984 resultados para Salmonella Paratyphi
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Tesis (Maestría en Ciencias con Especialidad en Microbiología Médica) UANL
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Tesis (Maestría en salud publica) U.A.N.L
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Tesis (Maestría en Ciencias, Especialidad en Inmunobiología) U.A.N.L.
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Huit cent trente et un troupeaux de vaches laitières répartis dans 5 états américains ont été enrôlés dans une étude de cohorte prospective. Un modèle d’équations d'estimation généralisées a été utilisé pour étudier l'association entre les signes cliniques et la détection de salmonelles dans les fèces des animaux soupçonnés de salmonellose clinique. La sensibilité et la spécificité de la culture bactériologique ont été estimées à l’aide d’un modèle de classes latentes. Dix-huit pour cent des 874 échantillons provenant de veaux et 29% des 1479 échantillons de vaches adultes étaient positifs pour Salmonella spp. Il n’a pas été possible d’établir une association claire entre les différents signes cliniques observés et la détection de salmonelles. Les 2 sérotypes les plus fréquemment isolés étaient Typhimurium et Newport. La probabilité de détecter des salmonelles était plus élevée chez les veaux où un autre agent entéropathogène était également détecté. La proportion d’échantillons positifs était plus élevée parmi les vaches ayant reçu des antibiotiques dans les jours précédant l’échantillonnage. La sensibilité de la culture a été estimée à 0,48 (intervalle de crédibilité à 95% [ICr95%]: 0,22-0,95) pour les veaux et 0,78 (ICr95%: 0,55-0,99) pour les vaches. La spécificité de la culture était de 0,94 (ICr95%: 0,87-1,00) pour les veaux et de 0,96 (ICr95%: 0,90-1,00) pour les vaches. Malgré une sensibilité imparfaite, la culture bactériologique demeure utile pour obtenir une meilleure estimation de la probabilité post-test de salmonellose clinique chez un bovin laitier, par rapport à la probabilité estimée suite au seul examen clinique.
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Les biofilms sont des communautés structurées de micro-organismes enrobées dans une matrice extracellulaire. Les biofilms sont impliqués dans la persistance de plusieurs maladies infectieuses et la matrice extracellulaire du biofilm protège les bactéries contre les cellules du système immunitaire de l'hôte, les antibiotiques et les désinfectants. Récemment notre laboratoire a démontré que le zinc inhibe la formation de biofilm chez Actinobacillus pleuropneumoniae, une bactérie pathogène du porc. Le but de cette étude est d'évaluer l'effet du zinc sur la croissance et la formation du biofilm chez différentes bactéries pathogènes du porc, telles que Bordetella bronchiseptica, Escherichia coli, Haemophilus parasuis, Salmonella, Staphylococcus aureus et Streptococcus suis. Les bactéries ont été cultivées dans des plaques de 96 puits sous condition optimale de formation de biofilm et les biofilms ont été colorés au cristal violet. La présence du biofilm a été confirmée par microscopie confocale à balayage laser à l’aide du marqueur fluorescent FilmTracerTM FM ® 1-43. À des concentrations micromolaires, le zinc inhibe faiblement la croissance bactérienne et bloque d'une manière dose-dépendante la formation de biofilm d’A. pleuropneumoniae, Salmonella Typhimurium et H. parasuis. De plus, la formation de biofilm de E. coli, S. aureus et S. suis a été faiblement inhibée par le zinc. Nos résultats indiquent que le zinc a un effet inhibiteur sur la formation de biofilm de la plupart des pathogènes bactériens d'origine porcine. Cependant, le mécanisme sous-jacent de l'activité anti-biofilm du zinc reste à être caractérisé.
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On s’intéresse aux impacts des pesticides sur la microflore des plantes surtout dans le contexte des légumes contaminés par des agents pathogènes. Le but de cette étude est d'évaluer l'impact de certains pesticides sur la persistance de micro-organismes indicateurs et pathogènes. En laboratoire, la persistance d’E. coli et de Salmonella en présence de quatre pesticides (Ripcord 400EC, Copper 53W, Bioprotec CAF, Serenade MAX) a été étudiée. Les plaques de Pétrifilm et le milieu sélectif XLD sont utilisés pour énumérer les populations d’E. coli et de Salmonella. Il a été démontré que le Serenade MAX favorisait la croissance microbienne, le Bioprotec CAF et le Ripcord 400EC soutenaient la survie microbienne et le Copper 53W inhibait la croissance, à la fois d’E. coli et de Salmonella. En conditions terrain, Ripcord 400EC, Copper 53W, Bioprotec CAF ont été étudiés sur une culture de brocoli irriguée avec de l'eau expérimentalement contaminée par E. coli. Dans tous les traitements, un impact de l’irrigation a été observé sur les populations de levures et de moisissures (diminution) et les bactéries aérobies totales (augmentation). Une prévalence supérieure d’E. coli a été observée dans les parcelles traitées avec le Bioprotec CAF comparativement aux traitements au Copper 53W, ce qui est en accord avec les résultats observés lors de l'essai en laboratoire. Cependant, l'analyse statistique n'a montré aucune différence significative entre les traitements appliqués. Les effets directs des pesticides sur les micro-organismes sont confirmés dans des conditions de laboratoire mais demeurent méconnus dans les conditions expérimentales au champ.
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Une exposition aux viandes comporte un risque pour la santé, et les maladies transmises par ces viandes causent un fardeau important mondialement. En Afrique centrale, le gibier est une viande communément consommée en zone urbaine. L’absence d’information sur le niveau de consommation de gibier, ainsi que sur sa contamination, limite l’évaluation des risques sanitaires associés au gibier. Une étude transversale a visé la description du niveau de consommation des viandes parmi 205 ménages de Port-Gentil (Gabon), ainsi que certains déterminants de la consommation de ces viandes. Une seconde étude transversale a quantifié la contamination musculaire de gibier vendu à Port-Gentil par Salmonella, Campylobacter et Shigella. Sur une base de trois jours, 86% des ménages ont consommé de la volaille, 84% du poisson, 44% du bœuf, 25% du porc et 24% du gibier. La consommation de gibier fut plus fréquente le dimanche et parmi les ménages à revenu élevé. Le gibier fut principalement acquis en carcasse entière sans conservation particulière, mais toujours consommé bouilli. Des trois bactéries ciblées, seule Salmonella a été isolée parmi un de 128 échantillons de gibier. Ces études fournissent des informations utiles pour mieux comprendre les facteurs de risque pour la santé associés à la consommation de viandes au Gabon. Des études sur la contamination des viandes, notamment celles des carcasses de gibier, seront nécessaires pour mieux apprécier les risques spécifiques à chaque différente bactérie pathogène.
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Des études antérieures démontrent que les descendants de peuples européens et africains présentent des différences de susceptibilité à certaines maladies infectieuses. Ces différences suggèrent des variations interpopulationnelles de la réponse immunitaire qui résultent probablement de l’adaptation de ces individus aux pathogènes de leur environnement. Nous avons caractérisé la réponse immunitaire chez des descendants de peuples européens et africains à des infections bactériennes. Nous avons infecté des macrophages dérivés de monocytes de 30 Américains d’origine africaine (Africains) et de 31 Américains d’origine européenne (Européens) avec les pathogènes intracellulaires Listeria monocytogenes et Salmonella typhimurium pendant 4 heures, puis nous avons mesuré le niveau d’expression pangénomique des cellules infectées et non infectées par séquençage de l’ARNm. Nous avons estimé le niveau de contrôle de l’infection par les macrophages à 2, 4 et 24 heures post-infection en évaluant le taux de survie des bactéries. Nous avons observé que les Africains présentent significativement moins de bactéries intracellulaires après 4 et 24 heures que les Européens, suggérant que les Africains contrôlent mieux les infections bactériennes. Nous avons identifié des différences interpopulationnelles dans le niveau de sécrétion des cytokines et dans le niveau d’expression de certains gènes, ce qui suggère que les Africains modulent une réponse inflammatoire plus forte que les Européens. Nous avons démontré que plusieurs de ces gènes ont subi des évènements de sélection positive récents seulement chez les Européens. Notre étude a identifié plusieurs gènes candidats susceptibles d’influencer le cours des infections bactériennes chez les humains. Nos résultats indiquent que les différences dans la progression des maladies infectieuses entre les populations européennes et africaines seraient le résultat de la sélection naturelle.
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Les antibiotiques sont fréquemment utilisés dans l’alimentation de la volaille afin de prévenir certaines maladies, dont l’entérite nécrotique, ce qui occasionne l’émergence de souches bactériennes résistantes aux antibiotiques. Une alternative prometteuse est l’utilisation de peptides antimicrobiens (AMPs) comme suppléments alimentaires, tels les AMPs provenant des produits laitiers. L’objectif du projet était de développer une méthode de production d’extraits peptidiques à partir de coproduits de la transformation alimentaire (babeurre, lactoferrine, isolat de protéines de pois), afin de tester si ces extraits peptidiques possédaient une activité antimicrobienne sur les pathogènes spécifiques aviaires suivants : Salmonella Enteritidis, Salmonella Typhimurium, Escherichia coli et Staphylococcus aureus. Les protéines ont été mises en suspension dans l’eau (5% p/p) et hydrolysées par la pepsine, 6 heures, pH de 2.5. Les peptides furent récupérés par ultrafiltration (< 10 kDa), puis fractionnés selon leur charge nette : totaux, cationiques, anioniques et non liés. L’effet antimicrobien a été évalué surmicroplaques, par la survie bactérienne en présence de concentrations croissantes d’extraits peptidiques. Les extraits cationiques de babeurre ont démontré une efficacité à une concentration inférieure ou égale à 5 mg/mL; perte de 3 log pour Escherichia coli O78 :H80. En comparaison, la lactoferrine cationique a été efficace à une concentration inférieure ou égale à 0.6 mg/mL; perte de 6 log pour E. coli O78 :H80. Les extraits peptidiques du pois ont démontré une efficacité faible. Cette méthode s’avère prometteuse pour le développement d’une alternative ou d’un complément pour la réduction de l’utilisation des antibiotiques dans l’alimentation de la volaille.
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A detailed study was made on the microbial quality, with special reference to food safety, of the fish and fishery products in the retail trade in Cochin and around. Also, farmed molluscan shellfishes like mussels and oysters were investigated for the microbial quality including the presence of pathogenic bacteria. Special stress has been given to monitor the incidence of coagulase positive as well as coagulase negative Staphylococcus in these products and their relative incidence have been recorded.In the next part, the investigation was centered mainly on toxigenic S.aureus. This is because among the Gram positive toxigenic bacteria, the Saureus with potential to produce thermostable enterotoxins are more relavent in food safety conceming seafoods in comparison with the Gram-negative pathogens like Salmonella and V.cholerae.The incidence, toxigenic potential and conditions of toxin production by S.aureus have been investigated in detail. An attempt has also been made to relate the toxigenisis with the presence of the concerned toxigenic genes in the genomes of S. aureus strains.
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TThe invention of novel antibiotics and other bioactive microbial metabolites continues to be an important aim in new drug discovery programmes. Actinomycetes have the potential to synthesize lots of diverse biologically vigorous secondary metabolites and in the last decades actinomycetes became the most productive source for antibiotics. Therefore in the present study we analyze the antibacterial activity of the actinomycetes isolated from grassland soil samples of Tropical Montane forest. A total of 33 actinomycete strains isolated were characterized and screened for antibacterial activities using well diffusion method against six specific pathogenic organisms. Identification of the isolates revealed that the majority of them were belonging to Streptomycetes followed by Nocardia, Micromonospora, Pseudonocardia, Streptosporangium, Nocardiopsis and Saccharomonospora. Among the 33 isolates, Gr1 strain showed antagonistic activity against all checked pathogens. Nine strains showed antibacaterial activity against Listeria, Vibrio cholera, Bacillus cereus, Staphylococcus aureus and Salmonella typhi and only 2 strains (Gr1and Gr25) showed antagonism to E. coli. The overall percentage of activity of actinomycetes isolates against each pathogenic bacterium was also calculated. While 63.63% of the actinomycetes were antagoinistic against Listeria, Vibrio cholerae, and Bacillus cereus, 60.6% of them were antagonistic to Staphylococcus aureus. Very few isolates (6.06%) showed antibacterial activity against E. coli. In general most of the actinomycetes isolates were antagonistic to grampositive bacteria such as Listeria, Bacillus and Staphylococcus than Gram-negative bacteria Vibrio cholerae, E. coli and Salmonella
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One thousand, two hundred and sixty four samples of individually quick-frozen (IQF) peeled and deveined raw and 914 samples of cooked ready to eat shrimp samples produced from farm raised black tiger (Penaeus monodon) obtained from a seafood unit working under HACCP concept were analysed for total aerobic plate count (APC), coliform count, Escherichia coli, coagulase positive Staphylococci and Salmonella. The overall bacteriological quality of the product was found to be good. Of the frozen raw shrimp, 96% of samples showed APC below 105 while 99% of the frozen cooked ready-to-eat samples showed APC less than 104. The APC ranged from 1·0´102 to 4·2´106 cfu/gm in frozen raw shrimp and from 1·0´102 to 6·4´104 cfu/gm in the frozen cooked shrimp. Prevalences of coliforms in raw shrimp and cooked shrimp samples were 14·4% and 2·9% respectively. The coliform count in raw products ranged from 1·0´101 to 2·5´103 cfu/gm and in the cooked products, from 1·0 ´101 to 1·8´102 cfu/gm. Although all the cooked shrimp samples were free of coagulase positive staphylococci, E. coli and Salmonella, 1·0, 2·0 and 0·1% of the frozen raw shrimp samples tested positive for coagulase positive Staphylococci, E. coli and Salmonella respectively. The Salmonella strain was identified as Salmonella typhimurium. The results of the present study highlight the importance of implementation of HACCP system in the seafood industry to ensure consistent quality of frozen seafood
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Bacteriological quality of individually quick frozen (IQF) shrimp products produced from aquacultured tiger shrimp (Penaeus monodon) has been analysed in terms of aerobic plate count (APC), coliforms, Escherichia coli, coagulase-positive staphylococci, Salmonella, and Listeria monocytogenes. Eight hundred forty-six samples of raw, peeled, and deveined tail-on (RPTO), 928 samples of cooked, peeled, and deveined tail-on (CPTO), 295 samples of headless, undeveined shell-on (HLSO), and 141 samples of raw, peeled, and deveined tail-off (RPND) shrimps were analysed for the above bacteriological parameters. Salmonella was isolated in only one sample of raw, peeled tail-on. Serotyping of the strain revealed that it was S. typhimurium. While none of the cooked, peeled tail-on shrimp samples exceeded the aerobic plate count (APC) of 105 colony forming units per gram (cfu/g), 2.5% of raw, peeled, tail-on, 6.4% of raw, peeled tail-off, and 7.5% of headless shell-on shrimp samples exceeded that level. Coliforms were detected in all the products, though at a low level. Prevalence of coliforms was higher in headless shell-on (26%) shrimps followed by raw, peeled, and deveined tail-off (19%), raw, peeled tail-on (10%), and cooked, peeled tail-on (3.8%) shrimps. While none of the cooked, peeled tail-on shrimp samples were positive for coagulase-positive staphylococci and E. coli, 0.6–1.3% of the raw, peeled tail-on were positive for staphylococci and E. coli, respectively. Prevalence of staphylococci was highest in raw, peeled tail-off (5%) shrimps and the highest prevalence of E. coli (4.8%) was noticed in headless shell-on shrimps. L. monocytogenes was not detected in any of the cooked, peeled tail-on shrimps. Overall results revealed that the plant under investigation had exerted good process control in order to maintain superior bacteriological quality of their products
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Urban and peri-urban agriculture (UPA) increasingly supplies food and non-food values to the rapidly growing West African cities. However, little is known about the resource use efficiencies in West African small-scale UPA crop and livestock production systems, and about the benefits that urban producers and retailers obtain from the cultivation and sale of UPA products. To contribute to filling this gap of knowledge, the studies comprising this doctoral thesis determined nutrient use efficiencies in representative urban crop and livestock production system in Niamey, Niger, and investigated potential health risks for consumers. Also assessed was the economic efficiency of urban farming activities. The field study, which was conducted during November 2005 to January 2008, quantified management-related horizontal nutrient flows in 10 vegetable gardens, 9 millet fields and 13 cattle and small ruminant production units. These farms, selected on the basis of a preceding study, represented the diversity of UPA crop and livestock production systems in Niamey. Based on the management intensity, the market orientation and especially the nutrient input to individual gardens and fields, these were categorized as high or low input systems. In the livestock study, high and low input cattle and small ruminant units were differentiated based on the amounts of total feed dry matter offered daily to the animals at the homestead. Additionally, economic returns to gardeners and market retailers cultivating and selling amaranth, lettuce, cabbage and tomato - four highly appreciated vegetables in Niamey were determined during a 6-months survey in forty gardens and five markets. For vegetable gardens and millet fields, significant differences in partial horizontal nutrient balances were determined for both management intensities. Per hectare, average annual partial balances for carbon (C), nitrogen (N), phosphorus (P) and potassium (K) amounted to 9936 kg C, 1133 kg N, 223 kg P and 312 kg K in high input vegetable gardens as opposed to 9580 kg C, 290 kg N, 125 kg P and 351 kg K in low input gardens. These surpluses were mainly explained by heavy use of mineral fertilizers and animal manure to which irrigation with nutrient rich wastewater added. In high input millet fields, annual surpluses of 259 kg C ha-1, 126 kg N ha-1, 20 kg P ha-1 and 0.4 kg K ha-1 were determined. Surpluses of 12 kg C ha-1, 17 kg N ha-1, and deficits of -3 kg P ha-1 and -3 kg K ha-1 were determined for low input millet fields. Here, carbon and nutrient inputs predominantly originated from livestock manure application through corralling of sheep, goats and cattle. In the livestock enterprises, N, P and K supplied by forages offered at the farm exceeded the animals’ requirements for maintenance and growth in high and low input sheep/goat as well as cattle units. The highest average growth rate determined in high input sheep/goat units was 104 g d-1 during the cool dry season, while a maximum average gain of 70 g d-1 was determined for low input sheep/goat units during the hot dry season. In low as well as in high input cattle units, animals lost weight during the hot dry season, and gained weight during the cool dry season. In all livestock units, conversion efficiencies for feeds offered at the homestead were rather poor, ranging from 13 to 42 kg dry matter (DM) per kg live weight gain (LWG) in cattle and from 16 to 43 kg DM kg-1 LWG in sheep/goats, pointing to a substantial waste of feeds and nutrients. The economic assessment of the production of four high value vegetables pointed to a low efficiency of N and P use in amaranth and lettuce production, causing low economic returns for these crops compared to tomato and cabbage to which inexpensive animal manure was applied. The net profit of market retailers depended on the type of vegetable marketed. In addition it depended on marketplace for amaranth and lettuce, and on season and marketplace for cabbage and tomato. Analysis of faecal pathogens in lettuce irrigated with river water and fertilized with animal manure indicated a substantial contamination by Salmonella spp. with 7.2 x 104 colony forming units (CFU) per 25 g of produce fresh matter, while counts of Escherichia coli averaged 3.9 x 104 CFU g-1. In lettuce irrigated with wastewater, Salmonella counts averaged 9.8 x 104 CFU 25 g-1 and E. coli counts were 0.6 x 104 CFU g-1; these values exceeded the tolerable contamination levels in vegetables of 10 CFU g-1 for E. coli and of 0 CFU 25 g-1 for Salmonella. Taken together, the results of this study indicate that Niamey’s UPA enterprises put environmental safety at risk since excess inputs of N, P and K to crop and livestock production units favour N volatilisation and groundwater pollution by nutrient leaching. However, more detailed studies are needed to corroborate these indications. Farmers’ revenues could be significantly increased if nutrient use efficiency in the different production (sub)systems was improved by better matching nutrient supply through fertilizers and feeds with the actual nutrient demands of plants and animals.
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Little is known about the heavy metal and microbial contamination of vegetables produced in Central Asian cities. We therefore measured the concentration of cadmium (Cd), copper (Cu), lead (Pb), and zinc (Zn) and of faecal pathogens (Coliform bacteria, Salmonella sp., Shigella sp., Ascaris lubricoides, Entamoeba sp. and pinworms [Oxyuris vermicularis syn. Enterobius vermicularis]) in soil, irrigation water, and marketed vegetables of Kabul City, Afghanistan. Leaf Pb and Zn concentrations of leafy vegetables were with 1–5 and 33–160 mg kg^{-1} dry weight (DW) several-fold above respective international thresholds of 0.3 mg Pb kg^{-1} and 50 mg Zn kg^{-1}. The tissue concentration of Cu was below threshold limits in all samples except for spinach in one farm. Above-threshold loads of microbes and parasites on vegetables were found in five out of six gardens with coliforms ranging from 0.5–2 × 10^7 cells 100g^{-1} fresh weight (FW), but no Salmonella and Shigella were found. Contamination with 0.2 × 10^7 eggs 100g^{-1} FW of Ascaris was detected on produce of three farms and critical concentrations of Entamoeba in a single case, while Oxyuris vermicularis, and Enterobius vermicularis were found on produce of three and four farms, respectively. Irrigation water had Ascaris, Coliforms, Salmonella, Shigella, Entamoeba, and Oxyuris vermicularis syn. Enterobius vermicularis ranging from 0.35 × 10^7 to 2 × 10^7 cells l^{-1}. The heavy metal and microbial loads on fresh UPA vegetables are likely the result of contamination from rising traffic, residues of the past decades of war and lacking treatment of sewage which needs urgent attention.