982 resultados para beta(1 -> 3 : 1 -> 6)-D-glucans
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BACKGROUND: The prognostic value of D-dimer testing in patients with acute pulmonary embolism (PE) has not been thoroughly studied. METHODS: We used the RIETE Registry data to assess the 90-day prognostic value of increased IL Test D-dimer levels at baseline in patients with PE, according to the presence or absence of cancer. RESULTS: As of May 2013, 3,283 patients with acute PE underwent D-dimer testing using IL Test D-dimer. Among 2,588 patients without cancer, those with D-dimer levels in the highest quartile had a higher rate of fatal PE (2.6% vs. 0.9%; p=0.002), fatal bleeding (1.1% vs. 0.3%; p=0.017) and all-cause death (9.1% vs. 4.4%; p<0.001) at 90 days compared with those with levels in the lowest quartiles. Among 695 patients with cancer, those with levels in the highest quartile had a similar rate of fatal PE or fatal bleeding but higher mortality (35% vs. 24%; p<0.01). On multivariate analysis, non-cancer patients with D-dimer levels in the highest quartile had an increased risk for fatal PE (odds ratio [OR]: 3.3; 95% CI: 1.6-6.6), fatal bleeding (OR: 4.3; 95% CI: 1.4-13.7) and all-cause death (OR: 2.1; 95% CI: 1.4-3.1) compared with patients with levels in the lowest quartiles. CONCLUSIONS: Non-cancer patients with acute PE and IL Test D-dimer levels in the highest quartile had an independently higher risk for fatal PE, fatal bleeding and all-cause death at 90 days than those with levels in the lowest quartiles. In patients with cancer, D-dimer levels failed to predict fatal PE or fatal bleeding.
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RESUMELes troubles des conduites alimentaires atypiques (TCAA) représentent une catégorie diagnostique émergente, relativement peu décrite. Ils regroupent des tableaux cliniques ne satisfaisant pas entièrement aux critères des troubles alimentaires typiques anorexie et boulimie. Désignés par le terme de EDNOS' dans le DSM-IV2 (American Psychiatrie Association, 1994), ils sont appelés troubles atypiques dans la CIM-103 (World Health Organization, 1993).Les TCAA représentent la majorité des demandes dans les consultations pour troubles alimentaires, concernent une grande proportion de la population non-consultante et constituent un enjeu de santé publique prioritaire.Cette étude se penche sur le parcours de 24 jeunes filles présentant de tels troubles, qui ont été suivies dans le cadre d'un groupe thérapeutique à l'UMSA (Unité Multidisciplinaire de Santé des Adolescents, CHUV, Lausanne). Elle a pour but de mieux connaître ces troubles alimentaires atypiques.Deux axes de questions de recherche organisent ce travail: le premier, orienté autour du trouble alimentaire atypique, de sa définition (avec les questions de classification diagnostique) et de son évolution (avec les questions de passages d'une catégorie à une autre), le second autour du groupe thérapeutique, de son utilité et de ses indications.1. Résultats cliniquesLes résultats de l'analyse thématique décrivent un trouble important, qui induit une souffrance plus intense que ne tendraient à le laisser penser la relative banalité de la présentation clinique en comparaison des troubles typiques ainsi que la catégorisation en tant que troubles résiduels. Des moyens compensatoires -qui visent au maintien d'un poids stable en dépit des crises alimentaires ainsi qu'à la perte de poids, soit par des méthodes non-purgatives (restrictions massives, diètes, jeûnes, pratique du sport à outrance), soit par des méthodes purgatives (vomissements auto-induits, usage de laxatifs, diurétiques) - sont présents chez 15 participantes, sous forme de vomissements chez 6 d'entre elles. Seize participantes ont présenté des troubles des menstruations. Des difficultés de la lignée anxio-dépressive sont relevées chez la moitié des participantes, alliées à un perfectionnisme important. L'estime de soi apparaît globalement basse, excessivement influencée par l'insatisfaction attachée au poids et aux formes corporelles. L'analyse fait clairement apparaître le lien complexe unissant les attitudes face à l'alimentation et le désir de maigrir aux crises de frénésie alimentaire. Les crises permettent aux patientes de moduler leurs émotions, tant .positives que négatives. Le vécu de la maladie et des préoccupations pour le corps et l'alimentation semble généralisable. et «transcatégorique», bien que les troubles alimentaires de l'ordre de l'anorexie atypique restrictive, du fait de l'absence de crises de frénésie, semblent appartenir à un registre différent des troubles avec perte de contrôle sur l'alimentation et crises, notamment en termes d'implications dans la vie quotidienne.Lorsque les participantes sont revues (au minimum un an après la sortie du groupe thérapeutique), 15 d'entre elles sont indemnes de tout symptôme, 5 présentent encore un TCAA type boulimie atypique, et 4 ont parfois des crises résiduelles. Des préoccupations pour l'alimentation et le poids subsistent. Le pronostic d'évolution n'apparaît lié ni à la durée de participation au groupe, ni uniquement à la catégorie diagnostique ou aux seuls éléments de co-morbidité, mais davantage à un investissement rapidement positif du groupe, ainsi qu'à la qualité des prises en charge parallèles en présence d'éléments de co-morbidité importants ou d'antécédents d'autres troubles alimentaires.Notre collectif atteste de passages d'une catégorie de trouble à une autre (anorexie puis boulimie, comme décrit dans la littérature) et de changements d'intensité (trouble typique puis atypique) au cours de la maladie, confirmant un continuum possible, tant entre les troubles typiques, qu'entre les troubles typiques et atypiques. Néanmoins, la multiplicité des parcours possibles dans la maladie, ainsi que l'existence de formes stables, sans passages d'une catégorie à une autre, incite à la prudence et ne permet pas de confirmer en tout point l'hypothèse de la nature dimensionnelle (même nature, intensité différente) des troubles alimentaires.Le trouble atypique représente parfois une étape dans l'évolution à partir d'un trouble typique, pouvant être envisagé comme moment sur le chemin de la guérison, ce qui pose la question des critères de guérison.2. Nature des troubles alimentaires atypiquesDu collectif émergent 4 catégories diagnostiques de troubles alimentaires atypiques: hyperphagie boulimique, boulimie atypique non-purgative, boulimie atypique purgative et anorexie atypique restrictive. Le tableau clinique.de l'hyperphagie boulimique comporte des crises de boulimie, mais peu de préoccupations concernant le poids et les formes corporelles en compá= raison des 3 autres catégories, et pas de moyens de compensation des crises, ce qui induit fréquemment un surpoids voire une obésité pour les patientes concernées. Les moyens de compensation des crises de boulimie demeurent non-purgatives (jeûne, sport) dans la boulimie atypique non-purgative, alors que vomissements et usage de laxatifs suite aux crises caractérisent la boulimie atypique purgative. Le tableau clinique de l'anorexie atypique restrictive ne présente ni crises de boulimie ni moyens de compensation purgatifs type vomissements. Ces catégories sont retrouvées dans la littérature.Nos résultats rejoignent la littérature actuelle qui envisage la nécessité d'une reclassification des troubles alimentaires en vue du DSM-V. Dans l'intervalle, adopter la classification de la CIM et parler d'anorexie atypique, de -type restrictif ou avec crises, de boulimie atypique, purgative ou non, et y ajouter l'hyperphagie boulimique, rendrait mieux compte de la réalité clinique des troubles alimentaires atypiques que ne le fait la classe des EDNOS du DSM, peu différenciée, mêlant des tableaux très divers et au final insatisfaisante.3. Utilité et indication du groupeLe groupe recèle un fort pouvoir thérapeutique pour les patientes qui s'y impliquent. L'étayage sur les autres émerge comme facteur thérapeutique principal, ainsi que le décrit la littérature. Cette prise en charge thérapeutique convient particulièrement à des patientes présentant un trouble alimentaire sur le versant boulimique, comprenant l'hyperphagie boulimique, la boulimie atypique, purgative ou non, ainsi que certaines boulimies de moyenne gravité. Les patientes du collectif qui présentent des difficultés de l'ordre de l'anorexie atypique restrictive bénéficient moins du groupe que les participantes qui expérimentent des pertes de contrôle sur la nourriture.4. ImplicationsL'intensité de la souffrance, la complexité des tableaux symptomatiques, la diversité des parcours et les multiples répercussions sur la vie sociale démontrent l'importance de repérer et prendre en charge ces troubles alimentaires qui demeurent souvent banalisés. Dans cette perspective, la formation au dépistage, à l'évaluation et à la prise en charge des divers intervenants confrontés à ces troubles représente un enjeu majeur. .Enfin, dénoncer les pressions socioculturelles à la minceur et le dictat des régimes, promouvoir une notion de bien-être et une bonne estime de soi qui ne soient pas liées à l'apparence contribuera à prévenir les troubles alimentaires atypiques.
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[Table des matières] I. Introduction et méthode. 1. Evaluation globale de la stratégie de prévention VIH/sida en Suisse. 2. Questions d'évaluation. 3. Développement de la grille d'analyse. 4. Entretiens au niveau supracantonal. 5. Synthèse cantonale et procédure de validation. 6. Analyse transversale des informations. II. Contexte. 1. Structure du système éducatif. 2. Organisation administrative (communale, cantonale et fédérale). 3. Les modèles d'organisation. 4. Origines de l'introduction des trois approches en milieu scolaire. 5. Les offres et les compétences à disposition dans le canton. III. Questions d'évaluation. 1. Bases légales et administratives pour les cours de prévention VIH/sida et d'éducation sexuelle. 2. Limites de la notion d'obligation et la question de consentement parental. 3. Organisation des cours de prévention VIH/sida et d'éducation sexuelle. 4. Niveau administratif. 5. Intervenants. 6. Niveau de couverture atteint par cette éducation. 7. Contenu des cours de prévention VIH/sida et de l'éducation sexuelle. 8. Formation des intervenants : le corps enseignant chargé de l'enseignement sur le VIH et/ou de l'éducation sexuelle, la formation de base, la formation continue, la formation des spécialistes externes dans les régions francophones. 9. Matériel didactique utilisé. IV. Conclusions et recommandations. V. Synthèses cantonales : fiches de synthèse par canton. 1. Grilles pour la récolte d'informations. 2. Guide d'entretien. 3. Lettres de demande de collaboration auprès des irecteurs de l'Instruction Publique (DIP). 4. Principales personnes-ressources contactées par canton. 5. Existence de budgets spécifiques par thème. 6. Concept "Fächerübergreifend" (exemple BEg, école obligatoire). 7. Liste du matériel didactique HIV/sida.
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Peripheral blood mononuclear cells from subjects never exposed to Leishmania were stimulated with Leishmania guyanensis. We demonstrated that L. guyanensis-stimulated CD8(+) T cells produced interferon (IFN)- gamma and preferentially expressed the V beta 14 T cell receptor (TCR) gene family. In addition, these cells expressed cutaneous lymphocyte antigen and CCR4 surface molecules, suggesting that they could migrate to the skin. Results obtained from the lesions of patients with localized cutaneous leishmaniaisis (LCL) showed that V beta 14 TCR expression was increased in most lesions (63.5%) and that expression of only a small number of V beta gene families (V beta 1, V beta 6, V beta 9, V beta 14, and V beta 24) was increased. The presence of V beta 14 T cells in tissue confirmed the migration of these cells to the lesion site. Thus, we propose the following sequence of events during infection with L. guyanensis. After initial exposure to L. guyanensis, CD8(+) T cells preferentially expressing the V beta 14 TCR and secreting IFN- gamma develop and circulate in the periphery. During the infection, these cells migrate to the skin at the site of the parasitic infection. The role of these V beta 14 CD8(+) T cells in resistance to infection remains to be determined conclusively.
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[Traditions. Asie. Inde. Présidence de Bombay. État du Gujarat. Ahmadabad]
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Comprend : Les lymphatiques... Étude spéciale des lymphatiques des différentes parties du corps ; Système nerveux... Nerfs crâniens ; Les organes des sens. Le tégument externe et ses dérivés ; Oreille interne...
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Background: Although CD4 cell count monitoring is used to decide when to start antiretroviral therapy in patients with HIV-1 infection, there are no evidence-based recommendations regarding its optimal frequency. It is common practice to monitor every 3 to 6 months, often coupled with viral load monitoring. We developed rules to guide frequency of CD4 cell count monitoring in HIV infection before starting antiretroviral therapy, which we validated retrospectively in patients from the Swiss HIV Cohort Study.Methodology/Principal Findings: We built up two prediction rules ("Snap-shot rule" for a single sample and "Track-shot rule" for multiple determinations) based on a systematic review of published longitudinal analyses of CD4 cell count trajectories. We applied the rules in 2608 untreated patients to classify their 18 061 CD4 counts as either justifiable or superfluous, according to their prior >= 5% or < 5% chance of meeting predetermined thresholds for starting treatment. The percentage of measurements that both rules falsely deemed superfluous never exceeded 5%. Superfluous CD4 determinations represented 4%, 11%, and 39% of all actual determinations for treatment thresholds of 500, 350, and 200x10(6)/L, respectively. The Track-shot rule was only marginally superior to the Snap-shot rule. Both rules lose usefulness for CD4 counts coming near to treatment threshold.Conclusions/Significance: Frequent CD4 count monitoring of patients with CD4 counts well above the threshold for initiating therapy is unlikely to identify patients who require therapy. It appears sufficient to measure CD4 cell count 1 year after a count > 650 for a threshold of 200, > 900 for 350, or > 1150 for 500x10(6)/L, respectively. When CD4 counts fall below these limits, increased monitoring frequency becomes advisable. These rules offer guidance for efficient CD4 monitoring, particularly in resource-limited settings.
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OBJECTIVES: To determine clinical and ultrasonographic predictors of joint replacement surgery across Europe in primary osteoarthritis (OA) of the knee. METHODS: This was a 3-year prospective study of a painful OA knee cohort (from a EULAR-sponsored, multicentre study). All subjects had clinical evaluation, radiographs and ultrasonography (US) at study entry. The rate of knee replacement surgery over the 3-year follow-up period was determined using Kaplan-Meier survival data analyses. Predictive factors for joint replacement were identified by univariate log-rank test then multivariate analysis using a Cox proportional-hazards regression model. Potential baseline predictors included demographic, clinical, radiographic and US features. RESULTS: Of the 600 original patients, 531 (88.5%), mean age 67+/-10 years, mean disease duration 6.1+/-6.9 years, had follow-up data and were analysed. During follow-up (median 3 years; range 0-4 years), knee replacement was done or required for 94 patients (estimated event rate of 17.7%). In the multivariate analysis, predictors of joint replacement were as follows: Kellgren and Lawrence radiographic grade (grade > or =III vs <III, hazards ratio (HR) = 4.08 (95% CI 2.34 to 7.12), p<0.0001); ultrasonographic knee effusion (> or =4 mm vs <4 mm) (HR = 2.63 (95% CI 1.70 to 4.06), p<0.0001); knee pain intensity on a 0-100 mm visual analogue scale (> or =60 vs <60) (HR = 1.81 (95% CI 1.15 to 2.83), p=0.01) and disease duration (> or =5 years vs <5 years) (HR=1.63 (95% CI 1.08 to 2.47), p=0.02). Clinically detected effusion and US synovitis were not associated with joint replacement in the univariate analysis. CONCLUSION: Longitudinal evaluation of this OA cohort demonstrated significant progression to joint replacement. In addition to severity of radiographic damage and pain, US-detected effusion was a predictor of subsequent joint replacement.
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INTRODUCTION: Dolutegravir (DTG) 50 mg once daily was superior to darunavir/ritonavir (DRV/r) 800 mg/100 mg once daily through Week 48, with 90% vs. 83% of participants achieving HIV RNA 50 c/mL (p=0.025) [1]. We present data through Week 96. MATERIAL AND METHODS: FLAMINGO is a multicentre, randomized, open-label, Phase IIIb non-inferiority study, in which HIV-1-positive ART-naïve adults with HIV-1 RNA≥1000 c/mL and no evidence of viral resistance were randomized 1:1 to receive DTG or DRV/r, with investigator-selected backbone NRTIs (TDF/FTC or ABC/3TC). Participants were stratified by screening HIV-1 RNA (≤100K c/mL) and NRTI backbone. RESULTS: A total of 484 adults were randomized and treated; 25% had baseline HIV RNA 100K c/mL. At Week 96, the proportion of participants with HIV RNA 50 c/mL was 80% in the DTG arm vs. 68% in the DRV/r arm (adjusted difference 12.4%; 95% CI 4.7, 20.2%; p=0.002). Secondary analyses supported primary results: per-protocol [(DTG 83% vs. DRV/r 70%), 95% CI 12.9 (5.3, 20.6)] and treatment-related discontinuation = failure [(98% vs. 95%), 95% CI 3.2 (-0.3, 6.7)]. Overall virologic non-response (DTG 8%; DRV/r 12%) and non-response due to other reasons (DTG 12%; DRV/r 21%) occurred less frequently on DTG. As at Week 48, the difference between arms was most pronounced in participants with high baseline viral load (82% vs. 52% response through Week 96) and in the TDF/FTC stratum (79% vs. 64%); consistent responses were seen in the ABC/3TC stratum (82% vs. 75%). Six participants (DTG 2, none post-Week 48; DRV/r 4, two post-Week 48) experienced protocol-defined virologic failure (PDVF; confirmed viral load 200 c/mL on or after Week 24); none had treatment-emergent resistance to study drugs. Most frequent drug-related adverse events (AEs) were diarrhoea, nausea and headache, with diarrhoea significantly more common on DRV/r (24%) than DTG (10%). Significantly more participants had Grade 2 fasting LDL toxicities on DRV/r (22%) vs. DTG (7%), p<0.001; mean changes in creatinine for DTG (~0.18 mg/dL) observed at Week 2 were stable through Week 96. CONCLUSIONS: Once-daily DTG was superior to once-daily DRV/r in treatment-naïve HIV-1-positive individuals, with no evidence of emergent resistance to DTG in virologic failure and relatively similar safety profiles for DTG and DRV/r through 96 Weeks.
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AIM: Intensified insulin therapy has evolved to be the standard treatment of type 1 diabetes. However, it has been reported to increase significantly the risk of hypoglycaemia. We studied the effect of structured group teaching courses in flexible insulin therapy (FIT) on psychological and metabolic parameters in patients with type 1 diabetes. METHODS: We prospectively followed 45 type 1 diabetic patients of our outpatient clinic participating in 5 consecutive FIT teaching courses at the University Hospital of Basel. These courses consist of 7 weekly ambulatory evening group sessions. Patients were studied before and 1, 6, and 18 months after the course. Main outcome measures were glycated haemoglobin (HbA1c), severe hypoglycaemic events, quality of life (DQoL), diabetes self-control (IPC-9) and diabetes knowledge (DWT). RESULTS: Quality of life, self-control and diabetes knowledge improved after the FIT courses (all p<0.001). The frequency of severe hypoglycaemic events decreased ten-fold from 0.33 episodes/6 months at baseline to 0.03 episodes/6 months after 18 months (p<0.05). Baseline HbA1c was 7.2+/-1.1% and decreased in the subgroup with HbA1c > or = 8% from 8.4% to 7.8% (p<0.05). CONCLUSIONS: In an unselected, but relatively well-controlled population of type 1 diabetes, a structured, but not very time consuming FIT teaching programme in the outpatient setting improves psychological well-being and metabolic parameters.