986 resultados para Palestrina, Giovanni Pierluigi da, 1525?-1594.


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Ce ms. a appartenu à la bibliothèque du chapitre de Notre-Dame de Paris, dont il porte l'ex-libris "A la bibliotheque de l'Eglise de Paris" (XVIIe s., f. A). Notre-Dame.

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1.° Germani Audeberti, Aurelii, ad serenissimam ac christianissimam Reginam Catharinam Medicaeam, Henrici III. Galliae et Poloniae Regis christianissimi matrem, carmen : subjicitur ejusdem interpretatio gallica. — 2.° Lachrymae ad tumulum Christophori Thoï. — 3.° Stanze in lode di Carlo V. Imperatore. — 4.° Carmina ejusdem Audeberti adversùs Poloniam, quùm illic regnaret Henricus. — 5.° Antonii Cerruti carmen ad Joannem Morvillerium, pro Gallorum Regibus apud Senatum Venetum Oratorem. — 6.° Carmen in fugam Caroli V. anno 1552. — 7.° Aliud carmen, quod inscribitur Caesar ; in quo Imperator suis hostibus bellum minatur. — 8.° Les furies de feu Pierre Louis Farnese : poëme francois. — 9.° Satira di Jacobo Sellaro da Cento. — 10.° Sonetti di Francesco Coppetta, Perugino. — 11.° Epitaphe du Duc Philippes de Bourgogne, escript sur sa tombe aux Chartreux de Dijon. — 12.° Epithalamium in nuptias Batorianas. — 13.° Diverses pieces de Remy Belleau. — 14.° Diverses stances sur l'amour. — 15.° Imitation de l'Arioste sur le discours de Roland le furieux, par Philippe Desportes. — 16.° Autres poësies du même. — 17.° Joannis Aurati carmen alternum in nuptias Mariae, Reginae Scotiae, Lotharingia oriundae. — 18.° Michaëlis Hospitalis carmen ad Franciscum Lotharingum, Guisiorum Principem. — 19.° Epistola Francisci Olivarii ad Cardinalem Lotharingum. — 20.° Tetrastichon de Roma. — 21.° Lettre du Prince de Piémont à monsieur l'Evêque d'Orleans, du II. Avril 1559. — 22.° Poëme : le monde passe et sa concupiscence ; par la Rochandieu. — 23.° De la science du salut. — 24.° Epitaphe du nez de maître Pierre Lizet. — 25.° Double du bannissement des Caraffes, affiché aux ruës de Rome après la mort du Pape Paul IV. — 26.° Excerptum è querimonia collegii scortorum Romanensium, de afflicto rerum suarum statu ob exilium Cardinalis Caraffae ; ad Paulum Papam IV. — 27.° Varia epigrammata. — 28.° Canzone di Giovanni Battista Leoni, al serenissimo Henrico, Duca di Angio, eletto Rè di Polonia. — 29.° Joannis Dampetri, Julii Scaligeri, Theodori Bezae, Langaei, Brixii et Olympiae Moratae carmina selecta.

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Acquis parmi 44 mss. provenant du cabinet du pape Pie VI 1775-1799 (Giovanni-Angelo Braschi) "peu après l'envoi principal des mss. du Vatican en 1797"; cf. B.n.F., département des Manuscrits, Archives Modernes 492, registre des acquisitions du département des Manuscrits an II-an XIV (1793-1805), f. 49v; Laffitte, Bulletin du Bibliophile, 1989/2, 312

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Acquis parmi 44 mss. provenant du cabinet du pape Pie VI (Giovanni-Angelo Braschi) "peu après l'envoi principal des mss. du Vatican en 1797"; cf. B.n.F., département des Manuscrits, Archives Modernes 492, registre des acquisitions du département des Manuscrits an II-an XIV (1793-1805), f. 48v; Laffitte, Bulletin du Bibliophile, 1989/2, 310

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Acquis parmi 44 mss. provenant du cabinet du pape Pie VI (Giovanni-Angelo Braschi) "peu après l'envoi principal des mss. du Vatican en 1797"; cf. B.n.F., département des Manuscrits, Archives Modernes 492, registre des acquisitions du département des Manuscrits an II-an XIV (1793-1805), f. 50, description éditée par M.-P. Laffitte, Bulletin du Bibliophile, 1989/2, 312

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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.

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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.

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