937 resultados para Salmonella enterica serovar Typhi
Resumo:
Fire blight is an economically important disease of apples and pears that is caused by the
bacterium Erwinia amylovora. Control of the disease depends on limiting primaly blosson1
infection in the spring, and rapidly removing infected tissue. The possibility of using phages to
control E.amylovora populations has been suggested, but previous studies have. failed to show
high treatment efficacies. This work describes the development of a phage-based biopesticide
that controls E. amylovora populations under field conditions, and significantly reduces the
incidence of fire blight.
This work reports the first use ofPantoea agglomerans, a non-pathogenic relative ofE.
amylovora, as a carrier for E. amylovora.phages. Its role is to support a replicating population of
these phages on blossom surfaces during the period when the flowers are most susceptible to
infection. Seven phages and one carrier isolate were selected for field trials from existing
collections of 56 E. amylovora phages and 249 epiphytic orchard bacteria. Selection of the .
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phages and carrier was based on characteristics relevant to the production and field perfonnance
of a biopesticide: host range, genetic diversity, growth under the conditions of large-scale
production, and the ability to prevent E. amylovora from infecting pear blossoms. In planta
assays showed that both the phages and the carrier make significant contributions to reducirig the
development of fire blight symptoms in pear blossoms.
Field-scale phage production and purification methods were developed based on the
growth characteristics of the phages and bacteria in liquid culture, and on the survival of phages
in various liquid media.
Six of twelve phage-carrier biopesticide treatments caused statistically signiflcant reductions in disease incidence during orchard trials. Multiplex real-time PCR was used to
simultaneously monitor the phage, carrier, and pathogen populations over the course of selected
treatments. In all cases. the observed population dynamics of the biocontrol agents and the
pathogen were consistent with the success or failure of each treatment to control disease
incidence. In treatments exhibiting a significantly reduced incidel1ce of fire blight, the average
blossom population ofE.amylovora had been reduced to pre-experiment epiphytic levels. In
successful treatments the phages grew on the P. agglomerans carrier for 2 to 3 d after treatment
application. The phages then grew preferentially on the pathogen, once it was introduced into this
blossom ecosystem. The efficacy of the successful phage-based treatnlents was statistically
similar to that of streptomycin, which is the most effective bactericide currently available for fire
blight prevention.
The in planta behaviour ofE. amylovora was compared to that ofErwinia pyrifoliae, a
closely related species that causes fire blight-like synlptoms on pears in southeast Asia. Duplex
real-time PCR was used to monitor the population dynamics of both species on single blossonls.
E. amylovora exhibited a greater competitive fitness on Bartlett pear blossoms than E. pyrifoliae.
The genome ofErwinia phage
Resumo:
Tesis (Maestría en Ciencias con Especialidad en Microbiología Médica) UANL
Resumo:
Tesis (Maestría en salud publica) U.A.N.L
Resumo:
Tesis (Maestría en Ciencias, Especialidad en Inmunobiología) U.A.N.L.
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Huit cent trente et un troupeaux de vaches laitières répartis dans 5 états américains ont été enrôlés dans une étude de cohorte prospective. Un modèle d’équations d'estimation généralisées a été utilisé pour étudier l'association entre les signes cliniques et la détection de salmonelles dans les fèces des animaux soupçonnés de salmonellose clinique. La sensibilité et la spécificité de la culture bactériologique ont été estimées à l’aide d’un modèle de classes latentes. Dix-huit pour cent des 874 échantillons provenant de veaux et 29% des 1479 échantillons de vaches adultes étaient positifs pour Salmonella spp. Il n’a pas été possible d’établir une association claire entre les différents signes cliniques observés et la détection de salmonelles. Les 2 sérotypes les plus fréquemment isolés étaient Typhimurium et Newport. La probabilité de détecter des salmonelles était plus élevée chez les veaux où un autre agent entéropathogène était également détecté. La proportion d’échantillons positifs était plus élevée parmi les vaches ayant reçu des antibiotiques dans les jours précédant l’échantillonnage. La sensibilité de la culture a été estimée à 0,48 (intervalle de crédibilité à 95% [ICr95%]: 0,22-0,95) pour les veaux et 0,78 (ICr95%: 0,55-0,99) pour les vaches. La spécificité de la culture était de 0,94 (ICr95%: 0,87-1,00) pour les veaux et de 0,96 (ICr95%: 0,90-1,00) pour les vaches. Malgré une sensibilité imparfaite, la culture bactériologique demeure utile pour obtenir une meilleure estimation de la probabilité post-test de salmonellose clinique chez un bovin laitier, par rapport à la probabilité estimée suite au seul examen clinique.
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Les biofilms sont des communautés structurées de micro-organismes enrobées dans une matrice extracellulaire. Les biofilms sont impliqués dans la persistance de plusieurs maladies infectieuses et la matrice extracellulaire du biofilm protège les bactéries contre les cellules du système immunitaire de l'hôte, les antibiotiques et les désinfectants. Récemment notre laboratoire a démontré que le zinc inhibe la formation de biofilm chez Actinobacillus pleuropneumoniae, une bactérie pathogène du porc. Le but de cette étude est d'évaluer l'effet du zinc sur la croissance et la formation du biofilm chez différentes bactéries pathogènes du porc, telles que Bordetella bronchiseptica, Escherichia coli, Haemophilus parasuis, Salmonella, Staphylococcus aureus et Streptococcus suis. Les bactéries ont été cultivées dans des plaques de 96 puits sous condition optimale de formation de biofilm et les biofilms ont été colorés au cristal violet. La présence du biofilm a été confirmée par microscopie confocale à balayage laser à l’aide du marqueur fluorescent FilmTracerTM FM ® 1-43. À des concentrations micromolaires, le zinc inhibe faiblement la croissance bactérienne et bloque d'une manière dose-dépendante la formation de biofilm d’A. pleuropneumoniae, Salmonella Typhimurium et H. parasuis. De plus, la formation de biofilm de E. coli, S. aureus et S. suis a été faiblement inhibée par le zinc. Nos résultats indiquent que le zinc a un effet inhibiteur sur la formation de biofilm de la plupart des pathogènes bactériens d'origine porcine. Cependant, le mécanisme sous-jacent de l'activité anti-biofilm du zinc reste à être caractérisé.
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On s’intéresse aux impacts des pesticides sur la microflore des plantes surtout dans le contexte des légumes contaminés par des agents pathogènes. Le but de cette étude est d'évaluer l'impact de certains pesticides sur la persistance de micro-organismes indicateurs et pathogènes. En laboratoire, la persistance d’E. coli et de Salmonella en présence de quatre pesticides (Ripcord 400EC, Copper 53W, Bioprotec CAF, Serenade MAX) a été étudiée. Les plaques de Pétrifilm et le milieu sélectif XLD sont utilisés pour énumérer les populations d’E. coli et de Salmonella. Il a été démontré que le Serenade MAX favorisait la croissance microbienne, le Bioprotec CAF et le Ripcord 400EC soutenaient la survie microbienne et le Copper 53W inhibait la croissance, à la fois d’E. coli et de Salmonella. En conditions terrain, Ripcord 400EC, Copper 53W, Bioprotec CAF ont été étudiés sur une culture de brocoli irriguée avec de l'eau expérimentalement contaminée par E. coli. Dans tous les traitements, un impact de l’irrigation a été observé sur les populations de levures et de moisissures (diminution) et les bactéries aérobies totales (augmentation). Une prévalence supérieure d’E. coli a été observée dans les parcelles traitées avec le Bioprotec CAF comparativement aux traitements au Copper 53W, ce qui est en accord avec les résultats observés lors de l'essai en laboratoire. Cependant, l'analyse statistique n'a montré aucune différence significative entre les traitements appliqués. Les effets directs des pesticides sur les micro-organismes sont confirmés dans des conditions de laboratoire mais demeurent méconnus dans les conditions expérimentales au champ.
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Une exposition aux viandes comporte un risque pour la santé, et les maladies transmises par ces viandes causent un fardeau important mondialement. En Afrique centrale, le gibier est une viande communément consommée en zone urbaine. L’absence d’information sur le niveau de consommation de gibier, ainsi que sur sa contamination, limite l’évaluation des risques sanitaires associés au gibier. Une étude transversale a visé la description du niveau de consommation des viandes parmi 205 ménages de Port-Gentil (Gabon), ainsi que certains déterminants de la consommation de ces viandes. Une seconde étude transversale a quantifié la contamination musculaire de gibier vendu à Port-Gentil par Salmonella, Campylobacter et Shigella. Sur une base de trois jours, 86% des ménages ont consommé de la volaille, 84% du poisson, 44% du bœuf, 25% du porc et 24% du gibier. La consommation de gibier fut plus fréquente le dimanche et parmi les ménages à revenu élevé. Le gibier fut principalement acquis en carcasse entière sans conservation particulière, mais toujours consommé bouilli. Des trois bactéries ciblées, seule Salmonella a été isolée parmi un de 128 échantillons de gibier. Ces études fournissent des informations utiles pour mieux comprendre les facteurs de risque pour la santé associés à la consommation de viandes au Gabon. Des études sur la contamination des viandes, notamment celles des carcasses de gibier, seront nécessaires pour mieux apprécier les risques spécifiques à chaque différente bactérie pathogène.
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Des études antérieures démontrent que les descendants de peuples européens et africains présentent des différences de susceptibilité à certaines maladies infectieuses. Ces différences suggèrent des variations interpopulationnelles de la réponse immunitaire qui résultent probablement de l’adaptation de ces individus aux pathogènes de leur environnement. Nous avons caractérisé la réponse immunitaire chez des descendants de peuples européens et africains à des infections bactériennes. Nous avons infecté des macrophages dérivés de monocytes de 30 Américains d’origine africaine (Africains) et de 31 Américains d’origine européenne (Européens) avec les pathogènes intracellulaires Listeria monocytogenes et Salmonella typhimurium pendant 4 heures, puis nous avons mesuré le niveau d’expression pangénomique des cellules infectées et non infectées par séquençage de l’ARNm. Nous avons estimé le niveau de contrôle de l’infection par les macrophages à 2, 4 et 24 heures post-infection en évaluant le taux de survie des bactéries. Nous avons observé que les Africains présentent significativement moins de bactéries intracellulaires après 4 et 24 heures que les Européens, suggérant que les Africains contrôlent mieux les infections bactériennes. Nous avons identifié des différences interpopulationnelles dans le niveau de sécrétion des cytokines et dans le niveau d’expression de certains gènes, ce qui suggère que les Africains modulent une réponse inflammatoire plus forte que les Européens. Nous avons démontré que plusieurs de ces gènes ont subi des évènements de sélection positive récents seulement chez les Européens. Notre étude a identifié plusieurs gènes candidats susceptibles d’influencer le cours des infections bactériennes chez les humains. Nos résultats indiquent que les différences dans la progression des maladies infectieuses entre les populations européennes et africaines seraient le résultat de la sélection naturelle.
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Les antibiotiques sont fréquemment utilisés dans l’alimentation de la volaille afin de prévenir certaines maladies, dont l’entérite nécrotique, ce qui occasionne l’émergence de souches bactériennes résistantes aux antibiotiques. Une alternative prometteuse est l’utilisation de peptides antimicrobiens (AMPs) comme suppléments alimentaires, tels les AMPs provenant des produits laitiers. L’objectif du projet était de développer une méthode de production d’extraits peptidiques à partir de coproduits de la transformation alimentaire (babeurre, lactoferrine, isolat de protéines de pois), afin de tester si ces extraits peptidiques possédaient une activité antimicrobienne sur les pathogènes spécifiques aviaires suivants : Salmonella Enteritidis, Salmonella Typhimurium, Escherichia coli et Staphylococcus aureus. Les protéines ont été mises en suspension dans l’eau (5% p/p) et hydrolysées par la pepsine, 6 heures, pH de 2.5. Les peptides furent récupérés par ultrafiltration (< 10 kDa), puis fractionnés selon leur charge nette : totaux, cationiques, anioniques et non liés. L’effet antimicrobien a été évalué surmicroplaques, par la survie bactérienne en présence de concentrations croissantes d’extraits peptidiques. Les extraits cationiques de babeurre ont démontré une efficacité à une concentration inférieure ou égale à 5 mg/mL; perte de 3 log pour Escherichia coli O78 :H80. En comparaison, la lactoferrine cationique a été efficace à une concentration inférieure ou égale à 0.6 mg/mL; perte de 6 log pour E. coli O78 :H80. Les extraits peptidiques du pois ont démontré une efficacité faible. Cette méthode s’avère prometteuse pour le développement d’une alternative ou d’un complément pour la réduction de l’utilisation des antibiotiques dans l’alimentation de la volaille.
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A detailed study was made on the microbial quality, with special reference to food safety, of the fish and fishery products in the retail trade in Cochin and around. Also, farmed molluscan shellfishes like mussels and oysters were investigated for the microbial quality including the presence of pathogenic bacteria. Special stress has been given to monitor the incidence of coagulase positive as well as coagulase negative Staphylococcus in these products and their relative incidence have been recorded.In the next part, the investigation was centered mainly on toxigenic S.aureus. This is because among the Gram positive toxigenic bacteria, the Saureus with potential to produce thermostable enterotoxins are more relavent in food safety conceming seafoods in comparison with the Gram-negative pathogens like Salmonella and V.cholerae.The incidence, toxigenic potential and conditions of toxin production by S.aureus have been investigated in detail. An attempt has also been made to relate the toxigenisis with the presence of the concerned toxigenic genes in the genomes of S. aureus strains.
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Microcosm studies were performed to evaluate the survival of Escherichia coli, Salmonella paratyphi and Vibrio parahaemolyticus in water and sediment collected from the freshwater region of Vembanad Lake (9 35◦N 76 25◦E) along the south west coast of India. All three test microorganisms showed significantly (p < 0.01) higher survival in sediment compared to overlying water. The survival in different sediment types with different particle size and organic carbon content revealed that sediment with small particle size and high organic carbon content could enhance their extended survival (p < 0.05). The results indicate that sediments of the Lake could act as a reservoir of pathogenic bacteria and exhibit a potential health hazard from possible resuspension and subsequent ingestion during recreational activities. Therefore, the assessment of bacterial concentration in freshwater Lake sediments used for contact and non contact recreation has of considerable significance for the proper assessment of microbial pollution of the overlying water, and for the management and protection of related health risk at specific recreational sites. Besides, assessment of the bacterial concentration in sediments can be used as a relatively stable indicator of long term mean bacterial concentration in the water column above
Resumo:
Prevalence of faecal indicator bacteria, Escherichia coli and pathogenic bacteria, Vibrio cholerae, Vibrio parahaemolyticus and Salmonella were analysed in Vembanadu lake (98350N 768250E), along south west coast of India for a period of one year from ten stations on the southern and northern sides of a salt water regulator constructed in Vembanadu Lake in order to prevent incursion of seawater during certain periods of the year. While the northern side of the lake has a connection to the sea, the southern side is enclosed when the salt water regulator is closed. The results revealed the water body is polluted with high faecal coliform bacteria with mean MPN value ranging from 1718-7706/100 ml. E. coli, V. cholerae, V. parahaemolyticus and Salmonella serotypes such as S. paratyphi A, B, C and S. newport were isolated and this is the first report on the isolation of these Salmonella serovars from this lake. E. coli showed highest percentage of incidence (85.6–86.7%) followed by Salmonella (42–57%), V. choleare (40–45%) and V. parahaemolyticus (31.5–32%). The increased prevalence of indicator and pathogenic bacteria in the enclosed southern part of Vembanadu Lake may be resulting from the altered flow patterns due to the salt water regulator.
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Prevalence of faecal coliform bacteria and the survival of Escherichia coli, Vibrio parahaemolyticus and Salmonella paratyphi were studied in the water and sediment from Vembanadu Lake in the presence and absence of protozoan predators. The density of faecal coliform bacteria ranged between mean MPN value 5080–9000/100 ml in water and 110,000–988,000/1 g in sediment (p <0.01), which was 110 times greater than in overlying water. The laboratory microcosm studies revealed that E. coli, V. parahaemolyticus and S. paratyphi showed significantly higher survival (p <0.05) potential in sediment than in overlying water both in the presence and absence of protozoan predators. The results indicate that Vembanadu Lake sediment constitutes a reservoir of pathogenic bacteria and exhibits potential health hazard from possible resuspension and subsequent ingestion during recreational activities. Therefore, assessment of bacterial concentration in freshwater lake sediments used for contact and non-contact recreation is of considerable significance for the proper assessment of microbial pollution of the overlying water and the management and protection of related health risk at specific recreational sites. In addition, assessment of the bacterial concentration in sediments can be used as a relatively stable indicator of long-term mean bacterial concentration in the water column above.
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One thousand, two hundred and sixty four samples of individually quick-frozen (IQF) peeled and deveined raw and 914 samples of cooked ready to eat shrimp samples produced from farm raised black tiger (Penaeus monodon) obtained from a seafood unit working under HACCP concept were analysed for total aerobic plate count (APC), coliform count, Escherichia coli, coagulase positive Staphylococci and Salmonella. The overall bacteriological quality of the product was found to be good. Of the frozen raw shrimp, 96% of samples showed APC below 105 while 99% of the frozen cooked ready-to-eat samples showed APC less than 104. The APC ranged from 1·0´102 to 4·2´106 cfu/gm in frozen raw shrimp and from 1·0´102 to 6·4´104 cfu/gm in the frozen cooked shrimp. Prevalences of coliforms in raw shrimp and cooked shrimp samples were 14·4% and 2·9% respectively. The coliform count in raw products ranged from 1·0´101 to 2·5´103 cfu/gm and in the cooked products, from 1·0 ´101 to 1·8´102 cfu/gm. Although all the cooked shrimp samples were free of coagulase positive staphylococci, E. coli and Salmonella, 1·0, 2·0 and 0·1% of the frozen raw shrimp samples tested positive for coagulase positive Staphylococci, E. coli and Salmonella respectively. The Salmonella strain was identified as Salmonella typhimurium. The results of the present study highlight the importance of implementation of HACCP system in the seafood industry to ensure consistent quality of frozen seafood