration épique de la continuation.

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La tête du roi Lancelot l'Ancien, l'aïeul du chevalier Lancelot, assassiné par le duc de Belle Garde, est plongée dans une fontaine merveilleuse bouillonnante, tandis que son corps, gardé par deux lions, est conservé dans un tombeau extraordinaire dont suintent des gouttes de sang aux propriétés curatives. Sur le plan textuel, les références aux merveilles qui suivent la mort de Lancelot l'Ancien dans l'Estoire del saint Graal, le Lancelot et la Queste del Saint Graal témoignent de la construction du cycle du Lancelot-Graal par l'intégration d'une dimension à la fois historique et généalogique. Or l'iconographie des manuscrits enluminés du cycle du Graal privilégie davantage la mise en série d'épisodes apparentés que la construction d'une logique véritablement cyclique. Le remploi de compositions ou de motifs iconographiques renforce la cohérence de l'univers chevaleresque et merveilleux ainsi créé sans pour autant impliquer d'effet de circularité.

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Cette étude propose de réaliser une lecture du chouriço, une confiture faite avec du sang, fabriquée et consommée dans tout le Seridó potiguar. Grace à l observation ethnographique réalisée entre 2003 et 2007, nous découvrons une économie domestique, une organisation sociale, des formes de sociabilité et de solidarité contruites autour de l élevage des porcs et des pratiques culinaires. Cette observation a aussi révélé un style alimentaire, des discours, des perceptions, des goûts et des comportements relatifs à la consommation de la confiture qui résultent, em grande partie, de la relation dynamique entre une norme idéalisée et des pratiques observées qui ont montré des tensions et des contradictions entre ce qui est dit et ce qui est fait. Avec l étude du chouriço, nous reálisons une lecture de la culture alimentaire; notre intention a été de problématiser l applicabilité des normes sociales et leur inscription dans la réalité. Ainsi, em faisant une analyse simbolique du chouriço, nous considérons ensemble les aspects sociaux et symboliques et nous décrivons comment les habitants du Seridó pensent leur alimentation en corrélation avec les pratiques alimentaires et les formes de sociabilité. L étude a révélé que les príncipes de confiance et d interconnaissance, fondés sur les liens sociaux, structurent les relations constituées autour de l élevage des porcs et de la production, de la distribution et de la consommation du chouriço. D un point de vue symbolique, le sang est central dans le style alimentaire: il apparaît comme une anti-nourriture et révèle des prohibitions et des transgressions. La contrastivité entre les pratiques et les discours est en relation directe avec la nature du chouriço, fait avec le sang du porc et considéré comme un dessert

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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)

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L'existence de variantes et de quasi-synonymes terminologiques dans un même domaine est une réalité constatée par plusieurs études en terminologie descriptive. Les termes techniques/scientifiques coexistent avec les variantes populaires, régionales, orthographiques, syntaxiques et autres. En analysant certains dictionnaires terminologiques spécialisés en médecine, nous avons remarqué que les variantes et les quasi-synonymes ne font pas l'objet d'un traitement terminographique et ne participent donc pas de la nomenclature. Il est ainsi difficile à quelqu'un qui ne connaît que l'une de ces unités terminologiques d'entrer dans ces ouvrages et d'avoir accès à l'information désirée. Dans cet article nous faisons une analyse du traitement terminographique donné aux variantes et aux quasi-synonymes terminologiques dans certains dictionnaires de médecine, plus spécifiquement dans certains ouvrages de dermatologie, et présentons une proposition d'organisation du système de renvois qui prend en considération l'existence de plusieurs termes pour désigner un même concept.

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In the 90s, the Brazilian Secretariat of the Special Education Department has expanded the democratization of education and pupils’ access to schooling, by redefi ning the operation of special education services. With this inclusion policy, the education system has been restructured. An important action, conducted during the period de 2005 to 2010, was to propose, deploy and implement Multifunctional Resources Rooms (Sala de recursos multifuncionais, or SRM), from two different types (type I and II). The challenge was to promote educational inclusion, in a program entitled Inclusive Education: the right to diversity. In a seek for new identity of teacher training and professional practice in special education, the great educational innovation is to better articulate the work of “ordinary“ and specialized teachers, via the SRM, and to develop collective and participatory actions between common spaces and support spaces. In this context, the school and the family represent an important source of partnership.

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La tesi di ricerca si propone di esaminare due tipologie della canzone sociale nel XIX secolo, ed in particolare attorno al 1848. Lo studio del canto nei contesti presi in esame (l’Italia e la Francia) viene analizzato attraverso due piste di ricerca parallele tra loro. Da una parte si è utilizzato il concetto di sociabilité per conoscere i luoghi di produzione e di diffusione del canto (l’importanza della strada, dell’osteria, delle goguette parigine, degli chansonniers des rues e dei cantastorie) e le circostanze di utilizzazione della canzone (la canzone in quanto forma d’espressione orale ma anche come scrittura murale, foglio volante e volantino). Dall’altra l’analisi si è focalizzata sui contenuti dei testi musicali per mette in luce le differenti tematiche, le immagini linguistiche e le figure retoriche cantate dall’artigiano-operaio per far emergere le differenze dell’idea di nazione tra i due contesti presi in esame. L’attenzione posta alla comparazione condurrà all’evidenziazione di punti di contatto tra le due nazioni. Il canto, infatti, costituisce un terreno privilegiato per comprendere l’immagine dell’“altro”: quale immagine possedevano i lavoratori francesi dell’Italia risorgimentale? E gli artigiani italiani come percepivano la nazione francese? Il canto viene analizzato non solamente come un “testo” ma anche come una “pratica sociale”. Queste operazioni permetteranno di sondare più in profondità la funzione sociale svolta dalla canzone all’interno della cultura popolare e la sua importanza in quanto forma d’espressione e vettore di politicizzazione. La duplice utilizzazione del canto, in quanto “testo” e “pratica”, consente di inserire la ricerca all’interno di un filone storiografico che dalla storia sociale si muove a quella culturale. La canzone sociale rappresenta un fertile terreno di ricerca, non solamente all’interno di un singolo territorio nazionale, ma possiede un prezioso valore euristico in funzione comparativa.

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Ce mémoire propose d’étudier le phénomène des interférences linguistiques qui se vérifient lors de l’apprentissage du français langue étrangère (FLE). Après avoir apporté quelques notions historico-théoriques de la grammaire et de la didactique, nous nous pencherons sur la question des interférences linguistiques à travers une étude de cas spécifique portant sur des apprenants italophones et sinophones de niveau B1 selon le Cadre Européen Commun de Référence pour les langues. Il s’agit de réfléchir, à travers cette analyse, au rôle de la grammaire dans un contexte d’enseignement/apprentissage de la langue française où l’origine de l’apprenant influence l’approche à la langue étrangère et est source d’interférences linguistiques. En dernier lieu, nous tirerons les conclusions de l’analyse sur le plan didactique.

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Le rôle du traducteur est de permettre le dialogue entre deux « mondes autres », de connaître les éléments qui les différencient et de transmettre le message le plus fidèlement possible. Tout dans un texte peut résister à la traduction (vocabulaire, syntaxe, culture). Le but de la traduction est de recréer l’original, tout en sachant que la traduction a ses limites. Quelles sont les limites de la traduction ? Est-il suffisant de bien maîtriser une langue pour pouvoir la traduire ? Est-ce que tous nos mots ont une équivalence dans les autres langues ? Pouvons-nous faire rire l'autre avec les mêmes traits d’humour ? Une traduction, peut-elle transmettre au lecteur ou au spectateur cible toutes les nuances présentes dans le texte ou le film de départ ? Le film français Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu ?3 sera l'objet de notre analyse. Tout comme le film de Dany Boon, il a eu beaucoup de succès en France et il a également été doublé en italien. Il s'agit ici aussi d'un film humoristique qui joue sur les stéréotypes que nous avons sur l'autre, d'où le choix de commenter le doublage et d'imaginer une piste de transposition italienne. Ce mémoire se propose de répondre aux questions posées ci-dessus, tout en proposant des commentaires de traduction et des pistes de transposition. Nous allons développer trois parties : tout d'abord, nous allons voir comment notre vision du monde influence notre langue et, vice versa, comment notre langue crée un ordre dans le monde. Ensuite, nous allons nous concentrer sur l'intraduisible verbal et non verbal, sur la traduction et l'adaptation de l'humour. Enfin, la troisième et dernière partie sera consacrée au thème de la transposition et, plus particulièrement, à la piste transposition du film Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu ?.

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De Mallarmé à la fin du xxe siècle, les œuvres d’avant-garde se situent dans un rapport tensionnel et dialectique à la presse. Jusqu’au surréalisme, la littérature emprunte son modèle à la presse, mais en n’en sélectionnant que certaines caractéristiques, et sans oublier la logique du Livre mallarméen : est ainsi visée une synthèse du livre et du journal, dont Le surréalisme au service de la Révolution constitue l’exemple le plus achevé. Si les œuvres d’assemblage de textes de la deuxième moitié du xxe siècle découlent plutôt du collage, elles intègrent des coupures de presse et permettent non seulement de la critiquer, mais surtout de proposer une « pluritextualité » qui fonctionne autrement que les journaux, et qui pourrait être le modèle d’une presse utopique qui demanderait au lecteur non seulement de s’informer, mais surtout de mettre en relation et en perspective les différentes informations qui lui sont proposées.

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1944/1945 wurde in Cham-Hagendorn eine Wassermühle ausgegraben, die dank ihrer aussergewöhnlich guten Holzerhaltung seit langem einen prominenten Platz in der Forschung einnimmt. 2003 und 2004 konnte die Kantonsarchäologie Zug den Platz erneut archäologisch untersuchen. Dabei wurden nicht nur weitere Reste der Wassermühle, sondern auch Spuren älterer und jüngerer Anlagen geborgen: eine ältere und eine jüngere Schmiedewerkstatt (Horizont 1a/Horizont 3) sowie ein zweiphasiges Heiligtum (Horizonte 1a/1b). All diese Anlagen lassen sich nun in das in den neuen Grabungen erkannte stratigraphische Gerüst einhängen (s. Beil. 2). Dank der Holzerhaltung können die meisten Phasen dendrochronologisch datiert werden (s. Abb. 4.1/1a): Horizont 1a mit Schlagdaten zwischen 162(?)/173 und 200 n. Chr., Horizont 1b um 215/218 n. Chr. und Horizont 2 um 231 n. Chr. Ferner konnten in den neuen Grabungen Proben für mikromorphologische und archäobotanische Untersuchungen entnommen werden (Kap. 2.2; 3.11). In der vorliegenden Publikation werden der Befund und die Baustrukturen vorgelegt, (Kap. 2), desgleichen sämtliche stratifizierten Funde und eine umfassende Auswahl der 1944/1945 geborgenen Funde (Kap. 3). Dank anpassender Fragmente, sog. Passscherben, lassen sich diese zum Teil nachträglich in die Schichtenabfolge einbinden. Die mikromorphologischen und die archäobotanischen Untersuchungen (Kap. 2.2; 3.11) zeigen, dass der Fundplatz in römischer Zeit inmitten einer stark vom Wald und dem Fluss Lorze geprägten Landschaft lag. In unmittelbarer Nähe können weder eine Siedlung noch einzelne Wohnbauten gelegen haben. Die demnach nur gewerblich und sakral genutzten Anlagen standen an einem Bach, der vermutlich mit jenem Bach identisch ist, der noch heute das Groppenmoos entwässert und bei Cham-Hagendorn in die Lorze mündet (s. Abb. 2.4/1). Der antike Bach führte wiederholt Hochwasser ─ insgesamt sind fünf grössere Überschwemmungsphasen auszumachen (Kap. 2.2; 2.4). Wohl anlässlich eines Seehochstandes durch ein Überschwappen der Lorze in den Bach ausgelöst, müssen diese Überschwemmungen eine enorme Gewalt entwickelt haben, der die einzelnen Anlagen zum Opfer fielen. Wie die Untersuchung der Siedlungslandschaft römischer Zeit rund um den Zugersee wahrscheinlich macht (Kap. 6 mit Abb. 6.2/2), dürften die Anlagen von Cham-Hagendorn zu einer in Cham-Heiligkreuz vermuteten Villa gehören, einem von fünf grösseren Landgütern in diesem Gebiet. Hinweise auf Vorgängeranlagen fehlen, mit denen die vereinzelten Funde des 1. Jh. n. Chr. (Kap. 4.5) in Verbindung gebracht werden könnten. Diese dürften eher von einer der Überschwemmungen bachaufwärts weggerissen und nach Cham-Hagendorn eingeschwemmt worden sein. Die Nutzung des Fundplatzes (Horizont 1a; s. Beil. 6) setzte um 170 n. Chr. mit einer Schmiedewerkstatt ein (Kap. 2.5.1). Der Fundanfall, insbesondere die Schmiedeschlacken (Kap. 3.9) belegen, dass hier nur hin und wieder Geräte hergestellt und repariert wurden (Kap. 5.2). Diese Werkstatt war vermutlich schon aufgelassen und dem Verfall preisgegeben, als man 200 n. Chr. (Kap. 4.2.4) auf einer Insel zwischen dem Bach und einem Lorzearm ein Heiligtum errichtete (Kap. 5.3). Beleg für den sakralen Status dieser Insel ist in erster Linie mindestens ein eigens gepflanzter Pfirsichbaum, nachgewiesen mit Pollen, einem Holz und über 400 Pfirsichsteinen (Kap. 3.11). Die im Bach verlaufende Grenze zwischen dem sakralen Platz und der profanen Umgebung markierte man zusätzlich mit einer Pfahlreihe (Kap. 2.5.3). In diese war ein schmaler Langbau integriert (Kap. 2.5.2), der an die oft an Temenosmauern antiker Heiligtümer angebauten Portiken erinnert und wohl auch die gleiche Funktion wie diese gehabt hatte, nämlich das Aufbewahren von Weihegaben und Kultgerät (Kap. 5.3). Das reiche Fundmaterial, das sich in den Schichten der ersten Überschwemmung fand (s. Abb. 5./5), die um 205/210 n. Chr. dieses Heiligtum zerstört hatte, insbesondere die zahlreiche Keramik (Kap. 3.2.4), und die zum Teil auffallend wertvollen Kleinfunde (Kap. 3.3.3), dürften zum grössten Teil einst in diesem Langbau untergebracht gewesen sein. Ein als Glockenklöppel interpretiertes, stratifiziertes Objekt spricht dafür, dass die fünf grossen, 1944/1945 als Stapel aufgefundenen Eisenglocken vielleicht auch dem Heiligtum zuzuweisen sind (Kap. 3.4). In diesen Kontext passen zudem die überdurchschnittlich häufig kalzinierten Tierknochen (Kap. 3.10). Nach der Überschwemmung befestigte man für 215 n. Chr. (Kap. 4.2.4) das unterspülte Bachufer mit einer Uferverbauung (Kap. 2.6.1). Mit dem Bau eines weiteren, im Bach stehenden Langbaus (Kap. 2.6.2) stellte man 218 n. Chr. das Heiligtum auf der Insel in ähnlicher Form wieder her (Horizont 1b; s. Beil. 7). Von der Pfahlreihe, die wiederum die sakrale Insel von der profanen Umgebung abgrenzte, blieben indes nur wenige Pfähle erhalten. Dennoch ist der sakrale Charakter der Anlage gesichert. Ausser dem immer noch blühenden Pfirsichbaum ist es ein vor dem Langbau aufgestelltes Ensemble von mindestens 23 Terrakottafigurinen (s. Abb. 3.6/1), elf Veneres, zehn Matres, einem Jugendlichen in Kapuzenmantel und einem kindlichen Risus (Kap. 3.6; s. auch Kap. 2.6.3). In den Sedimenten der zweiten Überschwemmung, der diese Anlage um 225/230 n. Chr. zum Opfer gefallen war, fanden sich wiederum zahlreiche Keramikgefässe (Kap. 3.2.4) und zum Teil wertvolle Kleinfunde wie eine Glasperle mit Goldfolie (Kap. 3.8.2) und eine Fibel aus Silber (Kap. 3.3.3), die wohl ursprünglich im Langbau untergebracht waren (Kap. 5.3.2 mit Abb. 5/7). Weitere Funde mit sicherem oder möglichem sakralem Charakter finden sich unter den 1944/1945 geborgenen Funden (s. Abb. 5/8), etwa ein silberner Fingerring mit Merkurinschrift, ein silberner Lunula-Anhänger, eine silberne Kasserolle (Kap. 3.3.3), eine Glasflasche mit Schlangenfadenauflage (Kap. 3.8.2) und einige Bergkristalle (Kap. 3.8.4). Im Bereich der Terrakotten kamen ferner mehrere Münzen (Kap. 3.7) zum Vorschein, die vielleicht dort niedergelegt worden waren. Nach der zweiten Überschwemmung errichtete man um 231 n. Chr. am Bach eine Wassermühle (Horizont 2; Kap. 2.7; Beil. 8; Abb. 2.7/49). Ob das Heiligtum auf der Insel wieder aufgebaut oder aufgelassen wurde, muss mangels Hinweisen offen bleiben. Für den abgehobenen Zuflusskanal der Wassermühle verwendete man mehrere stehen gebliebene Pfähle der vorangegangenen Anlagen der Horizonte 1a und 1b. Obwohl die Wassermühle den 28 jährlichen Überschwemmungshorizonten (Kap. 2.2) und den Funden (Kap. 4.3.2; 4.4.4; 45) zufolge nur bis um 260 n. Chr., während gut einer Generation, bestand, musste sie mindestens zweimal erneuert werden – nachgewiesen sind drei Wasserräder, drei Mühlsteinpaare und vermutlich drei Podeste, auf denen jeweils das Mahlwerk ruhte. Grund für diese Umbauten war wohl der weiche, instabile Untergrund, der zu Verschiebungen geführt hatte, so dass das Zusammenspiel von Wellbaum bzw. Sternnabe und Übersetzungsrad nicht mehr funktionierte und das ganze System zerbrach. Die Analyse von Pollen aus dem Gehhorizont hat als Mahlgut Getreide vom Weizentyp nachgewiesen (Kap. 3.11.4). Das Abzeichen eines Benefiziariers (Kap. 3.3.2 mit Abb. 3.3/23,B71) könnte dafür sprechen, dass das verarbeitete Getreide zumindest zum Teil für das römische Militär bestimmt war (s. auch Kap. 6.2.3). Ein im Horizont 2 gefundener Schreibgriffel und weitere stili sowie eine Waage für das Wägen bis zu 35-40 kg schweren Waren aus dem Fundbestand von 1944/1945 könnten davon zeugen, dass das Getreide zu wägen und zu registrieren war (Kap. 3.4.2). Kurz nach 260 n. Chr. fiel die Wassermühle einem weiteren Hochwasser zum Opfer. Für den folgenden Horizont 3 (Beil. 9) brachte man einen Kiesboden ein und errichtete ein kleines Gebäude (Kap. 2.8). Hier war wohl wiederum eine Schmiede untergebracht, wie die zahlreichen Kalottenschlacken belegen (Kap. 3.9), die im Umfeld der kleinen Baus zum Vorschein kamen. Aufgrund der Funde (Kap. 4.4.4; 4.5) kann diese Werkstatt nur kurze Zeit bestanden haben, höchstens bis um 270 n. Chr., bevor sie einem weiteren Hochwasser zum Opfer fiel. Von der jüngsten Anlage, die wohl noch in römische Zeit datiert (Horizont 4; Beil. 10), war lediglich eine Konstruktion aus grossen Steinplatten zu fassen (Kap. 2.9.1). Wozu sie diente, muss offen bleiben. Auch der geringe Fundanfall spricht dafür, dass die Nutzung des Platzes, zumindest für die römische Zeit, allmählich ein Ende fand (Kap. 4.5). Zu den jüngsten Strukturen gehören mehrere Gruben (Kap. 2.9.2), die vielleicht der Lehmentnahme dienten. Mangels Funden bleibt ihre Datierung indes ungewiss. Insbesondere wissen wir nicht, ob sie noch in römische Zeit datieren oder jünger sind. Spätestens mit der fünften Überschwemmung, die zur endgültigen Verlandung führte und wohl schon in die frühe Neuzeit zu setzen ist, wurde der Platz aufgelassen und erst mit dem Bau der bestehenden Fensterfabrik Baumgartner wieder besetzt.