1000 resultados para Traitement non pharmacologique
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BACKGROUND: Fat redistribution, increased inflammation and insulin resistance are prevalent in non-diabetic subjects treated with maintenance dialysis. The aim of this study was to test whether pioglitazone, a powerful insulin sensitizer, alters body fat distribution and adipokine secretion in these subjects and whether it is associated with improved insulin sensitivity. TRIAL DESIGN: This was a double blind cross-over study with 16 weeks of pioglitazone 45 mg vs placebo involving 12 subjects. METHODS: At the end of each phase, body composition (anthropometric measurements, dual energy X-ray absorptometry (DEXA), abdominal CT), hepatic and muscle insulin sensitivity (2-step hyperinsulinemic euglycemic clamp with 2H2-glucose) were measured and fasting blood adipokines and cardiometabolic risk markers were monitored. RESULTS: Four months treatment with pioglitazone had no effect on total body weight or total fat but decreased the visceral/sub-cutaneous adipose tissue ratio by 16% and decreased the leptin/adiponectin (L/A) ratio from 3.63×10-3 to 0.76×10-3. This was associated with a 20% increase in hepatic insulin sensitivity without changes in muscle insulin sensitivity, a 12% increase in HDL cholesterol and a 50% decrease in CRP. CONCLUSIONS/LIMITATIONS: Pioglitazone significantly changes the visceral-subcutaneous fat distribution and plasma L/A ratio in non diabetic subjects on maintenance dialysis. This was associated with improved hepatic insulin sensitivity and a reduction of cardio-metabolic risk markers. Whether these effects may improve the outcome of non diabetic end-stage renal disease subjects on maintenance dialysis still needs further evaluation. TRIAL REGISTRATION: ClinicalTrial.gov NCT01253928.
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Summary : Aim: To assess the number of immigrants with pulmonary tuberculosis detected by chest x-ray screening at the Swiss border. Method: All adult immigrants entering Switzerland in 2004 were screened by chest x-ray (CXR). The number of radiological abnormalities suggestive of pulmonary tuberculosis, and the proportion requiring treatment for tuberculosis, were assessed retrospectively. The frequency of symptoms among immigrants with documented TB was compared with a sample of immigrants with a normal CXR. Results: Among 8995 immigrants, 8240 had a normal CXR, 630 had some abnormality not suggestive of active TB and 125 (1.4%) had a CXR suggestive of pulmonary TB. A final diagnosis of tuberculosis requiring treatment was made in SO (1 l with positive smear and culture, 16 with positive culture and 23 with negative culture), 57 had fibrotic lesions and 18 had another disease or a normal x-ray on control. The prevalence of symptoms did not differ between 27 immigrants with documented TB (smear+/culture+: 82%, smear-/ culture+: 75%), and 23 with smear-/culturetuberculosis (91%), but lower in 57 immigrants with fibrotic lesions (60%). Cough was more frequent among the 27 immigrants with documented TB (70%) than among 198 smokers without TB (37%) and among 229 non-smokers without TB (15%) Conclusions: Only 22% (27/125) of immigrants with CXR abnormalities suggestive of pulrnonary tuberculosis were documented by smear and/or culture and 40% (50/125) needed antituberculous treatment. 2/11 smear-positive immigrants would not have been detected by a questionnaire on symptoms. Rapport de synthèse : Le but de l'étude est d'évaluer le rendement du dépistage radiologique de la tuberculose pulmonaire chez les immigrés à l'entrée en Suisse. Méthode: parmi les immigrés adultes entrés en Suisse en 2004, qui ont tous passé un contrôle radiologique, le nombre de porteurs de clichés thoraciques suspects de tuberculose et la proportion de cas chez lesquels un traitement antituberculeux a été prescrit ont été évalués rétrospectivement. La fréquence des symptômes chez les immigrés atteints de tuberculose a été comparée à celle d'un groupe contrôle sans tuberculose. Résultats: parmi 8995 immigrés, 8240 avaient un cliché thoracique normal, 630 étaient porteurs d'une anomalie non suspecte de tuberculose active et 125 (1.4%) montraient des signes radiologiques suspects de tuberculose. Un diagnostic final de tuberculose nécessitant un traitement a été posé dans 50 cas (11 cas à frottis et culture positifs, 16 cas à culture positive, 23 cas à culture négative), 57 présentaient des lésions cicatricielles compatibles avec une ancienne tuberculose et 18 avaient une autre affection pulmonaire ou un cliché normal au contrôle. La prévalence des plaintes n'était pas différente entre les 27 immigrés porteurs d'une tuberculose documentée (frottis+ /culture+: 82%, frottis-/culture+ : 75%) et les 23 immigrés atteints d'une tuberculose non documentée (frottis-/culture-: 91%), mais elle était plus élevée que chez les 57 immigrés porteurs de lésions cicatricielles (59%). La toux était plus fréquente chez les 27 tuberculeux documentés (70%) que chez 198 fumeurs sans tuberculose (37%) et chez 229 non fumeurs sans tuberculose (15%). Conclusions: seuls 22% (27/125) des immigrés dont le cliché thoracique est suspect de tuberculose sont porteurs d'une tuberculose documentée par examen direct ou culture et 40% (50/125) nécessitent un traitement antituberculeux. Deux immigrants sur les 11 cas frottis positifs n'auraient pas été dépistés par un questionnaire.
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Introduction : la Sclérose en plaques (SEP) est le prototype de désordre auto-immun du système nerveux central. Avec environ 110 malades par 100'000 habitants, la Suisse est considérée un pays à haute prévalence. Chez environ 80% des patients, la maladie débute par la forme récurrente- rémittente (RR), où des poussées aiguës s'intercalent avec des périodes de rémission. Cette phase se conclut dans son évolution naturelle généralement en une phase secondairement progressive, pendant laquelle le déficit progresse en l'absence de poussée. Sur le plan physiopathologique, deux phénomènes interagissent : l'atteinte inflammatoire démyélinisante et l'atteinte neurodégénerative. La première est { l'origine des poussées aiguës, la deuxième se manifeste cliniquement par la progression irréversible du déficit neurologique. En Suisse les immunomodulateurs ont été utilisés comme thérapies de fond pour la SEP à partir des années 1995. Leur effet sur le taux de poussées a été largement démontré, tandis que leur efficacité sur l'évolution de la maladie à long terme reste ouverte. Le moyen le plus répandu pour quantifier le niveau du handicap neurologique est la Kurtzke Expanded Disability Status Scale (EDSS). Cette échelle évalue les troubles neurologiques en les classifiant de 0 (examen normal) à 10 (décès) avec des marches de demi-points. Notre recherche à voulu identifier des facteurs cliniques précoces { valeur prédictif sur l'évolution du déficit neurologique permanent, ainsi qu'analyser le moment d'introduction du traitement pour extraire des informations utiles { la décision thérapeutique. Méthodes : Exploitation de la base de données iMed-CHUV comptant 1150 patients SEP (dont 622 SEP RR) pour analyser rétrospectivement, dans la SEP RR, l'influence de différentes variables cliniques précoces (taux de poussées pendant les premières deux années de maladie, intervalle entre les deux premières poussées, sévérité et site anatomique de la première poussée, déficit résiduel après la première poussée) et de deux caractéristiques liées { l'instauration du traitement immunosuppresseur de fond (âge et délai d'introduction) sur l'évolution du déficit neurologique vers un score EDSS ≥4.0. Les variables ont été testées avec la méthode d'estimation de taux de survie Kaplan-Meier. Résultats: 349 patients avec SEP RR possédaient les critères nécessaires pour faire partie de l'analyse, le suivi moyen étant de 8.26 ans (SD 4.77). Un taux de poussées élevé pendant les premiers 2 ans (>1 vs ≤1) et un long intervalle entre les 2 premiers épisodes (>36 vs >12-36 vs ≤12) étaient significativement associés au risque de progression du déficit neurologique vers un score EDSS de 4.0 ou plus (log Rank P=0.016 et P=0.008 respectivement). Par contre ni le site anatomique de la première poussée ni l'âge d'introduction du traitement immunomodulateur n'avaient d'influence significative sur la progression du déficit neurologique (log rank P=0.370 et P=0.945 respectivement). Etonnamment une introduction rapide du traitement était associée à une plus forte progression du déficit neurologique (log rank P=0.032), montrant qu'une partie des patients a une évolution bénigne même en l'absence de traitement. Conclusions : L'activité inflammatoire précoce, dont le niveau peut être estimé par indices précoces comme le taux de poussées et l'intervalle entre les deux premières poussées, mais non le site de primo-manifestation prédit la progression ultérieure du déficit neurologique. Ces indices doivent être utilisés en combinaison avec les informations fournies par l'IRM pour l'individuation et le traitement précoce des patients à risque, indépendamment de leur âge. En raison des effets indésirables et des coûts élevés, les thérapies doivent cibler de façon spécifique les classes à risque, et épargner les patients avec évolution lente.
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Background: Early initiation of antiretroviral therapy (ART) may dramatically curtail cumulative immunological damage allowing maximal levels of immune preservation/reconstitution and induce an immunovirological status similar to that of HIV-1 LTNPs with low viral reservoirs and polyfunctional HIV-1 specific T cell responses.Methods: We performed a cross-sectional study of an HIV-1 seroconverter cohort on long-term ART (LTTS) and compared it to one of LTNPs. Inclusion criteria for 20 LTTS were: (a) ?4 years ART; (b) long-term aviremia and (c) absence of treatment failure and for 15 LTNPs: (a) ?7 years of documented HIV-1 infection; (b) <1000 HIV-1 RNA copies/mL and ?500 CD4+ T-cells/mm3 in >90% of measurements; (d) absence of AIDS-defining conditions; (e) ART-naı¨ve except for temporary ART for prevention of MTCT. In both cohorts, we analysed residual viral replication and reservoirs in peripheral blood, as measured by cellassociated HIV-1 RNA and DNA in PBMCs, respectively and used polychromatic flow cytometry to analyse HIV-1-specific CD4+ and CD8+ T-cell functional profile in terms of cytokine production using IFN-c, IL-2, TNF-a production.Results: Cell-associated DNA [47.7 (4.8-583.2) in LTTS and 19.7 (0.5-295.5) in LTNPS, p=0.10], and RNA [3.9 (0-36) and 5.8 (0-10.3), respectively] were shown to be similarly low in both cohorts. We identified 103 CD8 T cell epitope-specific responses, all subjects responding to ?1 epitope. Mean responding number of responding epitopes per patient was 2 and 4 in LTTS and LTNPS, respectively. Mean% of cytokine-secreting CD8 T cells was 0.37% and 0.50% (p=0.06), of these 43% and 39% (p=0.12) were secreting simultaneously IFN-c, IL-2 and TNF-a. Respective values for CD4 T cells were 0.28% and 0.33% (p=0.28) of which 33% and 30% (0.32) were secreting these 3 cytokines simultaneously.Conclusions: Long-term aviremia after very early ART initiation is associated with low levels of reservoirs saturation ad residual replication. Although less broad CD8 T cell responses were found in LTTS, HIV-1 specific CD4 and CD8 T cell responses showed similar magnitude and functional profile in the 2 cohorts. Our results indicate that prolonged ART initiated at the time of HIV-1 seroconversion is associated with immuno-virological features which resemble those of LTNPs. (BHIVA Research Award Winner 2008: Anna Garcia-Diaz.)
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Södgren's syndrome treatment has essentially been based on symptomatic approach and has been of limited efficacy. Novel biological therapies targeting B cells, a key player in the pathophysiology of the syndrome, have recently been tested in controlled clinical trials and raise the hope of improving glandular and extraglandular manifestations of Söigren's syndrome.
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Résumé Ce travail s'inscrit dans un programme de recherche centré sur la pharmacovigilance en psychiatrie. Buts de l'étude Les nouveaux antipsychotiques atypiques sont prescrits avec beaucoup de succès, parce qu'ils présentent une sécurité dans leur emploi bien supérieure à celle des antipsychotiques classiques. Cette situation a conduit à une large prescription «off-label» (hors indication admise). Le but de ce travail a été d'étudier la pratique en matière de prescription des psychiatres hospitaliers en ce qui concerne les antipsychotiques en comparant des patients traités pour des psychoses ou d'autres indications officielles aux patients recevant un traitement antipsychotique «off-label». Méthode Dans le cadre d'un programme de pharmacovigilance - pharmacoépidemiologie, tous les médicaments prescrits à 5 jours de référence (entre 1999 et 2001) à l'hôpital psychiatrique universitaire de Lausanne (98 lits) ont été enregistrés, avec des données sur l'âge, le sexe et le diagnostic des patients. Les prescriptions de 202 patients ont été évaluées. Les patients ont été classés dans 3 groupes diagnostiques : (1) patient présentant des troubles psychotiques, (2) patient présentant des épisodes maniaques et des épisodes dépressifs avec des symptômes psychotiques, et (3) patient présentant d'autres troubles. Les groupes (1) et (2) forment une classe de patients recevant un antipsychotique pour une indication officielle, et les prescriptions dans le groupe (3) ont été considérées comme «off-label». Résultats principaux Moins de patients psychotiques ont reçu un antidépresseur (p<0.05) ou des hypnotiques non-benzodiazepine (p<0.001) comparés aux patients des deux autres groupes. Les patients présentant des troubles affectifs recevaient seulement exceptionnellement une combinaison d'un antipsychotique atypique et conventionnel, tandis qu'un nombre inférieur de patients avec des indications « off-label » ont reçu moins .souvent des antipsychotiques atypiques que ceux des deux groupes de comparaison (p<0.05). L'analyse statistique (stepwise logistic regression) a révélé que les patients présentant des troubles psychotiques avaient un risque plus élevé de recevoir un médicament antipsychotique d'une dose moyenne ou élevée, (p<0.001) en comparaison aux deux autres groupes. Conclusion Les nouveaux médicaments antipsychotiques semblent être prescrits avec moins d'hésitation principalement pour des indications admises. Les médecins prescrivent de nouveaux médicaments « off-label » seulement après avoir acquis une certaine expérience dans le domaine des indications approuvées, et ils étaient plus prudents en ce qui concerne la dose en traitant sur la base «off-label». Abstract Objective The new brands of atypical antipsychotics are very successfully prescribed because of their enhanced safety profiles and their larger pharmacological profile in comparison to the conventional antipsychotic. This has led to broad off-label utilisation. The aim of the present survey was to study the prescription practice of hospital psychiatrists with regard to antipsychotic drugs, comparing patients treated for psychoses or other registered indications to patients receiving an off-label antipsychotic treatment. Method As part of a pharmacovigilance/pharmacoepidemiology program, all drugs given on 5 reference days (1999 - 2001) in the 98-bed psychiatric hospital of the University of Lausanne, Switzerland, were recorded along with age, sex and diagnosis. The prescriptions of 202 patients were assessed. Patients were classified in 3 diagnostic groups: (1) patient with psychotic disorders, (2) patients with manic episodes and depressive episodes with psychotic symptoms, and (3) patients with other disorders. Group (1) and (2) formed the class of patients receiving an antipsychotic for a registered indication, and the prescriptions in group (3) were considered as off-label. Main results A lesser number of psychotic patients received antidepressant (p<0.05) and nonbenzodiazepine hypnotics (p<0.001) compared to the patients of the other two groups. The patients with affective disorders received only exceptionally a combination of an atypical and a conventional antipsychotic, whereas a lesser number of patients with off-label indications received less often atypical antipsychotics than those of the two comparison groups (p<0.05). Stepwise logistic regression revealed that patients with psychotic disorder were at higher risk of receiving an antipsychotic medication in medium or high dose (p<0.001), in comparison to the two other groups. Conclusions The new antipsychotic drugs seem to be prescribed with less hesitation mainly for approved indications. Physicians prescribe new drugs on off-label application only after having gained some experience in the field of the approved indications, and were more cautious with regard to dose when treating on an off-label basis.
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RAPPORT DE SYNTHESEBUTLe but de cette étude est de suivre prospectivement les résultats d'une sclérectomie profonde (SP) modifiée en utilisant le tube Ex-PRJESS LR-50, associée à une phacoémulsification avec implantation d'une lentille intraoculaire (LIO), dans la chirurgie combinée du glaucome et de la cataracte.METHODENous avons inclus dans l'étude 24 yeux de 24 patients présentant un glaucome médicalement non contrôlé et une cataracte justifiant son ablation.Une phacoémulsification avec implantation d'une LIO est effectuée. Puis le tube Ex-PRESS LR-50 est inséré au niveau du canal de Schlemm, dans la chambre antérieure, sous un volet scléral. Une SP postérieure partielle est ensuite pratiquée afin de créer une bulle de filtration intrasclérale.Le taux de succès complet a été défini par une pression intraoculaire (PIO) <18 mmHg sans traitement et le taux de succès relatif par une PIO <18 mmHg avec ou sans traitement. En cas de fibrose ou de kyste de la bulle de filtration, une injection sous-conjonctivale d'une solution de Mitomycin C à 0.02% est réalisée, avec ou sans needling.RESULTATSLe suivi moyen était de 40.1±10.8 [moyenne±DS] mois. En préopératoire, la PIO se situait à 18.1 ±5.3 mmHg; la meilleure acuité visuelle corrigée (MAVC) était mesurée à 0.6±0.3 (échelle de Snellen) et le nombre de médicaments hypotenseurs oculaires était de 2.3±1.1. La PIO a diminué de 25.4% à 24 mois et de 27.0% à 48 mois. A 24 mois, 19 patients (86.3%) avaient une MAVC supérieure ou égal à 0.5, et à 48 mois la MAVC était mesurée à 0.7±0.3. Lors de la dernière visite, le nombre moyen de médicaments se situait à 0.6±0.8 (p<0.05). Des injections sous conjonctivales d'une solution de Mitomycin C à 0.02% ont été nécessaires dans 5 yeux. Aucune érosion conjonctivale n'a été constatée. Deux complications majeures ont été observées. Une endophtalmie, deux jours après l'intervention chirurgicale avec phtisis secondaire du globe oculaire. Une obstruction du tube Ex-PRESS LR-50 par de la fibrine, ayant justifié son ablation avec SP classique en un autre site.CONCLUSIONLe tube Ex-PRESS LR-50 inséré dans la chambre antérieure avec une SP modifiée réduit efficacement la PIO dans la chirurgie combinée du glaucome et prévient l'érosion conjonctivale, une complication importante lorsque l'implant n'est pas couvert par un volet scléral.
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A summary of the goals and activities of the ad hoc group on Non Tsetse Transmitted Animal Trypanosomosis belonging to the Office International des Epizooties is presented.
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Sandflies were collected in the base of tree-trunks in the seasons of high and least rainfall in the Ducke Forest Reserve, near Manaus in the State of Amazonas. Lutzomyia umbratilis was the most abundant sandfly species. Caryocar villosum, Chrysophyllum amazonicum, Dinizia excelsa, Eschweilera atropetiolata and Parkia multijuga were the tree species on which most sandflies were collected and relative abundance were related to trunk characteristics. Seasonal patterns of sandfly distribution in the forest were observed.
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The aim of the study was to determine objective radiological signs of danger to life in survivors of manual strangulation and to establish a radiological scoring system for the differentiation between life-threatening and non-life-threatening strangulation by dividing the cross section of the neck into three zones (superficial, middle and deep zone). Forensic pathologists classified 56 survivors of strangulation into life-threatening and non-life-threatening cases by history and clinical examination alone, and two blinded radiologists evaluated the MRIs of the neck. In 15 cases, strangulation was life-threatening (27%), compared with 41 cases in which strangulation was non-life-threatening (73%). The best radiological signs on MRI to differentiate between the two groups were intramuscular haemorrhage/oedema, swelling of platysma and intracutaneous bleeding (all p = 0.02) followed by subcutaneous bleeding (p = 0.034) and haemorrhagic lymph nodes (p = 0.04), all indicating life-threatening strangulation. The radiological scoring system showed a sensitivity and specificity of approximately 70% for life-threatening strangulation, when at least two neck zones were affected. MRI is not only helpful in assessing the severity of strangulation, but is also an excellent documentation tool that is even admissible in court.