999 resultados para forêt boréale canadienne


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This layer is a georeferenced raster image of the untitled historic paper manuscript map: [Map of Fort Sanders, Knoxville, Tennessee, and vicinity showing troop lines]. It was sketched ca.1863. Scale not given. The image inside the map neatline is georeferenced to the surface of the earth and fit to the Tennessee State Plane Coordinate System (in Meters) (Fipszone 4100). All map collar and inset information is also available as part of the raster image, including any inset maps, profiles, statistical tables, directories, text, illustrations, or other information associated with the principal map. This map shows features such as roads, railroads, drainage, troop location, fortifications, batteries, selected points of military interest, and more. Relief shown by hachures. This layer is part of a selection of digitally scanned and georeferenced historic maps of the Civil War from the Harvard Map Collection. Many items from this selection are from a collection of maps deposited by the Military Order of the Loyal Legion of the United States Commandery of the State of Massachusetts (MOLLUS) in the Harvard Map Collection in 1938. These maps typically portray both natural and manmade features, in particular showing places of military importance. The selection represents a range of regions, originators, ground condition dates, scales, and purposes.

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The intention of the Niagara Parks Commission to undertake restorations of Fort George, Fort Mississauga and Fort Erie has inspired this survey. The aim has not been to create an historical narrative - so many already exist - but rather to present an accurate description of the original appearance, structure and design of each of the Niagara Forts. This it is hoped may be of some practical assistance to those in charge of the actual work of restoration. In the case of Fort Mississauga which was maintained as a military post until 1857, vary complete information has been available. Fort George and Fort Erie were abandoned for military purposes after the War of 1812 and fewer plans and contemporary accounts have survived. While the work of research, involving the collection of every possible plan of the works and every drawing of their appearance as well as the piecing together of material, has been more difficult in the case of the latter forts, it is felt that the essential information has been secured. The use of a number of military terms in the description of the fortifications has been unavoidable and a glossary of these is included on page 66. The list of plans and illustrations is as complete as possible.

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La cybersécurité représente un enjeu important pour les services en charge de la sécurité canadienne à l’ère de l’expansion des Menaces Persistantes Avancées (MSP ou cybercrimes de type 1). Ces crimes se déroulent essentiellement dans le cyberespace, ce qui implique l’adoption de mesures spécifiques adéquates à l’environnement numérique, notamment à l’épreuve de son ubiquité. Le gouvernement canadien a pour sa part publié certaines mesures de défense passive et active dont la plus connue est la stratégie canadienne de cybersécurité. Puisque le cyberespace n’est pas limité territorialement, l’autorité canadienne a conclu plusieurs partenariats internationaux d’où ressortent des mesures bilatérales et multilatérales de protection et de renforcement de la cybersécurité. Toutefois, ces diverses mesures nationales et internationales ne tracent pas de cadre légal précisant la nature et le régime juridique des MSP; précisions sans lesquelles l’adoption de règles au plan national serait improductive. Considérant que l’espace numérique est international, il appelle la mise en place de mesures applicables à l’échelle universelle. Or, au plan international, il n’existe aucun texte à valeur légale spécifique à l’espèce. Ainsi, à la question de savoir, quels textes légaux pourraient s’appliquer, il s’est avéré que le jus ad bellum et la Convention européenne contre le cybercrime (Convention de Budapest) apportaient d’incontournables éléments de réponse. D’une part, le jus ad bellum permet de définir la catégorie d’acte dans laquelle peuvent être rangées les MSP, et d’autre part, la Convention de Budapest permet de définir les infractions informatiques commises par les différents acteurs en cause, les procédures d’investigation appropriées et les mécanismes utiles à la coopération internationale. Bien que les éléments ressortis de ces ententes internationales soient utiles à l’adoption d’un corps de règles internationales uniformes, les intérêts étatiques divergents constituent des obstacles de taille.

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La cybersécurité représente un enjeu important pour les services en charge de la sécurité canadienne à l’ère de l’expansion des Menaces Persistantes Avancées (MSP ou cybercrimes de type 1). Ces crimes se déroulent essentiellement dans le cyberespace, ce qui implique l’adoption de mesures spécifiques adéquates à l’environnement numérique, notamment à l’épreuve de son ubiquité. Le gouvernement canadien a pour sa part publié certaines mesures de défense passive et active dont la plus connue est la stratégie canadienne de cybersécurité. Puisque le cyberespace n’est pas limité territorialement, l’autorité canadienne a conclu plusieurs partenariats internationaux d’où ressortent des mesures bilatérales et multilatérales de protection et de renforcement de la cybersécurité. Toutefois, ces diverses mesures nationales et internationales ne tracent pas de cadre légal précisant la nature et le régime juridique des MSP; précisions sans lesquelles l’adoption de règles au plan national serait improductive. Considérant que l’espace numérique est international, il appelle la mise en place de mesures applicables à l’échelle universelle. Or, au plan international, il n’existe aucun texte à valeur légale spécifique à l’espèce. Ainsi, à la question de savoir, quels textes légaux pourraient s’appliquer, il s’est avéré que le jus ad bellum et la Convention européenne contre le cybercrime (Convention de Budapest) apportaient d’incontournables éléments de réponse. D’une part, le jus ad bellum permet de définir la catégorie d’acte dans laquelle peuvent être rangées les MSP, et d’autre part, la Convention de Budapest permet de définir les infractions informatiques commises par les différents acteurs en cause, les procédures d’investigation appropriées et les mécanismes utiles à la coopération internationale. Bien que les éléments ressortis de ces ententes internationales soient utiles à l’adoption d’un corps de règles internationales uniformes, les intérêts étatiques divergents constituent des obstacles de taille.