996 resultados para Français (Langue)--Français parlé--Étude et enseignement (Secondaire)--Matériel didactique


Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Given the diversity of uses of the French imparfait, there is no unanimity about the nature – or even the existence – of a semantic invariant that may characterize it. The present article aims on the one hand at recapitulating the attempted temporal, aspectual and discursive descriptions of the imparfait found in contemporary research. A personal description of that tense based on the concepts of time, aspect and Aktionsart is then proposed ; it is thought such description may account for that tense multiplicity of uses. On the other hand, because of the necessity of a dialogue between theoretical and applied linguistics, this article will also consider the potential contribution of the suggested invariant to the teaching of French as a foreign language.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

La recherche porte sur le premier cours obligatoire de français au collégial, Écriture et littérature, au cours duquel les étudiants – en majorité jugés faibles lecteurs par leurs professeurs – font face à des défis de lecture importants lorsqu’il s’agit de lire des œuvres littéraires complètes, dont le programme d’études impose la lecture. Lire une œuvre complète exige non seulement du temps, mais aussi la mise en relation complexe et constamment réévaluée de détails avec l’ensemble de l’œuvre. De plus, les titres imposés à l’entrée au cégep présentent aussi des différences notables avec les œuvres généralement lues au secondaire. Dans ce contexte, différents acteurs du milieu collégial questionnent les pratiques d’enseignement mises en œuvre, mais ils infèrent surtout ces pratiques au départ de leur expérience professionnelle; notre recension des écrits montre que l’enseignement de l’o.c. au collégial n’est pas documenté sur le plan scientifique, en dehors des résultats obtenus par l’équipe de Dezutter et al. (2009-2012), qui a mené une recherche sur la place de cette œuvre complète dans les trois cours de français confondus. Nous avons ainsi opté pour l’exploitation secondaire des données collectées spécifiquement dans le cours Écriture et littérature pour décrire les pratiques d’enseignement mises en œuvre par trois professeurs autour de la lecture d’une œuvre littéraire complète choisie par eux. Notre étude multicas, descriptive et exploratoire, est centrée sur le registre épistémique des pratiques d’enseignement, que Vinatier (2007) définit comme « ce qui s’enseigne et comment ». À partir de trois séquences d’enseignements filmées, une analyse thématique a été réalisée. Les angles d’entrée dans l’œuvre, la place laissée à celle-ci et quatre formes de savoirs (sur la littérature, sur la langue, sur les processus de lecture et sur le monde) ont été examinés afin de déterminer ce qui s’enseigne. La notion de rôles, croisée ultérieurement avec les savoirs convoqués, a permis de décrire comment cela s’enseigne. Les résultats obtenus montrent que la proportion de l’œuvre exploitée est très variable et que les trois professeurs adoptent surtout un rôle d’expert de savoirs sur le monde pour la traiter. Les savoirs sur les processus cognitifs ne sont presque jamais convoqués, et nous n’avons pu observer aucune manifestation évidente de rôles soutenant le développement de la lecture comme activité cognitive. La place laissée à la subjectivité des lecteurs s’avère ténue, et la lecture implicitement convoquée s’éloigne largement de celle susceptible d’être mise en œuvre en contexte extrascolaire, bien que certains liens soient plus souvent établis par l’un des professeurs avec la culture première des étudiants. En conformité avec le programme d’études, les activités entourant l’œuvre littéraire complète semblent au final souvent au service de l’évaluation de l’écriture, ce qui fait plutôt de la lecture de l’œuvre littéraire complète un prétexte à d’autres apprentissages.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Les temps du passé ont toujours constitué une pierre d’achoppement aussi bien dans l’enseignement du français aux étudiants lusophones que dans celui du portugais aux francophones. Le flot continu d’articles sur ce sujet attesterait, à lui seul, la difficulté du problème. Mais aussi étonnant que cela puisse paraître, il n’existe à ce jour aucune étude systématique qui aborde sur une base théorique le présent simple dans le passage du français vers le portugais et/ou vice-versa. Or, une telle étude nous paraît une voie de recherche intéressante et fructueuse qui ouvre de nombreuses perspectives de recherche, dont les possibilités d’application, que ce soit au domaine de l’enseignement des langues étrangères ou celui de la traduction, ne sont pas négligeables. Cette réflexion est d’autant plus urgente que l’emploi du présent simple pose de sérieux problèmes aux élèves lusophones plus inexpérimentés. En effet, ces derniers ont parfois beaucoup de peine à trouver les bonnes correspondances du présent simple en portugais. Afin d’aboutir à des conclusions fiables sur les similarités et les divergences entre le français et le portugais quant aux conditions d’apparition et au mode de fonctionnement du présent simple, nous nous attacherons, dans l’étude contrastive qui suit, à examiner des échantillons de textes littéraires français traduits en portugais et des extraits de textes littéraires portugais traduits en français1. Il s’agira essentiellement de montrer, en recourant à la Théorie des Opérations Énonciatives d’Antoine Culioli (Culioli, 1990; Campos & Xavier, 1991; Campos, 1997, 1998, entre autres), par quels moyens linguistiques le portugais exprime les valeurs aspectuo-temporelles associées au présent simple en français.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Ce travail traite de la catégorie du « héros » et s'articule autour d'une comparaison entre les récits de la Grèce antique, principalement la poésie épique, et le Proche-Orient ancien, essentiellement les textes vétérotestamentaires - une étude dont l'objet est dès lors principalement textuel. Partant du constat, si simple mais lourd de conséquence, que le mot français « héros » vient du substantif grec rjpcoç, le texte débute par un travail de décentrement face aux référents contemporains liés à l'emploi du terme dans nos langues modernes : le « héros » n'est pas forcément le rjpcoç. Riche de cette analyse, la deuxième partie du travail se tourne vers l'Antiquité grecque, et plus précisément vers les poésies homérique et hésiodique. L'analyse de l'emploi du vocabulaire héroïque au sein de ces récits permet de cerner plus précisément les diverses figures appelées rjpcoç - figures qui semblent si différentes les unes des autres alors qu'elles partagent un qualificatif commun. Fort de cet apport quant à la compréhension du rjpcoç épique grec, une troisième partie questionne la présence de la catégorie du « héros » dans la Bible hébraïque mais aussi dans ses traductions en langues modernes. Constatant que le mot « héros » n 'apparaît jamais dans les langues anciennes que sont le grec de la LXX ou le latin de la Vulgate, les figures vétérotestamentaires sont repensées dans leur contexte proche- oriental, les voyant sous la lumière du Levant - lumière qui est la leur - et ce grâce au vocabulaire somme toute fort précis de la langue hébraïque. Finalement, une partie conclusive tente de mettre en exergue ce que la comparaison des récits grecs épiques et vétérotestamentaires a permis de soulever quant à leurs catégories « héroïques » respectives. L'enjeu est également de penser de manière critique ce que les cultures occidentales contemporaines nomment « héros », s'appuyant si souvent sur un « double héritage » gréco-romain et judéo-chrétien.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

French verb morphology has always been a major challenge for learners as well as teachers of French as a foreign language. Learning difficulties arise not only from the inherent complexity of the conjugation system itself, but mostly from the traditional description found in specialized books, grammars, etc. French spelling alone tends to complexify the actual oral verb morphology by more than 60%, thus hindering efficient learning. Following Dubois (1967), Csécsy (1968), Pouradier Duteil (1997), etc., I suggest an alternative approach, exclusively based on phonetic transcription, and starting with plural forms instead of singular ones (Mayer 1969). For more than 500 verbs of the 2nd and 3rd groups, this strategy allows learners to first memorize the present tense plural form e.g. /illiz/ (ils lisent, "they read") and take the stem's final consonant away to get the singular /illi/ (il lit, "he reads").