952 resultados para Miniature painting
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Contient : 1° Douze « Oraisons de CICERO », traduction par « ESTIENNE LE BLANC » ; 2° « Description des offices, dignitez et magistratz par lesquelz les Rommains se sont gouvernez depuis Romulus,... jusques à Julles Cesar » ; 3° « Argument sur l'oraison que faict CICERO à la louenge de Pompée »
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Commençant par : « C'est l'inventoire general du roy Charles le Quint de tous les joyaulx... » et finissant par : «... comme dessus d'un satanin bleu à broderie semé de menues perles. Laux Deo » .
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Commençant par : « C'est l'inventoire general du roy Charles le Quint de tous les joyaulx... » et finissant par : «... comme dessus d'un satanin bleu à broderie semé de menues perles. Laux Deo » .
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Même ornementation, mêmes armoiries que dans le ms. français 5094. Le texte de ce ms., qui offre en plusieurs endroits des lacunes que nous indiquerons dans un instant, donne au feuillet 5 v° une strophe de 8 vers qui n'existe pas dans les exemplaires précédents : « Ensemble furent si bien d'accord Qu'ilz engendrèrent un fils de grant noblesse, Nommé Jehan, dit conte de Monfort, Après la mort de la noble duchesse, Et quatre filles qui en grant leesse Furent toutes colloquées haultement, Car de France, la royalle haultesse, Fut descendue la noble Yollant » . Quant aux lacunes, en voici l'énumération : Fol. 31. Ce feuillet est mutilé de la marge droite, de sorte qu'il ne donne pas les deux écussons coloriés qui accompagnent dans les autres mss. la notice relative à Étampes et à Hue Le Maire, sieur de Chaillou. — Entre les feuillets 33 et 34 est une lacune qui correspond aux 4 vers relatifs à N.-D. des Champs, au départ du corps de la reine de l'église N.-D. des Champs, le 14 février 1514, jusqu'aux premières lignes du sermon prononcé à St-Denis par M. Parvy, confesseur de la reine, le 16 février 1514, là où l'orateur donne l'origine de l'hermine qui figure dans les armes de Bretagne, soit en tout une lacune de 18 pages. — Au revers du feuillet 42 devrait être une miniature représentant la « chapelle royalle ardant » en l'église des Carmes, à Nantes, où fut déposé le coeur d'Anne de Bretagne. Cette miniature n'a pas été exécutée, et la place est restée en blanc. Après cette miniature existent dans les autres mss. 20 vers qui ne figurent pas dans le présent ms. — Entre les feuillets 44 et 45 manquent 31 lignes, soit la valeur d'une page et 6 lignes, qui commencent par l'épitaphe de François II, duc de Bretagne : « Si dedans gist le corps du duc Françoys, deuxe de ce nom, lequel regna trente deux... », et finissent par la description du coeur d'or contenant le coeur d'Anne de Bretagne, dont la portraiture, qui existe dans les mss. précédents, manque dans celui-ci. — Les 38 lignes qui forment la fin de notre relation dans les mss. précédents, manquent dans celui-ci, qui s'arrête avec la phrase : « Ainsy finirent iceulx services, mais les pleurs, criz et lamentacions auront longue durée. Prions Dieu pour elle, celluy qui son ame a créé ».
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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.
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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.
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Exemplaire enluminé, aux armes de Jean de Derval, avec plusieurs grandes miniatures, parmi lesquelles, au fol. 393 v°, une peinture à pleine page représentant Pierre Le Baut, offrant son livre à Jean de Derval et à sa femme Hélène de Laval ; au bas de cette miniature, la devise : Sans plus. — Au fol. 1 v°, on lit la devise : « Tout pour une. Argentré. Ay. »
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Contient : Table de 244 chapitres, depuis Pharamond, jusqu'à l'exécution de « Pieron de La Broche » (1277). — Cf. Histoire littéraire, t. XXI, p. 759 et Historiens de France, t. XXI, p. 159-161. — Miniature au f. I
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Contient : « Chi commanche li livres des coustumes et des usages de Biauvoizins, selonc que il couroit ou tans que chis livres fu fais, ch' est assavoir en l'an de l'Incarnation Nostre Signeur M. CC. IIIIxx et III. Ch' est li prologues. La gran esperance que nous avons de l'ayde... » ; « ... après l'an et le jor, por fere de l'iretage et des arrierages son devoir. Explicit. Chi fine Philippe de Biamanoir son livre, qu'il fist des coustumes de Biavoisis, en l'an de l'Incarnation Nostre Segneur mil IIc IIIIxx et III. Cix Diex li otroit bone fin, qui regne et regnera sans fin. Amen. Que Dix l'otroit »
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Contient : I (fol. 1-199). « Cy commencent les croniques de plusieurs saiges philosophes, lesquelx enseignent plusieurs belles et notables doctrines, lesquelles s'ensuivent. Sedechias fu philosophe le premier... » « ... dont on a aultreffois esté deçeu. Cy fine le livre des saiges philosophes, avecques pluseurs enseignemens qu'ilz mettent et enseignent. » — C'est l'ouvrage de GUILLAUME DE TIGNONVILLE, intitulé le plus souvent : Dits des philosophes ; II (fol. 201-285). « S'ensuit ung petit traictié d'entre l'âme dévote et le cueur, lequel s'appelle le Mortiffiement de vaine plaisance, faict et composé par REGNE, roy de Cecille, duc D'ANJOU... » Imprimé par Quatrebarbes, OEuvres complètes du roi René, t. IV, pp. 1-61
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Contient : 1 Poème sur l'ordre de Saint-Michel, dédié par l'auteur au roi François Ier ; 2 « Panegerique royalle soubz stille pastoural sus les louanges du très crestien roy de France, François premier de ce nom »
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Contient : « Incipit le Roumans de la Rose. Maintes gens dient que en songes... » ; .. « Ainsi ou la rose vermeille, Atant fu jor et je m'esveille. Explicit le Roumans de la Rose »
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Miniature au fol. 3, représentant la cour céleste. — Au fol. 1 v° sont peintes les armes de Montmorency avec les devises : « Dieu aide au premier cretien », et « Aplanos ».
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Miniature au fol. 1 v°, représentant la Vierge foulant aux pieds le dragon, et entourée de saints, qui chantent ses louanges. Le premier chant royal débute, comme dans le ms. franç. 379 : « Filles d'honneur, qui faictes mansion En la cité Hierusalem tressaincte... »
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Contient : 1 « Cy commence le blazon des armes de nostre Rédemption. Nous, Dieu d'amour, créateur, roy de gloire... Loyaulx amans, recongnoissez ces armes » ; 2 « Devota commemoratio de Cruce », piêce de vers latins ; 3 Traité sur le blason, par Clément PRINSAULT, avec figures, précédé (fol. 3 r°) d'une courte préface ; 4 Traité sur les animaux qui figurent le plus souvent dans les armoiries (les descriptions sont à comparer avec celles du XVIIIe livre du traité de Barthélemy L'Anglais sur les Propriétés des Choses) : « Si parle du lyon et de sa noble vertu : Item ou péril il appert pareillement noble... » [Autre exemplaire, ms. franç. 14357, fol. 30.] Ce traité est accompagné de blasons