999 resultados para environnement


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"Des spcialistes de la Cour suprme du Canada et de la Cour fdrale du Canada, Bill MURRAY et Gary PINDER, ont entrepris dexplorer les moyens par lesquels ces institutions pourraient prendre le virage vers llectronique pour leurs changes et leur gestion de linformation. Deux projets ont initialement t prsents au programme Gouvernement en direct. Ces projets ont progressivement convergs jusquau point de nen former quun seul, celui dcrit dans le Document de travail: Modle de fournisseur de services de dpt lectronique. Un document, avertissent ses auteurs, qui ne vise pas lendossement dun modle particulier, mais plutt lidentification des voies par lesquelles un systme cohrent de dpt lectronique pourrait tre mis en place au Canada. D'emble, quatre lments du modle propos apparaissent particulirement remarquables: il offre un cadre densemble plutt quun projet isol; il sappuie sur lutilisation de normes techniques, Standard as Key Enabler crivent-ils; il met profit lentreprise prive, un partenaire capable de trouver les marchs et de les dvelopper; il prvoit enfin, et ce nest pas le moindre de ses mrites, la cration dun environnement comptitif pour le dpt lectronique. Selon nous, la voie quils ont trace peut tre emprunte. Ce nest pas dire quil faille accepter, tels quels, tous les lments du projet sans examiner dautres orientations ou poursuivre certaines rflexions. Mais, dans lensemble, la direction est juste et nous devrions nous y engager. Nous avons choisi de suggrer des orientations, et elles convergent presque toujours avec celles adoptes par les auteurs du document de travail. Nous ne mentionnons ici que la plus centrale dentre elles. Le projet de mettre en place un systme cohrent de dpt lectronique confirme sil tait ncessaire le besoin maintes fois ressenti dun conseil canadien de linformation juridique. Un tel conseil pourrait mener des consultations et procder ladoption des normes techniques qui manquent aujourdhui cruellement au monde juridique canadien. Le prsent projet et la rflexion quil nous impose nous offrent peut-tre loccasion de nous doter de cet outil qui non seulement pourrait clarifier le cadre du dpt lectronique, mais aussi dlaborer les autres normes et lignes de conduite ncessaires notre domaine. Il reste inviter la magistrature examiner attentivement le projet avanc par MURRAY et PINDER. Il esquisse une approche audacieuse et nouvelle pour que nos institutions judiciaires voluent vers une utilisation encore plus efficiente des nouveaux moyens technologiques. Linfluence et lappui clair de la magistrature sont essentiels au dmarrage dun tel projet. Dautres aussi auront examiner les mrites du modle propos, notamment les responsables administratifs des grandes institutions judiciaires canadiennes, nous sommes certains quils sauront eux aussi reconnatre les possibilits que recle ce projet."

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Le sujet sur lequel porte la prsente tude est inspir de la problmatique la base du dveloppement du commerce lectronique: la confiance. En effet, laccroissement exponentiel du nombre dinternautes et des sites Web commerciaux pose un srieux problme ce niveau. Ces sites prsentent au public une information et des services divers, mais peu vrifiables. Ainsi, le principal obstacle au dveloppement du commerce lectronique avec les particuliers est le manque de confiance quinspirent les lieux visits. En effet, comment savoir si lentreprise existe, quelles sont ses politiques concernant la scurit ou la gestion des renseignements personnels, etc. La vrification et la certification des sites apparaissent comme une solution de plus en plus attrayante et utilise pour ajouter cet lment de confiance. Dj, de nombreux sceaux de qualit sont apparus sur les sites commerciaux. Certains sceaux portent sur la confidentialit tandis que dautres ciblent la protection des consommateurs. La certification peut provenir de la compagnie mme, dun tiers certificateur ou dun organisme public. Ces lments constituent des balises et repres importants pour le consommateur sur Internet. Toutefois, les incidences lgales sont multiples et certains concepts demeurent flous. Pour apporter une rponse ces questions, nous dfinirons le concept de certification des sites Web et ses enjeux dont plus particulirement la problmatique de la confiance des consommateurs. Les diffrents objets de la certification seront analyss, tant au niveau de lentit, du contenu du site que de la dimension transactionnelle de celui-ci. Les processus possibles et les impacts de la certification occupent la seconde partie du travail. Il sagit dexaminer successivement les tapes menant la certification, soit ltablissement des standards, de lvaluation de lentit et de la certification elle-mme. Lanalyse des impacts de la certification, tant sur le plan de la porte, de la responsabilit lgale et des effets sur la concurrence de la certification constitue quant eux, laboutissement de la recherche, soit de savoir quel est limpact juridique dun tel mcanisme. Le but de la recherche est de permettre au lecteur de mieux cerner ce phnomne de lutilisation de la certification sur Internet avec ses avantages et ses limites. Certes, cet outil peut savrer trs utile pour btir la confiance des consommateurs, promouvoir lessor du commerce lectronique et constituer une forme dautorglementation. Toutefois, mal utilis ou mal encadr, il peut engendrer leffet inverse et dtruire cette confiance si fragile construire dans un environnement dmatrialis.

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"Lauteur Ethan Katsh analyse les problmatiques poses par les relations de la communaut virtuelle de lInternet et son processus en ligne de rsolution des conflits. Il explique comment le cyberespace constitue un environnement intgral et indpendant qui dveloppe ses propres rgles normatives. Lvolution des normes au sein du cyberespace semble tre une consquence des interactions entre les acteurs, sans intervention lgislative fondamentale de la part des tats. Lauteur trace lvolution, depuis le dbut des annes 1990, du processus en ligne de rsolution des diffrends, principalement dans le domaine du commerce lectronique. Laccroissement rapide des relations commerciales lectroniques a entran une hausse des litiges dans ce domaine. Dans le cadre de tels litiges, les moyens en ligne de rsolution des conflits offrent aux justiciables plus de facilit, de flexibilit et daccessibilit que les moyens alternatifs traditionnels de rsolution des conflits. Cest donc dans ce contexte qua t dvelopp le systme ""Squaretrade"" qui a pour objectif daider la rsolution de conflits entre les utilisateurs de ""E-Bay"". Ce systme prsente lavantage important dencadrer et duniformiser le processus de rsolution en dfinissant les termes gnraux et spcifiques du conflit. Lauteur soutient que la principale fonction dun tel systme est dorganiser et dadministrer efficacement les communications entre les parties. Ainsi, cette fonction prserve le ""paradigme de la quatrime personne"", ncessaire aux processus alternatifs traditionnels de rsolution de conflits. Par ailleurs, cette fonction, en tant que partie intgrante du programme informatique, constitue pour les justiciables une alternative intressante aux rgles lgislatives. Pour lauteur, lanalyse de ce phnomne soulve des questions importantes concernant la cration de normes et leur acceptation par les citoyens. Lauteur analyse par la suite le concept gnral de la formation des normes dans le contexte dun environnement non rgularis. Il soutient que les normes mergeantes doivent toujours viser dvelopper une forme de lgitimit auprs des justiciables. Dans le cadre du processus en ligne de rsolution des conflits, cette lgitimit doit tre acquise autant auprs des parties au litige quauprs de la population en gnral. Toutefois, les attentes des parties au litige sont souvent trs diffrentes de celles du public. Lauteur illustre ainsi comment certains processus en ligne de rsolution de conflit ne russissent pas obtenir une telle lgitimit, alors que dautres stablissent en tant quinstitutions reconnues. Dans ce contexte, les institutions en ligne de rsolution de conflits devront dvelopper leur propre valeur normative. Ainsi, les moyens en ligne de rsolution des conflits remettent en question le processus traditionnel de formation des normes et peuvent tre considrs comme des lments dun nouvel environnement normatif."

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Les innovations en matire varitale et de biotechnologie vgtale sont prsentes comme un moyen efficace et appropri susceptible de favoriser l'amlioration de la production alimentaire et des conditions de travail et de vie des agriculteurs ainsi que celles des collectivits coutumires dans les pays membres de l'Organisation africaine de la proprit intellectuelle (OAPI). Sur le plan juridique, il se pose le problme de la protection juridique de ces innovations ou obtentions vgtales. Le lgislateur OAPI de 1977 n'avait pas envisag de protection pour les obtentions vgtales. la diffrence de certains tats industrialiss qui organisaient un rgime de protection sui generis ou par le systme des brevets, il n'voquait les varits vgtales et les procds d'obtention des vgtaux que pour les exclure du domaine brevetable. L'accord sur les aspects des droits de proprit intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC) de l'organisation mondiale du commerce (OMC) est venu modifier la donne en imposant que les obtentions vgtales puissent tre protges par les brevets, par un systme sui generis ou par une combinaison des deux moyens. Le lgislateur OAPI de 1999 a voulu intgrer ces nouvelles exigences internationales en rvisant l'Accord de Bangui. Ce faisant, l'exclusion de la brevetabilit des varits vgtales a t maintenue. Il ne restait plus au lgislateur qu'une seule option, l'adoption d'un rgime de protection sui generis. Son choix s'est matrialis par l'adoption de l'annexe X de l'Accord de Bangui de 1999 consacre la protection des obtentions vgtales . Cette annexe est calque sur la version de 1991 de la Convention Internationale pour la protection des obtentions vgtales, mise en place par les pays europens. Il s'agit l d'un choix discutable. En effet, l'annexe X introduit dans l'espace OAPI une lgislation dsincarne, parce que la fois incomplte et inadapte l'environnement socio-conomique des pays membres de l'OAPI.

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"De plus en plus, la recherche en gntique s'attarde identifier les mutations de gnes qui prdisposent les porteurs de ces mutations des maladies complexes. La recherche tente galement d'tablir un lien entre le dveloppement de la maladie pour certains porteurs en fonction de leur contexte socio-conomique et de leur interaction avec l'environnement. Compte tenu de ces nombreux facteurs d'analyse, l'interprtation des caractristiques gntiques d'un individu et du risque qui en dcoule s'avre particulirement complexe. Or, cette complexit croissante se produit alors mme que l'accs aux donnes gntiques se banalise et qu'il est maintenant possible pour quiconque d'obtenir une analyse personnalise de son gnome via l'internet. La discrimination gntique n'est pas dfinie en droit canadien ; il est gnralement acquis que, dans le contexte de l'assurance-vie, celle-ci est susceptible d'avoir des consquences dsastreuses. Cependant, nous ne croyons pas que l'information d'ordre gntique doive tre l'objet d'une approche exceptionnelle causant accrocs au droit gnral des assurances. D'autant plus, les consquences du risque de discrimination gntique semblent davantage releves de la crainte que de l'exercice d'une discrimination relle. Dans ce contexte, il s'avre ncessaire d'valuer les mesures de protection contre la discrimination gntique dans le contexte de l'assurance-vie. Pour ce faire, nous abordons, d'une part, les normes d'application gnrale en matire de protection contre la discrimination; normes parmi lesquelles la Charte des droits et liberts de la personne offre une protection intressante. D'autre part, nous nous intressons aux normes visant la discrimination spcifiquement gntique, notamment le nouvel Genetic Information Nondiscrimination Act et l'affaire Audet c. Industrielle-Alliance. Enfin, nous proposons des mesures minimales qui sauraient s'avrer utile pour prserver un juste quilibre."

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L'adoption des technologies de rseaux sans-fil de type WiFi a connu une croissance impressionnante ces dernires annes. Cette vague de popularit ne semble pas vouloir s'estomper, il est estim que 84 millions dappareils seront vendus en 2007 totalisant des revenus de 3.7 milliards de dollars. Devant cette forte demande, les fabricants dappareils de tlcommunications ont songs dvelopper des produits encore plus performants. Appuy par la norme IEEE 802.16, un consortium du nom de WiMAX Forum a regroup 350 membres dans le but de promouvoir des produits standardiss portant la marque WiMAX. l'inverse des premires versions du WiFi, le WiMAX sera dot de mcanismes de scurit beaucoup plus fiables. L'avantage du WiMAX, comme pour plusieurs de ses concurrents, repose sur sa capacit d'oprer sur une large bande de frquences, rglementes ou non. Sa porte thorique de 50 Km et son dbit escompt de 75 Mbit/s a capt l'attention des fournisseurs de services qui cherchent rduire leurs cots d'exploitations mais galement de divers organismes gouvernementaux qui esprent amliorer les services de communications dans les communauts des rgions loignes. Grce l'appui du ministre des Affaires indiennes et du nord canadien, le territoire du Nunavut a mis sur pied un rseau large bande qui dessert actuellement lensemble de ses 29 communauts sur tout son territoire. La possibilit de couvrir une superficie de plusieurs kilomtres ramne la surface le concept domniprsence ou de Pervasive computing . Cette notion reprsente lintgration des technologies dans notre entourage afin de rendre nos interactions avec celle-ci plus naturelles. Nos dplacements dans cet environnement pourraient tre facilits puisque les ordinateurs seraient en mesure de dtecter et ragir notre prsence pour nous offrir des solutions personnalises. Les dploiements de rseaux de type WiMAX sont dj en cours dans plusieurs pays, d'aprs la situation actuelle du march, il est envisageable de voir une forte adoption de cette forme de diffusion dinformations dans les prochaines annes. Le prsent document trace un rsum des applications lies au WiMAX et discute de certaines problmatiques engendres par ce type de rseau.

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Dans les discussions sur les biotechnologies, largument de la dignit humaine conduit souvent limpasse. Le philosophe et sociologue allemand, Jrgen Habermas, craint que le dbat, qui sest ouvert rcemment autour de la recherche sur les embryons, les diagnostics prnatal et primplantatoire, et le clonage, se polarise, de nouveau comme ctait dj le cas, en Allemand et dans les autres pays occidentaux, au sujet de lavortement. La seule faon de sortir de cette polarisation et cest l un des apports importants de Habermas est de distinguer nettement la dignit humaine, dune part et dautre part, la dignit de la vie humaine. Dun point de vue thique et juridique, largument de la dignit humaine ne saurait ncessairement stendre au ftus ou embryon. Car, la dignit humaine est lie la symtrie qui dtermine la relation liant les membres dune communaut morale. Elle nest pas un fait naturel, une proprit quon a par nature comme lintelligence ou le fait davoir les yeux bleus. Au contraire, la dignit humaine dsigne cette inviolabilit qui ne peut avoir de sens que dans les relations interpersonnelles de reconnaissance mutuelle et dans un rapport dgal gal des personnes entre elles. Nanmoins, le ftus ou lembryon peut, dune certaine manire, chapper notre contrle et disposition en rfrence la dignit que nous devons la vie de lespce humaine. De ce point de vue, nos conceptions modernes de la vie ant-personnelle et la faon dont nous voulons nous comporter par rapport cette vie forment, pour ainsi dire, un environnement thique stabilisant de lespce pour la morale rationnelle des sujets de droits moraux.

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Les institutions juridiques ont t bties autour des ralits connues depuis des millnaires, que nous appelons de nos jours des phnomnes du monde rel. Ces phnomnes retrouvent prsentement un nouveau thtre le cyberespace, et les rgles du droit font face au dfi de sapproprier ce nouvel environnement. Entre autres, les technologies du cyberespace ont mis au monde divers moyens qui nous permettent de nous identifier et de manifester notre attitude envers les actes juridiques des finalits qui ont t assures de longue date par la signature manuscrite. Bien que ces nouveaux moyens aient mrit un nom similaire leur contrepartie traditionnelle lappellation de signature lectronique, ils restent des phnomnes dont la proximit avec la signature manuscrite est discutable. Force est de constater que le seul point commun entre les moyens classiques et lectroniques de signer rside dans les fonctions quils remplissent. Cest en se basant sur ces fonctions communes que le droit a adopt une attitude identique envers les moyens dauthentification traditionnels et lectroniques et a accueilli ces derniers sous lemprise de ses institutions. Cependant, ceci ne signifie pas que ces institutions se soient avres appropries et quelles ne demandent aucun ajustement. Un des buts de notre tude sera de mettre en relief les moyens dadaptation quoffre le droit pour rconcilier ces deux environnements. Ainsi, pour ajuster linstitution de la signature aux phnomnes lectroniques, le droit sest tourn vers le standard de fiabilit de la signature lectronique. Le standard de fiabilit est un complment de linstitution juridique de signature qui ne se rapporte qu la signature lectronique et dont cette tude dmontrera les applications. Les composantes du standard de fiabilit qui occuperont un deuxime volet de notre tude reprsentent un ensemble de rgles techniques lies la signature lectronique. Ainsi, comme le standard de fiabilit puise sa substance dans les proprits de larchitecture du cyberespace, lattitude du droit envers la signature lectronique savre tributaire de la morphologie du cyberespace. tant donn que les possibilits qui nous sont offertes par la technologie continue dterminer la rglementation juridique, il est lgitime de conclure que lexamen des tendances dans lvolution du cyberespace nous fournira un point de vue prospectif sur lvolution des rgles du droit.

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Actes du colloque intitul La responsabilit sociale des entreprises et l'environnement. ric Darier, Directeur Greenpeace Qubec, a prsent dans le cadre du panel Responsabilit sociale des entreprises et consommation thique.

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Listeria monocytogenes (L. monocytogenes) est un pathogne majeur en sant publique comme les pisodes de 2008 dans les fromages et les charcuteries lont dmontr. Au Canada, il ny a pas de surveillance rglementaire de ce microorganisme dans les tapes prcdant la transformation de produits prts--manger. Ainsi, la prsence et la circulation de ce microorganisme dans ces environnements est peu documente. Pour dcrire ces phnomnes, nous avons effectu un chantillonnage dans une usine dabattage et de dcoupe de porcs au Qubec, principalement dans les parcs dattente, et dans lenvironnement de labattage et de dcoupe : les chantillonages ont t effectus aprs lavage et dsinfection sur une priode de 2 ans. Un nombre de 874 chantillons a t rcolts. Le protocole de dtection utilis tait inspir de la mthode MFHPB-30 de Sant Canada. Les srotypes ont t obtenus par PCR et les isolats caractriss par un gnotypage RFLP-PFGE en utilisant les enzymes de restriction Apa1 et Asc1. Nous avons dtect la prsence de Listeria monocytogemes dans toutes ces tapes de la production. De ces chantillons positifs, 4 srotypes (principalement 1/2b) ont merg. Les patrons PFGE ont dmontr la prsence dune varit de gnotypes dans les zones dattente et dabattage de lusine et la prsence dun type majeur dans lenvironnement de la zone de dcoupe (le type 1 reprsentant 96.1% des souches cette tape). De plus, nous avons dmontr des liens entre les souches retrouvs au dbut de la production, en attente, et les souches retrouves dans la zone de dcoupe. Ces rsultats suggrent que Listeria monocytogenes entre dans lusine avec les animaux, contamine les tapes suivantes de la production et que certaines souches peuvent tre slectionnes et leur croissance favoris dans lenvironnement, devenant majoritaires, persistantes et proccupantes en regars de la sant publique.

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Ladaptation des cellules leur environnement externe repose sur la transduction adquate de signaux rguls par une plthore d'vnements molculaires. Parmi ces vnements molculaires, les modifications post-traductionnelles (MPT) de protines aident intgrer, traduire et organiser de faon spatiotemporelle ces signaux pour que les cellules puissent ragir aux stimuli externes. Parmi les modifications post-traductionnelles, les petites protines de la famille de lUbiquitine (Ublps, Ubiquitin-like proteins) jouent un rle majeur dans presque toutes les voies de signalisation. Cette thse rapporte des tudes fonctionnelles et structurales des interactions covalentes et non covalentes entre SUMO (Small Ubiquitin related MOdifier), un membre de la famille des Ublps, et trois protines d'chafaudage, TIF1beta, le corpresseur universel des protines KRAB-multidoigt de zinc, PIAS1, une ligase E3 pour SUMO et PML, un suppresseur de tumeur. La premire tude rapporte l'identification et la caractrisation biochimique des sites de SUMOylation de TIF1beta. Nous avons dtermin que la modification covalente de six rsidus lysine par SUMO est essentielle lactivit de rpression de la transcription induit par TIF1beta. En outre, nous prsentons des vidences indiquant que la SUMOylation de TIF1 exige non seulement sa capacit homo-oligomriser, mais est aussi positivement rgule par son interaction avec le domaine KRAB des protines doigts de zinc. Partant de ce constat, nous postulons que les protines KRAB-multidoigt de zinc recrutent leur corpresseur TIF1beta des gnes cibles, mais aussi accentuent son activit rpressive grce l'augmentation de sa SUMOylation. Notre seconde tude rvle quen plus de rprimer la transcription en tant que MPT covalente, SUMO joue aussi un rle important dans la rpression en tant que partenaire non covalent dinteractions protine-protine. Nous avons montr que SUMO interagit simultanment avec deux enzymes de la machinerie de SUMOylation, lunique enzyme de conjugaison E2, UBC9, et la ligase E3 PIAS1 au sein dun complexe ternaire rpresseur. En outre, nous rvlons que la formation du complexe ternaire PIAS1:SUMO:UBC9 est module par le niveau de phosphorylation de rsidus srine juxtaposs un motif dinteraction avec SUMO (SIM) dans PIAS1. Ainsi, SUMO agit comme un adaptateur spcifique qui stabilise les interactions UBC9 E2: E3 PIAS1. Partant de ce constat, nous proposons que les enzymes E2 et E3 des autres systmes Ublps exploitent des mcanismes similaires dans le cadre de leur fonction Enfin, notre troisime tude explore la rgulation des interactions non covalentes de SUMO par la phosphorylation. En utilisant une combinaison d'tudes in vivo et in vitro, nous dmontrons que l'interaction entre SUMO1 et PML est rgi par la phosphorylation dpendant de CK2 sur quatre rsidus srine de PML. Les structures cristallographiques des complexes PML-SIM:SUMO1 rvlent que les phospho-srines de PML contactent des rsidus de la rgion basique de SUMO1. Sachant que la kinase CK2 peut tre induite par des kinases activables par le stress, ces rsultats suggrent que les interactions non-covalentes avec SUMO sont modules par le stress cellulaire. Sur la base de cette constatation, nous postulons que des vnements analogues affectent des protines contenant des squences SIM cibles par CK2. En rsum, cette tude rvle quen plus de son rle de MPT, SUMO peut fonctionner comme un adaptateur permettant des interactions spcifiques entre protines tel que pour les enzymes E3 et E2.

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La motivation incite les apprenants sengager dans une activit et persvrer dans son accomplissement afin datteindre un but. Dans les Systmes Tutoriels Intelligents (STI), les tudes sur la motivation des apprenants possdent trois manques importants : un manque de moyens objectifs et fiables pour valuer cet tat, un manque dvaluation de rles jous par les facteurs motivationnels conus dans lenvironnement dapprentissage et un manque de stratgies dinterventions motivationnelles pour soutenir la motivation des apprenants. Dans cette thse, nous nous intressons mieux comprendre ltat de la motivation des apprenant ainsi que les facteurs et stratgies motivationnels dans un environnement dapprentissage captivant : les jeux srieux. Dans une premire tude, nous valuons la motivation des apprenants par lentremise dun modle thorique de la motivation (ARCS de Keller) et de donnes lectro-physiologiques (la conductivit de la peau, le rythme cardiaque et lactivit crbrale). Nous dterminons et valuons aussi quelques situations ou stratgies favorisant la motivation dans lenvironnement des jeux srieux tudi. Dans une deuxime tude, nous dveloppons un prototype de jeux srieux intgrant dans une premire version quelques lments motivationnels issus de jeux vido et dans une deuxime version des stratgies motivationnelles dun modle thorique de la motivation. Nous esprons, avec une valuation motivationnelle de notre prototype, soutenir les apprenants atteindre des hauts niveaux de motivation, de persvrance et de performance.

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Dans le cadre dune sociologie des organisations portant sur les liens entre organisations tlvisuelles et environnement, la prsente thse a pour objectif de cerner les modalits du dveloppement rcent de la tlvision au Qubec en le comparant celui de la Belgique francophone et de la Suisse. Une telle comparaison repose sur un principe mthodologique simple: on cerne dautant mieux la ralit que lon tudie si on peut la comparer une ralit quivalente dautres socits. En sappuyant sur des thories de dveloppement organisationnel relies au courant no-fonctionnaliste et en adaptant des histoires de cas dtudes organisationnelles la ralit tlvisuelle des annes 90 et 2000, le chercheur a mis au point une grille de classification des donnes permettant dtudier les composantes du dveloppement de la tlvision dans trois petites socits industrialises. Dans un premier temps, il a pu constater une augmentation trs importante du nombre de chanes de tlvision par rapport ce quil tait dans les annes 50 70, le tout encadr par les autorits rglementaires en place. Par la suite, dans chacune de ces trois socits et sur une priode de vingt-cinq ans, il a pu prciser les interactions et changes entre organisations tlvisuelles et environnement lesquels ont t, selon les cas, harmonieux, difficiles, voire mme conflictuels. Aprs avoir compar les modalits dune telle augmentation entre les trois socits, le chercheur a pu constater une convergence de surface. On note bien quelques similitudes entre les trois socits, mais, surtout, chacune dentre elles est reste sur son quant--soi. En Suisse, limportance accorde au consensus social a favoris un dveloppement quilibr de laugmentation des chaines. En Belgique, pays aux divisions profondes constamment raffirmes, les oppositions ont permis, malgr tout, ldification dun ensemble audiovisuel relativement stable. Au Qubec, avec une augmentation exponentielle du nombre de chaines, on a assist un vritable surdveloppement de la tlvision encourag et planifi par les autorits gouvernementales canadiennes en raction un suppos envahissement culturel amricain. Le CRTC, la rgie des ondes canadiennes, a pes de tout son poids pour favoriser laugmentation du contenu canadien et de la production locale. Par ailleurs, cette augmentation sest faite avec des ressources limites. On en fait trop avec trop peu. Cest ce qui permettrait dexpliquer la baisse de qualit de la tlvision qubcoise contemporaine. Comme lment de solution aux problmes que la tlvision qubcoise connait prsentement, il faudrait considrer cette dernire pour ce quelle est vritablement: une petite tlvision dans un univers industriellement hautement dvelopp. Si une telle conception est trs bien accepte aussi bien en Belgique quen Suisse, elle ne lest pas au Qubec

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Rapport de matrise prsent la Facult de mdecine en vue de lobtention du grade de M. Sc. A en Gnie Biomdical option Gnie clinique

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Des preuves archopalynologiques directes appuient maintenant lhypothse dune lente adaptation horticole durant la nolithisation amrindienne de la rgion de Montral. Les sites archologiques Hector-Trudel (BhFl-1a) de Pointe-du-Buisson et Sminaire de Saint-Sulpice (BjFj-18) dans le Vieux-Montral ont t retenus pour laborer une mthodologie archopalynologique dtude des sols archologiques. Cela a permis de caractriser limpact de la prsence humaine sur l'environnement vgtal des sites et didentifier des indices de culture et de gestion de plantes allognes et indignes. Un complexe horticole de production petite chelle de mas (Zea mays), de tournesol (Helianthus annuus) et de petit tabac (Nicotiana rustica) et une forme de gestion des arbustes petits fruits sont identifis au site Hector-Trudel durant le Sylvicole moyen tardif (500 1000 A.D.). Ces cultignes sont aussi identifis au site du Sminaire pour la fin du Sylvicole suprieur ancien (1200 1300 A.D.), dans des proportions toutefois plus importantes, et une activit de gestion forestire au profit des arbres noix et du tilleul dAmrique (Tilia americana), reflet des pratiques dentretien des champs cultivs, tmoignent dune volution dans les comportements