975 resultados para G-PROTEIN
Resumo:
Mastoparans are tetradecapeptides found to be the major component of vespid venoms. A mastoparan toxin isolated from the venom of Anterhynchium flavomarginatum micado has been crystallized and X-ray diffraction data collected to 2.7 Angstrom resolution using a synchrotron-radiation source. Crystals were determined to belong to the space group P6(2)22 (P6(4)22). This is the first mastoparan to be crystallized and will provide further insights into the conformational significance of mastoparan toxins with respect to their potency and activity in G-protein regulation.
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The interest in carbon nanomaterials with high transparency and electrical conductivity has grown within the last decade in view of a wide variety of applications, including biocompatible sensors, diagnostic devices and bioelectronic implants. The aim of this work is to test the biocompatibility of particular nanometer-thin nanocrystalline glass-like carbon films (NGLC), a disordered structure of graphene flakes joined by carbon matrix (Romero et al., 2016). We used a cell line (SN4741) from substantia nigra dopaminergic cells derived from transgenic mouse embryo cells (Son et al., 1999). Some cells were cultured on top of NGLC films (5, 20 and 80 nm) and other with NGLC nanoflakes (approx. 5-10 mm2) in increasing concentrations: 1, 5, 10, 20 and 50 μg/ml, during 24 h, 3 days and 7 days. Cells growing in normal conditions were defined under culture with DMEM supplemented with 10% FCS, Glucose (0,6%), penicillin-streptomycin (50U/ml) and L-glutamine (2mM) at 5%CO2 humidified atmosphere. Nanoflakes were resuspended in DMEM at the stock concentration (2 g/l). The experiments were conducted in 96 well plates (Corning) using 2500 cells per well. For MTT analysis, the manufacturer recommendations were followed (Roche, MTT kit assay): a positive control with a 10% Triton X-100 treatments (15 minutes) and a negative control without neither Triton X-100 nor NGLC. As apoptosis/necrosis assay we used LIVE/DEAD® Viability/Cytotoxicity Assay Kit (Invitrogen). In a separate experiment, cells were cultured on top of the NGLC films for 7 days. Primary antibodies: anti-synaptophysin (SYP, clone SY38, Chemicon) and goat anti-GIRK2 (G-protein-regulated inward-rectifier potassium channel 2 protein) (Abcom) following protocol for immunofluorescence. WB for proteins detection performed with a polyclonal anti-rabbit proliferating cell nuclear antigen (PCNA). Results demonstrated the biocompatibility with different concentration of NGLC varying the degree of survival from a low concentration (1 mg/ml) in the first 24 h to high concentrations (20-50 g/ml) after 7 days as it is corroborated by the PCNA analysis. Cells cultured on top of the film showed after 7 days axonal-like alignment and edge orientation as well as net-like images. Neuronal functionality was demonstrated to a certain extent through the analysis of coexistence between SYP and GIRK2. In conclusion, this nanomaterial could offer a powerful platform for biomedical applications such as neural tissue engineering
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Mastoparans are tetradecapeptides found to be the major component of vespid venoms. These peptides present a wide spectrum of biological activities, such as mast cell degranulation, hemolytic activity and also reveals antimicrobial activity. A mastoparan toxin isolated from the venom of Anterhynchium flavomarginatum micado has been crystallized. At room temperature these crystals diffracted to 2.8 Angstrom resolution. However, upon cooling to cryogenic temperature around 85 K, the original resolution limit could be improved to 2.0 Angstrom. Crystals were determined to belong to the space group P3(1) (P3(2)). This is the first mastoparan to be crystallized and it will provide further insights in the conformational significance of mastoparan toxins, with respect to their potency and activity in G protein regulation. (C) 3001 Elsevier B.V. B.V. All rights reserved.
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Le cancer colorectal représente la troisième forme de cancer la plus fréquente au Canada. Malgré les récents développements, aucun traitement curatif n’est disponible pour les patients diagnostiqués à un stade avancé de la maladie. Plusieurs évidences supportent un rôle important des prostaglandines dans cette maladie. En effet, une surexpression des récepteurs de type EP et FP est remarquée. Ces derniers ainsi que les molécules de signalisations intracellulaires qu’ils activent représentent donc de nouvelles cibles pour traiter ce cancer. Nous et d’autres groupes avons démontré que les protéines G monomériques sont des petits interrupteurs moléculaires importants dans la signalisation intracellulaire engagée par les récepteurs dans des cellules saines mais qu’un dérèglement de celles-ci est associé au cancer. L’objectif principal de ce projet de recherche vise donc à identifier les voies de signalisations par lesquelles le récepteur FP contribue aux capacités invasives des cellules tumorales d’origine colorectale. Notre hypothèse est que la protéine ARF6, une des 6 isoformes des ARFs, et la protéine RhoA, agissent pour coordonner l’activation des voies de signalisations associées à la migration et l’invasion cellulaire. Nos résultats ont indiqué que la stimulation des cellules HEK293 exprimant de façon stable le récepteur FP (HA-FP) ainsi que les cellules SW480, une lignée invasive de cancer colorectal, par le PGF2α augmentait les niveaux d’activation d’ARF6 mais également de la protéine RhoA. De plus, d’autres médiateurs et intermédiaires associés à la réorganisation du cytosquelette comme la cofiline et la chaine légère de la myosine (MLC) ont été hautement phosphorylés suite à la stimulation par la prostaglandine. Ces observations sont associées avec une augmentation des fibres de stress dans les cellules. Nous avons tenté de déterminer si l’inhibition de ces protéines G affectait la capacité du PGF2α à activer ces intermédiaires de signalisation ainsi que certains effets biologiques. Ainsi, nos expériences contribueront à identifier de nouvelles cibles thérapeutiques potentielles pour le traitement du cancer colorectal.
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L’exacerbation de la perte d’autonomie des personnes âgées hospitalisées est fréquente. Le traumatisme craniocérébral (TCC) est une condition médicale associée à un état de stress et d’hypercatabolisme particulièrement élevé (Cook, 2008) qui rend la personne âgée encore plus vulnérable. De plus, les recommandations en vigueur pour l’apport protéique (0,8 g/kg) semblent insuffisantes pour freiner la perte de masse musculaire qui conduit à la sarcopénie. L’objectif de cette étude était de déterminer l’impact d’un supplément protéino-énergétique sur les performances physiques de la personne âgée traumatisée crânienne en réadaptation, plus spécifiquement sur la distance de marche, la force de préhension, ainsi que le test du « Time up and go » (TUG). Vingtquatre sujets, âgés de 65 à 94 ans (14 hommes) ont consenti à participer à cette étude randomisée contrôlée à double-aveugle dans un centre de réadaptation fonctionnelle intensive à Montréal. L’intervention consistait à ingérer un supplément nutritionnel (230 kcal, 15 g protéines, 25 g glucides) ou un placebo immédiatement après le traitement régulier de physiothérapie (45 à 60 minutes, 4 à 5 fois par semaine). Aucune différence significative n’a été trouvée dans les caractéristiques de base des 2 groupes. Une amélioration significative a été trouvée dans le groupe supplément pour le test du TUG. Notre étude d’intervention est la première en nutrition en sol québécois dans les Centres de réadaptation. La consommation d’un supplément chez la personne âgée durant le traitement de physiothérapie est une mesure simple et facile à introduire dans un contexte clinique. Même en l’absence de gains significatifs sur l’ensemble des mesures physiques, le supplément nutritionnel permet d’augmenter les apports caloriques et protéiques, ce qui peut contribuer à optimiser l’état nutritionnel. La littérature documente largement les impacts négatifs de la malnutrition et toute mesure pouvant contribuer à diminuer la prévalence de cette dernière ne peut donc qu’être positive.
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Les récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) démontrent de plus en plus de capacités à activer des mécanismes jusqu’alors associés à des facteurs de transcription ou des molécules d’adhésion. En effet, de nouvelles preuves rapportent qu’ils pourraient également participer au guidage axonal qui est le mécanisme permettant aux axones de cellules nerveuses de rejoindre leur cible anatomique. Le guidage axonal se fait par l’interaction entre les molécules de guidage et une structure particulière présente à l’extrémité de l’axone, le cône de croissance. Par exemple, les RCPGs participent au guidage des cellules ganglionnaires de la rétine (CGR), dont les axones s’étendent de la rétine jusqu’au noyaux cérébraux associés à la vision. Cet effet est observé avec des RCPGs tels que les récepteurs aux cannabinoïdes (CB1 et CB2) et celui du lysophosphatidylinositol, le GPR55. Les RCPGs GPR91 et GPRG99, respectivement récepteurs au succinate et à l’α-cétoglutarate, se trouvent à la surface de ces CGRs, ce qui en font des candidats potentiels pouvant participer au guidage axonal. Dans ce mémoire, l’effet des ligands de ces récepteurs sur la croissance et la navigation des axones des CGRs fut analysé. L’impact produit par ces récepteurs ainsi que leurs ligands sur la morphologie des cônes de croissance fut déterminé en mesurant leur taille et le nombre de filopodes présents sur ces cônes. Pour évaluer le rôle du succinate et de l’a-cétoglutarate sur la croissance globale des axones de CGRs, la longueur totale des projections axonales d’explants rétiniens a été mesurée. L’effet de ces ligands des récepteurs GPR91 et GPR99 sur le guidage axonal a également été évalué en temps réel à l’aide d’un gradient créé par un micro injecteur placé à 45° et à 100µm du cône de croissance. La distribution in vivo des récepteurs GPR91 et GPR99 sur la rétine a été étudié à l’aide d’expériences d’immunohistochimie. Les résultats obtenus indiquent que l’ajout de 100µM de succinate produit une augmentation de la taille des cônes de croissance et du nombre de filopodes présents à leur surface. Il augmente également la croissance des axones. Ce type de réponse fut également observé lorsque les cellules furent soumises à 200µM d’α-cétoglutarate. Fait à noter, les deux récepteurs n’ont pas d’impact sur le guidage axonal. Ces résultats indiquent donc que les agonistes des récepteurs GPR91 et GPR99 augmentent la croissance des cellules ganglionnaires lorsqu’ils sont présents lors du développement. Par contre, ils n’ont pas d’influence sur la direction prise par les cônes de croissance. Ces nouvelles données sont un pas de plus dans la compréhension des mécanismes qui gèrent et participent au développement et la croissance des CGRs, ce qui pourrait donner de nouvelles cibles thérapeutique pouvant mener à la régénération de nerfs optiques endommagés.
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Le cancer colorectal représente la troisième forme de cancer la plus fréquente au Canada. Malgré les récents développements, aucun traitement curatif n’est disponible pour les patients diagnostiqués à un stade avancé de la maladie. Plusieurs évidences supportent un rôle important des prostaglandines dans cette maladie. En effet, une surexpression des récepteurs de type EP et FP est remarquée. Ces derniers ainsi que les molécules de signalisations intracellulaires qu’ils activent représentent donc de nouvelles cibles pour traiter ce cancer. Nous et d’autres groupes avons démontré que les protéines G monomériques sont des petits interrupteurs moléculaires importants dans la signalisation intracellulaire engagée par les récepteurs dans des cellules saines mais qu’un dérèglement de celles-ci est associé au cancer. L’objectif principal de ce projet de recherche vise donc à identifier les voies de signalisations par lesquelles le récepteur FP contribue aux capacités invasives des cellules tumorales d’origine colorectale. Notre hypothèse est que la protéine ARF6, une des 6 isoformes des ARFs, et la protéine RhoA, agissent pour coordonner l’activation des voies de signalisations associées à la migration et l’invasion cellulaire. Nos résultats ont indiqué que la stimulation des cellules HEK293 exprimant de façon stable le récepteur FP (HA-FP) ainsi que les cellules SW480, une lignée invasive de cancer colorectal, par le PGF2α augmentait les niveaux d’activation d’ARF6 mais également de la protéine RhoA. De plus, d’autres médiateurs et intermédiaires associés à la réorganisation du cytosquelette comme la cofiline et la chaine légère de la myosine (MLC) ont été hautement phosphorylés suite à la stimulation par la prostaglandine. Ces observations sont associées avec une augmentation des fibres de stress dans les cellules. Nous avons tenté de déterminer si l’inhibition de ces protéines G affectait la capacité du PGF2α à activer ces intermédiaires de signalisation ainsi que certains effets biologiques. Ainsi, nos expériences contribueront à identifier de nouvelles cibles thérapeutiques potentielles pour le traitement du cancer colorectal.
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L’exacerbation de la perte d’autonomie des personnes âgées hospitalisées est fréquente. Le traumatisme craniocérébral (TCC) est une condition médicale associée à un état de stress et d’hypercatabolisme particulièrement élevé (Cook, 2008) qui rend la personne âgée encore plus vulnérable. De plus, les recommandations en vigueur pour l’apport protéique (0,8 g/kg) semblent insuffisantes pour freiner la perte de masse musculaire qui conduit à la sarcopénie. L’objectif de cette étude était de déterminer l’impact d’un supplément protéino-énergétique sur les performances physiques de la personne âgée traumatisée crânienne en réadaptation, plus spécifiquement sur la distance de marche, la force de préhension, ainsi que le test du « Time up and go » (TUG). Vingtquatre sujets, âgés de 65 à 94 ans (14 hommes) ont consenti à participer à cette étude randomisée contrôlée à double-aveugle dans un centre de réadaptation fonctionnelle intensive à Montréal. L’intervention consistait à ingérer un supplément nutritionnel (230 kcal, 15 g protéines, 25 g glucides) ou un placebo immédiatement après le traitement régulier de physiothérapie (45 à 60 minutes, 4 à 5 fois par semaine). Aucune différence significative n’a été trouvée dans les caractéristiques de base des 2 groupes. Une amélioration significative a été trouvée dans le groupe supplément pour le test du TUG. Notre étude d’intervention est la première en nutrition en sol québécois dans les Centres de réadaptation. La consommation d’un supplément chez la personne âgée durant le traitement de physiothérapie est une mesure simple et facile à introduire dans un contexte clinique. Même en l’absence de gains significatifs sur l’ensemble des mesures physiques, le supplément nutritionnel permet d’augmenter les apports caloriques et protéiques, ce qui peut contribuer à optimiser l’état nutritionnel. La littérature documente largement les impacts négatifs de la malnutrition et toute mesure pouvant contribuer à diminuer la prévalence de cette dernière ne peut donc qu’être positive.
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Each grape variety has its own phenolic profile. However, the concentration of the phenolic compounds present in wine mainly dependson winemaking processes. Phenolic compounds influence wine sensorial characteristics namely taste or mouthfeel, bitterness, astringency and color. Humans can perceive six basic tastes: sweet, salty; sour; umami; fat-taste and bitter taste. This last basic taste is considered as a defense mechanism against the ingestion of potential poisons. Some of the genes,encoding G-protein-coupled receptors - TAS2Rs, which translate for these distinct bitter compounds detectors have been identified. Different phenolic compounds activate distinguished combination of TAS2Rs. Astringency in wine is primarily driven by proanthocyanidins, soluble protein-proanthocyanidins complexes which diminish the protective salivary film and bind to the salivary pellicle; insoluble protein-proanthocyanidins complex and proanthocyanidins are rejected against salivary film and trigger astringency sensation via increasing friction. Thus, the aim of this review is to expand the knowledge about the role of wine phenolic compounds in wine sensorial properties, namely in bitterness and astringency phenomenon’s.
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Les récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) démontrent de plus en plus de capacités à activer des mécanismes jusqu’alors associés à des facteurs de transcription ou des molécules d’adhésion. En effet, de nouvelles preuves rapportent qu’ils pourraient également participer au guidage axonal qui est le mécanisme permettant aux axones de cellules nerveuses de rejoindre leur cible anatomique. Le guidage axonal se fait par l’interaction entre les molécules de guidage et une structure particulière présente à l’extrémité de l’axone, le cône de croissance. Par exemple, les RCPGs participent au guidage des cellules ganglionnaires de la rétine (CGR), dont les axones s’étendent de la rétine jusqu’au noyaux cérébraux associés à la vision. Cet effet est observé avec des RCPGs tels que les récepteurs aux cannabinoïdes (CB1 et CB2) et celui du lysophosphatidylinositol, le GPR55. Les RCPGs GPR91 et GPRG99, respectivement récepteurs au succinate et à l’α-cétoglutarate, se trouvent à la surface de ces CGRs, ce qui en font des candidats potentiels pouvant participer au guidage axonal. Dans ce mémoire, l’effet des ligands de ces récepteurs sur la croissance et la navigation des axones des CGRs fut analysé. L’impact produit par ces récepteurs ainsi que leurs ligands sur la morphologie des cônes de croissance fut déterminé en mesurant leur taille et le nombre de filopodes présents sur ces cônes. Pour évaluer le rôle du succinate et de l’a-cétoglutarate sur la croissance globale des axones de CGRs, la longueur totale des projections axonales d’explants rétiniens a été mesurée. L’effet de ces ligands des récepteurs GPR91 et GPR99 sur le guidage axonal a également été évalué en temps réel à l’aide d’un gradient créé par un micro injecteur placé à 45° et à 100µm du cône de croissance. La distribution in vivo des récepteurs GPR91 et GPR99 sur la rétine a été étudié à l’aide d’expériences d’immunohistochimie. Les résultats obtenus indiquent que l’ajout de 100µM de succinate produit une augmentation de la taille des cônes de croissance et du nombre de filopodes présents à leur surface. Il augmente également la croissance des axones. Ce type de réponse fut également observé lorsque les cellules furent soumises à 200µM d’α-cétoglutarate. Fait à noter, les deux récepteurs n’ont pas d’impact sur le guidage axonal. Ces résultats indiquent donc que les agonistes des récepteurs GPR91 et GPR99 augmentent la croissance des cellules ganglionnaires lorsqu’ils sont présents lors du développement. Par contre, ils n’ont pas d’influence sur la direction prise par les cônes de croissance. Ces nouvelles données sont un pas de plus dans la compréhension des mécanismes qui gèrent et participent au développement et la croissance des CGRs, ce qui pourrait donner de nouvelles cibles thérapeutique pouvant mener à la régénération de nerfs optiques endommagés.
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Bioelectronic interfaces have significantly advanced in recent years, offering potential treatments for vision impairments, spinal cord injuries, and neurodegenerative diseases. However, the classical neurocentric vision drives the technological development toward neurons. Emerging evidence highlights the critical role of glial cells in the nervous system. Among them, astrocytes significantly influence neuronal networks throughout life and are implicated in several neuropathological states. Although they are incapable to fire action potentials, astrocytes communicate through diverse calcium (Ca2+) signalling pathways, crucial for cognitive functions and brain blood flow regulation. Current bioelectronic devices are primarily designed to interface neurons and are unsuitable for studying astrocytes. Graphene, with its unique electrical, mechanical and biocompatibility properties, has emerged as a promising neural interface material. However, its use as electrode interface to modulate astrocyte functionality remains unexplored. The aim of this PhD work was to exploit Graphene-oxide (GO) and reduced GO (rGO)-coated electrodes to control Ca2+ signalling in astrocytes by electrical stimulation. We discovered that distinct Ca2+dynamics in astrocytes can be evoked, in vitro and in brain slices, depending on the conductive/insulating properties of rGO/GO electrodes. Stimulation by rGO electrodes induces intracellular Ca2+ response with sharp peaks of oscillations (“P-type”), exclusively due to Ca2+ release from intracellular stores. Conversely, astrocytes stimulated by GO electrodes show slower and sustained Ca2+ response (“S-type”), largely mediated by external Ca2+ influx through specific ion channels. Astrocytes respond faster than neurons and activate distinct G-Protein Coupled Receptor intracellular signalling pathways. We propose a resistive/insulating model, hypothesizing that the different conductivity of the substrate influences the electric field at the cell/electrolyte or cell/material interfaces, favouring, respectively, the Ca2+ release from intracellular stores or the extracellular Ca2+ influx. This research provides a simple tool to selectively control distinct Ca2+ signals in brain astrocytes in neuroscience and bioelectronic medicine.
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Background: Celery (Apium graveolens) represents a relevant allergen source that can elicit severe reactions in the adult population. To investigate the sensitization prevalence and cross-reactivity of Api g 2 from celery stalks in a Mediterranean population and in a mouse model. Methodology: 786 non-randomized subjects from Italy were screened for IgE reactivity to rApi g 2, rArt v 3 (mugwort pollen LTP) and nPru p 3 (peach LTP) using an allergen microarray. Clinical data of 32 selected patients with reactivity to LTP under investigation were evaluated. Specific IgE titers and cross-inhibitions were performed in ELISA and allergen microarray. Balb/c mice were immunized with purified LTPs; IgG titers were determined in ELISA and mediator release was examined using RBL-2H3 cells. Simulated endolysosomal digestion was performed using microsomes obtained from human DCs. Results: IgE testing showed a sensitization prevalence of 25.6% to Api g 2, 18.6% to Art v 3, and 28.6% to Pru p 3 and frequent co-sensitization and correlating IgE-reactivity was observed. 10/32 patients suffering from LTP-related allergy reported symptoms upon consumption of celery stalks which mainly presented as OAS. Considerable IgE cross-reactivity was observed between Api g 2, Art v 3, and Pru p 3 with varying inhibition degrees of individual patients' sera. Simulating LTP mono-sensitization in a mouse model showed development of more congruent antibody specificities between Api g 2 and Art v 3. Notably, biologically relevant murine IgE cross-reactivity was restricted to the latter and diverse from Pru p 3 epitopes. Endolysosomal processing of LTP showed generation of similar clusters, which presumably represent T-cell peptides. Conclusions: Api g 2 represents a relevant celery stalk allergen in the LTP-sensitized population. The molecule displays common B cell epitopes and endolysosomal peptides that encompass T cell epitopes with pollen and plant-food derived LTP.
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Platelet aggregation and acute inflammation are key processes in vertebrate defense to a skin injury. Recent studies uncovered the mediation of 2 serine proteases, cathepsin G and chymase, in both mechanisms. Working with a mouse model of acute inflammation, we revealed that an exogenous salivary protein of Ixodes ricinus, the vector of Lyme disease pathogens in Europe, extensively inhibits edema formation and influx of neutrophils in the inflamed tissue. We named this tick salivary gland secreted effector as I ricinus serpin-2 (IRS-2), and we show that it primarily inhibits cathepsin G and chymase, while in higher molar excess, it affects thrombin activity as well. The inhibitory specificity was explained using the crystal structure, determined at a resolution of 1.8 angstrom. Moreover, we disclosed the ability of IRS-2 to inhibit cathepsin G-induced and thrombin-induced platelet aggregation. For the first time, an ectoparasite protein is shown to exhibit such pharmacological effects and target specificity. The stringent specificity and biological activities of IRS-2 combined with the knowledge of its structure can be the basis for the development of future pharmaceutical applications. (Blood. 2011;117(2):736-744)
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Objective: The aim of this study was to investigate the prevalence of the Eosinophil cationic protein (ECP)-gene polymorphism 434(G > C) in oral squamous cell carcinoma (OSCC) patients and its association with tumor-associated tissue eosinophilia (TATE), demographic, clinical, and microscopic variables. Methods: The ECP genotypes of 165 healthy individuals and 157 OSCC patients were detected by PCR-RFLP analysis after cleavage of the amplified DNA sequence with enzyme PstI. TATE was obtained by morphometric analysis. Chi-square test or Fisher`s exact test was used to analyze the association of ECP-gene polymorphism 434(G > C) with TATE, demographic, clinical, and microscopic variables in OSCC patients. Disease-free survival and overall survival were calculated by the Kaplan-Meier product-limit actuarial method and the comparison of the survival curves were performed using log rank test. Results: Most of healthy individuals (53.33%) and OSCC patients (57.97%) were heterozygous for the ECP 434(G > C) polymorphism. Based on numerical differences, our results showed that OSCC patients with intense TATE and at least one C allele had a higher frequency of bilateral neck dissection, local recurrence, vascular embolization, involved resection margins, and postoperative radiotherapy. No statistically significant differences on survival rates were found in OSCC patients presenting different ECP 434(G > C) genotypes. Conclusions: These results suggest a tendency towards a poor clinical outcome in OSCC patients with intense TATE and 434GC/CC genotypes, probably due to an ECP genetic variant with altered cytotoxic activity.
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Inhibition of PKB (protein kinase B) activity using a highly selective PKB inhibitor resulted in inhibition of cell cycle progression only if cells were in early G1 phase at the time of addition of the inhibitor, as demonstrated by time-lapse cinematography. Addition of the inhibitor during mitosis up to 2 h after mitosis resulted in arrest of the cells in early G1 phase, as deduced from the expression of cyclins D and A and incorporation of thymidine. After 24 h of cell cycle arrest, cells expressed the cleaved caspase-3, a central mediator of apoptosis. These results demonstrate that PKB activity in early G1 phase is required to prevent the induction of apoptosis. Using antibodies, it was demonstrated that active PKB translocates to the nucleus during early G1 phase, while an even distribution of PKB was observed through cytoplasm and nucleus during the end of G1 phase.