Documentary Intersect

I started by collecting things in order to inform my work. What seems to have happened slowly is that the collections eventually became my work. – Patrick Pound The New Zealand-born, Melbourne-based artist Patrick Pound has had a long-term engagement with the work of Walker Evans, both as a writer and as a practicing artist. For his solo exhibition at the Adam Art Gallery, Pound developed an installation comprised of found images, taking his cue from Walker Evans’s practice of working with readymade printed matter which he published in magazines such as Fortune and Architectural Forum. While Pound’s collecting habits are voracious, he is also a great organiser. He is interested in typologies and arranges items according to shared content: ‘tears’, ‘floral clocks’, ‘crime scenes’, ‘sleepers’, and so on. Laying these out in linear sequences Pound discovers points of intersection to create complex grids of structured yet chaotic imagery. A Hollywood film still of a crime scene will sit eerily alongside an image of a real deceased subject sourced from an archive; or a set of postcards will show the same subject, shot by different photographers and describing both changing viewpoints and the passage of time. Pound has stated: ‘People make sense of the world through assembling, listing and categorising…meaning is to be found in the accumulation of [these] details.’

From the inside to the outside. Architecture Venice Biennales 2014 and 2016

The comparison between the Position Statements of the latest two Venice Biennale of Architecture, Fundamentals, directed by Rem Koolhaas in 2014 and Reporting from the front that Alejandro Aravena prepares for 2016, is an evident sign of the internal stress that architectural practice has been suffering during the last decade. Koolhaas intensively focused on the immediate past whilst Aravena presents a Biennalle strongly decided to explore possible alternatives for the future of Architecture. The first one tried to define the core, theessence, the most elemental particles that utterly compose Architecture. The second looks at the boundaries, the periphery, the outskirts, the limits of the discipline. Fundamentals was theoretical, personal, abstract, compact and aesthetic. Reporting from the front will be practical, collective, concrete, permeable and ethical. This fertile antagonism or counterpoint between both approaches is too frequently understood as incompatible. However, as a matter of fact the coexistence of these two different perspectives within architectural practice is the mostdistinctive feature of the complex contemporary architectural landscape. The insertion of the analysis of both position statements within the historical evolution of the Venice Bienale since 1980, allows a reinterpretation of the antagonism between the two exhibitions and evidences some lines of thought and action in the architectural world. Following the war industry terminology that Report from the front has chosen, Aravena identifies with precision the theatre of operations; the space and time that is requesting an urgent response from architecture.Previously Koolhaas had defined the armament that Architecture has available to undertake this crucial mission: to define the role and relevance of Architecture in the immediate future. Until now, battles in the front have been a guerrilla warfare. More reactive than proactive. Battles for survival more than for experience. Necessary but, at the same time, insufficient. Valuable actions in radical contexts; heroic acts in extreme situations; occasional infiltrations that find their final reason for being in their own audacity. Time has come for these counterattackarchitectures to evolve from protests to proposals.

À suivre... de Sophie Calle : construction autobiographique d'une artiste singulière

Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de certains documents visuels et audio-visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal. To respect the reproduction rights and copyrights, the electronic version of this thesis was stripped of images and audiovisuals. The integral version has been left with Documents Management and Archives Service at the University of Montreal.

La mise en valeur de l'archéologie sur la côte nord du Pérou : le cas de Chan Chan et de Huacas de Moche.

Notre mémoire porte sur la mise en valeur du patrimoine archéologique sur la côte nord du Pérou. À partir de deux études de cas, Chan Chan et Huacas de Moche, nous cherchons à faire ressortir différentes approches de mise en valeur au complexe archéologique et d’exposition au musée de site. La cité de Chan Chan aurait été la capitale de l’Empire chimor (900 à 1476 ap. J.C.) et utilisée à titre de siège pour le gouvernement, de résidence, de centre administratif et de centre religieux. Le complexe de Huaca del Sol y de la Luna aurait été la capitale de la civilisation moche (100 av. J.C. à 700 ap. J.C.) à son apogée. Il représente l’un des plus anciens centre urbain-cérémonial de la côte nord du Pérou. Le cas du Musée de site de Chan Chan présente un modèle muséographique des années 1990, tandis que le cas du Musée de site de Huacas de Moche propose une approche puisant ses concepts dans la nouvelle muséologie (2010). D’autre part, ces modèles de gestion, l’un issu du secteur public (Chan Chan) et l’autre (Huacas de Moche) émanant d’une gestion mixte ont une influence sur la manière de présenter l’archéologie au public. Le premier chapitre aborde l’histoire du développement de l’archéologie, des musées et du tourisme au Pérou. La deuxième partie de ce chapitre traite des questions liées à l’herméneutique de la culture matérielle, des questions esthétiques et de l’architecture précolombienne, ainsi que des approches de médiation. Le deuxième chapitre met en parallèle l’analyse du circuit de visite du complexe archéologique de Chan Chan et celui de Huacas de Moche. Le troisième chapitre présente l’analyse de la mise en exposition des musées de site des deux études de cas et des liens créés avec leur site archéologique. Le quatrième chapitre porte sur les formes de financement des projets de fouilles, de conservation, de restauration et de mise en valeur de l’archéologie, ainsi que des stratégies utilisées pour sa diffusion et sa mise en tourisme. Enfin, la dernière section du quatrième chapitre traite des différents moyens utilisés par chacun des complexes archéologiques et leurs musées pour intégrer la communauté locale aux projets de recherche et de mise en valeur archéologique.

Lecture by Lance Fung, given at Florida International University, January 7, 2008

Lance Fung shares images from his "Snow Show" exhibition, along with images from a number of exhibitions in New York City, followed by images from his proposal for an exhibition at the Beijng Olympics. Introduction by Dahlia Morgan.

Lecture by Xu Bing, given at Florida International University, February 21, 2015

Xu Bing talks about his work and exhibitions and shares images of his works. Introduction by Lidu Yi. Comments by Jordana Pomeroy.

À suivre... de Sophie Calle : construction autobiographique d'une artiste singulière

Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de certains documents visuels et audio-visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal. To respect the reproduction rights and copyrights, the electronic version of this thesis was stripped of images and audiovisuals. The integral version has been left with Documents Management and Archives Service at the University of Montreal.

La mise en valeur de l'archéologie sur la côte nord du Pérou : le cas de Chan Chan et de Huacas de Moche

Notre mémoire porte sur la mise en valeur du patrimoine archéologique sur la côte nord du Pérou. À partir de deux études de cas, Chan Chan et Huacas de Moche, nous cherchons à faire ressortir différentes approches de mise en valeur au complexe archéologique et d’exposition au musée de site. La cité de Chan Chan aurait été la capitale de l’Empire chimor (900 à 1476 ap. J.C.) et utilisée à titre de siège pour le gouvernement, de résidence, de centre administratif et de centre religieux. Le complexe de Huaca del Sol y de la Luna aurait été la capitale de la civilisation moche (100 av. J.C. à 700 ap. J.C.) à son apogée. Il représente l’un des plus anciens centre urbain-cérémonial de la côte nord du Pérou. Le cas du Musée de site de Chan Chan présente un modèle muséographique des années 1990, tandis que le cas du Musée de site de Huacas de Moche propose une approche puisant ses concepts dans la nouvelle muséologie (2010). D’autre part, ces modèles de gestion, l’un issu du secteur public (Chan Chan) et l’autre (Huacas de Moche) émanant d’une gestion mixte ont une influence sur la manière de présenter l’archéologie au public. Le premier chapitre aborde l’histoire du développement de l’archéologie, des musées et du tourisme au Pérou. La deuxième partie de ce chapitre traite des questions liées à l’herméneutique de la culture matérielle, des questions esthétiques et de l’architecture précolombienne, ainsi que des approches de médiation. Le deuxième chapitre met en parallèle l’analyse du circuit de visite du complexe archéologique de Chan Chan et celui de Huacas de Moche. Le troisième chapitre présente l’analyse de la mise en exposition des musées de site des deux études de cas et des liens créés avec leur site archéologique. Le quatrième chapitre porte sur les formes de financement des projets de fouilles, de conservation, de restauration et de mise en valeur de l’archéologie, ainsi que des stratégies utilisées pour sa diffusion et sa mise en tourisme. Enfin, la dernière section du quatrième chapitre traite des différents moyens utilisés par chacun des complexes archéologiques et leurs musées pour intégrer la communauté locale aux projets de recherche et de mise en valeur archéologique.

Timbre

Drawing Is/ Not Building showcased three different approaches to architectural drawing, focusing on drawing's material and conceptual terrain across three radically different practices. Seventeen practitioners were asked to contribute, offering contemporary viewpoints on architectural drawing and present these in visual and textual form as a complimentary component of the publication.

Thinking through things: Patrick Pound and the Flinders University art museum collections

Patrick Pound is known for his singular approach to art production: compiling, collecting, combining and captioning things in ways that challenge the orthodoxy of museums and their taxonomies. Working with public holdings and his own esoteric compendia of ‘stuff’, Pound uses self-devised cues to give shape, form and meaning to his exhibits. Pound makes his debut in Adelaide with Flinders University Art Museum, mining the 6,500 works in our care to make unexpected and unprecedented connections

The Documentary Take

Documentary photography and contemporary art are existentially quite distinct practices. Occasionally, with the passing of time, great documentary lifts from the contact sheet, the magazine page or the short print run book and finds its way onto gallery walls as art.Presented within the context of Walker Evans: the magazine work, curated by David Campany, The documentary take invites the question, what aspects of documentary practice are seeping into contemporary art now? In his commentary and practice, Evans distinguished between documentary as a forensic practice and the 'documentary style', which he saw as art making.With the exception of work presented by Ponch Hawkes and David Wadelton, the artists here—Destiny Deacon and Virginia Fraser; Simryn Gill; Sonia Leber and David Chesworth; Louis Porter; Patrick Pound and Charlie Sofo—are far from documentarians, yet all benefit from proximity to the foundational practice of Walker Evans.While Walker Evans may or may not be influential on these artists, his work forms a language that is now background knowledge for the making of images about the world where, artifice aside, truth is at least relevant. Perhaps documentary practice enables contemporary art to "attend to the real" [i], without binding it to a utilitarian or forensic intention.In attending to the real, the quest for the documentarian is to reveal something of the world, while that of the contemporary artist is to make meaning in and of the world.

Thinking through things

Catalgue essay to accompany Patrick Pound's exhibition entitled Patrick Pound: Thinking through things, curated with the Flinders University Art Museums collections