983 resultados para Lebeuf, Abbé, 1687-1760.
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Appendix includes: Documents inédits (actes et lettres relatifs à l'abbaye de Chatillon: p. 451-465--Lettres inédites de Boisrobert sur divers sujets; p. 465-469--Notices inédites du R.P. Martin et de J. Garinet sur Boisrobert; p. 469-470.--Œuvres de Boisrobert; p. 470-479.
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Includes index.
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Reprinted 1904.
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Vol. 2 has imprint: Boston, Crosby and Nichols; New York, O.S. Felt.
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Translation of: Unterhaltungen mit Friedrich dem Grossen.
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t. 1. 1. section. De la destruction des jésuites. 2. section. Des dernières années du règne de Louis XV. 3. section. Du règne de Louis XVI jusqu'a l'Assemblée des notables.--t. 2. 4. section. Du fameux procés du collier. 5. section. De la révolution français.--t. 3-5. [5. section, suite] De la révolution française.--t. 6. Sur la route de poste de Fribourg en Brisgaw à Saint-Pétersbourg. Voyage à Saint-Pétersbourg.
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Contiene con portada propia: Los capitols que se han decretat per la Real Audiencia y preconisat los puestos acostumats de la present ciutat en lo dia 28 de Setembre proposat, los quals dehuen observar los Collegials del Collegi de Villuters (8 p. ; 23 de junio de 1698 )
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Collection : Cahiers d’histoire culturelle ; vol. 12
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This study focuses on a series of foundational stylistic and formal innovations in eighteenth-century and Romantic literature, and argues that they can be cumulatively attributed to the distinct challenges authors faced in representing human action and the will. The study focuses in particular on cases of “acting against better judgment” or “failing to do what one knows one ought to do” – concepts originally theorized as “akrasia” and “weakness of the will” in ancient Greek and Scholastic thought. During the Enlightenment, philosophy increasingly conceives of human minds and bodies like systems and machines, and consequently fails to address such cases except as intractable or incoherent. Yet eighteenth-century and Romantic narratives and poetry consistently engage the paradoxes and ambiguities of action and volition in representations of akrasia. As a result, literature develops representational strategies that distinguish the epistemic capacities of literature as privileged over those of philosophy.
The study begins by centering on narratives of distempered selves from the 1760s. Jean-Jacques Rousseau’s Confessions and Laurence Sterne’s A Sentimental Journey narrate cases of knowingly and weakly acting against better judgment, and in so doing, reveal the limitations of the “philosophy of the passions” that famously informed sentimental literature at the time. These texts find that the interpretive difficulties of action demand a non-systematic and hermeneutic approach to interpreting a self through the genre of narrative. Rousseau’s narrative in particular informs William Godwin’s realist novels of distempered subjects. Departing from his mechanistic philosophy of mind and action, Godwin develops the technique of free indirect discourse in his third novel Fleetwood (1805) as a means of evoking the ironies and self-deceptions in how we talk about willing.
Romantic poetry employs the literary trope of weakness of will primarily through the problem of regretted inaction – a problem which I argue motivates the major poetic innovations of William Wordsworth and John Keats. While Samuel Taylor Coleridge sought to characterize his weakness of will in philosophical writing, Wordsworth turns to poetry with The Prelude (1805), revealing poetry itself to be a self-deceiving and disappointing form of procrastination. More explicitly than Wordsworth, John Keats identifies indolence as the prime symbol and basis of what he calls “negative capability.” In his letters and poems such as “On Seeing the Elgin Marbles” (1817) and “Ode on Indolence” (1819), Keats reveals how the irreducibly contradictory qualities of human agency speak to the particular privilege of “disinterested aesthetics” – a genre fitted for the modern era for its ability to disclose contradictions without seeking to resolve or explain them in terms of component parts.
Mariage et altérité : les alliances mixtes chez la noblesse canadienne après la Conquête (1760-1800)
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Le 8 septembre 1760, la Nouvelle-France s’incline devant son opposant, la Grande-Bretagne, après six années de conflits armés. La fin des hostilités en Europe, concrétisée par la signature du traité de Paris le 10 février 1763, marque un tournant pour les habitants de la vallée du Saint-Laurent qui ont désormais un nouveau souverain. Le changement de régime est lourd de répercussions, particulièrement pour la noblesse canadienne. Étant donné qu’ils sont dépendants des dirigeants afin d’obtenir des postes de choix, les membres de ce groupe privilégié ayant décidé de rester dans la colonie doivent s’adapter s’ils désirent maintenir leur statut social. L’arrivée des nouvelles élites militaires, administratives et commerciales britanniques oblige la noblesse à se renouveler. Les familles nobles ont-elles usé de stratégies matrimoniales en mariant leurs enfants à des individus non francophones dans le but de se rapprocher des autorités? En contrepartie, ces alliances interethniques ont-elles permis aux conjoints « étrangers » de s’insérer dans les réseaux seigneuriaux? Les unions mixtes impliquant un membre de la noblesse sont peu nombreuses (38) et concernent surtout les filles nobles. La présence de fils nobles n’est pas pour autant inexistante, bien que les comportements de ceux-ci se distinguent de leurs compatriotes féminines. Ayant des caractéristiques hétérogènes, les mariages mixtes perpétuent tout de même les pratiques en place sous le régime français, notamment sur le plan sociodémographique. Les parcours religieux variés sont toutefois le reflet de la période de transition que constitue la deuxième moitié du XVIIIe siècle. Sur le plan socioprofessionnel, les conjoints non francophones ont relativement bien tiré profit de leur alliance avec une noble canadienne, contrairement aux pères nobles. Malgré leur nombre restreint, l’étude des mariages mixtes permet de documenter un phénomène jusque là méconnu, en plus d’approfondir les connaissances en histoire de la famille et du genre pour les quarante années qui suivent la Conquête.