935 resultados para Down"s syndrome


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Epilepsy is frequent in fragile X syndrome (FXS), the most common cause of inherited mental retardation. Status epilepticus (SE), however, seems exceptional in FXS, particularly as an initial epileptic manifestation. To our knowledge, SE was reported in only four FXS patients. We report the clinical features and electroencephalography (EEG) findings of five children with FXS, who presented with SE as their initial seizure.

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Résumé de thèseLe syndrome de PFAPA est une maladie fébrile récurrente décrite pour la première fois en 1987 par Marshall et col. Elle est caractérisée par une fièvre périodique, une stomatite aphteuse, une pharyngite et des adénopathies. Ce syndrome débute dans les premières années de vie et est connu pour disparaître spontanément en principe avant l'adolescence. Hormis un traitement de prednisone en début de crise, aucun traitement n'a pu montrer une efficacité thérapeutique ou curative.L'origine et l'étiologie de cette maladie sont encore inconnues à ce jour et le diagnostic reste un diagnostic d'exclusion qui repose sur des critères définis par différents groupes depuis 1987. Dans le cadre du Working Party periodic fever de la Société Européenne de Rhumatologie pédiatrique (PreS), un groupe a été établi et celui-ci a mis en place un registre de patients atteints de PFAPA afin d'analyser cette maladie et de mieux définir les critères diagnostic. Le Dr Michael Hofer a été nommé chairman de ce groupe et a introduit rapidement les patients romands dans cet outil de travail.L'introduction des patients romands dans la base de données ainsi créée, nous a suggéré une susceptibilité familiale qui nous a poussés à investiguer ce point de manière plus approfondie. Nous avons donc regroupé tous les patients lausannois et ceux de collègues bordelais ayant un diagnostic avéré de PFAPA. Nous avons ensuite interrogé, au cours d'un entretien téléphonique, les familles de ces enfants grâce à un questionnaire standardisé. Celui-ci a été testé et validé sur des patients sains d'une consultation de pédiatrie générale.Nous avons ensuite réunie toutes ces informations et séparés les patients en deux groupes AF+ (anamnèse familiale positive pour une fièvre récurrente) et AF- (anamnèse familiale négative pour une fièvre récurrente). Nous avons établi des comparaisons entre les 2 différents groupes en reprenant les caractéristiques de ces patients depuis le registre PFAPA dans lequel ils sont tous inclus. Les analyses ont été contrôlées et validées par le centre d'épidémiologie clinique grâce aux méthodes statistiques reconnues.Les résultats obtenus et qui sont détaillés dans l'article, permettent de suspecter une origine familiale et par là même, potentiellement génétique, à cette maladie d'étiologie inconnue. Jusqu'à présent aucune prépondérance familiale n'avait pu être mise en évidence dans les autres études sur le sujet. Pourtant cette maladie fait partie du groupe des fièvres récurrentes qui ont pour beaucoup déjà un diagnostic génétique.Notre étude ouvre donc des perspectives non seulement de recherche sur l'éventuelle cause génétique mais pourrait également permettre une meilleure compréhension de la maladie, de ses diverses présentations ainsi que par la suite de nouvelles possibilités thérapeutiques.

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The aim of this study is to quantify the prevalence and types of rare chromosome abnormalities (RCAs) in Europe for 2000-2006 inclusive, and to describe prenatal diagnosis rates and pregnancy outcome. Data held by the European Surveillance of Congenital Anomalies database were analysed on all the cases from 16 population-based registries in 11 European countries diagnosed prenatally or before 1 year of age, and delivered between 2000 and 2006. Cases were all unbalanced chromosome abnormalities and included live births, fetal deaths from 20 weeks gestation and terminations of pregnancy for fetal anomaly. There were 10,323 cases with a chromosome abnormality, giving a total birth prevalence rate of 43.8/10,000 births. Of these, 7335 cases had trisomy 21,18 or 13, giving individual prevalence rates of 23.0, 5.9 and 2.3/10,000 births, respectively (53, 13 and 5% of all reported chromosome errors, respectively). In all, 473 cases (5%) had a sex chromosome trisomy, and 778 (8%) had 45,X, giving prevalence rates of 2.0 and 3.3/10,000 births, respectively. There were 1,737 RCA cases (17%), giving a prevalence of 7.4/10,000 births. These included triploidy, other trisomies, marker chromosomes, unbalanced translocations, deletions and duplications. There was a wide variation between the registers in both the overall prenatal diagnosis rate of RCA, an average of 65% (range 5-92%) and the prevalence of RCA (range 2.4-12.9/10,000 births). In all, 49% were liveborn. The data provide the prevalence of families currently requiring specialised genetic counselling services in the perinatal period for these conditions and, for some, long-term care.