994 resultados para Muse e du Louvre.
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Ce mmoire comprend deux tomes : le premier consiste du texte et des figures, le deuxime consiste des annexes. Le tout est regroup dans le document lectronique prsent.
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Lobjectif de ce mmoire est de comprendre comment sarticule la rception dexpositions socialement engages dans un contexte musal contemporain et qubcois. Afin de mener bien cette recherche, deux tudes de cas seront analyses : Art et fminisme (1982) et Pour la suite du Monde (1992). Comme lexercice du mmoire commande un dveloppement restreint, nous avons slectionn des manifestations qui se sont droules dans une seule institution, le Muse dart contemporain de Montral. Avant daborder directement le phnomne de rception et afin de bien cerner le contexte artistique et thorique des annes 80 et 90, le premier chapitre sera consacr aux diffrentes thories et pratiques de lexposition, telles que dveloppes au cours de cette priode. Ainsi, nous parcourrons des thories relatives lexposition dart et son commissariat de Jrme Glicenstein, Mieke Bal, Yves Michaud, Nathalie Heinich et Michel Pollak ainsi que Daniel Buren. Ensuite, les deuxime et troisime chapitres seront exclusivement vous Art et fminisme et Pour la suite du Monde. Outre lexamen de leur rception, nous dcrirons leur contexte de mise sur pied, et ce, tant du point de vue conceptuel que sociohistorique. Le but de cet exercice sera de bien comprendre comment snonce le propos dune exposition lorsquil est li de prs sa ralit politique, culturelle et institutionnelle.
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Ltude propose dans ce mmoire porte sur le processus de visite des adolescents de 14-16 ans au Muse des beaux-arts de Montral. Je mobilise principalement les concepts de mdiateurs et mdiations , entendus selon la dfinition propose par Hennion (1988, 2000). En effet, Hennion propose de voir la mdiation non comme un pont entre deux entits, vision commune de la mdiation, mais comme un processus en construction. Ainsi, le mdiateur est un lment qui va capter lattention du jeune visiteur et la mdiation est laction qui va se dvelopper dans cette relation mdiateur-visiteur. Lanalyse vise plus particulirement identifier les mdiateurs qui agissent durant cette visite et comprendre les mdiations qui se mettent en place. Cette tude a t ralise au moyen dentrevues semi-structures et dobservations participantes, auprs de six adolescents, gs de 14 16 ans. Une premire entrevue permettait de connatre les antcdents de ces jeunes lgard des muses et de comprendre suite quelles mises en condition ils se rendaient lexposition. Une observation, par groupe de deux participants, a ensuite t mene lors de lexposition du Muse des beaux-arts de Montral : Il tait une fois limpressionnisme. Une histoire de limpressionnisme : chefs-duvre de la peinture franaise du Clark. Ces observations ont permis de reprer les moments qui ont capt lattention des participants durant leur visite. Enfin, une seconde entrevue a t loccasion de revenir sur leur exprience de visite et de dgager les mdiations qui se sont mises en place. Sur les bases de ce terrain, ce mmoire met en avant un ensemble de mdiateurs (les autres visiteurs, lenvironnement physique, luvre et le rcit) et de mdiations (rver, comprendre, se projeter, admirer, comparer et refuser) qui se sont dveloppes chez ces adolescents. Suite cela, ce mmoire propose une explication du processus de visite tel quanalys chez ces adolescents travers la reprsentation de la spirale coquillage . Cette reprsentation souligne le fait que le processus de visite nest pas un phnomne linaire mais se fait par la confrontation des antcdents de ladolescent avec sa nouvelle exprience de visite. Il sagit donc dun processus circulaire qui se base sur ses antcdents pour construire progressivement de nouvelles strates, qui conditionneront ses prochaines expriences au muse.
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La version intgrale de ce mmoire est disponible uniquement pour consultation individuelle la Bibliothque de musique de lUniversit de Montral (www.bib.umontreal.ca/MU).
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Cotutelle de thse France-Qubec : Universit Paul-Valry Montpellier 3 et Universit de Montral. Pour respecter les droits dauteur, la version lectronique de cette thse a t dpouille de certains documents visuels. La version intgrale de la thse a t dpose au Service de la gestion des documents et des archives de l'Universit de Montral.
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Le thme propos Muses et Socit nest pas nouveau. Il a dj t trait ad noseam en dinnombrables circonstances, sauf, peut-tre, sous langle explicite de lengagement :Quelles actions ? Lambition de saisir la mudance rpond une ncessit de tous les moments dans un monde o tout et rien voluent un rythme diabolique. Comment donc, dans ces circonstances, ajuster laction du muse, une institution culturelle relativement lourde, si on la compare aux autres medias de communication, trs attache encore ses traditions sculaires dont elle senorgueillit, soumise, par ailleurs aux changements qui bouleversent tous les aspects de son fonctionnement , voire de sa mission, fortement attire quelle est par la socit du spectacle, tente, par ailleurs, dy ragir en se rapprochant de la vie quotidienne des populations par laction communautaire fondue dans le travail musologique ? Le MINOM, dont la vocation est de questionner tout en agissant, est la recherch du point de vue partir duquel il peut interroger et agir. Quel est exactement son champ daction, le dnominateur commun qui rassemble, mobilise, attire ses adhrents, issus de cultures, dorigines et didologies diverses ? On a souvent camp lorganisation dans les alternatives, soit dans des positions qui puissant faire contrepoids aux systmes dominants, touffant la crativit, la matrise doeuvre individuelle: La libert dtre et dexprimer par soi-mme. Serait-ce donc que, globalement, le MINOM aurait rejoint, sans tout fait sen rendre compte, la plateforme altermondiste, dans tout ce quelle reprsente dexprimentations sociaux et dutopies, d un nouvel humanisme fond sur le partage, le dialogue ? Le XIIe Atelier devrait nous amener prciser, par lchange et la prospectrice (ambition partage par le dernier Atelier ) , l o nous nous situons, comme groupe ( noyau central et priphrique ) lintrieur de la mouvance, lchelle locale et mondiale. Les actions les plus appropries pour traduire, dans le cadre de laction musologique nos reprsentations de ltre humain se dbattant intrieur de la biosphre, seront ncessairement, il faut lesprer, lordre du jour de nos rsolutions. Le MUSE FORUM SOCIAL ns serait-il pas, en fin de compte, le modle partager, dans les prochaines annes, par lensemble de la communaut Minomienne? Lieu dappropriation continue de la mouvance, il est, croyons-nous, le laboratoire de lexprimentation citoyenne, un lieu de reprsentations interdisciplinaires rsultant de la convivialit et des interactions globales des inter-changes socitaires.
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a gestation du mouvement, tendue sur une priode cruciale de treize annes environ (l972, Santiago et lEcomuse 1985, fondation du Mouvement, Lisbonne) sest inscrite au coeur du changement des socits, de la rnovation du discours musologique, quil fut de droite ou de gauche, dans la transformation radicale du muse, entr dans lre des communications, fut il communautaire ou spectaculaire. Le Mouvement vhicule ds lors, la contestation de lordre tabli, cherchant l enrichir de nouvelles propositions, notamment sur le plan social, ducatif et politique, sous-entendant lentiret de ses interventions. Bien quil ne prtende pas se prsenter comme un front unitaire, mais tributaire des multiples tendances progressistes qui sy ctoient, sy entrecroisent, sy entrechoquent, le mouvement trouve en premier lieu sa meilleure expression, conciliatrice, dans le concept rvolutionnaire de lEcomuse. Lcomusologie, telle quentendue son origine, reprenant son compte les acquis de la vie dmocratique et de la libration collective, refuse la contrainte de la rgle, les cloisonnements imposs. Le muse est ainsi collectivis.
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Il sagit dans ce projet de prsenter quelques repres prliminaires pour la cration dun muse de la vie quotidienne dans la rgion de Tataouine au sud est-tunisien. Lobjectif de notre investigation sappuie sur quelques composantes du programme comusale et la musologie sociale, dont les concepts, du dveloppement global/patrimoine durable/cologie/tourisme culturel, savrent indispensables pour relire cet hritage vernaculaire . La question du patrimoine se situant ainsi dans un champs pluridimensionnel, et rejoint la problmatique territoriale/spatiale dans ses principaux termes : sauvegarde, mise en valeur et dveloppement.
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Le muse comme forum de citoyennet est une proposition qu'il convient de mettre en perspective. Cette posture intellectuelle et cet enjeu social sont couramment manipuls aujourd'hui par les muses y compris les muses de beaux-arts mais plus largement encore par dautres domaines de la culture. La dmocratisation culturelle tant attendue et rarement atteinte resurgirait sous cette forme spontane et dynamique du forum o chaque citoyen trouverait un lieu dexpression. La participation citoyenne dont on aimerait pouvoir donner une dfinition et cerner les contours, devient un pralable tout projet culturel. Le forum comme lieu public de dbat nest pas en reste. Dailleurs les grands muses de socit rcemment inaugurs ont enfoui le terme de muse pour riger la notion de cit (Cit de larchitecture, Cit de limmigration) qui dans sa dfinition premire nest pas si loin que a du forum. Il semblerait quen runissant des activits diffrentes avec un souci de pluridisciplinarit dans un mme lieu, on tende vers cet objectif de forum ou de cit, caractriss par un souci douverture au plus grand nombre.
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La gestation du mouvement, tendue sur une priode cruciale de 13 annes environ (l972, Santiago et lEcomuse l985, fondation du Mouvement, Lisbonne ) sest inscrite au coeur de la mudance des socits, de la rnovation du discours musologique, quil fut de droite ou de gauche, dans la tranformation radicale du muse, entr dans lre des communications, fut il communautaire ou spectaculaire: Le Mouvement vhicule ds lors la contestation de lordre tabli, cherchant l enrichir de nouvelles propositions, notament sur le plan social, ducatif et politique sous entendant lentiret de ses interventions. Bien quil ne prtende pas se prsenter comme un front unitaire, tributaire des multiples tendances progressistes qui sy ctoient, sy entrecroisent, sy entrechoquent, le mouvement trouve en premier lieu sa meilleure expression, conciliatrice, dans le concept rvolutionnaire de lEcomuse. Lcomusologie, telle quentendue son origine, reprenant son compte les acquis de la vie dmocratique et de la libration collective, refuse la contrainte de la rgle, les cloisonnements imposs. Le muse est ainsi collectivis. Lcomuse franchit plusieurs tapes, qualifies de gnrations selon la recherche suivie de pratiques volotives, poussant le principe de lautonomie et de lgalit dans ses retranchements les plus incisifs.
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MUSE = Espace intrieur ou extrieur prsentant des sujets ou des objets ayant acquis, par leur interprtation, une signification particulire mritant leur exposition ou leur transmission sous forme de communication visuelle ou plurimdiatique, le mouvement privilgiant lexpression directe du groupe social concern, lanimation culturelle la provocation dun dbat, plutt que la seule exposition.
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Nous prsentons, prsent, un texte cheval sur les concepts sur lesquels reposent les diffrentes formes de muses actuels et la terminologie qui en dcoule dans sa partie des dfinitions. Intitul la rvolution musale passe par lexposition (Mayrand, 2007), le texte introduit de nouvelles combinaisons de mots afin de catgoriser les grandes tendances tant gauche, qu droite, quau centre. Comme lindique lappellation que nous lui attribuons, cette catgorie de muses rpondant aux critres de changements les plus radicaux dans le fonctionnement du muse, deviennent des unites (chanes) de production au mme titre que lentreprise commerciale ou industrielle. Elle rejoint le Festival, la Foire, le Cirque. Elle emprunte lindustrie sa terminologie: Vente, consommateur, client, satisfaction, rentabilit, recherchedveloppement, attraction, exportabilit, et tant dautres. Le commanditaire ou partenaire financier y joue un role de premier plan. Autrefois, on allait au muse (la sortie familiale du Dimanche). A prsent on va voir lexposition X, annonce grands renforts de publicit (transports publics, panneaux routiers). Cette exposition vedette accompagne dexpositions satellites quand ce nest pas le btiment lui-mme offert voir (Bilbao), peut tre considre de deux faons, soit de lintrieur, soit de lextrieur (le parcours mental et physique du visiteur-client).