999 resultados para mineral phosphorus
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UANL
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Affiliation: Pierre Dagenais : Hôpital Maisonneuve-Rosemont, Faculté de médecine, Université de Montréal
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Tesis (Doctorado en Ingeniería de Materiales) UANL
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Tesis (Doctorado en Ciencias con Especialidad en Producción Animal) UANL
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Tesis (Doctorado en Ciencias con Especialidad en Producción Animal) UANL
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La fertilisation phosphatée est très répandue dans les pratiques agricoles Nord-Américaines. Bien que généralement très efficace pour augmenter la production végétale, son utilisation peut engendrer certaines contaminations environnementales. Afin de diminuer ce problème, plusieurs pratiques de gestion sont envisagées. Parmi celles-ci, on retrouve l’intéressante possibilité de manipuler la flore microbienne car cette dernière est reconnue pour son implication dans bons nombres de processus fondamentaux liés à la fertilité du sol. Cette étude a démontré que lors d’essais en champs, la forme de fertilisant ajouté au sol ainsi que la dose de phosphore (P) appliquée avaient un impact sur la distribution des microorganismes dans les différentes parcelles. Une première expérience menée sur une culture de luzerne en prairie semi-aride a montré que les échantillons provenant de parcelles ayant reçu différentes doses de P présentaient des différences significatives dans leurs communautés bactériennes et fongiques. La communauté de CMA est restée similaire entre les différents traitements. Une deuxième expérience fut menée pendant trois saisons consécutives afin de déterminer l’effet de différentes formes de fertilisation organiques et minérale ajustées selon une dose unique de P sur les populations bactériennes et fongiques d’une culture intensive de maïs en rotation avec du soja. Les résultats des analyses ont montrés que les populations varient selon le type de fertilisation reçu et que les changements sont indépendants du type de végétaux cultivé. Par contre, les populations microbiennes subissent une variation plus marquée au cours de la saison de culture. La technique de DGGE a permis d’observer les changements frappant la diversité microbienne du sol mais n’a permis d’identifier qu’une faible proportion des organismes en cause. Parallèlement à cette deuxième étude, une seconde expérience au même site fut menée sur la communauté de champignons mycorhiziens à arbuscules (CMA) puisqu’il s’agit d’organismes vivant en symbiose mutualiste avec la majorité des plantes et favorisant la nutrition de même que l’augmentation de la résistance aux stress de l’hôte. Ceci permit d’identifier et de comparer les différents CMA présents dans des échantillons de sol et de racines de maïs et soja. Contrairement aux bactéries et aux champignons en général, les CMA présentaient une diversité très stable lors des différents traitements. Par contre, au cours des trois années expérimentales, il a été noté que certains ribotypes étaient significativement plus liés au sol ou aux racines. Finalement, l’ensemble de l’étude a démontré que la fertilisation phosphatée affecte la structure des communautés microbiennes du sol dans les systèmes évalués. Cependant, lors de chaque expérience, la date d’échantillonnage jouait également un rôle prépondérant sur la distribution des organismes. Plusieurs paramètres du sol furent aussi mesurés et ils présentaient aussi une variation au cours de la saison. L’ensemble des interactions possibles entre ces différents paramètres qui, dans certains cas, variaient selon le traitement appliqué, aurait alors probablement plus d’impact sur la biodiversité microbienne que la seule fertilisation.
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Le but de cette étude est de mieux comprendre l’effet d’une fertilisation en lisier de porc sur la productivité d’une plantation de saule tout en évaluant les risques d’impact négatif sur l’environnement. Nous avons évalué la réponse des plants à des quantités croissantes de lisiers en plus de la comparer à celle d’une fertilisation minérale. Nous avons aussi vérifié l’impact du lisier sur les teneurs nutritionnelles du sol ainsi que sur les concentrations en nitrates et phosphore de la solution du sol. Bien que l’azote du lisier soit moins efficace que celui des engrais minéraux, les résultats de notre étude montrent que le lisier est un bon engrais pour les plantations de saules. En effet, les rendements sur deux ans des parcelles ayant reçu les quantités croissantes de lisier étaient de l’ordre de 30,3 à 32,9 t/ha. Nous avons observé l’augmentation des teneurs en nitrate, cuivre et zinc dans le sol en fonction des apports croissants de lisier. Ces teneurs ont d’ailleurs diminué lors de la deuxième saison de croissance, ce qui pourrait être dû au prélèvement par les saules. Les concentrations printanières des eaux de lysimètres indiquent que la quantité maximale de lisier telle que testée lors de nos essais comporte un certain facteur de risque de lessivage des nitrates. Nous n’avons pas analysé la solution du sol des parcelles fertilisées avec des quantités plus faibles de lisier, mais nous pouvons croire qu’elles auraient induit des concentrations en nitrate comportant moins de risque de lessivage tout en assurant une productivité considérable.
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Alors que l’Imagerie par résonance magnétique (IRM) permet d’obtenir un large éventail de données anatomiques et fonctionnelles, les scanneurs cliniques sont généralement restreints à l’utilisation du proton pour leurs images et leurs applications spectroscopiques. Le phosphore jouant un rôle prépondérant dans le métabolisme énergétique, l’utilisation de cet atome en spectroscopie RM présente un énorme avantage dans l’observation du corps humain. Cela représente un certain nombre de déEis techniques à relever dus à la faible concentration de phosphore et sa fréquence de résonance différente. L’objectif de ce projet a été de développer la capacité à réaliser des expériences de spectroscopie phosphore sur un scanneur IRM clinique de 3 Tesla. Nous présentons ici les différentes étapes nécessaires à la conception et la validation d’une antenne IRM syntonisée à la fréquence du phosphore. Nous présentons aussi l’information relative à réalisation de fantômes utilisés dans les tests de validation et la calibration. Finalement, nous présentons les résultats préliminaires d’acquisitions spectroscopiques sur un muscle humain permettant d’identiEier les différents métabolites phosphorylés à haute énergie. Ces résultats s’inscrivent dans un projet de plus grande envergure où les impacts des changements du métabolisme énergétique sont étudiés en relation avec l’âge et les pathologies.
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Mangrove forests are best developed on tropical shorelines where there is an extensive intertidal zone, with an abundant supply of fine-grained sediment. It receives a mixture of liable and refractory organic and inorganic phosphorus compounds from the overlying water and the surrounding landmasses. Organic phosphorus is not available for mangrove plant nutrition. While inorganic phosphate represents the largest potential pool of plant-available and which are bound in the form of Ca, Fe and Al phosphate. It deals with the scientific investigations on mangrove systems in the Kerala coastline and to investigate nutrient distribution of mangrove ecosystems of greater Cochin area. It discusses the description of study areas such as Murikkumpadam-Vypeen Island and Aroor. Then it deals with the spatial and seasonal distribution of dissolved ammonia, nitrite, nitrate, inorganic phosphate, organic phosphate and the total phosphorus in surface waters of mangrove fringed creeks. Then it discusses the geochemical compositions of mangrove-fringed sediments and also the chemical speciation of phosphorus in sediment cores.
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In India, directed research on penaeid prawn nutrition was taken up only recently when the aquaculture of prawns gained momentum. One of the important penaeid prawns sought for culture and has great potential is Penagus indiggs, H.Milne Edwards. The Central Marine Fisheries Research Institute working on different aspects of culture of this species over the past one and half decades, has developed a hatchery technology for mass production of its seed and has suggested several improvements on its farming in the grow-out systems. One of the areas of active research in this direction has been on the nutrition of the species with a view to develop suitable feed not only for hatchery production of seed, but also in the field culture. As part of this investigation, the present study, on the evaluation of different protein and carbohydrate sources and mineral requirements for the juvenile E, indicus was taken up and the results obtained are embodied in the thesis
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The fertility of the coastal and estuarine waters is of great concern because of its influence on the productivity of these waters. Seasonal variations in the distribution of organic carbon, total nitrogen and total phosphorus in the sediments of Kuttanad Waters, a part of the tropical Cochin Estuary on the south west coast of India, are examined to identify the contribution of sediments to the fertility of the aquatic systems. The adjoining region has considerable agricultural activity. The fresh water zones had higher quantities of silt and clay whereas the estuarine zone was more sandy. Organic carbon, total phosphorus and total nitrogen were higher in the fresh water zones and lower in the estuarine zones. Total phosphorus and organic carbon showed the lowest values during monsoon periods. No significant trends were observed in the seasonal distributions of total nitrogen. Ratios of C/N, C/P and N/P, and the phosphorus and nitrogen content indicate significant modification in the character of the organic matter. Substantial amounts of the organic matter can contribute to reducing conditions and modify diagenetic processes
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Phosphorus fractionation was employed to find the bioavailability of phosphorus and its seasonal variations in the Panangad region of Cochin estuary, the largest estuarine system in the southwest coast of India. Sequential extraction of the surficial sediments using chelating agents was taken as a tool for this. Phosphate in the water column showed seasonal variations, with high values during the monsoon months, suggesting external runoff. Sediment texture was found to be the main factor influencing the spatial distribution of the geochemical parameters in the study region. Similarly, total phosphorus also showed granulometric dependence and it ranged between 319.54 and 2,938.83 μg/g. Calcium-bound fraction was the main phosphorus pool in the estuary. Significant spatial variations were observed for all bioavailable fractions; iron-bound inorganic phosphorus (5.04–474.24 μg/g), calcium-bound inorganic phosphorus (11.16–826.09 μg/g), and acidsoluble organic phosphorus (22.22–365.86 μg/g). Among the non-bioavailable phosphorus, alkalisoluble organic fraction was the major one (51.92– 1,002.45 μg/g). Residual organic phosphorus was K. R. Renjith (B) · N. Chandramohanakumar · M. M. Joseph Department of Chemical Oceanography, School of Marine Sciences, Cochin University of Science and Technology, Kochi 682016, Kerala, India e-mail: renjithaqua@gmail.com comparatively smaller fraction (3.25–14.64% of total). The sandy and muddy stations showed distinct fractional composition and the speciation study could endorse the overall geochemical character. There could be buffering of phosphorus, suggested by the increase in the percentage of bioavailable fractions during the lean premonsoon period, counteracting the decreases in the external loads. Principal component analysis was employed to find the possible processes influencing the speciation of phosphorus in the study region
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A field experiment with millet (Pennisetum glaucum L.), sorghum [Sorghum bicolor (L.) Moench], cowpea (Vigna unguiculata L.) and groundnut (Arachnis hypogeae L.) was conducted on severely P-deficient acid sandy soils of Niger, Mali and Burkina Faso to measure changes in pH and nutrient availability as affected by distance from the root surface and by mineral fertiliser application. Treatments included three rates of phosphorus (P) and four levels of nitrogen (N) application. Bulk, rhizosphere and rhizoplane soils were sampled at 35, 45 and 75 DAS in 1997 and at 55 and 65 DAS in 1998. Regardless of the cropping system and level of mineral fertiliser applied, soil pH consistently increased between 0.7 and two units from the bulk soil to the rhizoplane of millet. Similar pH gradients were observed in cowpea, but pH changes were much smaller in sorghum with a difference of only 0.3 units. Shifts in pH led to large increases in nutrient availability close to the roots. Compared with the bulk soil, available P in the rhizoplane was between 190 and 270% higher for P-Bray and between 360 and 600% higher for P-water. Exchangeable calcium (Ca) and magnesium (Mg) levels were also higher in the millet rhizoplane than in the bulk soil, whereas exchangeable aluminium (Al) levels decreased with increasing pH close to the root surface. The results suggest an important role of root-induced pH increases for crops to cope with acidity-induced nutrient deficiency and Al stress of soils in the Sudano-Sahelian zone of West Africa.