983 resultados para flash point
Resumo:
Letter to Louis Cabot from S.D. Woodruff regarding his Point McMillen [McMillan], Michigan shooting shares. He says that he has decided to sell and his price is $3,000. He gives directions on how to get to the club which is on the Huron River, 7 miles from Rockwood, Jan. 25, 1886.
Resumo:
Memo about the Point Pelee Marsh in which the writer [S.D. Woodruff] states that a considerable portion of this marsh is a Government Naval Reserve which the South Essex Gun Club has leased from the Dominion Government for a period of 21 years. The club is comprised of several men who have applied for and act of incorporation by the Long Point and Turkey Point Companies, n.d.
Resumo:
Letter to S.D. Woodruff from Louis N. Hayne, secretary of the Long Point Company requesting payment from members of the club, June 2, 1886.
Resumo:
Notice to members and life members of the Long Point Co. from Louis N. Hayne stating that members permitting a punter or employee to shoot will not be permitted to take a punter or employee into the marsh until such further measures will be enforced, June 7, 1886.
Resumo:
Notice regarding bonds and shareholders and the rights of the directors of the Long Point Company, n.d.
Resumo:
Letter to S.D. Woodruff from E. Harris, president of the Long Point Company in which he suggests that the principal provisions of the bill regarding shares in the Long Point Company be brought before the Ontario House (2 pages, handwritten), Jan. 15, 1887
Resumo:
Letter on Long Point Company letterhead addressed to W.D. Woodruff of Lincoln Paper Mills, Merritton, Ontario in which Frank Reid, secretary of Long Point Company encloses a copy of the by-laws and the dates of incorporation, as requested (1 page, typed) [by-laws are not included here], Jan. 18, 1916.
Resumo:
UANL
Resumo:
La légitimité d’une organisation est fondée sur sa mission, c’est-à-dire sur sa raison d’être. Des responsables des bibliothèques et de nombreux chercheurs craignent que la légitimité des bibliothèques publiques soit contestée dans la société de l’information. De plus, les textes officiels présentant les missions des bibliothèques publiques sont divers et les missions y sont délibérément non définies. Au Québec, où une grande majorité des bibliothèques publiques autonomes sont placées directement sous la tutelle des municipalités, les bibliothèques publiques doivent définir et légitimer leurs missions avec les élus municipaux. L’objectif principal de cette recherche est de comprendre, via les discours, le point de vue des élus municipaux québécois sur les missions des bibliothèques publiques autonomes, en comparaison avec les pratiques et les ressources des bibliothèques au plan local. Basé sur la théorie de la construction sociale de la réalité, un cadre conceptuel est proposé de manière à étudier non seulement les discours dans leur dimension textuelle, mais aussi à contextualiser ces discours et analyser l’écart entre ces discours et les pratiques des bibliothèques.La stratégie de recherche adoptée est une étude de cas multiples. L’objectif est de développer une analyse en profondeur de chaque cas et une analyse inter cas. Les douze cas (municipalités) ont été sélectionnés en fonction de deux critères de variation (la taille de la municipalité et le budget annuel alloué par la municipalité à la bibliothèque) et un critère discriminant (la distance par rapport à l’Université de Montréal). Des entrevues ont été menées auprès des élus municipaux présidant la commission ou le comité dont dépendent les bibliothèques publiques. Ces entrevues et les politiques culturelles ont fait l’objet d’une analyse de discours. Les entrevues auprès des responsables des bibliothèques et la documentation ont fait l’objet d’une analyse de contenu. Ces analyses ont permis la triangulation des méthodes et des sources de données.Les élus municipaux québécois, comme les professionnels, n’offrent pas un discours homogène sur les missions des bibliothèques publiques. Toutefois, un modèle de discours émerge. Il montre un discours « limité » par rapport à la littérature, dans lequel une image passive de la bibliothèque est présentée et dans lequel la tradition perdure malgré le contexte de la société de l’information. Mais l’analyse révèle aussi que les élus municipaux construisent leurs points de vue sur leurs propres convictions en tant qu’individus, sur leur rôle dans la gestion de la municipalité en tant qu’élus et sur l’image qu’ils ont des usagers des bibliothèques publiques. Enfin, l’analyse a révélé un axe de différenciation des points de vue selon que le discours s’appuie sur des valeurs fondamentales ou sur les usages (réels ou supposés) de la bibliothèque.