991 resultados para Critical Pathways
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The purpose of this case study was to determine the effectiveness of sport for development (SDP) evaluation within one program in Gansbaai, South Africa through critical, independent participant inclusive program evaluation. Qualitative research was conducted on the Football Foundation of South Africa (FFSA), where semi-structured interview data were collected from administrators and participants, as were data from direct participant observations and organizational documents. Data analysis followed, according to Kvale and Brinkman���s (2008) methodology. FFSA goals were found, as were themes of social impact (i.e., regarding coach-player relationships, trust, and coaching impact on social integration). A further theme related to evaluation components and procedures. Further themes included life skill development, competition within programming, participants��� home life and social integration. Findings contribute to the SDP literature relating to program evaluation research and to FFSA administrators by providing an understanding of SDP program shortcomings, limitations, and suggested improvements.
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Teachers can reflect on their practices by articulating and exploring incidents they consider critical to themselves or others. By talking about these critical incidents, teachers can make better sense of seemingly random experiences that occur in their teaching because they hold the real inside knowledge, especially personal intuitive knowledge, expertise and experience that is based on their accumulated years as language educators teaching in schools and classrooms. This paper is about one such critical incident analysis that an ESL teacher in Canada revealed to her critical friend and how both used McCabe���s (2002) narrative framework for analyzing an important critical incident that occurred in the teacher���s class.
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Two synthetic projects were embarked upon, both fraught with protecting group nuance and reaction selectivity. Transformations of the opiate skeleton remain a valuable tool for the development of new medicines. Thebaine, a biosynthetic intermediate in the expression of morphine, was converted in three steps to oripavine through two parallel modes. Through the use of protecting group manipulations, two irreversible scaffold rearrangements were avoided during aryl methyl ether bond cleavage. This chemistry constitutes a new path in manipulations of the morphinan scaffold through protective groups. A new compound family, the flacourtosides, contains an unusual cyclohexenone fragment. The newly described compounds show in preliminary tests antiviral activity against dengue and chikungunya. This aglycone was approached on three pathways, all beginning with the chemoenzymatic dihydroxylation of benzoic acid. A first attempt from a known vinyl epoxide failed to epimerize and cooperate under deprotective conditions. A second and third attempt made use of a diastereoselective dihydroxylation reaction, which was critical in reaching the correct stereochemistry and oxidation state. The methyl ester of the aglycone was prepared, constituting the first synthesis of the non-trivial natural product framework.
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Nous Considerons Dans Cet Article un Modele de Duopole Avec Produits Differencies; Nous Montrons Que le Caractere Substituts Vs Complements de Ces Produits Est un Facteur Important Dans la Determination du Mode de Concurrence Strategique (Cournot-Bertrand, Nash Mixte, Stackelberg; En Prix Ou Quantites) Que L'on Est Susceptible D'observer. Si les Produits Sont Substituts (Complements), la Concurrence Sera du Type Cournot (Bertrand) Plutot Que du Type Nash Mixte a Moins Qu'une Firme Puisse Affirmer Son Leadership et Forcer une Concurrence a la Stackelberg Mais Quel Soit le Role Tenu Par une Firme, Il Sera Preferable Pour Elle Que la Concurrence S'exprime En Quantite (Prix). Par Ailleurs, la Concurrence a la Bertrand Est Toujours la Meilleure du Point de Vue des Consommateurs et du Point de Vue de L'efficacite Sociale, et Ce, Que les Produits Soient Susbtituts Ou Complements.
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Critical-level generalized-utilitarian population principles with positive critical levels pro-vide an ethically attractive way of avoiding the repugnant conclusion. We discuss the axiomatic foundations of critical-level generalized utilitarianism and investigate its rela-tionship to the sadistic and strong sadistic conclusions. A positive critical level avoids the repugnant conclusion. We demonstrate that, although no critical-level generalized-utilitarian principle can avoid both the repugnant and strong sadistic conclusions, princi-ples that avoid both have significant defects.
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La stabilit�� g��nomique, qui est essentielle �� la vie, est possible gr��ce �� la r��plication et la r��paration de l���ADN. Une des enzymes responsables de la r��plication et de la r��paration de l���ADN est la ribonucleotide reductase (RNR), qui est retrouv��e chez la levure et chez l���humain. Cette enzyme catalyse la formation de d��oxyribonucl��otides et maintien le pool de dNTP requis pour la r��paration et la r��plication de l���ADN. L���enzyme RNR est un t��tram��re ��2��2 constitu�� d���une grande (R1, ��2) et d���une petite (R2, ��2) sous-unit��. Chez S. cerevisiae, les g��nes RNR1 et RNR3 encodent la sous-unit�� ��2 (R1). L���activit�� catalytique de RNR d��pend d���une interaction avec le fer et de la formation d���un complexe entre R1 et R2. L���expression de toutes les sous-unit��s est inductible par les dommages caus��s �� l���ADN. Dans cette ��tude, nous d��montrons que des cellules qui n���expriment pas une des sous-unit��s, Rnr4, du complexe RNR sont sensibles �� divers agents endommageant l���ADN, tels que le m��thyl m��thane sulfonate, la bl��omycine, le p��roxyde d���hydrog��ne et les rayons ultraviolets (UVC 254 nm). Au contraire, le mutant est r��sistant au 4-nitroquinoline-1- oxide (4-NQO), un compos�� qui engendre des l��sions encombrantes. Par cons��quent, le mutant rnr4�� d��montre une r��duction marqu��e en mutations induites par le 4-NQO comparativement �� la souche parentale. Nous voulions identifier la voie de r��paration de l���ADN qui conf��rait cette r��sistance au 4-NQO ainsi que les prot��ines impliqu��es. Les voies BER, NER et MMR n���ont pas aboli la r��sistance au 4-NQO de la souche rnr4��. La prot��ine recombinante Rad51 ne joue pas un r��le critique dans la r��paration de l���ADN et dans la r��sistance au 4-NQO. La d��l��tion du g��ne REV3, qui encode une polym��rase de contournement, impliqu��e dans la r��paration post-r��plication, a partiellement aboli la r��sistance au 4-NQO dans rnr4��. Ces r��sultats sugg��rent que la polym��rase Rev3 et possiblement d���autres polym��rases transl��sion (Rev1, Rev7, Rad30) pourraient ��tre impliqu��es dans la r��paration de l��sions encombrantes dans l���ADN dans des conditions de carence en dNTP. La r��paration de l���ADN, un m��canisme complexe chez la levure, implique une vaste gamme de prot��ines, dont certaines encore inconnues. Nos r��sultats indiquent qu���il y aurait plus qu���une prot��ine impliqu��e dans la r��sistance au 4-NQO. Des investigations plus approfondies seront n��cessaires afin de comprendre la recombinaison et la r��paration post-r��plication.
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L���ob��sit�� provient d���un d��s��quilibre de l���hom��ostasie ��nerg��tique, c���est-��-dire une augmentation des apports caloriques et/ou une diminution des d��penses ��nerg��tiques. Plusieurs donn��es, autant anatomiques que physiologiques, d��montrent que l���hypothalamus est un r��gulateur critique de l���app��tit et des d��penses ��nerg��tiques. En particulier, le noyau paraventriculaire (noyau PV) de l���hypothalamus int��gre plusieurs signaux provenant du syst��me nerveux central (SNC) et/ou de la p��riph��rie, afin de contr��ler l���hom��ostasie ��nerg��tique via des projections axonales sur les neurones pr��-ganglionnaires du syst��me autonome situ�� dans le troc c��r��bral et la moelle ��pini��re. Plusieurs facteurs de transcription, impliqu��s dans le d��veloppement du noyau PV, ont ��t�� identifi��s. Le facteur de transcription SIM1, qui est produit par virtuellement tous les neurones du noyau PV, est requis pour le d��veloppement du noyau PV. En effet, lors d���une ��tude ant��rieure, nous avons montr�� que le noyau PV ne se d��veloppe pas chez les souris homozygotes pour un all��le nul de Sim1. Ces souris meurent �� la naissance, probablement �� cause des anomalies du noyau PV. Par contre, les souris h��t��rozygotes survivent, mais d��veloppent une ob��sit�� pr��coce. De fa��on int��ressante, le noyau PV des souris Sim1+/- est hypod��velopp��, contenant 24% moins de cellules. Ces donn��es sugg��rent fortement que ces anomalies du d��veloppement pourraient perturber le fonctionnement du noyau PV et contribuer au d��veloppement du ph��notype d���ob��sit��. Dans ce contexte, nous avons entrepris des travaux exp��rimentaux ayant pour but d�����tudier l���impact de l���haploinsuffisance de Sim1 sur : 1) le d��veloppement du noyau PV et de ses projections neuronales eff��rentes; 2) l���hom��ostasie ��nerg��tique; et 3) les voies neuronales physiologiques contr��lant l���hom��ostasie ��nerg��tique chez les souris Sim1+/-. A cette fin, nous avons utilis�� : 1) des injections st��r��otaxiques combin��es �� des techniques d���immunohistochimie afin de d��terminer l���impact de l���haploinsuffisance de Sim1 sur le d��veloppement du noyau PV et de ses projections neuronales eff��rentes; 2) le paradigme des apports caloriques pair��s, afin de d��terminer l���impact de l���haploinsuffisance de Sim1 sur l���hom��ostasie ��nerg��tique; et 3) une approche pharmacologique, c���est-��-dire l���administration intra- c��r��broventriculaire (i.c.v.) et/ou intra-p��riton��ale (i.p.) de peptides anorexig��nes, la m��lanotane II (MTII), la leptine et la chol��cystokinine (CCK), afin de d��terminer l���impact de l���haploinsuffisance de Sim1 sur les voies neuronales contr��lant l���hom��ostasie ��nerg��tique. Dans un premier temps, nous avons constat�� une diminution de 61% et de 65% de l���expression de l���ARN messager (ARNm) de l���ocytocine (Ot) et de l���arginine-vasopressine (Vp), respectivement, chez les embryons Sim1+/- de 18.5 jours (E18.5). De plus, le nombre de cellules produisant l���OT et la VP est apparu diminu�� de 84% et 41%, respectivement, chez les souris Sim1+/- adultes. L���analyse du marquage axonal r��trograde des eff��rences du noyau PV vers le tronc c��r��bral, en particulier ses projections sur le noyau tractus solitaire (NTS) aussi que le noyau dorsal moteur du nerf vague (X) (DMV), a permis de d��montrer une diminution de 74% de ces eff��rences. Cependant, la composition mol��culaire de ces projections neuronales reste inconnue. Nos r��sultats indiquent que l���haploinsuffisance de Sim1 : i) perturbe sp��cifiquement le d��veloppement des cellules produisant l���OT et la VP; et ii) abolit le d��veloppement d���une portion importante des projections du noyau PV sur le tronc c��r��bral, et notamment ses projections sur le NTS et le DMV. Ces observations soul��vent donc la possibilit�� que ces anomalies du d��veloppement du noyau PV contribuent au ph��notype d���hyperphagie des souris Sim1+/-. En second lieu, nous avons observ�� que la croissance pond��rale des souris Sim1+/- et des souris Sim1+/+ n�����tait pas significativement diff��rente lorsque la quantit�� de calories pr��sent��e aux souris Sim1+/- ��tait la m��me que celle consomm��e par les souris Sim1+/+. De plus, l���analyse qualitative et quantitative des tissus adipeux blancs et des tissus adipeux bruns n���a d��montr�� aucune diff��rence significative en ce qui a trait �� la taille et �� la masse de ces tissus chez les deux groupes. Finalement, au terme de ces exp��riences, les souris Sim1+/--pair��es n�����taient pas diff��rentes des souris Sim1+/+ en ce qui a trait �� leur insulin��mie et leur contenu en triglyc��rides du foie et des masses adipeuses, alors que tous ces param��tres ��taient augment��s chez les souris Sim1+/- nourries ad libitum. Ces r��sultats laissent croire que l���hyperphagie, et non une diminution des d��penses ��nerg��tiques, est la cause principale de l���ob��sit�� des souris Sim1+/-. Par cons��quent, ces r��sultats sugg��rent que : i) l���haploinsuffisance de Sim1 est associ��e �� une augmentation de l���apport calorique sans toutefois moduler les d��penses ��nerg��tiques; ii) l���existence d���au moins deux voies neuronales issues du noyau PV : l���une qui r��gule la prise alimentaire et l���autre la thermog��n��se; et iii) l���haploinsuffisance de Sim1 affecte sp��cifiquement la voie neuronale qui r��gule la prise alimentaire. En dernier lieu, nous avons montr�� que l���injection de MTII, de leptine ainsi que de CCK induit une diminution significative de la consommation calorique des souris des deux g��notypes, Sim1+/+ et Sim1+/-. De fait, la consommation calorique cumulative des souris Sim1+/- et Sim1+/+ est diminu��e de 37% et de 51%, respectivement, durant les 4 heures suivant l���administration i.p. de MTII comparativement �� l���administration d���une solution saline. Lors de l���administration i.c.v. de la leptine, la consommation calorique cumulative des souris Sim1+/- et Sim1+/+ est diminu��e de 47% et de 32%, respectivement. Finalement, l���injection i.p. de CCK diminue la consommation calorique des souris Sim1+/- et Sim1+/+ de 52% et de 36%, respectivement. L���ensemble des r��sultats sugg��re ici que l���haploinsuffisance de Sim1 diminue l���activit�� de certaines voies neuronales r��gulant l���hom��ostasie ��nerg��tique, et particuli��rement de celles qui contr��lent la prise alimentaire. En r��sum��, ces travaux ont montr�� que l���haploinsuffisance de Sim1 affecte plusieurs processus du d��veloppement au sein du noyau PV. Ces anomalies du d��veloppement peuvent conduire �� des dysfonctions de certains processus physiologiques distincts r��gul��s par le noyau PV, et notamment de la prise alimentaire, et contribuer ainsi au ph��notype d���ob��sit��. Les souris h��t��rozygotes pour le g��ne Sim1 repr��sentent donc un mod��le animal unique, o�� l���hyperphagie, et non les d��penses ��nerg��tiques, est la principale cause de l���ob��sit��. En cons��quence, ces souris pourraient repr��senter un mod��le exp��rimental int��ressant pour l�����tude des m��canismes cellulaires et mol��culaires en contr��le de la prise alimentaire.
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L���endoth��line-1 (ET-1) est un peptide vasoactif extr��mement puissant qui poss��de une forte activit�� mitog��nique dans les cellules du muscle lisse vasculaire (VSMCs). Il a ��t�� d��montr�� que l���ET-1 est impliqu��e dans plusieurs maladies cardio-vasculaires, comme l���ath��roscl��rose, l'hypertension, la rest��nose apr��s l'angioplastie, l���insuffisance cardiaque et l'arythmie. L���ET-1 exerce ses effets via plusieurs voies de signalisation qui incluent le Ca2+, les prot��ines kinases activ��es par les mitog��nes (MAPKs) y compris les kinases r��gul��es par les signaux extracellulaires (ERK1/2) et la voie de la phosphatidylinositol 3-kinase (PI-3K)/protein kinase B (PKB). Plusieurs ��tudes ont d��montr�� que les d��riv��s r��actifs de l'oxyg��ne (ROS) peuvent jouer un r��le important dans la signalisation d���ERK1/2 et de PKB induite par plusieurs facteurs de croissance et hormones. Nous avons pr��c��demment montr�� que l'ET-1 produit des ROS qui agissent comme m��diateur de la signalisation cellulaire induite par l���ET-1. Le peroxyde d���hydrog��ne (H2O2), une mol��cule qui appartient �� la famille des ROS, peut activer les voies de la MAPK et de la PKB dans les VSMCs. Par ailleurs, nos r��sultats sugg��rent ��galement que le Ca2+ et la calmoduline (CaM) sont essentiels pour la phosphorylation d���ERK1/2, de p38 et de PKB induite par le H2O2 dans les VSMCs. La Ca2+/CaM-dependent protein kinases II (CaMKII) est une s��rine/thr��onine prot��ine kinase multifonctionnelle activ��e par le Ca2+/CaM. Il a ��t�� montr�� que la CaMKII est impliqu��e dans les voies de signalisation induite par le H2O2 dans les cellules endoth��liales. Cependant, le r��le de la CaMKII dans la phosphorylation d���ERK1/2, de PKB et de la proline-rich tyrosine kinase 2 (Pyk2) induite par l���ET-1 et le H2O2, de m��me que son r��le dans l���effet hypertrophique et prolif��ratif de l���ET-1 dans les VSMCs demeure inexplor��. Le monoxyde d���azote (NO) est une mol��cule vasoactive impliqu��e dans la r��gulation de plusieurs r��ponses hormonales. Le NO peut moduler la signalisation contr��lant la croissance cellulaire induite par plusieurs agonistes d���o�� son r��le protecteur dans le syst��me vasculaire. Des ��tudes ont montr�� que le NO peut inhiber la voie de Ras/Raf/ERK1/2 et la voie de PKB induite par le facteur de croissance endoth��lial (EGF) et l���angiotensine II (Ang II). Beaucoup d���autres travaux ont mis en ��vidence un cross-talk entre les voies de signalisation activ��es par l���ET-1 et le NO. La capacit�� du NO �� inhiber la signalisation intracellulaire induite par l���ET-1 dans les VSMCs demeure inconnue. Le travail pr��sent�� dans cette th��se vise �� d��terminer le r��le du syst��me Ca2+-CaM-CaMKII dans la phosphorylation d���ERK1/2, de PKB et de Pyk2 induite par l���ET-1 et le H2O2 ainsi que son r��le dans la croissance et la prolif��ration cellulaire induites par l���ET-1 dans les VSMCs. Nous avons ��galement test�� le r��le du NO dans la phosphorylation d���ERK1/2, de PKB et de Pyk2 ainsi que la synth��se prot��ique induite par l���ET-1. Dans la premi��re partie de notre ��tude, nous avons examin�� le r��le de la CaMKII dans la phosphorylation d���ERK1/2 et de PKB induite par l���ET-1 dans les VSMCs en utilisant trois approches diff��rentes i.e. l'usage d'inhibiteurs pharmacologiques, un peptide auto-inhibiteur de la CaMKII (CaMKII AIP) et la technique de siRNA. Nous avons d��montr�� que la CaMKII est impliqu��e dans la phosphorylation d���ERK1/2 et de PKB induite par l���ET-1 dans les VSMCs. Des ��tudes pr��c��dentes ont montr�� �� l���aide d���inhibiteurs pharmacologiques comme le KN-93 que l'Ang II et les agents induisant une augmentation de la concentration en Ca2+ intracellulaire comme l���ionomycine, provoquent la phosphorylation d���ERK1/2 via la CaM dans les VSMCs. Cependant, en utilisant diff��rentes approches, nos ��tudes ont montr�� pour la premi��re fois une implication de la CaMKII dans la phosphorylation d���ERK1/2 et de PKB induite par l���ET-1 dans les VSMCs. Nous avons ��galement rapport�� pour la premi��re fois, un r��le crucial de la CaMKII dans la pathophysiologie vasculaire associ��e �� l���ET-1 puisque l���activation de la CaMKII joue un r��le important dans l���hypertrophie et la croissance cellulaire. Dans la deuxi��me partie, �� la lumi��re des ��tudes pr��c��dentes qui montraient que les ROS agissent comme m��diateurs de la signalisation induite par l���ET-1 dans les VSMCs, nous avons examin�� si la CaMKII est ��galement impliqu��e dans l���activation des voies d���ERK1/2 et de PKB induite par le H2O2. En utilisant des approches pharmacologiques et mol��culaires, nous avons montr��, comme pour l���ET-1, que la CaMKII joue un r��le critique en amont de la phosphorylation d���ERK1/2, de PKB et de Pyk2 induite par le H2O2. Nous avons pr��c��demment montr�� que la transactivation du r��cepteur de type I de l���insulin-like growth factor (IGF-1R) est n��cessaire �� l���activation de PKB induite par le H2O2. Pour cette raison, nous avons examin�� l'effet de l'inhibition de la CaMKII par l���inhibiteur pharmacologique ou par le knock-down de la CaMKII sur la phosphorylation d���IGF-1R induite par le H2O2. Les r��sultats d��montrent que la CaMKII joue un r��le critique en amont de la phosphorylation d���ERK1/2, de PKB et d���IGF-1R induite par le H2O2. Dans la troisi��me partie de notre ��tude, nous avons ��galement examin�� le m��canisme mol��culaire par lequel le NO exerce ses effets anti-mitog��niques et anti-hypertrophiques dans la signalisation induite par l���ET-1. En testant l'effet de deux diff��rents donneurs de NO (S-nitroso-N-acetylpenicillamine (SNAP), sodium nitroprusside (SNP)) et un inhibiteur de NO synthase, le N (G)-nitro-L-arginine methyl ester (L-NAME) dans la phosphorylation d���ERK1/2, de PKB et de Pyk2 induite par l���ET-1, nous avons observ�� que le NO a un effet inhibiteur sur la signalisation induite par l���ET-1 dans les VSMCs. Par ailleurs, le 8-Br-GMPc, un analogue du GMPc, a un effet similaire �� celui des deux donneurs du NO, tandis que l���oxadiazole quinoxaline (ODQ), un inhibiteur de la guanylate cyclase soluble, inverse l'effet inhibiteur du NO. Nous concluons que le NO diminue la phosphorylation d���ERK1/2, de PKB et de Pyk2 induite par l���ET-1 d���une mani��re d��pendante du GMPc. Le NO inhibe aussi les effets hypertrophiques de l���ET-1 puisque le traitement avec le SNAP diminue la synth��se des prot��ines induite par l���ET-1. En r��sum��, les ��tudes pr��sent��es dans cette th��se d��montrent que l���ET-1 et le H2O2 sont des activateurs de la phosphorylation d���ERK1/2, de PKB et de Pyk2 dans les VSMCs et que la CaMKII s���av��re n��cessaire pour ce processus, en agissant en amont de l���activation de IGF-1R induite par le H2O2 dans les VSMCs. Elles montrent ��galement que le NO inhibe la phosphorylation d���ERK1/2, de PKB et de Pyk2 induite par l���ET-1. Enfin, nos travaux sugg��rent aussi que l���activation de la CaMKII stimule la synth��se des prot��ines et de l���ADN induites par l���ET-1 alors que le NO inhibe la synth��se des prot��ines induite par ET-1. Mots cl��s: Endoth��line ; Peroxyde d'hydrog��ne ; CaMKII ; Monoxyde d���azote ; Syst��me vasculaire ; PKB; ERK1/2; IGF-1R; Hypertrophie.
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La leuc��mie lympho��de repr��sente 30% de tous les cancers chez l���enfant. SCL (�� Stem cell leukemia ��) et LMO1/2 (�� LIM only protein ��) sont les oncog��nes les plus fr��quemment activ��s dans les leuc��mies aigu��s des cellules T chez l'enfant (T-ALL). L���expression ectopique de ces deux oncoprot��ines dans le thymus de souris transg��niques induit un blocage de la diff��renciation des cellules T suivie d���une leuc��mie agressive qui reproduit la maladie humaine. Afin de d��finir les voies g��n��tiques qui collaborent avec ces oncog��nes pour induire des leuc��mies T-ALL, nous avons utilis�� plusieurs approches. Par une approche de g��ne candidat, nous avons premi��rement identifi�� le pTalpha, un g��ne crucial pour la diff��renciation des cellules T, comme cible directe des h��t��rodim��res E2AHEB dans les thymocytes immatures. De plus, nous avons montr�� que pendant la diff��renciation normale des thymocytes, SCL inhibe la fonction E2A et HEB et qu���un dosage entre les prot��ines E2A, HEB et SCL d��termine l���expression du pTalpha. Deuxi��mement, par l���utilisation d���une approche globale et fonctionnelle, nous avons identifi�� de nouveaux g��nes cibles des facteurs de transcription E2A et HEB et montr�� que SCL et LMO1 affectent la diff��renciation thymocytaire au stade pr��leuc��mique en inhibant globalement l���activit�� transcriptionnelle des prot��ines E par un m��canisme d��pendant de la liaison �� l���ADN. De plus, nous avons d��couvert que les oncog��nes SCL et LMO1 sont soit incapables d���inhiber totalement l���activit�� suppresseur de tumeur des prot��ines E ou agissent par une voie d���induction de la leuc��mie diff��rente de la perte de fonction des prot��ines E. Troisi��mement, nous avons trouv�� que Notch1, un g��ne retrouv�� activ�� dans la majorit�� des leuc��mies T-ALL chez l���enfant, op��re dans la m��me voie g��n��tique que le pr��-TCR pour collaborer avec les oncog��nes SCL et LMO1 lors du processus de leuc��mog��n��se. De plus, cette collaboration entre des facteurs de transcription oncog��niques et des voies de signalisation normales et importantes pour la d��termination de la destin��e cellulaire pourraient expliquer la transformation sp��cifique �� un type cellulaire. Quatri��mement, nous avons trouv�� que les oncog��nes SCL et LMO1 sont des inducteurs de s��nescence au stade pr��leuc��mique. De plus, la d��l��tion du locus INK4A/ARF, un ��v��nement retrouv�� dans la majorit�� des leuc��mies p��diatriques T-ALL associ��es avec une activation de SCL, collabore aves les oncog��nes SCL et LMO1 dans l���induction de la leuc��mie. Cette collaboration entre la perte de r��gulateurs de la s��nescence sugg��re qu���un contournement de la r��ponse de s��nescence pourrait ��tre n��cessaire �� la transformation. Finalement, nous avons aussi montr�� que l���interaction directe entre les prot��ines SCL et LMO1 est critique pour l���induction de la leuc��mie. Ces ��tudes ont donc permis d���identifier des ��v��nements collaborateurs, ainsi que des propri��t��s cellulaires affect��es par les oncog��nes associ��s avec la leuc��mie et de fa��on plus g��n��rale dans le d��veloppement du cancer.