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O objetivo deste trabalho foi avaliar as propriedades físicas do solo e a produtividade de arroz irrigado por inundação no sistema plantio direto, na fronteira oeste do Rio Grande do Sul, em comparação ao sistema convencional. Utilizou-se o delineamento experimental inteiramente casualizado, com três experimentos e dez repetições: E1, sistema plantio direto após nivelamento do terreno (E1PDR) e sistema convencional com duas gradagens a 0,0-0,07 m após nivelamento do terreno (E1C), sete anos de pousio do cultivo de arroz, com semeadura de azevém no inverno e pastejo animal; E2, sistema plantio direto (E2PD) e sistema convencional (E2C), após campo nativo; E3, sistema plantio direto (E3PD), sistema plantio direto após nivelamento do terreno com remaplan (E3PDR) e sistema convencional (E3C), após arroz irrigado em sistema convencional, durante um ano sob campo nativo. As propriedades físicas do solo diferiram pouco entre os sistemas de plantio direto e o sistema convencional. O cultivo continuado com arroz irrigado causou compactação do solo na camada 0,07-0,10 m. A produtividade de arroz não diferiu nos sistemas plantio direto e convencional, nos experimentos 1 e 2. No experimento 3, com maior quantidade de restos culturais de arroz, a produtividade foi superior no sistema convencional
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O objetivo deste trabalho foi avaliar o desempenho de plantas de cobertura quanto à fitomassa, ao acúmulo e à liberação de nutrientes, durante a entressafra, em um Latossolo Vermelho distroférrico, no Cerrado. O experimento foi realizado em Santo Antônio de Goiás e Rio Verde, GO, de novembro de 2007 a outubro de 2008. O delineamento experimental foi o de blocos ao acaso, em esquema de parcelas subdivididas no tempo, com as plantas de cobertura avaliadas nas parcelas principais e com os períodos de coleta de fitomassa nas subparcelas, com quatro repetições. As espécies avaliadas foram: Urochloa brizantha, U. ruziziensis, Pennisetum glaucum e U. ruziziensis + Cajanus cajan e, como referência, pousio com vegetação espontânea. As épocas de coleta foram seis em Santo Antônio de Goiás e cinco em Rio Verde, a partir da data de dessecação do P. glaucum, aos 60 dias após a semeadura. O P. glaucum apresentou as maiores quantidades de fitomassa seca no início da entressafra, enquanto as outras coberturas apresentaram acúmulos significativos de fitomassa e nutrientes no final da entressafra.
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RESUME Les nombreuses mines de plomb et d'argent du Valais témoignent d'une activité minière importante par le passé, sans toutefois dévoiler ni l'importance des minéralisations, ni l'ancienneté de l'exploitation. La présente recherche a pour but de comprendre pourquoi les grandes mines sont concentrées dans une région, et de déterminer la chronologie de leur exploitation. L'originalité de ce travail réside dans son interdisciplinarité, plus précisément dans l'application des méthodes minéralogiques pour résoudre une problématique historique. Afin d'évaluer les ressources minières en plomb et en argent du Valais, 57 mines et indices ont été repérés et échantillonnés. Les signatures isotopiques du Pb (74 analyses) et les compositions chimiques élémentaires (45 analyses) ont été déterminées. Les plus grandes exploitations se situent dans la nappe de Siviez-Mischabel, au Sud d'une ligne Vallée du Rhône / Val de Bagnes ainsi que dans le Lötschental. Elles sont liées, d'après leur signature isotopique de plomb, à des minéralisations d'âge calédonien (408 à 387 Ma) ou tardi-hercynien (333 à 286 Ma). À ces périodes, l'ancien continent est très lourd et subit une subsidence thermique. Des premières fractures d'extrême importance se forment. Comme il s'agit d'accidents tectoniques majeurs, des gisements de grande extension peuvent se former dans ce contexte. D'autres minéralisations se situent dans les domaines helvétiques (Massif des Aiguilles Rouges, Massif du Mont Blanc et couverture sédimentaire), couvrant une région au Nord de la Vallée du Rhône et du Val d'Entremont. D'âge post-hercynien à tardi-alpin (notons qu'il n'y a pas de minéralisations d'âge tertiaire), elles sont pour la plupart liées à des intrusions granitiques, sources de plomb juvénile. Les mines situées dans ces unités tectoniques sont nettement moins étendues que celles de la nappe de Siviez-Mischabel, ce qui permet de penser que les minéralisations correspondantes le sont également. Les périodes d'exploitation des mines peuvent être déterminées par quatre approches différentes l'archéologie minière, la lecture des textes historiques, l'étude des déchets métallurgiques et la comparaison de la signature isotopique du plomb, que l'on mesure dans un objet archéologique bien daté (monnaie, bijoux etc.), avec celles des minerais. Cette dernière méthode a été appliquée et développée dans le cadre de la présente recherche. Pour ce faire, 221 échantillons d'objet en plomb ou en argent datés entre l'Âge du Fer et le Moyen Age ont été analysés par la méthode des isotopes de plomb et comparés à environ 1800 signatures isotopiques de minerais des gisements les plus importants en Suisse et en Europe. Avant l'époque romaine et jusqu'au 1 er siècle de cette époque, le plomb provient principalement des mines de la péninsule ibérique alors en pleine activité. Un apport des mines d'Europe tempérée, notamment des Vosges, reste à confirmer. A partir du 1" siècle de notre ère, le plomb a principalement été importé en Suisse occidentale de grands centres de productions situées en Allemagne du Nord (région d'Eifel). Les mines de plomb valaisannes, notamment celles de Siviez, débutent leur exploitation en même temps, principalement pour couvrir les besoins locaux, mais également pour l'exportation jusque dans l'arc lémanique et, dans une moindre importance, au-delà. À partir du 4ème siècle, le besoin en plomb a été couvert par un apport des mines locales et par la refonte d'objets anciens. Ce changement d'approvisionnement est probablement lié aux tensions créées par les invasions germaniques durant la seconde moitié du 3' siècle ; le marché suisse n'est dès lors plus approvisionné par le nord, c'est-à-dire par la vallée du Rhin. Quant à l'argent, l'exploitation de ce métal est attestée à partir de la fin du La Tène, peu après l'apparition de ce métal dans la région valaisanne. L'échantillonnage ne couvrant pas l'époque romaine, rien n'est connu pour cette période. A partir du 5" siècle, une exploitation d'argent est de nouveau attestée. Cependant, l'exploitation d'argent des mines locales ne gagne en importance qu'à partir du Moyen Âge avec les frappes monétaires, notamment les frappes carolingiennes et épiscopales valaisannes. Les sources d'argent sont différentes selon leur utilisation : à part quelques exceptions notamment vers la fin du La Tène et au tardo-antique, les bijoux et objets de cultes ont été souvent créés à partir d'argent refondu, contrairement aux monnaies pour lesquelles l'argent provient des mines locales. On note un approvisionnement différent de ce métal pour les objets, notamment les monnaies, selon leur lieu de fabrication : on peut clairement distinguer les objets valaisans de ceux du Plateau Suisse. SUMMARY The many lead and silver mines of the Valais testify of an important mining activity in the past, without however revealing neither the importance of the mineralizations, nor the era of the exploitation. The purpose of this research is to understand why the large mines are concentrated in one region, and to determine the history of their exploitation. The uniqueness of this work lies in its interdisciplinarity, more precisely in the application of mineralogical methods to solve historical problems. In order to evaluate the lead and silver mining resources of the Valais region, 57 mines and ore deposits were located and sampled. The isotope signatures of Pb (74 analyses) and the compositions of the chemical elements (45 analyses) were determined. The largest activities are in the Siviez-Mischabel area, located in the South of the boundary formed by the Rhone, Bagnes and Lotschental valleys. According to their lead isotope signatures, they are linked to mineralizations of the Caledonian (408 to 387 my) or tardi-Hercynian (333 to 286 my) orogenies. In those times, the old continent was very heavy and underwent a thermal subsidence. First fractures of great significance were formed. Through these major tectonic events, large extended ore deposits can be formed. Other mineralizations are found in the helvetic regions situated north of the Rhone and the Entremont valley (the Aiguilles Rouges basement, Mount Blanc basement and the covering sediment). Because they are from post-hercynien to tardi-alpine age (there are no mineralizations of tertiary age), they are mainly linked to granite intrusions, the sources of juvenile lead. The mines found in these tectonic units are significantly less extensive than those of the Siviez-Mischabel area, leading to the assumption that the respective mineralizations extend accordingly. The history of exploitation of the mines can be determined by four different sources: mining archaeology, historical texts, metallurgical waste, and the comparison of the isotope signature of the lead from accurately dated archaeological objects (currency, jewels etc), with those of the ores. This last approach was applied and developed within the framework of this research. The lead isotope signatures of 221 lead or silver objects from the Iron Age to the Middle Age were compared with approximately 1800 samples of ore of the most important ore deposits in Switzerland and Europe. Before the Roman time up to the 1st century, lead comes mainly from the mines of the Iberian Peninsula then in full activity. A contribution of the mines of Central Europe, in particular of the Vosges, remains to be confirmed. From the 1st century on, lead was mainly imported into Western Switzerland from Northern Germany (Eiffel region). The lead mines in the Valais region, in particular those of Siviez, begin their exploitation at the same time, mainly to meet the local needs, but also for export to the lemanic basin and of lesser importance, beyond. As from the 4th century, the need of lead was met by the production from local mines and the recycling of old objects. This change of supply is probably related to the tensions created by the Germanic invasions during second half of the 3rd century; as a consequence, the Swiss market is not supplied any more by the north, i.e. the Rhine valley. Silver production is confirmed starting from the end of La Tene, shortly after the appearance of this metal in the Valais region. Since no objects of Roman origin were analyzed, nothing is known for this period. From the 5th century on, silver production is again confirmed. However, significant silver production from local mines starts only in the Middle Age with the coinage, in particular Carolingian and Episcopal minting from the Valais region. The sources of silver differ according to their use: besides some exceptions in particular towards the end of La Tene and the tardi-Roman, the jewels and objects of worships were often created from recycled silver, contrary to the coins the silver for which comes from the local mines. A different source of silver is observed according to the location of coin manufacture: Objects originating from the Valais region are clearly distinguished from those from the Plateau Suisse. ZUSAMMENFASSUNG Die grosse Zahl von Blei- und Silberminen im Wallis ist Zeugnis einer bedeutenden Bergbautätigkeit, es fehlen aber Hinweise über ihren Umfang und den Zeitraum ihrer Ausbeutung. Die vorliegende Arbeit sucht zu ergründen, warum grosse Minen sich in einer eng begrenzten Region häufen und in welchem Zeitraum sie genutzt wurden. Die Besonderheit der Studie liegt in ihrer Interdisziplinarität, genauer in der Anwendung von mineralogischen Methoden zur Beantwortung historischer Fragestellungen. Zur Beurteilung der Lagerstätten wurden von 57 Minen und Aufschlüssen Proben entnommen oder Nachweise erbracht und mittels 74 Isotopen-Analysen von Blei und 45 chemischen Gesamtanalysen ausgewertet. Die wichtigsten Vorkommen liegen in der Siviez- Mischabel- Decke südlich der Linie Rhonetal- Val de Bagnes, sowie im Lötschental. Die Bleiisotopen- Alter weisen ihre Entstehung der kaledonischen (408 - 387 Mio. J.) oder der spät- herzynischen (333 - 286 Mio. J.) Gebirgsbildungsphase zu. In dieser Periode ist die kompakte Landmasse sehr schwer und erfairt eine thermische Absenkung. Es bilden sich tektonische Brüche von kontinentaler Ausdehnung. Die grossen tektonischen Bewegungen ermöglichen die Bildung von ausgedehnten Lagerstätten. Andere Vorkommen finden sich im Bereich der Helvetischen Alpen (Aiguilles Rouges Massiv, Mont-Blanc-Massiv und Sediment-Decken) im Gebiet nördlich des Rhonetales bis zum Val d'Entremont. Altersmässig sind sie der nach-hercynischen bis zur spät-alpidischen Orogenese zuzuweisen (auffällig ist das Fehlen von Vorkommen im Tertiär) und haben sich meist in der Folge von Granit- Intrusion, dem Ursprung von primärem Blei ausgebildet. Die Bergwerke in diesem Bereich sind deutlich weniger ausgedehnt als jene in der Siviez-Mischabel-Decke und entsprechen wahrscheinlich dem geringen Umfang der zugehörigen Vorkommen. Die Nutzungsperioden der Minen können mit vier verschiedenen Methoden bestimmt werden: Minenarchäologie, Historische Quellen, Auswertung von metallischen Abfällen (Schlacken) und Vergleich der Bleiisotopen-Zusammensetzung von Erzen mit jener von zeitlich gut datierbaren archäologischen Gegenständen (Münzen, Schmuckstücke). Die letztere Methode wurde im Rahmen der vorliegenden Forschungsarbeit entwickelt und angewendet. Zu diesem Zweck wurden an 221 Proben von Blei- oder Silberobjekten, die in die Periode zwischen Eisenzeit und Mittelalter eingestuft werden können, Bleiisotopen- Analysen durchgeführt und mit ca. 1800 Proben aus den wichtigsten Lagerstätten der Schweiz und Europas verglichen. Vor der Römerzeit und bis ins 1. Jahrh. stammt das Blei vornehmlich aus den in jener Zeit in voller Ausbeutung begriffenen Minen der Iberischen Halbinsel. Der Beitrag von Mitteleuropa, besonders der Vogesen, muss noch bestätigt werden. Ab dem 1. Jahrh. nach Chr. wurde die Westschweiz hauptschlich mit Blei aus den grossen Produktionszentren Norddeutschlands, vorwiegend der Eifel, versorgt. In dieser Periode setzt die Ausbeutung der Bleiminen des Wallis, besonders von Siviez, ein. Sie dienen der Deckung des örtlichen Bedarfs aber auch der Ausfuhr in das Gebiet des Genfersees und in einem bescheidenen Rahmen sogar darüber hinaus. Ab dem 4. Jahrhundert wurden vermehrt alte Objekte eingeschmolzen. Dieser Wechsel der Versorgungsquellen war vermutlich eine Folge der Wölkerwanderung in der zweiten Hälfte des 3. Jahrhunderts. Ab diesem Zeitpunkt war Helvetien der Zugang zu den Versorgungsquellen des Nordens, besonders des Rheinlandes, verwehrt. Der Abbau von Silber ist ab dem Ende des La Tène nachgewiesen, nur wenig nach dem Auftreten dieses Metalls im Wallis. Über die Römerzeit können wegen dem Fehlen entsprechender Proben keine Aussagen gemacht werden. Eine erneute Abbauperiode ist ab dem 5. Jahrhundert nachgewiesen. Die Produktion der örtlichen Minen erreicht aber erst im Mittelalter eine gewisse Bedeutung mit der Prägung von Mnzen durch die Karolinger und die Walliser Bischöfe. Die Herkunft des Silbers ist abhängig von dessen Verwendung. Mit wenigen Ausnahmen in der Zeit des La Tène und der späteren Römerzeit wurde für Kunst- und Kult- Gegenstände rezykliertes Silber verwendet, für Münzprägungen neues Silber aus den örtlichen Minen. Von Einfluss auf die Herkunft war auch der Produktionsstandort: Die Objekte aus dem Wallis unterscheiden sich deutlich von jenen des Mittellandes.
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O objetivo deste trabalho foi avaliar as consequências da redução no espaçamento entre linhas e entre plantas na linha de plantio sobre o crescimento, a produtividade e a bienalidade de produção do cafeeiro (Coffea arabica). Utilizou-se o delineamento experimental de blocos ao acaso, com três repetições, em esquema fatorial 4x3. Foram utilizadas quatro distâncias entre as linhas (2,0, 2,5 3,0 e 3,5 m) e três distâncias entre as plantas na linha de plantio (0,50, 0,75 e 1,00 m), o que totalizou 12 tratamentos. A produtividade e a produção por planta foram avaliadas anualmente entre 1994 e 2001, e o crescimento foi avaliado em 2002. A redução no espaçamento entre as linhas e entre as plantas na linha de plantio aumenta a produtividade da lavoura cafeeira. Os espaçamentos entre as linhas e entre as plantas influenciam o crescimento e a arquitetura dos cafeeiros.
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O objetivo deste trabalho foi avaliar a acurácia do índice de seca SPI (índice padronizado de precipitação), em diferentes escalas temporais, na determinação da ocorrência de eventos de seca e na estimativa de seus efeitos na produtividade do arroz de terras altas, em seis diferentes microrregiões do Estado de Goiás. Foram utilizados dados diários de precipitação, provenientes de estações pluviométricas localizadas nos municípios de Uruaçu, Aruanã, Alexânia, Mineiros, Catalão e Itumbiara, no Estado de Goiás, como também a série histórica de produtividade do arroz de terras altas para as microrregiões goianas de Porangatu, Rio Vermelho, Entorno de Brasília, Sudoeste de Goiás, Catalão e Meia-Ponte. As escalas temporais utilizadas foram: mensal, trimestral, semestral e anual. As diferenças entre as escalas temporais do SPI foram avaliadas quanto ao número e frequência dos eventos de seca, ao percentual de acerto na estimativa da variação da produtividade ajustada de arroz, e quanto aos desvios entre essas estimativas e a produtividade observada. O aumento na escala temporal do SPI possibilita a identificação de eventos de seca de maior duração, e a escala anual (SPI-12) apresentou o melhor desempenho na estimativa da variação da produtividade ajustada de arroz de terras altas.
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O objetivo deste trabalho foi avaliar a relação entre índices nutricionais de N e a produtividade de grãos de milho, em dois níveis de manejo, sob diferentes doses de adubação nitrogenada. Avaliaram-se os índices nutricionais: teor relativo de clorofila na folha (TRC), índice de suficiênca (IS), teores de N na folha e na planta, e quantidades acumuladas de N na folha e na planta. Os índices foram determinados em diferentes estádios de desenvolvimento vegetativo e durante o espigamento. A relação dos índices com a produtividade foi deteminada em campo, com doses variáveis de adubação nitrogenada, durante dois anos, sob dois níveis de manejo: médio, não irrigado e com doses de N entre 0 e 150 kg ha-1; e alto, irrigado e com doses de N entre 0 e 300 ou entre 0 e 240 kg ha-1. A relação dos teores de N mineral com o teor de N total na folha foi avaliada em casa de vegetação. Os índices nutricionais apresentaram desempenho variável na predição da produtividade do milho e foram influenciados pelo estádio de desenvolvimento das plantas e pelo nível de manejo. Os índices TRC e IS estiveram mais fortemente associados à produtividade. O desempenho dos índices é melhor sob alto nível de manejo da cultura.
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O objetivo deste trabalho foi avaliar o efeito de variações no arranjo espacial de plantas sobre o perfilhamento, a área foliar e a produtividade do milho. Os experimentos foram implantados na primavera/ verão dos anos agrícolas 2007/2008 e 2008/2009. Os tratamentos consistiram de quatro densidades (três, cinco, sete e nove plantas por metro quadrado) e de três espaçamentos entre linhas (0,4, 0,7 e 1,0 m). Foram avaliados o índice de área foliar (IAF) e a produtividade de grãos do híbrido P30F53, além da contribuição dos perfílhos para esses caracteres. Em 2007/2008, não houve deficiência hídrica, o IAF na floração foi superior a 7 e os perfilhos contribuíram com 65% do IAF total, na menor densidade de plantas. Nesse ano, a produtividade de grãos (13,7 Mg ha-1) não foi afetada pelos tratamentos, e os perfilhos contribuíram com 44% da produtividade, na densidade de três plantas por metro quadrado. Em 2008/2009, houve restrição hídrica na pré‑floração e no enchimento de grãos, o que diminuiu o perfilhamento e a contribuição dos perfilhos ao IAF. A produtividade de grãos, nesse ano, aumentou de 9,7 para 11,7 Mg ha-1 com o aumento na densidade de plantas, mas a contribuição dos perfilhos à produtividade foi menor. O perfilhamento aumenta a estabilidade fenotípica da produtividade de grãos frente a variações no arranjo de plantas.
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O objetivo deste trabalho foi avaliar a produtividade de colmos e de açúcar, a eficiência de uso da água e os atributos tecnológicos de cinco variedades de cana-de-açúcar de maturação precoce e seis de maturação média à tardia, submetidas ao regime de sequeiro (1.141,4 mm) e à irrigação plena (1.396,6 mm). Utilizou-se o delineamento experimental de blocos ao acaso, com quatro repetições. A produtividade de colmos das variedades RB92579, RB72454 e SP81-3250 apresentou ganhos superiores a 180%, com uso da irrigação. A irrigação promoveu aumentos na produtividade de açúcar superiores a 200%, nas variedades RB92579 e RB943365. A irrigação plena proporcionou maior eficiência de uso da água, com produção média de 70,2 kg ha-1 mm-1 de colmos a mais em comparação ao regime de sequeiro. Com exceção das variedades RB72454, RB763710 e RB943365, não houve diferença nos atributos tecnológicos entre a irrigação plena e o regime de sequeiro. As variedades RB92579 e SP81-3250 de maturação média à tardia se destacam quanto à produtividade de colmos e de açúcar e à eficiência de uso da água, e são recomendadas para estudos de resposta à irrigação pela cana-de-açúcar.
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O objetivo deste trabalho foi identificar os atributos fisiológicos, físico-químicos e minerais associados à ocorrência pós-colheita de "bitter pit" em maçãs 'Fuji' e 'Catarina'. Os frutos foram colhidos, armazenados por 120 dias a 1ºC, com 9095% de umidade relativa e, em seguida, divididos em lotes com ou sem sintoma de "bitter pit". Maçãs 'Catarina' apresentaram maior incidência e severidade de "bitter pit", em comparação a 'Fuji'. Em ambas as cultivares, os frutos com "bitter pit" apresentaram maior produção de etileno, respiração e acidez titulável, e menor pH, firmeza de polpa, textura da casca e da polpa e percentagem de cor vermelha na casca. Os frutos com "bitter pit" também apresentaram menores teores de Ca e maiores valores das relações K/Ca, N/Ca, (K+Mg)/Ca e (K+Mg+N)/Ca nos tecidos da casca e da polpa da região pistilar. A análise canônica discriminante indica que os atributos mais adequados para discriminar frutos com e sem "bitter pit" são força para penetração na polpa e relação K/Ca na polpa, em maçãs 'Fuji', e acidez titulável e relação K/Ca na casca, em maçãs 'Catarina'.
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O objetivo deste trabalho foi avaliar metas de manejo para capim-marandu (Urochloa brizantha cv. Marandu) submetido a pastejo rotativo e a doses de nitrogênio, de janeiro de 2009 a abril de 2010. Os tratamentos consistiram da combinação de duas frequências de pastejo (altura pré-pastejo de 25 e 35 cm) e de duas doses de fertilizante nitrogenado (50 e 200 kg ha-1 por ano) em delineamento de blocos ao acaso com arranjo fatorial 2x2 e quatro repetições. A altura de pós-pastejo estipulada foi de 15 cm. Maiores valores de ganho de peso médio por animal por dia (0,629 e 0,511 kg dia-1) e por hectare (886 e 674 kg ha-1), bem como de taxa de lotação (3,13 e 2,85 UA ha-1), foram observados nos pastos manejados com altura pré-pastejo de 25 cm. A aplicação de 200 kg ha-1 de N resultou em aumentos na percentagem de folhas na massa de forragem pós-pastejo, nas taxas de acúmulo de forragem, na taxa de lotação e no ganho de peso por área. A mais adequada estratégia de manejo corresponde à altura pré-pastejo de 25 cm, independentemente da dose de nitrogênio utilizada.
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O objetivo deste trabalho foi determinar o efeito da época de dessecação da pastagem de inverno sobre a produtividade de grãos de soja e seus componentes do rendimento. O experimento foi realizado em área de integração lavoura-pecuária, em Campo Mourão, PR nos anos agrícolas de 2002 a 2005. Utilizou-se o delineamento de blocos ao acaso com oito repetições. Os tratamentos foram: dessecação 30, 20 10 e 0 dias antes da semeadura (DAS). Foram avaliados: a quantidade de massa de matéria seca da pastagem de inverno, no dia da semeadura; a altura de plantas; o número de plantas por metro; o número de vagens por planta; o número de grãos por vagem; a massa de mil grãos; e a produtividade de grãos. A dessecação pode ser realizada a 0, 10, 20 e 30 DAS, sem prejuízo para a produtividade de grãos de soja. Os componentes de produção se ajustam para reduzir as variações da produtividade de grãos. A redução no número de plantas por metro é compensada pelo maior número de vagens por planta.
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O objetivo deste trabalho foi avaliar os efeitos do arranjo de plantas nos componentes diretos da produtividade de grãos e na produção final em canola, com uso de híbridos de diferentes ciclos de desenvolvimento. Foram realizados três experimentos com espaçamento entre linhas de 0,20, 0,40 e 0,60 m, em delineamento experimental de blocos ao acaso, com quatro repetições para cada ano de cultivo (2008 e 2009), genótipo (Hyola 432 e Hyola 61) e densidade de plantas (20, 40, 60 e 80 plantas por metro quadrado). Hyola 432 apresentou maior produção de grãos em comparação a Hyola 61, independentemente do ano e da densidade de cultivo. Os efeitos do ano de cultivo influenciaram mais a produção e os componentes da produtividade de grãos do que o potencial genético da cultivar e a densidade de cultivo. O ajuste da densidade de plantas em canola é alterado pelo genótipo e pelo ano de cultivo.
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O objetivo deste trabalho foi avaliar o efeito de diferentes épocas de poda no desenvolvimento, na produção e na qualidade de raízes tuberosas de mandioca. Foram conduzidos dois experimentos, em duas localidades do Estado de São Paulo: Botucatu, em área de solo argiloso, e São Manuel, em solo arenoso. Os experimentos foram conduzidos de setembro de 2008 a junho de 2010, e a colheita foi feita após dois ciclos vegetativos (22 meses). Utilizou-se o delineamento experimental de blocos ao acaso, com quatro repetições. Foram avaliados dez tratamentos, nove épocas de poda espaçadas mensalmente, entre abril e dezembro, e uma testemunha conduzida sem poda. As épocas de poda foram analisadas estatisticamente por contrastes ortogonais, em comparação à testemunha, e por regressão. A poda da mandioca realizada no período de repouso fisiológico não altera o teor de matéria seca e a produtividade de raízes tuberosas. No entanto, quando realizada no final do primeiro ciclo ou após o início do segundo ciclo vegetativo, a poda reduz o teor de matéria seca e a produtividade de raízes.
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O objetivo deste trabalho foi estimar a herdabilidade e avaliar a correlação fenotípica entre caracteres de canola (Brassica napus) relacionados à produtividade de grãos e à arquitetura de plantas. Foram realizados três experimentos, com espaçamento entre linhas de 0,20, 0,40 e 0,60 m. Durante dois anos de cultivo (2008 e 2009), os genótipos 'Hyola 432' e 'Hyola 61' foram avaliados em quatro densidades de plantio (20, 40, 60 e 80 plantas por metro quadrado), em cada experimento. Empregou-se o delineamento de blocos ao acaso, em arranjo fatorial 2x2x4 (anos x genótipos x densidades), com quatro repetições. Foram avaliados componentes ligados à produção (produtividade de grãos por área e por planta, número de síliquas por planta, número de grãos por síliqua e por planta, e massa de síliqua) e à morfologia da canola (comprimento de síliqua, número de ramos secundários, altura de inserção do ramo secundário, comprimento de ramo e número de ramos terciários). A produtividade de grãos por área e por planta apresenta maior herdabilidade no menor espaçamento entre linhas. O número de síliquas e o de grãos por planta são os componentes de produção com maior correlação direta e positiva com a produtividade de grãos.
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O objetivo deste trabalho foi avaliar a dinâmica de nutrientes na solução do solo após a aplicação, via fertirrigação, de nitrogênio, fósforo e potássio a laranjeiras. O experimento foi realizado entre setembro de 2007 e outubro de 2009, em pomares de laranjeiras 'Valência' e 'Hamlin', enxertadas sobre citrumeleiro 'Swingle'. Foram avaliadas cinco doses de N, P2O5 e K2O (0, 25, 50, 100 e 200% da dose recomendada). A solução do solo foi extraída a 30 e 60 cm de profundidade, com o auxílio de extratores com cápsulas porosas. Foram realizadas 11 avaliações durante o período experimental, com as extrações iniciadas após 12 horas das fertirrigações. O aumento das doses reduziu o pH (pH~3,5, na maior dose), e aumentou a condutividade elétrica (CE~1,5 dS m-1, na maior dose) e os teores de NH4, NO3, P, K, Mn e Zn na solução do solo, nas duas profundidades amostradas. Nos meses com maior precipitação pluvial, houve perda potencial de nutrientes por lixiviação, pois maiores concentrações de NO3, K e B foram observadas à profundidade de 60 cm. A análise da solução do solo, obtida por extratores com cápsula de cerâmica porosa, pode ser considerada ferramenta auxiliar para monitorar e avaliar a disponibilidade de nutrientes às plantas.