1000 resultados para élèves du secondaire
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L’objet de cette recherche concerne le développement de l’expertise enseignante chez les enseignantes et les enseignants d’histoire au secondaire. Une recension des écrits nous a permis d’identifier des aspects qui contribuent au développement professionnel comme les réseaux professionnels, la formation continue ou congrès, le mentorat, des lectures d’ouvrages spécialisés, des collègues de travail et l’expérience. L’objectif de recherche était d’identifier, auprès d’enseignantes et d’enseignants d’histoire au secondaire, quels sont les aspects et les expériences professionnelles qui ont contribué au développement de leur expertise professionnelle. Cette recherche, dite qualitative/interprétative de type exploratoire, repose sur la stratégie du récit de vie. Les participants sont quatre enseignants d’histoire au secondaire considérés comme experts. L’entrevue semi-dirigée a permis de colliger des données qualitatives quant aux aspects et aux expériences professionnelles ayant contribué au développement de leur expertise enseignante. Les résultats de recherche indiquent que les aspects ciblés au départ ont influencé à divers degrés le cheminement des experts participants. D’autres aspects ont émergé comme étant marquants dans le développement professionnel comme la passion ou l’intérêt pour l’enseignement de l’histoire, la qualité des relations tant avec les élèves qu’avec les collègues et la capacité de réfléchir sur sa pratique. Toutefois, trois aspects favorisent plus particulièrement le développement de l’expertise soit l’expérience, les compétences professionnelles en enseignement qui regroupent la préparation de cours, la réflexion sur sa pratique et la relation maitre/élève puis les collègues de travail. Cette recherche est utile parce qu’elle apporte un éclairage sur les aspects contribuant au développement de l’expertise enseignante et peut ouvrir la voie vers une autre étude qui mettrait en évidence les différences entre les voies empruntées pour développer cette dernière.
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Dans les écoles primaires du Québec, les élèves en difficultés et en troubles d'apprentissage sont désormais généralement intégrés en classe ordinaire. «Les enfants en difficulté d'apprentissage de la lecture représentent environ 5 à 15 % et ce pourcentage ne devrait pas diminuer au cours des prochaines années. [...] Dans notre pratique, en tant que formatrice universitaire, nous nous interrogeons sur le niveau de la formation théorique et pratique reçue par les futurs maitres en enseignement au préscolaire et au primaire relative au trouble spécifique d'apprentissage que constitue la dyslexie, aux outils particuliers pour détecter les problèmes d'acquisition et d'apprentissage de la lecture et aux interventions particulières à préconiser en salle de classe ordinaire. Par conséquent, notre problématique est principalement appuyée par notre expérience et notre expertise de plus de cinq ans dans le domaine de la formation des maitres. Notre richesse est surtout d'avoir côtoyé des apprenants universitaires, stagiaires qui, malheureusement souvent inquiets, se disent peu formés afin d'aider les élèves en difficulté d'apprentissage de la lecture. Ainsi, il nous parait impératif que ces futurs enseignants aient accès à la formation nécessaire afin qu'ils puissent intervenir à bon escient auprès d'enfants dyslexiques et, partant, leur permettre la réussite éducative.
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Le premier cours de français obligatoire, Écriture et littérature, amène l'élève à rédiger une analyse littéraire. La méthode de travail intellectuel que l'élève aura maîtrisée doit être réinvestie dans les cours suivants auxquels de nouvelles notions s'ajoutent. Il importe donc que l'élève ait intégré une méthode de travail efficace qu'il pourra réutiliser. Cet essai vient montrer dans quelle mesure l'utilisation de stratégies cognitives et métacognitives peut aider l'élève à développer sa compétence à rédiger des analyses littéraires. La problématique de la recherche concerne l'approche pédagogique offerte habituellement dans ce premier cours de français. Nous avons remarqué que l'enseignante ou l'enseignant s'intéresse principalement à la tâche réalisée, soit la rédaction de l'élève, et non à la démarche de ce dernier. Si l'élève suit une procédure qui comporte des lacunes ou omet certaines étapes essentielles, comment peut-on espérer que ce dernier arrive à produire une analyse littéraire satisfaisante? Parallèlement, si l'enseignante ou l'enseignant souhaite apporter une aide personnalisée à l'élève, il lui faut avoir accès aux processus mentaux de ce dernier. Nous avons aussi remarqué que l'élève n'est guère impliqué dans le processus d'évaluation, qu'il s'agisse de l'évaluation de sa démarche ou de son texte. Ainsi la réflexion sur son savoir-faire ou sur sa compétence en rédaction n'est pas sollicitée. Tel que donné, le cours de littérature n'offre pas une place suffisamment grande au processus d'apprentissage de l'analyse littéraire: l'élève est absent du processus d'évaluation et la réflexion sur sa démarche et ses productions n'est pas valorisée. Dans ce cas, l'enseignante ou l'enseignant ne peut espérer un transfert des apprentissages dans le cours suivant. Ces constats nous ont amenée à souhaiter analyser les effets de l'enseignement de diverses stratégies cognitives et métacognitives sur le développement de la compétence à rédiger des analyses littéraires. Afin de répondre à cet objectif général de la recherche, nous avons bâti notre cadre de référence autour de l'approche cognitiviste. Comme notre expérimentation porte principalement sur l'acquisition de connaissances procédurales, c'est à dire un savoir-faire, nous avons repris les grands principes du traitement de l'information proposés par Tardif (1992). Nous avons aussi tenu compte des catégories de connaissances (Barbeau, Montini, Roy, 1997) qui exigent, pour chacune, des stratégies différentes. Puisque notre expérimentation vise une méthode d'enseignement différente compte tenu que nous avons ajouté des stratégies d'autoévaluation et de régulation à nos stratégies cognitives déjà existantes, nous avons privilégié les écrits d'auteurs qui traitent de la métacognition dans le but de développer une compétence. Alors que l'autoévaluation permet à l'élève d'évaluer sa démarche ou son travail, la régulation, quant à elle, est l'action qui devrait suivre en vue d'apporter des correctifs aux lacunes relevées. Ces deux pratiques indissociables devraient permettre à l'élève de réaliser quelles actions il doit mettre en place pour améliorer ses écrits. Ainsi l'élève prend confiance en lui, devient plus autonome et responsable de sa réussite. C'est dans cette optique que s'est déroulée l'expérimentation à l'hiver 2008. Pendant 15 semaines, 25 élèves regroupés à l'intérieur d'un cours d'aide à la réussite ont expérimenté une approche différente de celle du cours dans lequel ils ont échoué. D'abord, l'élève a pris connaissance de ses points forts et de ses faiblesses à l'analyse littéraire du trimestre précédent. Il a pu s'exprimer sur sa conception des critères d'évaluation et ajuster sa compréhension des attentes par la suite. Après chaque production, l'élève a été appelé à porter un jugement critique sur son texte. Aussi, il a pu parler de sa méthode de travail avec ses pairs et évaluer l'efficacité de sa démarche. La réécriture de certains textes a été exigée. À plusieurs reprises, l'élève a dû se questionner sur l'état de ses apprentissages et faire le bilan de ses connaissances. Le travail par les pairs a aussi été très valorisé. Pour vérifier l'impact de notre expérimentation, nous avons recueilli tous les documents relatifs à l'analyse littéraire finale de mai 2008 afin de décrire les processus mentaux mis en place par les élèves et vérifier si leurs stratégies ont été efficaces. Nous avons aussi fait remplir deux questionnaires afin d'analyser les perceptions des élèves quant aux stratégies cognitives et métacognitives expérimentées. Finalement, lors d'une entrevue, l'enseignante nous a fait part de ses perceptions quant à l'intérêt de la recherche et ses limites. Les résultats que nous avons obtenus nous ont permis de voir quelle démarche chaque élève a suivie à partir des traces qu'il a laissées. Il semble que les étapes préalables à la rédaction, celles que l'on retrouve sur la copie de l'extrait littéraire, sont les stratégies les plus utiles pour recueillir toutes les informations nécessaires à la rédaction. Les élèves qui ont laissé des traces de ces étapes sont ceux qui ont le mieux réussi. Cependant, c'est sur le plan des perceptions qu'apparaît encore plus clairement l'importance de combiner les stratégies métacognitives aux stratégies cognitives déjà en place. Les élèves accordent une grande valeur à l'autoévaluation. Cette pratique semble avoir contribué à augmenter leur confiance alors qu'ils sont aptes à détecter leurs forces et leurs faiblesses. Aussi, plusieurs croient que le réinvestissement de cette stratégie dans les autres cours de français pourra les aider dans leur réussite. De manière générale, l'expérimentation de stratégies métacognitives conjointement aux stratégies cognitives donne de bons résultats. Même si l'expérimentation s'est effectuée sur une courte période, elle a eu un impact positif chez les élèves et l'enseignante. Les élèves avaient le sentiment d'être en contrôle de leur réussite. Bref, les résultats nous encouragent donc à poursuivre l'insertion de stratégies métacognitives à l'intérieur du premier cours de français afin d'aider les élèves à acquérir une méthode de travail qui leur sera utile et efficace.
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Cette étude a donc pour but de comparer les conditions d'implantation de l'intégration scolaire au Québec et en Thaïlande à la lumière de modèle bioécosystémique proposé par Bonfenbrenner (Bronfenbrenner et Morris, 2006), qui analyse les diverses sources d'influence de l'environnement sur le développement. Les objectifs de cette étude ont donc consisté à décrire la façon dont l'intégration scolaire a été implantée au Québec et en Thaïlande, puis à comparer les similarités et les différences entre ces deux régions du globe.
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A la fin du XIXe siècle, les technologies modernes liées à l'électricité et à ses applications ont été introduites au Portugal sans réel décalage par rapport aux autres pays. Toutefois, jusqu’aux années 1910, malgré plusieurs réformes des instituts industriels et des écoles polytechniques, la formation en électrotechnique était restée insuffisante pour que les ingénieurs portugais puissent acquérir les compétences indispensables à l'installation et l'exploitation des technologies électriques. Même si, depuis la fin du siècle précédent, eu égard à l’importance croissante de l’électricité et de ses applications, on tentait de mettre en place des cours spécifiques. Aussi, pour pallier leurs manques, quelques ingénieurs portugais partaient-ils compléter leur formation dans les principales institutions européeennes comme l'Institut Montefiore, annexé à l'Université de Liège, l’Université de Grenoble ou l’Université de Nancy. C’est seulement en 1911 avec la création de l’Institut Supérieur Technique de Lisbonne et l’année suivante de la Faculté technique de Porto, que les cours de génie électrotechnique ont été introduits au Portugal. L’organisation de l’Institut Supérieur Technique fut confiée à Alfredo Bensaúde qui avait fait ses études supérieures en Allemagne. L’enseignement de l’ingénierie dans ce pays fut alors marqué par le principe : « less theory and more pratice ». On cherchait à former des élèves pour les orienter vers l’industrie Après la première Guerre mondiale, on a pu prendre la mesure de la place des ingénieurs électriciens dans l’économie et la société portugaise avec l’organisation de 4 congrès d’électricité entre 1923 et 1931. Au 1er congrès portugais d’ingénierie en 1931, les ingénieurs électriciens ont joué un rôle déterminant, manifestant ainsi l’importance de cette branche du génie dans la société au XIXe siècle.
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Aber Wrac’h, Pays du Léon, Bretagne. Aber Wrac’h, Bretagne, France, on 10 March 2004 at 13:30 (low tide) looking North (downstream) towards the Aber mouth and open sea between Lannilis and Plougerneau, Pays des Abers, Pays du Le´on. The word "Aber" is Britton (Breton) for a "fjord"-like estuary. Located on the Channel, the region "Pays des Abers" includes several deep incisions in the coastlines. The best known ‘‘Abers’’ are the Aber Wrac’h and Aber Benoit in the Pays du Léon, Finistere Nord.
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Background Psychological tests can be useful to record adaptive and maladaptive behaviours of children with intellectual disability. The objective of this study was to describe the adaptive and maladaptive behaviour of children and adolescents with Cri-du-chat syndrome. Methods The sample consisted of 10 children and adolescents with Cri-du-chat syndrome (mean chronological age = 11.3 years, mean mental age = 18 months). The developmental quotient was calculated through the Psychoeducational Profile - Revised. An observational protocol was used to record adaptive and maladaptive behaviours. Results The number of maladaptive behaviours observed was different among participants. However, all of them had high rates of adaptive behaviours, such as rule-following. Conclusions These results, though preliminary, justify that we continue to think about the need for psychoeducational interventions aimed at stimulating the repertoire of adaptive behaviours, in people with Cri-du-chat syndrome.
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Fazer prevenção em Saúde Pública implica em conhecimento sistematizado para a proposição de programas e sua avaliação. Quanto à prevenção de Deficiência Mental, que atinge cerca de 10% da população, pouco se conhece no país. Adotando uma metodologia para levantamento de ações preventivas de DM em hospitais e unidades de saúde, junto a gestantes e recém-nascidos, foi possível descrever e analisar a atuação da rede pública de saúde da Grande Vitória/ES, indicando os níveis de prevenção mais atendidos. Foram levantadas as ações de prevenção (AP) de cinco hospitais públicos de grande porte, nove (31%) unidades de saúde e seis secretarias de saúde, entre 1996-97. Os dados de 25 entrevistas mostram que esses locais realizavam 51,5% das 433 AP possíveis (57,4% da prevenção primária e 45,5% da secundária). Particularizando a atuação de cada município e local pesquisado, os dados fornecem subsídios para análises e possíveis mudanças nos indicadores de saúde materno-infantil.