999 resultados para Bernich, Emile -- Correspondance
Resumo:
Este artigo reporta-se às bases epistemológicas do currículo do futuro. Inicia examinando os debates em curso sobre o impacto das mudanças curriculares na economia global. A parte principal do texto refere-se à explicação e comparação de duas teorias sociais do conhecimento - a de Emile Durkheim e a do psicólogo russo Lev Vygotsky, focalizando particularmente a questão das origens do conhecimento e a relação entre o conhecimento cotidiano e o conhecimento teórico. O autor argumenta que a abordagem genético-histórica adotada por Vygotsky precisa ser combinada com a ênfase durkheimiana na realidade social do conhecimento. Finalmente, conclui com algumas observações acerca das implicações da comparação para a teoria de currículo contemporânea.
Resumo:
Quel défenseur ne s'est pas senti désarmé par les résultats d'une¦expertise ADN rapportant une correspondance entre une trace¦trouvée sur une scène de crime et son client? Ce sentiment est¦largement répandu auprès des avocats pénalistes. Souvent, la bataille¦n'est pourtant pas perdue à ce stade, comme l'illustrent¦deux arrêts récents du Tribunal pénal fédéral, et l'accusé n'a pas¦toujours intérêt à se taire face à des indices forensiques incriminants.
Resumo:
Neste texto o autor procura elucidar o modo pelo qual Basil Bernstein utilizou e enriqueceu a contribuição de Durkheim para a análise de questões abordadas pela sociologia da educação.
Resumo:
Résumé Les rongeurs utilisent leurs moustaches (vibrisses) pour explorer le milieu environnant. Chaque moustache est mue par un système des muscles. Les récepteurs situés à sa base transmettent les informations au système nerveux central. La transmission vers l'écorce se fait via trois neurones de relais qui se trouvent au niveau du ganglion trigéminé, du tronc cérébral et du thalamus. La représentation corticale d'une vibrisse est une concentration des axones thalamo-corticaux (ATC) autour desquelles s'organisent leurs cibles, les cellules de la couche IV. La structure peut être identifiée histologiquement en coupes tangentielles et porte le nom de « barrel » (« tonneau »). Cette correspondance vibrisse - barrel fait de ce système un model idéal pour étudier l'influence de l'activité périphérique sur l'établissement et le maintien des cartes somatotopiques. Notre laboratoire dispose d'une souche de souris qui a subi une mutation spontanée pour le gène codant l'adenylyl cyclase I (ACI). Cette enzyme membranaire catalyse la formation de l'AMPc et joue un rôle important dans le guidage axonal, la libération des neurotransmetteurs et l'intégration des signaux postsynaptiques. Nous avons démontré dans un premier temps que cette souris adulte ne développe pas de barrels. Cela est dû à un manque d'organisation des ATC et aussi des cellules de la couche IV. De plus, les résultats électrophysiologiques montrent que les informations venant des vibrisses adjacentes ne sont pas intégrées d'une manière normale. Dans ce travail de thèse, j'ai analysé la morphologie des ATC révélés individuellement avec de la biocytine. L'analyse quantitative des ATC a mis en évidence les points suivants: 1. Les axones de la souris normale (NOR) quittent le thalamus, traversent la capsule interne et la substance blanche sous-corticale et pénètrent dans le cortex somato-sensoriel primaire. A l'intérieur de l'écorce ils traversent au maximum 3 colonnes corticales adjacentes dont une contient le barrel cible. En passant à travers les couches VI et V, ces axones arborisent et convergent progressivement vers le barrel dans lequel ils forment une riche arborisation. Un petit nombre des branches « errantes », pleines de boutons synaptiques, pénètrent dans les barrels voisins. Deux axones NOR provenant de corps cellulaires très proches dans le thalamus peuvent avoir un cheminement très divergent lors de la traversée de la capsule interne et de la substance blanche sous-corticale mais, à leur entrée dans le cortex, ils sont distants d'au maximum 2 colonnes corticales de la colonne qui contient le barrel cible et ils convergent progressivement vers ce barrel. 2. Les axones de la souris mutante (BRL) ont le même trajet sous-cortical que les axones NOR, mais leur entrée dans le cortex somato-sensoriel primaire est aléatoire. A l'interface entre la substance blanche sous-corticale et le cortex, l'axone principal se divise rapidement en troncs axonaux qui traversent les couches VI et V d'une manière divergente pour arriver dans la couche IV. Cela contraste beaucoup avec la trajectoire des NOR qui convergent graduellement vers leur barrel cible. Le nombre de branches radiales que les axones BRL utilisent pour entrer dans le cortex et dans la couche IV est double par rapport aux axones NOR. Parmi ces branches, seules quelques-unes donnent des arborisations, les autres ne sont pas développées et leur morphologie est semblable à celle des branches formées par les axones de la souris normale lors du développement. Deux axones BRL issus de corps cellulaires proches dans le thalamus peuvent avoir une trajectoire très divergente jusqu'à leur entrée dans la couche IV, mais à ce niveau ils sont réorientés pour se retrouver et faire un nombre maximal de branches et boutons synaptiques dans la même région corticale. Dans un cas extrême, un des axones observés est entré dans le cortex à la limite entre l'aire somatosensorielle primaire et secondaire et a parcouru une distance de 2 mm pour retrouver son partenaire thalamique et donner avec celui-ci un nombre maximal de branches dans la même région de la couche IV. 3. Les mesures quantitatives ont montré que les arborisations corticales des axones NOR ont une longueur moyenne de 18mm et sont formées par 200 segments qui portent 1200 boutons synaptiques. Par rapport à la souris NOR, les axones BRL ont en moyenne la même longueur, le même nombre de segments et boutons synaptiques, mais donnent deux fois plus de branches radiales. La surface tangentielle occupée par les arborisations BRL dans la couche IV est 2 fois plus grande que celle des NOR. Cela signifie que les 1000 boutons synaptiques qui caractérisent les arborisations NOR et BRL dans la couche IV sont disséminés sur une surface tangentielle double chez les derniers, et donc que la densité des boutons par unité de surface corticale est en moyenne plus faible. En effet, l'augmentation de la surface corticale tangentielle des BRL est due aux surfaces de faible et moyenne densité synaptique (0 - 8 boutons / 400pn2) qui augmentent 2 fois tandis que les surfaces de haute densité synaptiques (8 - 64 boutons / 4001.tm2) sont les mêmes. Nous émettons l'hypothèse selon laquelle, durant le développement, les ATC de la souris BRL divergent et forment un nombre exubérant de branches. Grâce à cette divergence et aux branches supranuméraires, ils trouvent l'endroit de l'écorce où se trouvent leurs voisins thalamiques et arborisent abondamment dans cette région. Cependant, le déficit en AGI ne leurs permet pas par la suite, sous influence de l'activité périphérique, de retirer les branches qui se trouvent dans les endroits inappropriés de l'écorce, avec de possibles conséquences sur la discrimination tactile.
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Introduction: Diffuse large B-cell lymphomas (DLBCL) represent a heterogeneous disease with variable clinical outcome. Identifying phenotypic biomarkers of tumor cells on paraffin sections that predict different clinical outcome remain an important goal that may also help to better understand the biology of this lymphoma. Differentiating non-germinal centre B-cell-like (non-GCB) from Germinal Centre B-cell-like (GCB) DLBCL according to Hans algorithm has been considered as an important immunohistochemical biomarker with prognostic value among patients treated with R-CHOP although not reproducibly found by all groups. Gene expression studies have also shown that IgM expression might be used as a surrogate for the GCB and ABC subtypes with a strong preferential expression of IgM in ABC DLBCL subtype. ImmunoFISH index based on the differential expression of MUM-1, FOXP1 by immunohistochemistry and on the BCL6 rearrangement by FISH has been previously reported (C Copie-Bergman, J Clin Oncol. 2009;27:5573-9) as prognostic in an homogeneous series of DLBCL treated with R-CHOP. In addition, oncogenic MYC protein overexpression by immunohistochemistry may represent an easy tool to identify the consequences of MYC deregulation in DLBCL. Our aim was to analyse by immunohistochemistry the prognostic relevance of MYC, IgM, GCB/nonGCB subtype and ImmunoFISH index in a large series of de novo DLBCL treated with Rituximab (R)-chemotherapy (anthracyclin based) included in the 2003 program of the Groupe d'Etude des Lymphomes de l'Adulte (GELA) trials. Methods: The 2003 program included patients with de novo CD20+ DLBCL enrolled in 6 different LNH-03 GELA trials (LNH-03-1B, -B, -3B, 39B, -6B, 7B) stratifying patients according to age and age-adjusted IPI. Tumor samples were analyzed by immunohistochemistry using CD10, BCL6, MUM1, FOXP1 (according to Barrans threshold), MYC, IgM antibodies on tissue microarrays and by FISH using BCL6 split signal DNA probes. Considering evaluable Hans score, 670 patients were included in the study with 237 (35.4%) receiving intensive R-ACVBP regimen and 433 (64.6%) R-CHOP/R-mini-CHOP. Results: 304 (45.4%) DLBCL were classified as GCB and 366 (54.6%) as non-GCB according to Hans algorithm. 337/567 cases (59.4%) were positive for the ImmunoFISH index (i.e. two out of the three markers positive: MUM1 protein positive, FOXP1 protein Variable or Strong, BCL6 rearrangement). Immunofish index was preferentially positive in the non-GCB subtype (81.3%) compared to the GCB subtype (31.2%), (p<0.001). IgM was recorded as positive in tumor cells in 351/637 (52.4%) DLBCL cases with a preferential expression in non-GCB 195 (53.3%) vs GCB subtype 100(32.9%), p<0.001). MYC was positive in 170/577 (29.5%) cases with a 40% cut-off and in 44/577 (14.2%) cases with a cut-off of 70%. There was no preferential expression of MYC among GCB or non-GCB subtype (p>0.4) for both cut-offs. Progression-free Survival (PFS) was significantly worse among patients with high IPI score (p<0.0001), IgM positive tumor (p<0.0001), MYC positive tumor with a 40% threshold (p<0.001), ImmunoFISH positive index (p<0.002), non-GCB DLBCL subtype (p<0.0001). Overall Survival (OS) was also significantly worse among patients with high IPI score (p<0.0001), IgM positive tumor (p=0.02), MYC positive tumor with a 40% threshold (p<0.01), ImmunoFISH positive index (p=0.02), non-GCB DLBCL subtype (p<0.0001). All significant parameters were included in a multivariate analysis using Cox Model and in addition to IPI, only the GCB/non-GCB subtype according to Hans algorithm predicted significantly a worse PFS among non-GCB subgroup (HR 1.9 [1.3-2.8] p=0.002) as well as a worse OS (HR 2.0 [1.3-3.2], p=0.003). This strong prognostic value of non-GCB subtyping was confirmed considering only patients treated with R- CHOP for PFS (HR 2.1 [1.4-3.3], p=0.001) and for OS (HR 2.3 [1.3-3.8], p=0.002). Conclusion: Our study on a large series of patients included in trials confirmed the relevance of immunohistochemistry as a useful tool to identify significant prognostic biomarkers for clinical use. We show here that IgM and MYC might be useful prognostic biomarkers. In addition, we confirmed in this series the prognostic value of the ImmunoFISH index. Above all, we fully validated the strong and independent prognostic value of the Hans algorithm, daily used by the pathologists to subtype DLBCL.