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Purpose: Microphthalmia and anophthalmia are at the severe end of the spectrum of abnormalities in ocular development. A few genes (orthodenticle homeobox 2 [OTX2], retina and anterior neural fold homeobox [RAX], SRY-box 2 [SOX2], CEH10 homeodomain-containing homolog [CHX10], and growth differentiation factor 6 [GDF6]) have been implicated mainly in isolated micro/anophthalmia but causative mutations of these genes explain less than a quarter of these developmental defects. The essential role of the LIM homeobox 2 (LHX2) transcription factor in early eye development has recently been documented. We postulated that mutations in this gene could lead to micro/anophthalmia, and thus performed molecular screening of its sequence in patients having micro/anophthalmia. Methods: Seventy patients having non-syndromic forms of colobomatous microphthalmia (n=25), isolated microphthalmia (n=18), or anophthalmia (n=17), and syndromic forms of micro/anophthalmia (n=10) were included in this study after negative molecular screening for OTX2, RAX, SOX2, and CHX10 mutations. Mutation screening of LHX2 was performed by direct sequencing of the coding sequences and intron/exon boundaries. Results: Two heterozygous variants of unknown significance (c.128C > G [p.Pro43Arg]; c.776C > A [p.Pro259Gln]) were identified in LHX2 among the 70 patients. These variations were not identified in a panel of 100 control patients of mixed origins. The variation c.776C > A (p.Pro259Gln) was considered as non pathogenic by in silico analysis, while the variation c.128C > G (p.Pro43Arg) considered as deleterious by in silico analysis and was inherited from the asymptomatic father. Conclusions: Mutations in LHX2 do not represent a frequent cause of micro/anophthalmia.
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Misfolded polypeptide monomers may be regarded as the initial species of many protein aggregation pathways, which could accordingly serve as primary targets for molecular chaperones. It is therefore of paramount importance to study the cellular mechanisms that can prevent misfolded monomers from entering the toxic aggregation pathway and moreover rehabilitate them into active proteins. Here, we produced two stable misfolded monomers of luciferase and rhodanese, which we found to be differently processed by the Hsp70 chaperone machinery and whose conformational properties were investigated by biophysical approaches. In spite of their monomeric nature, they displayed enhanced thioflavin T fluorescence, non-native β-sheets, and tertiary structures with surface-accessible hydrophobic patches, but differed in their conformational stability and aggregation propensity. Interestingly, minor structural differences between the two misfolded species could account for their markedly different behavior in chaperone-mediated unfolding/refolding assays. Indeed, only a single DnaK molecule was sufficient to unfold by direct clamping a misfolded luciferase monomer, while, by contrast, several DnaK molecules were necessary to unfold the more resistant misfolded rhodanese monomer by a combination of direct clamping and cooperative entropic pulling.
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We previously showed that exposure of 3D organotypic rat brain cell cultures to 1mM 2-methylcitrate (2-MCA) or 3-hydroxyglutarate (3- OHGA) every 12h over three days (DIV11-DIV14) results in ammonium accumulation and cell death. The aim of this study was to define the time course (every 24h) of the observed effects. Ammonium in culture medium already increased at DIV12 staying stable on the following days under 3-OHGA exposure, while it increased consecutively up to much higher levels under 2-MCA exposure. Lactate increase and glucose decrease were observed from DIV13 and DIV14, respectively. We conclude that ammonium accumulation precedes alterations of energy metabolism. As observed by immunohistochemistry glial cells were the predominant dying cells. Immunoblotting and immunohistochemistry with cell death specific markers (caspase-3, alpha-fodrin, LC3) showed that 2-MCA exposure significantly increased apoptosis on DIV14, but did not alter autophagy or necrosis. In contrast, 3-OHGA exposure substantially increased necrosis already from DIV13, while no change was observed for apoptosis and autophagy. In conclusion, ammonium accumulation, secondary disturbance of energy metabolism and glial cell death are involved in the neuropathogenesis ofmethylmalonic aciduria and glutaric aciduria type I. Interestingly, brain cells are dying by necrosis under 3-OHGA exposure and by apoptosis under 2-MCA exposure.
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Rapport de synthèseLe syndrome d'apnées obstructives du sommeil (SAOS) est une pathologie respiratoire fréquente. Sa prévalence est estimée entre 2 et 5% de la population adulte générale. Ses conséquences sont importantes. Notamment, une somnolence diurne, des troubles de la concentration, des troubles de la mémoire et une augmentation du risque d'accident de la route et du travail. Il représente également un facteur de risque cardiovasculaire indépendant.Ce syndrome est caractérisé par la survenue durant le sommeil d'obstructions répétées des voies aériennes supérieures. L'arrêt ou la diminution d'apport en oxygène vers les poumons entraîne des épisodes de diminution de la saturation en oxygène de l'hémoglobine. Les efforts ventilatoires visant à lever l'obstacle présent sur les voies aériennes causent de fréquents réveils à l'origine d'une fragmentation du sommeil.La polysomnographie (PSG) représente le moyen diagnostic de choix. Il consiste en l'enregistrement dans un laboratoire du sommeil et en présence d'un technicien diplômé, du tracé électroencéphalographique (EEG), de l'électrooculogramme (EOG), de l'électromyogramme mentonnier (EMG), du flux respiratoire nasal, de l'oxymétrie de pouls, de la fréquence cardiaque, de l'électrocardiogramme (ECG), des mouvements thoraciques et abdominaux, de la position du corps et des mouvements des jambes. L'examen est filmé par caméra infrarouge et les sons sont enregistrés.Cet examen permet entre autres mesures, de déterminer les événements respiratoires obstructifs nécessaires au diagnostic de syndrome d'apnée du sommeil. On définit une apnée lors d'arrêt complet du débit aérien durant au moins 10 secondes et une hypopnée en cas, soit de diminution franche de l'amplitude du flux respiratoire supérieure à 50% durant au moins 10 secondes, soit de diminution significative (20%) de l'amplitude du flux respiratoire pendant au minimum 10 secondes associée à un micro-éveil ou à une désaturation d'au moins 3% par rapport à la ligne de base. La détection des micro-éveils se fait en utilisant les dérivations électroencéphalographiques, électromyographiques et électrooculographiques. Il existe des critères visuels de reconnaissance de ces éveils transitoire: apparition de rythme alpha (8.1 à 12.0 Hz) ou beta (16 à 30 Hz) d'une durée supérieure à 3 secondes [20-21].Le diagnostic de S AOS est retenu si l'on retrouve plus de 5 événements respiratoires obstructifs par heure de sommeil associés soit à une somnolence diurne évaluée selon le score d'Epworth ou à au moins 2 symptômes parmi les suivants: sommeil non réparateur, étouffements nocturne, éveils multiples, fatigue, troubles de la concentration. Le S AOS est gradué en fonction du nombre d'événements obstructifs par heure de sommeil en léger (5 à 15), modéré (15 à 30) et sévère (>30).La polysomnographie (PSG) comporte plusieurs inconvénients pratiques. En effet, elle doit être réalisée dans un laboratoire du sommeil avec la présence permanente d'un technicien, limitant ainsi son accessibilité et entraînant des délais diagnostiques et thérapeutiques. Pour ces mêmes raisons, il s'agit d'un examen onéreux.La polygraphie respiratoire (PG) représente l'alternative diagnostique au gold standard qu'est l'examen polysomnographique. Cet examen consiste en l'enregistrement en ambulatoire, à savoir au domicile du patient, du flux nasalrespiratoire, de l'oxymétrie de pouls, de la fréquence cardiaque, de la position du corps et du ronflement (par mesure de pression).En raison de sa sensibilité et sa spécificité moindre, la PG reste recommandée uniquement en cas de forte probabilité de SAOS. Il existe deux raisons principales à l'origine de la moindre sensibilité de l'examen polygraphique. D'une part, du fait que l'état de veille ou de sommeil n'est pas déterminé avec précision, il y a dilution des événements respiratoires sur l'ensemble de l'enregistrement et non sur la période de sommeil uniquement. D'autre part, en l'absence de tracé EEG, la quantification des micro-éveils est impossible. Il n'est donc pas possible dans l'examen poly graphique, de reconnaître une hypopnée en cas de diminution de flux respiratoire de 20 à 50% non associée à un épisode de désaturation de l'hémoglobine de 3% au moins. Alors que dans l'examen polysomnographique, une telle diminution du flux respiratoire pourrait être associée à un micro-éveil et ainsi comptabilisée en tant qu'hypopnée.De ce constat est né la volonté de trouver un équivalent de micro-éveil en polygraphie, en utilisant les signaux à disposition, afin d'augmenter la sensibilité de l'examen polygraphique.Or plusieurs études ont démontrés que les micro-éveils sont associés à des réactions du système nerveux autonome. Lors des micro-éveils, on met en évidence la survenue d'une vasoconstriction périphérique. La variation du tonus sympathique associée aux micro-éveils peut être mesurée par différentes méthodes. Les variations de l'amplitude de l'onde de pouls mesurée par pulsoxymétrie représentant un marqueur fiable de la vasoconstriction périphérique associée aux micro-réveils, il paraît donc opportun d'utiliser ce marqueur autonomique disponible sur le tracé des polygraphies ambulatoires afin de renforcer la sensibilité de cet examen.Le but de l'étude est d'évaluer la sensibilité des variations de l'amplitude de l'onde de pouls pour détecter des micro-réveils corticaux afin de trouver un moyen d'augmenter la sensibilité de l'examen polygraphique et de renforcer ainsi sont pouvoir diagnostic.L'objectif est de démontrer qu'une diminution significative de l'amplitude de l'onde pouls est concomitante à une activation corticale correspondant à un micro¬réveil. Cette constatation pourrait permettre de déterminer une hypopnée, en polygraphie, par une diminution de 20 à 50% du flux respiratoire sans désaturation de 3% mais associée à une baisse significative de l'amplitude de pouls en postulant que l'événement respiratoire a entraîné un micro-réveil. On retrouve par cette méthode les mêmes critères de scoring d'événements respiratoires en polygraphie et en polysomnographie, et l'on renforce la sensibilité de la polygraphie par rapport au gold standard polysomnographique.La méthode consiste à montrer en polysomnographie qu'une diminution significative de l'amplitude de l'onde de pouls mesurée par pulsoxymétrie est associée à une activation du signal électroencéphalographique, en réalisant une analyse spectrale du tracé EEG lors des baisses d'amplitude du signal d'onde de pouls.Pour ce faire nous avons réalisé une étude rétrospective sur plus de 1000 diminutions de l'amplitude de l'onde de pouls sur les tracés de 10 sujets choisis de manière aléatoire parmi les patients référés dans notre centre du sommeil (CIRS) pour suspicion de trouble respiratoire du sommeil avec somnolence ou symptomatologie diurne.Les enregistrements nocturnes ont été effectués de manière standard dans des chambres individuelles en utilisant le système d'acquisition Embla avec l'ensemble des capteurs habituels. Les données ont été par la suite visuellement analysées et mesurées en utilisant le software Somnologica version 5.1, qui fournit un signal de l'amplitude de l'onde de pouls (puise wave amplitude - PWA).Dans un premier temps, un technicien du sommeil a réalisé une analyse visuelle du tracé EEG, en l'absence des données du signal d'amplitude d'onde de pouls. Il a déterminé les phases d'éveil et de sommeil, les stades du sommeil et les micro¬éveils selon les critères standards. Les micro-éveils sont définis lors d'un changement abrupt dans la fréquence de l'EEG avec un pattern d'ondes thêta-alpha et/ou une fréquence supérieure à 16 Hz (en l'absence de fuseau) d'une durée d'au minimum trois secondes. Si cette durée excède quinze secondes, l'événement correspond à un réveil.Puis, deux investigateurs ont analysé le signal d'amplitude d'onde de pouls, en masquant les données du tracé EEG qui inclut les micro-éveils. L'amplitude d'onde de pouls est calculée comme la différence de valeur entre le zénith et le nadir de l'onde pour chaque cycle cardiaque. Pour chaque baisse de l'amplitude d'onde de pouls, la plus grande et la plus petite amplitude sont déterminées et le pourcentage de baisse est calculé comme le rapport entre ces deux amplitudes. On retient de manière arbitraire une baisse d'au moins 20% comme étant significative. Cette limite a été choisie pour des raisons pratiques et cliniques, dès lors qu'elle représentait, à notre sens, la baisse minimale identifiable à l'inspection visuelle. Chaque baisse de PWA retenue est divisée en 5 périodes contiguës de cinq secondes chacune. Deux avant, une pendant et deux après la baisse de PWA.Pour chaque période de cinq secondes, on a pratiqué une analyse spectrale du tracé EEG correspondant. Le canal EEG C4-A1 est analysé en utilisant la transformée rapide de Fourier (FFT) pour chaque baisse de PWA et pour chaque période de cinq secondes avec une résolution de 0.2 Hz. La distribution spectrale est catégorisée dans chaque bande de fréquence: delta (0.5 à 4.0 Hz); thêta (4.1 à 8.0Hz); alpha (8.1 à 12.0 Hz); sigma (12.1 à 16 Hz) et beta (16.1 à 30.0 Hz). La densité de puissance (power density, en μΥ2 ) pour chaque bande de fréquence a été calculée et normalisée en tant que pourcentage de la puissance totale. On a déterminé, ensuite, la différence de densité de puissance entre les 5 périodes par ANOVA on the rank. Un test post hoc Tukey est été utilisé pour déterminer si les différences de densité de puissance étaient significatives. Les calculs ont été effectués à l'aide du software Sigmastat version 3.0 (Systat Software San Jose, California, USA).Le principal résultat obtenu dans cette étude est d'avoir montré une augmentation significative de la densité de puissance de l'EEG pour toutes les bandes de fréquence durant la baisse de l'amplitude de l'onde de pouls par rapport à la période avant et après la baisse. Cette augmentation est par ailleurs retrouvée dans la plupart des bande de fréquence en l'absence de micro-réveil visuellement identifié.Ce résultat témoigné donc d'une activation corticale significative associée à la diminution de l'onde de pouls. Ce résulat pourrait permettre d'utiliser les variations de l'onde de pouls dans les tracés de polygraphie comme marqueur d'une activation corticale. Cependant on peut dire que ce marqueur est plus sensible que l'analyse visuelle du tracé EEG par un technicien puisque qu'on notait une augmentation de lactivité corticale y compris en l'absence de micro-réveil visuellement identifié. L'application pratique de ces résultats nécessite donc une étude prospective complémentaire.
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How does income inequality affect political representation? Jan Rosset, Nathalie Giger and Julian Bernauer examine whether politicians represent the views of poorer and richer citizens equally. They find that in 43 out of the 49 elections included in their analysis, the preferences of low-income citizens are located further away from the policy positions of the closest political party than those with mid-range incomes. This suggests that income inequality may spill-over into political inequalities, although it is less clear whether this effect is likely to get better or worse as a result of the Eurozone crisis.
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BACKGROUND: Antiviral treatment of chronic hepatitis C is not invariably successful, costly and associated with serious side-effects, and therefore should be indicated only when the chances of benefitting patients exceed the potential risks. The suppressor of cytokine signalling (SOCS) family members have been suggested to affect the rate of virological response to therapy, but the published evidence is conflicting. METHODS: We measured the intrahepatic SOCS1, SOCS3 and SOCS7 mRNA levels in 107 chronic hepatitis C patients and assessed their clinical and histological correlates with the virological response to therapy and with some factors known for affecting treatment outcome. RESULTS: By multivariate analysis, SOCS1, SOCS3 and SOCS7 mRNA levels were not associated with rapid or sustained virological response. Similarly, no association was found between the levels of any intrahepatic SOCS mRNA and those of the homeostasis model assessment of insulin resistance. Conversely, SOCS1 (OR 2.185, 95% CI 1.223-3.906, P=0.0083) and SOCS3 (OR 40.601, 95% CI 2.357-699.25, P=0.0108) mRNA level (but not SOCS7), together with age (OR 1.156, 95% CI 1.049-1.275, P=0.0036), were independently associated with cirrhosis. CONCLUSIONS: Intrahepatic SOCS1, SOCS3 and SOCS7 mRNA levels do not predict virological response to therapy in chronic hepatitis C. The association between SOCS1, SOCS3 and cirrhosis warrants further study.
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PURPOSE: The nutritional risk score is a recommended screening tool for malnutrition. While a nutritional risk score of 3 or greater predicts adverse outcomes after digestive surgery, to our knowledge its predictive value for morbidity after urological interventions is unknown. We determined whether urological patients at nutritional risk are at higher risk for complications after major surgery than patients not at nutritional risk. MATERIALS AND METHODS: We performed a prospective observational study in consecutive patients undergoing major surgery. A priori sample calculation resulted in a study cohort of 220 patients. Interim analysis was planned after 110 patients. The nutritional risk score was assessed preoperatively by a specialized study nurse. Nutritional care was standardized in all patients. Postoperative complications were defined previously using the standardized Dindo-Clavien classification. The primary end point was 30-day morbidity. Univariate and multivariate analysis was performed to identify predictors of complications. RESULTS: The study was discontinued due to significant results after interim analysis. A total of 125 patients were included in analysis from June 2011 to June 2012 and 15 were excluded because of incomplete data. Of 51 patients at nutritional risk 38 (74%) presented with at least 1 complication compared to 28 of 59 controls (47%). Patients at nutritional risk were at threefold risk for complications on univariate and multivariate analysis (OR 3.3, 95% CI 1.3-8.0). Cystectomy was the only other predictor of morbidity (OR 10, 95% CI 2-48). CONCLUSIONS: Patients at nutritional risk are more prone to complications after major urological procedures. Whether this increased morbidity can be reversed by perioperative nutritional support should be studied.
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Webber et al. take a critical view of our findings that niche expansions are rare in plant invaders, arguing mainly that we did not include nonanalog climates in our analyses. Yet, their concerns include misunderstandings and go beyond the scope of our study, which was purposely restricted to analog climates. We further explain why our results remain robust to other factors of niche dynamics in the native range. We conclude that the implications of our findings remain valid for projections of niche models in analog climates and that projections in nonanalog climates should be undertaken with care.
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Claudin-1 (CLDN1) is a structural tight junction (TJ) protein and is expressed in differentiating keratinocytes and Langerhans cells in the epidermis. Our objective was to identify immunoreactive CLDN1 in human epidermal Langerhans cells and to examine the pattern of epidermal Langerhans cells in genetic human CLDN1 deficiency [neonatal ichthyosis, sclerosing cholangitis (NISCH) syndrome]. Epidermal cells from healthy human skin labelled with CLDN1-specific antibodies were analysed by confocal laser immunofluorescence microscopy and flow cytometry. Skin biopsy sections of two patients with NISCH syndrome were stained with an antibody to CD1a expressed on epidermal Langerhans cells. Epidermal Langerhans cells and a subpopulation of keratinocytes from healthy skin were positive for CLDN1. The gross number and distribution of epidermal Langerhans cells of two patients with molecularly confirmed NISCH syndrome, however, was not grossly altered. Therefore, CLDN1 is unlikely to play a critical role in migration of Langerhans cells (or their precursors) to the epidermis or their positioning within the epidermis. Our findings do not exclude a role of this TJ molecule once Langerhans cells have left the epidermis for draining lymph nodes.
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CD8(+) T-cell functions are critical for preventing chronic viral infections by eliminating infected cells. For healthy immune responses, beneficial destruction of infected cells must be balanced against immunopathology resulting from collateral damage to tissues. These processes are regulated by factors controlling CD8(+) T-cell function, which are still incompletely understood. Here, we show that the interferon regulatory factor 4 (IRF4) and its cooperating binding partner B-cell-activating transcription factor (BATF) are necessary for sustained CD8(+) T-cell effector function. Although Irf4(-/-) CD8(+) T cells were initially capable of proliferation, IRF4 deficiency resulted in limited CD8(+) T-cell responses after infection with the lymphocytic choriomeningitis virus. Consequently, Irf4(-/-) mice established chronic infections, but were protected from fatal immunopathology. Absence of BATF also resulted in reduced CD8(+) T-cell function, limited immunopathology, and promotion of viral persistence. These data identify the transcription factors IRF4 and BATF as major regulators of antiviral cytotoxic T-cell immunity.
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Since the development of the first whole-cell living biosensor or bioreporter about 15 years ago, construction and testing of new genetically modified microorganisms for environmental sensing and reporting has proceeded at an ever increasing rate. One and a half decades appear as a reasonable time span for a new technology to reach the maturity needed for application and commercial success. It seems, however, that the research into cellular biosensors is still mostly in a proof-of-principle or demonstration phase and not close to extensive or commercial use outside of academia. In this review, we consider the motivations for bioreporter developments and discuss the suitability of extant bioreporters for the proposed applications to stimulate complementary research and to help researchers to develop realistic objectives. This includes the identification of some popular misconceptions about the qualities and shortcomings of bioreporters.
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In order for some patients to benefit from aggressive chemotherapy for invasive breast carcinoma, many patients are currently being treated without little or no benefit. Enormous effort is hence being directed towards the identification of those patients who will need chemotherapy and those who will not. Since chemotherapy targets proliferating cells pathologists focus on the proliferative activity of tumors, as assessed by mitotic figure counts or by cell cycle specific immunohistochemical markers, such as Ki-67 and H3 histone. As far as the tumor grade is concerned, many of these studies have reported a tendency to up-grade carcinomas in resection specimen when compared to the initial diagnosis on the biopsy material, and most studies have noted that the upgrade in resection specimen is due solely or to a large extent to an increase in the mitotic figure count. In the present study, we propose a different explanation for the divergence in mitotic figure counts between biopsy and resection material. We assessed the proliferative activity of 52 invasive ductal carcinomas and confirm that the number of mitotic figures significantly increased by a factor of more than 3 in resection specimen over the biopsy material, while at the same time the pan-cell cycle specific marker MIB-1 yieldes comparable results. we propose that the delayed formalin fixation of resection specimen allows cell cycle activities to continue for a long time, up to many hours, and that this leads to an arrest of mitoses in metaphase where they are readily identified by the pathologist. We propose that the mitotic figure count in the rapidly fixed biopsy cores better represent the tumor biology and should be used as a basis for chemotherapy therapeutic decisions.