935 resultados para Vent stellaire


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

The literature on the determination of flammability limits was reviewed and experts on the ASTM E681 standard were interviewed to identify new means of improving the reproducibility of the ASTM E681 test. Venting was identified as a variable of flammability limits not yet addressed. Limitations of the current system for sealing and venting (a rubber stopper) were identified and addressed by the development of a custom burst disc. The burst disc was evaluated for its ability to hold and maintain a vacuum, its ability to vent at pressures of interest, and for its venting phenomena. The burst disc was deemed to be a satisfactory alternative to the rubber stopper and is recommended to be included in the ASTM E681 standard.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

How can we calculate earthquake magnitudes when the signal is clipped and over-run? When a volcano is very active, the seismic record may saturate (i.e., the full amplitude of the signal is not recorded) or be over-run (i.e., the end of one event is covered by the start of a new event). The duration, and sometimes the amplitude, of an earthquake signal are necessary for determining event magnitudes; thus, it may be impossible to calculate earthquake magnitudes when a volcano is very active. This problem is most likely to occur at volcanoes with limited networks of short period seismometers. This study outlines two methods for calculating earthquake magnitudes when events are clipped and over-run. The first method entails modeling the shape of earthquake codas as a power law function and extrapolating duration from the decay of the function. The second method draws relations between clipped duration (i.e., the length of time a signal is clipped) and the full duration. These methods allow for magnitudes to be determined within 0.2 to 0.4 units of magnitude. This error is within the range of analyst hand-picks and is within the acceptable limits of uncertainty when quickly quantifying volcanic energy release during volcanic crises. Most importantly, these estimates can be made when data are clipped or over-run. These methods were developed with data from the initial stages of the 2004-2008 eruption at Mount St. Helens. Mount St. Helens is a well-studied volcano with many instruments placed at varying distances from the vent. This fact makes the 2004-2008 eruption a good place to calibrate and refine methodologies that can be applied to volcanoes with limited networks.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Depuis environ 40 ans, l’intensification des pratiques agricoles a grandement transformé le paysage agricole et ce tant, dans les Amériques qu’en Europe. Quoique, plusieurs espèces animales soient affectées négativement par ces changements, certaines espèces en bénéficient. C’est le cas de la Grande Oie des neiges (Chen caerulescens atlantica) qui a vu sa population croître de façon importante et ce, au point de devenir problématique. De fait, la Grande Oie des neiges cause des dommages importants aux cultures du Québec (1 646 229 ± 800 000 par an entre 2009 et 2015) et aux écosystèmes qu’elle utilise lorsqu’elle fait halte dans la vallée du Saint-Laurent, Québec, Canada. Bien que plusieurs actions aient été tentées pour contrôler sa population le problème persiste. La quête alimentaire des animaux est entre autres modulée par les comportements anti-prédateurs, tels que le temps passé en vigilance et une utilisation différentielle des habitats. Ces comportements sont à leur tour affectés par le risque de prédation et la vie en groupe. En effet, le risque de prédation perçu par un individu dépend entre autres (1) de la taille du groupe auquel il appartient ; (2) de la densité et de l’activité des proies et des prédateurs dans l’environnement ; (3) de son niveau de connaissance de l’environnement ; et (4) des caractéristiques du paysage qu’il occupe. Il s’ensuit que le risque de prédation varie dans l’espace et dans le temps. La représentation cartographique de ce risque à un moment donné consiste en un paysage de la peur, où chaque location ou chaque élément d’un paysage se voit associé un risque de prédation. On s’attend donc à ce que la quête alimentaire des individus, tant dans leur utilisation des habitats que dans leur budget d’activité, soit affectée par la structure du paysage de la peur. Par conséquent, on peut se demander si le paysage de la peur peut être utilisé comme outil de gestion d’une espèce, notamment pour la Grande Oie des neiges. Mon objectif est de quantifier comment la perception du risque de prédation par la Grande Oie des neiges varie en fonction de différents éléments des paysages agricoles visités par les oies, mais aussi de quantifier cette variation selon différentes contraintes énergétiques et temporelles durant leurs haltes migratoires. Ceci afin de voir si le paysage de la peur pourrait être utiliser comme outil de gestion. À ce titre, je vise à mesurer l’effet du type de cultures, de la nature de l’élément paysager, de la distance de celui-ci et du niveau de compétition intraspécifique au sein des sites d’alimentation et ce, durant les deux migrations, sur l’utilisation des habitats et le budget d’activité des oies. Je pose que les oies prendront plus de risques si les contraintes temporelles sont fortes, de même que si elles se nourrissent dans une parcelle alimentaire de haute qualité et si elles subissent une plus forte de compétition. Pour ce faire, j’ai parcouru les Basses-Terres-du-Saint-Laurent de Salaberry-de-Valleyfield jusqu’à l’Islet lors des printemps 2014 et 2015 et de l’automne 2014. J’ai ainsi repéré et observé 141 groupes d’oies exploitant des terres agricoles pour lesquels j’ai noté la position des individus dans les champs et mesuré leur taux de vigilance, de même que noté divers facteurs qui pourraient affecter ces deux comportements, dont le type de cultures exploitées et le fait d’être ou non au sein d’une zone où la chasse est permise. Au printemps, le taux de vigilance des oies était, plus élevé dans les cultures de maïs, plus bas si la densité locale d’oies augmentait et plus bas dans les sanctuaires (i.e., en absence de chasse). Alors qu’à l’automne, le taux de vigilance était, plus élevé à proximité d’une route ou d’un fossé et plus élevé en bordure du groupe. Au printemps, la distance aux éléments du paysage potentiellement dangereux était, plus grande face à une bordure de forêt et plus faible face à la route. La distance était plus petite dans les cultures de maïs, plus élevée dans le foin et plus faible dans les sanctuaires. À l’automne, les effets des différents éléments étaient semblables à ceux du printemps. La distance était plus grande si la taille du groupe augmentait et plus petite dans les sanctuaires. De plus, les oies semblaient montrer un évitement des bordures forestières alors que les autres éléments du paysage étudiés ne semblent pas être sélectionnés ou évités. Les oies subissent des contraintes différentes au printemps et à l’automne. Ces contraintes semblent moduler la prise en compte du risque de prédation entre les saisons. En effet, les oies semblent privilégier l’alimentation au détriment de la prise de risques au printemps, une décision probablement liée à la reproduction dont le succès dépend d’une arrivée relativement hâtive sur les aires de nidification arctiques et donc, des réserves énergétiques accumulées sur les haltes migratoires. En opposition, les oies semblent prendre davantage conscience du risque de prédation dans leur quête alimentaire à l’automne, ce qui pourrait être lié au fait qu’elles sont accompagnées de leurs jeunes et à une contrainte énergétique et temporelle plus faible qu’au printemps. En bref, les oies semblent subir les effets de la peur reliée à la chasse. Mes résultats semblent indiquer que le paysage de la peur pourrait être utilisé dans les stratégies de gestion. Par exemple, en instaurant des haies brise-vent dans les secteurs où le risque de dommages agricoles est élevé, le risque de prédation perçu par les oies y serait plus élevé et pourrait ainsi diminuer l’utilisation de ces secteurs.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

The most recent submarine eruption observed offshore the Azores archipelago occurred between 1998-2001 along the submarine Serreta ridge (SSR), ~4-5 nautical miles WNW of Terceira Island. This submarine eruption delivered abundant basaltic lava balloons floating at the sea surface and significantly changed the bathymetry around the eruption area. Our work combines bathymetry, volcanic facies cartography, petrography, rock magnetism and geochemistry in order to (1) track the possible vent source at seabed, (2) better constrain the Azores magma source(s) sampled through the Serreta submarine volcanic event, and (3) interpret the data within the small-scale mantle source heterogeneity framework that has been demonstrated for the Azores archipelago. Lava balloons sampled at sea surface display a radiogenic signature, which is also correlated with relatively primitive (low) 4He/3He isotopic ratios. Conversely, SSR lavas are characterized by significantly lower radiogenic 87Sr/86Sr, 206Pb/204Pb and 208Pb/204Pb ratios than the lava balloons and the onshore lavas from the Terceira Island. SSR lavas are primitive, but incompatible trace-enriched. Apparent decoupling between the enriched incompatible trace element abundances and depleted radiogenic isotope ratios is best explained by binary mixing of a depleted MORB source and a HIMU­type component into magma batches that evolved by similar shallower processes in their travel to the surface. The collected data suggest that the freshest samples collected in the SSR may correspond to volcanic products of an unnoticed and more recent eruption than the 1998-2001 episode.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

La previsione ed il controllo dei grandi sistemi dinamici costituiscono due delle principali sfide della scienza contemporanea. Prima degli anni '90 la parola previsione indicava un singolo esperimento numerico, mentre negli ultimi vent'anni ha denotato un insieme di simulazioni/esperimenti. Sostanzialmente non si cerca più di trovare la traiettoria più realistica e verosimile ma si studia l'insieme delle previsioni e l'evolversi della loro distribuzione nel tempo per avere un'idea di quale sia la previsione più probabile. Un sistema dinamico è descritto, in un particolare istante temporale, da una variabile di stato. Esistono poi delle funzioni di stato che hanno come argomento una variabile di stato e mentre il sistema dinamico è in movimento, e dunque mentre le variabili di stato del sistema cambiano nel tempo, anche le funzioni di stato si evolvono. Il lavoro di Bernard Koopman (19/01/1900 - 18/08/1981) si è incentrato sullo studio di tale evoluzione. Koopman formalizzò il problema cercando di trovare un operatore che prendesse una funzione di stato e la "spingesse" in avanti nel tempo. Tale operatore venne chiamato Operatore di Koopman. Il legame sostanziale tra l'operatore di Koopman e il sistema dinamico in questione sta nel fatto che tale operatore agisce sullo spazio delle funzioni di stato del sistema. Inoltre si è scoperto che i suoi autovalori e le sue autofunzioni descrivono completamente il sistema dinamico che vi sta dietro. Questo elaborato introduce l'operatore di Koopman in relazione a sistemi dinamici e mostra come ricavare lo spettro di tale operatore a partire da dati di simulazione. Infine vengono studiate le proprietà spettrali dell'operatore di Koopman nel caso mono-dimensionale degli indici Niño-3 e viene fatta un'analisi dettagliata dei risultati numerici ottenuti, trovando una conferma teorica mediante l'utilizzo dei dischi di Gershgorin.