974 resultados para Floral dimorphism
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O boro é um nutriente essencial para as plantas. Suas funções estão envolvidas com o crescimento celular e o desenvolvimento da flor. Na fase reprodutiva, a deficiência do micronutriente reduz a macho-fertilidade em função do prejuízo à microesporogênese e ao crescimento posterior do tubo polínico. Neste trabalho, objetivou-se avaliar o efeito da aplicação de boro, sobre as características agronômicas e a qualidade fisiológica das sementes de arroz produzidas. A aplicação do boro, na forma de borato de sódio (Na2B4O7.10H2 O), na dosagem de 10 kg.ha-1, foi realizada em cinco épocas diferentes (na semeadura; no perfilhamento; na diferenciação do primórdio floral; no emborrachamento e na floração plena). Foram realizadas avaliações de rendimento, esterilidade e componentes de rendimento do arroz, bem como sobre a qualidade fisiológica das sementes. Constatou-se que a aplicação de borato de sódio na dosagem de 10 Kg.ha-1, nos diferentes estádios de crescimento, não provocou esterelidade, não influenciou o rendimento de grãos, os componentes do rendimento, nem a qualidade fisiológica das sementes de arroz irrigado, cultivar IRGA 422CL.
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Saisi le 11 septembre 1797 à San Daniele del Friuli; cf. Laffitte, Bulletin du Bibliophile, 1989/2, 315
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Acquis le 13 germinal an VII (2 avril 1799), à l'ouverture de deux caisses adressées au conservatoire de la Bibliothèque nationale par le ministre de l'Intérieur, suite à un envoi de la commission des arts en Piémont, avec une note datée de Turin, 17 ventôse an 7 (7 mars 1799), note qui fut remise le 23 floréal an IX (12 mai 1801) au citoyen Capperonnier, administateur de la Bibliothèque nationale, par les conservateurs du département des Manuscrits; cf. B.n.F., département des Manuscrits, Archives Modernes 492, registre des acquisitions du département des Manuscrits an II-an XIV (1793-1805), f. 33 "3. Annales genuenses. Ms. in fol., un vol., écrit. du 13e s."; cf. Laffitte, Bulletin du Bibliophile, 1989/2, 316-318.
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Cf. notice du ms. par Leroquais, Bréviaires, III, 182-185 n° 591 et pl. XCIX; P. Radó, Libri liturgici manuscripti bibliothecarum Hungariae et limitropharum regionum, Budapest, 1973. Un bréviaire d'Esztergom a été imprimé en 1524 à Venise. F. 2-8v Calendrier à l'usage d'Esztergom, avec un grand nombre de saints d'origines diverses (2-7v); cf. Leroquais, op. cit., 182. À noter les saints non mentionnés dans les Acta sanctorum, ou du moins pas pour la date correspondante; ne sont pas relevés les saints hongrois considérés comme classiques par Radó, op. cit., passim : 4 févr., «Victoris m.»; 8 févr., «Juliani m.»; 13 févr., «Adalberti m.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 96 d'après ms. Budapest, B. N. Hung., c. l. m. ae. 395; 15févr., «Faustiani m.»; 21 févr., «Septuaginta mm.», non signalé sous cette forme pour cette date dans Radó, op. cit.; 15 mars, «Hilarii conf. et pont.», non signalé sous cette forme pour cette date dans Radó, op. cit.; 17 mars, «Bernardi conf.»; 26mars, «Eustachii abb.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 96 d'après ms. Budapest, B.N. Hung., c. l. m. ae. 395; 28 mars, «Gastuli m.», non signalé dans Radó, op. cit.; 3 juill., «Bonifacii ep.», non signalé dans Radó, op. cit.; 5 juill., «Dominici m.»; 4 août, «Gaudentii ep. et conf.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 329 d'après ms. Budapest, B. N. Hung., c. l. m. ae. 408; 8 août, «Adventus sanguinis D. N. J. C.»; 31 août, «Pauli ep. et m.», non signalé dans Radó, op. cit.; 12 oct., «Quatuor milium mm.», non signalé dans Radó, op. cit., à rapprocher de quatuor mille octingenti septuaginta mm., cf. Radó, op. cit., 167 d'après ms. Esztergom, B. metropolitana Strigoniensis I. 20; 14 oct., «Cerbonii conf.»; 27 oct., «Vedasti m.»; 15 nov., «Martini conf.», non signalé pour cette date dans Radó, op. cit; 20 nov., «Aniani ep. [Aurelianensis] et conf.». Pour plusieurs saints du calendrier on ne trouve pas d'office dans le sanctoral, et vice versa. — «Sequitur tabula impositionis historiarum...» (8-8v). F. 11-76 Psautier férial (11-72). — Office des défunts à l'usage d'Esztergom (72v-76); cf. K. Ottosen, The responsories and versicles of the latin office of the dead, Aarhus 1993, 127 (description des ff.74v-75v = «BN8879B») et 180 (description des ff.72v-74v = «BN8879A»). F. 77-528v Temporal : «Incipit breviarium secundum chorum alme ecclesie Strigoniensis. Dominica prima in adventu Domini...» (77-282v). Sanctoral : «Incipit secunda pars breviarii scilicet de festivitatibus. De s. Silvestro...» (286-486). À noter : office de l'Immaculée Conception composé par Léonard Nogarolo (480v). Commun des saints : «Incipit commune de sanctis et primo in vigilia unius apostoli...» (486v-513v). — «Sequitur de b. Virgine sabbatis diebus per estatem. Ad vesperas...» (513v-516v). «In quotidianis horis b. Virginis...» (516v-525). — «Sequuntur preces in quadragesima...» (525-526v). — «Sequuntur suffragia sabbatis diebus per estatem...» (526v-528), dont suffrages des ss. [Stephani regis Hungariae; Emerici ducis] (527), [Ladislai regis Hungariae; Adalberti ep. Pragensis et m.] (527v). — «Absolutio excommunicati...» (528-528v). 106 hymnes mentionnées dans la table des incipit, dont une non répertoriée dans Chevalier, Repert. hymn. ni dans les A. H., pour les confesseurs : «Christe lucis splendor vere fabrice mundi semper nobis parcens miserere confessorum precibus//...» (506v); cf. P. Radó, Répertoire hymnologique des mss. liturgiques dans les bibliothèques publiques de Hongrie, Budapest 1945, n° 111, relevée une fois dans le ms. Budapest, Bibl. nat. Hung. c. l. m. ae. 132, ms. décrit par Radó, Libri liturgici..., op. cit., 395-400.
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Cf. notice du ms. par Leroquais, Bréviaires, III, 182-185 n° 591 et pl. XCIX; P. Radó, Libri liturgici manuscripti bibliothecarum Hungariae et limitropharum regionum, Budapest, 1973. Un bréviaire d'Esztergom a été imprimé en 1524 à Venise. F. 2-8v Calendrier à l'usage d'Esztergom, avec un grand nombre de saints d'origines diverses (2-7v); cf. Leroquais, op. cit., 182. À noter les saints non mentionnés dans les Acta sanctorum, ou du moins pas pour la date correspondante; ne sont pas relevés les saints hongrois considérés comme classiques par Radó, op. cit., passim : 4 févr., «Victoris m.»; 8 févr., «Juliani m.»; 13 févr., «Adalberti m.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 96 d'après ms. Budapest, B. N. Hung., c. l. m. ae. 395; 15févr., «Faustiani m.»; 21 févr., «Septuaginta mm.», non signalé sous cette forme pour cette date dans Radó, op. cit.; 15 mars, «Hilarii conf. et pont.», non signalé sous cette forme pour cette date dans Radó, op. cit.; 17 mars, «Bernardi conf.»; 26mars, «Eustachii abb.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 96 d'après ms. Budapest, B.N. Hung., c. l. m. ae. 395; 28 mars, «Gastuli m.», non signalé dans Radó, op. cit.; 3 juill., «Bonifacii ep.», non signalé dans Radó, op. cit.; 5 juill., «Dominici m.»; 4 août, «Gaudentii ep. et conf.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 329 d'après ms. Budapest, B. N. Hung., c. l. m. ae. 408; 8 août, «Adventus sanguinis D. N. J. C.»; 31 août, «Pauli ep. et m.», non signalé dans Radó, op. cit.; 12 oct., «Quatuor milium mm.», non signalé dans Radó, op. cit., à rapprocher de quatuor mille octingenti septuaginta mm., cf. Radó, op. cit., 167 d'après ms. Esztergom, B. metropolitana Strigoniensis I. 20; 14 oct., «Cerbonii conf.»; 27 oct., «Vedasti m.»; 15 nov., «Martini conf.», non signalé pour cette date dans Radó, op. cit; 20 nov., «Aniani ep. [Aurelianensis] et conf.». Pour plusieurs saints du calendrier on ne trouve pas d'office dans le sanctoral, et vice versa. — «Sequitur tabula impositionis historiarum...» (8-8v). F. 11-76 Psautier férial (11-72). — Office des défunts à l'usage d'Esztergom (72v-76); cf. K. Ottosen, The responsories and versicles of the latin office of the dead, Aarhus 1993, 127 (description des ff.74v-75v = «BN8879B») et 180 (description des ff.72v-74v = «BN8879A»). F. 77-528v Temporal : «Incipit breviarium secundum chorum alme ecclesie Strigoniensis. Dominica prima in adventu Domini...» (77-282v). Sanctoral : «Incipit secunda pars breviarii scilicet de festivitatibus. De s. Silvestro...» (286-486). À noter : office de l'Immaculée Conception composé par Léonard Nogarolo (480v). Commun des saints : «Incipit commune de sanctis et primo in vigilia unius apostoli...» (486v-513v). — «Sequitur de b. Virgine sabbatis diebus per estatem. Ad vesperas...» (513v-516v). «In quotidianis horis b. Virginis...» (516v-525). — «Sequuntur preces in quadragesima...» (525-526v). — «Sequuntur suffragia sabbatis diebus per estatem...» (526v-528), dont suffrages des ss. [Stephani regis Hungariae; Emerici ducis] (527), [Ladislai regis Hungariae; Adalberti ep. Pragensis et m.] (527v). — «Absolutio excommunicati...» (528-528v). 106 hymnes mentionnées dans la table des incipit, dont une non répertoriée dans Chevalier, Repert. hymn. ni dans les A. H., pour les confesseurs : «Christe lucis splendor vere fabrice mundi semper nobis parcens miserere confessorum precibus//...» (506v); cf. P. Radó, Répertoire hymnologique des mss. liturgiques dans les bibliothèques publiques de Hongrie, Budapest 1945, n° 111, relevée une fois dans le ms. Budapest, Bibl. nat. Hung. c. l. m. ae. 132, ms. décrit par Radó, Libri liturgici..., op. cit., 395-400.
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The Impact of the Multicolor Asian Lady Beetle (Harmonia axyridis) on Niagara Wine Quality The possible influence of Harmonia axyridis (the Multicolored Asian Lady Beetle) on the sensory properties of wine was investigated. H. axyridis beetles were added to white and red grape musts at a rate of 0, 1 or 10 per L, and a trained panel evaluated the finished wines using flavor-profiling techniques. Significant modification of both wine aroma and flavor characteristics were observed in the 10 beetlelL treatments, with smaller effects noted at the 1 beetlelL rate. Vinification in the presence of H. axyridis gave higher intensity scores for peanut, bell pepper and asparagus aromas and flavors in the white wines, and peanut, asparagus/bell pepper, and earthy/herbaceous aromas and flavors in the red wines. In addition, sweet, acid and bitter tastes were affected in red wines, and a general trend of decreasing fruit and floral intensities with increasing beetle rate was observed in both white and red wines. 15 ngIL Isopropylmethoxypyrazine was added to control wines and sensory profiles similar to high beetle treatments were obtained, supporting the hypothesis that methoxypyrazines from beetles are implicated in the taint. A trained panel evaluated the treated wines after 10 months of aging using the same sensory methods described above. Sensory profiles were very similar. Fennenting in the presence of Harmonia Axyridis (HA) had little influence on the chemical composition of the ftnished wine. The notable exception IS Isopropylmethoxypyrazine content, which was assessed usmg GC-MS analysis and showed increased concentration with increasing beetle nwnber for both white and red wmes. The influence of potential remedial treatments on the sensory properties of white and red wines tainted by Harmonia axyridis were also investigated. Bentonite, activated charcoal, oak chips, de-odorized oak chips, and UV or light irradiation were applied to tainted wine, and these wines evaluated chemically and sensorially. Both white and red wines treated with oak chips had strong oak characteristics, which masked the Harmonia axyridis-associated aroma and flavour attributes. In red wine, asparagus/bell pepper characteristics were decreased by bentonite and charcoal treatments. Only activated charcoal significantly decreased methoxypyrazine levels and only in white wine.
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Although much research has been conducted on blood-meal acquisition in adult female black flies (Diptera: Simuliidae), the same cannot be said for sugarmeals. Both sexes feed on sugar which provides energy for flight and it has been commonly held that nectar is the major carbohydrate source. This thesis addresses the question of whether a non-floral carbohydrate source, specifically homopteran honeydew, is ingested by male and female black flies. Black flies reared in the laboratory have been observed to readily ingest freshly excreted and older (dry) honeydew when presented with honeydew coated tamarack branches. Field work was conducted in Algonquin Park, Ontario in the spring and summer of 1993. Three separate studies were designed to test whether homopteran honeydew is an important carbohydrate source for black flies and whether flies from different habitats utilize different sugar sources. The sugars melezitose and / or stachyose are known to occur in a variety of homopteran honeydews and therefore were used as indicators of honeydew feeding by black flies. In the first study, black flies were collected with insect nets from a stand of Larix larcina heavily infested with honeydew - producing homopterans (Adelges lariciatus). Six black fly species were captured: Simulium venustum, S. rostra tum, S. vittatum, Stegopterna mutata, S. aureum and S. quebecense. Samples of honeydew and individual black flies were tested using thin layer chromatography (T. L. C.) with fructose, glucose, sucrose, turanose, melezitose, raffinose and stachyose as standards. All sugars except turanose and melezitose were found in the adelgid honeydew samples. Since the sugar melezitose was absent from ~ honeydew samples, stachyose was used to indicate that black flies were feeding from this particular honeydew source. Of the 201 black flies tested, 194 contained sugars which occurred in 16 combinations. Stachyose combinations excluding melezitose, present in 45.9 % of flies, were used to indicate that black flies had been feeding on the adelgid honeydew. In the second study, black flies were collected in the morning and evening on 8 collection dates, using a vehicle mounted insect net. The crops and midguts of 10 male and 10 female Simulium venustum were dissected on each sample date. In total the gut contents of 320 individual flies were analysed by T. L. C. The sugars identified from these flies were present in the following proportions: fructose (100.0%), glucose (100.0%), sucrose/turanose (50.4%), melezitose (30.3%), raffinose (18.8%) and stachyose (8.7%). These sugars occurred in fourteen different combinations. It is argued that the presence of melezitose and / or stachyose indicates that black flies had fed on homopteran honeydew. Significantly more female flies (40.0%) than male flies (27.5%) had fed on honeydew. In the third study, adult black flies were sampled by sweep netting vegetation in four habitats in the morning and evening on 8 collection dates. The habitats are as follows: (1) Davies Bog, (2) Abandoned Air Field (dominated by blueberries, Vaccinium spp.), (3) Deciduous Habitat and (4) Coniferous Habitat. Sugars in the crops and midguts of female flies were tested by T. L. C. and, for S. venustum, it was found that significantly fewer flies (18.8%) from the Air Field contained honeydew than from the other three sites (Davies Bog, 34.4%; Deciduous Habitat, 36.2%; Coniferous Habitat, 25.0%). Of the 1287 black flies tested individually by T. L. C. 441 (34.3%) contained melezitose and / or stachyose sugars indicating that this proportion of the population were feeding from Homopteran honeydew. It is therefore clear that floral (nectar) sugars are not the only source of carbohydrates available to black flies.
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House Finches (CarpQdacqs mexiCAnuS) were introduced to Long Island, New York from southern'California in 1940. Apparently, an initial sample of less than 100 birds has given rise to a population that now occupies much of the eastern United States. This study was to determine if morphological and reproductive changes have taken place in introduced eastern birds, which have colonized a novel environment. A study area in Goleta, California (CAL) represented the parental population whereas for comparison, House Finches in St. Catharines, Ontario (ONT) represented the introduced population. Interlocality variation in 25 morphometric characters of 100 adult House Finches was examined statistically. Singleclassification analysis of variance revealed significant interlocality differentiation in seven characters of males and nine of females. Females showed differentiation in more limb elements than males. Analysis of character variation using discriminant and principal component analysis distinguished samples on the basis of variation in shape. Compared to CAL, aNT birds (especially females) had smaller extremities relative to certain core parts and weight. Females showed similar patterns of character covariation in each locality on the second principal component, which suggests that differentiation of the ONT population may not be solely environmentally induced. Sexual dimorphism was evident in four charaoters in aNT and five in CAL. Disoriminant analysis distinguished sex on the basis of variation in shape. Males possessed a relatively larger flying apparatus and small.er hind limbs than females. The dearee of sexual dimorphism did not vary sicnifioantly between looalities. 3 Data on reproduotive parameters were oolleoted in 1983 and 1984 in ONT, and 1984 in CAL. In 1984, Bouse Finohes began breedina approximately three months earlier in CAL than in ONT. In ONT, there was no sianifioant differenoe in mean olutoh initiation date between 1983 and 1984. In both looalities most nests oontained either four or five ea",s, and olutoh size differenoes between looalites were not signifioant. Seasonal deolines in olutch size were evident in ONT but not in CAL. Intralooality variation in e.g weight and size was not related to clutch size. E",g weiaht showed no seasonal trend in ONT, but inoreased sianifioantly with breed ina season in OAL. In both looalities e8'''' weiaht increased sipifioantly with order of layina in olutohes of four but not in clutohes of five. Eag's in ONT in 1983 and 1984 were sip.ificantly larser than in CAL in 1984. The modal inoubation period was 13 days and did not vary sip.ifioantly between localites. In both looalities nestling weiaht on the day of hatohing was oorrelated to fresh ega welaht. For muoh of the period between hatohing and 14 days post-hatoh, ONT nestlinas were signifioantly laraer than CAL nestlings in terms of weiaht. bill length, bill depth, and manus length.
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Family portrait taken at Charles C. Chapman's birthday celebration, Fullerton, California,July 2, 1932. The group poses outside his residence on the lawn. Top row [left to right]: Arthur Irvin, Charles Wickett, Irvin Chapman, Sam Collins, Paul Williams, Grant Chapman,, Sidney Chapman, Clay McCarn, Earl Chapman's son David McDougal, Earl Chapman's son William McDougal, Earl Chapman, Harry Chapman, William Wickett Sr. Second row [left to right]: Mr. VanMeter, Mrs. Sinclair, C. C. Sinclair, John Franklin, Way Bagley, Marjorie Collins, Emma Williams, Ruth Chapman, Vesta Chapman, Inez Bagley, Grace Chapman, Bertha Chapman, Clough Chapman, Frank and Bertha Chapman's daughter Agnes McDougal [Streech], Georgiana Chapman, Thela Clough, Mrs. Earl [Ann] Chapman, Bessie Reynolds, Fred Chapman, E. B. [Bert] Reynolds. Seated [left to right]: Mrs. VanMeter, Hattie Clark, Louie Messlar, Charlie Thamer, Louella Thamer, Dolla Harris, Stanley Chapman Sr. holding Mary Anne, Ethel Wickett, Charles C. Chapman, Clara Chapman, Colum C. Chapman, Aunt Annie Colum, Deryth Chapman, Anna Marie Chapman, Floy Chapman, Edith Chapman. Front row [left to right]: Sam E. Collins, Bill Wickett Jr., Joyce Chapman, Marilyn Chapman, Elizabeth Chapman, Mary McCarn, Nina Chapman Lescher, Jodeane Collins, Bob Gibb, Jean Chapman. In front is a floral arrangement with drawing of a Western Union telegram "To Chas. C. Chapman, July 2, 1932, N. Fullerton, Cal., 'Wishing you a happy birthday, Nina."
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Sweat bees exhibit a range of social behaviours, from solitary nesting, in which no workers are produced, to strong eusociality, in which workers exhibit a high degree of altruism, behaviour that is measured by the degree of personal reproductive sacrifice. Field studies were carried out for seven weeks during May-June 2000 in southern Greece in order to investigate intraspecific social variation, and test the hypothesis of a north-south cline of decreasing eusociality in the obligately eusocial sweat bee L. (E.) malachurum. A comparative study, using principal components analysis, was performed to determine if patterns of intraspecific social variation in L. malachurum reflect the patterns of social variation within the subgenus, Evylaeus, as a whole. The results of the field study reveal that, in Greece, two worker broods were produced followed by a third brood consisting of gynes, males and some workers, indicating that there was an overlap in worker and gyne production. There was strong caste distinction between queens and workers. Workers actively foraged and participated in nest construction as most workers (58%, n=303) had a high degree of mandibular wear. Workers did not participate in the oviposition of Brood 3 gynes since only 0.7% (n=278) of workers were mated. Furthermore, queen survival until the end of Brood 3 and a substantial size differential of 10.6% between queens and workers suggested that queen domination over worker behaviour during the early to mid-part of the colony cycle was plausible. Male production in Brood 3 by some workers was likely, since the timing of worker ovarian development corresponded with the timing of male production. These findings suggest that workers of the first two broods were primarily altruistic, but some (28%) Brood 1 (9%) and Brood 2 (19%) workers produced males, indicating that the degree of altruistic behaviour declined during the lifetime of the colony. In comparison with other L. malachurum populations in Europe, the Greek population of L. malachurum had a weaker social level as a result of the higher proportion of workers potentially involved in male production, thus 3 supporting the hypothesis of a southerly cline of decreasing eusociality. Furthermore, intraspecific variation in social level across Europe appears to be due to longer breeding seasons in more southerly locations that would promote the production of larger colonies and provide opportunities for workers to evade queen control. The comparative study using principal components analysis on 20 solitary (of the subgenera Evylaeus and Lasioglossum), eusocial and socially polymorphic Evylaeus species and populations reveals that six traits are closely associated with stronger eusociality in Evylaeus. These traits are: (1) a reduction in the proportion of males in the early brood(s); (2) a reduction in the proportion of females that mate; (3) an increase in the mean number of first brood workers; (4) a reduction in the proportion of females with developed ovaries; (5) an increase in size dimorphism between castes, and (6) nest guarding. These are traits that most significantly define principal component one and therefore distinguish social type as indicated by a clear separation of the eusocial and the solitary populations, with a socially polymorphic species falling in between. Furthermore, most of these traits are under foundress control and may suggest that the evolutionary loss or gain of eusociality is based on selection pressures on a founding female. Colony size and female ovarian development are common factors distinguishing social variation in L. malachurum and within the subgenus as a whole. The principal components analysis excluding the solitary species and the socially aberrant L. marginatum populations show the L. malachurum populations separated based on an increasing proportion of workers with developed ovaries as populations are found more south, lending further support to the hypothesis of a north-south cline of decreasing eusociality.
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Dans la population générale plusieurs études ont démontré que les hommes ont, par comparaison aux femmes, de meilleures performances dans les tâches de rotation mentale à trois dimensions. A l’aide de l’imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle, on a pu observer que l’exécution de cette tâche de rotation mentale s’accompagnait d’une activation du cortex pariétal chez l’homme mais du cortex prefrontal chez la femme. Ces différences entre les deux sexes suggèrent un fonctionnement neuronal différent dans l’appréhension des habiletés cognitives et comportementales. De fait, de nombreuses études ont signalé des différences notables entre les deux sexes quant à leur fonctionnement cérébral tant sur le plan émotionnel que de leurs habiletés visuo spatiales. La schizophrénie est un trouble grave et persistant de la santé mentale dont l’origine est certes multifactorielle et dont les facteurs de protection sont partiellement biologiques, psychologiques et sociales. Cette maladie requiert une approche thérapeutique à la fois clinique médicamenteuse, psychologique et sociale visant à une réintégration des malades dans leur communauté. Le pronostic de cette maladie varie en fonction du sexe ainsi que les atteintes neurologiques, neuropsychologiques et socioculturelles. Il est donc surprenant que l’exploration des mécanismes neuronaux sous-tendant les anomalies fonctionnelles cognitivo-comportementales n’ait point, en schizophrénie, adressé à date la fonctionnalité différente de l’homme et de la femme. Une étude pilote, réalisée dans mon laboratoire d’accueil, ayant suggéré chez le schizophrène, lors du traitement cognitif de stimuli émotionnels, une altération du dimorphisme sexuel observé dans la population normale, il devenait impératif de confirmer ces observations. Ce mémoire vise à vérifier par résonnance magnétique fonctionnelle l’activité neuronale cérébrale témoignant de la performance neuropsychologique de schizophrènes des deux sexes et de la comparer à celle de sujets témoins sains appareillés pour l’âge, la dominance hémisphérique et le statut familial socio-économique. A cette fin, nous avons enregistré, lors d’une tâche de rotation mentale à trois dimensions, les variables neurocognitives traduisant la validité des réponses ainsi que leur rapidité d’exécution. Simultanément, nous avons enregistré, par résonnance magnétique fonctionnelle, les sites d’activation cérébrale ainsi que leur degré d’activation corticale. Les données expérimentales, neurocognitives et cérébro-fonctionnelles, furent analysées en comparant les deux sexes d’une part et les deux états de santé d’autre part. Les résultats de ce mémoire ont fait l’objet de deux articles qui sont inclus. Les résultats obtenus confirment l’hypothèse d’un dimorphisme homme/femme dans la population générale ainsi que chez le schizophrène. Ces résultats appuient aussi l’hypothèse de l’altération, chez le schizophrène, du dimorphisme observé dans la population générale.
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Le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay intitulé Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV est le morceau de réception que le peintre a présenté à l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1687. Malheureusement peu étudié, ce tableau n’en comporte pas moins trois problématiques très intéressantes. Tout d’abord, il rassemble trois genres de peinture dans une seule composition : la nature morte, le portrait et la peinture d’histoire, illustrés respectivement par les fleurs, le buste du roi et la pièce d’armure. L’association de ces trois genres dans un tableau de nature morte est peu commune dans la peinture française du 17e siècle. Il est donc nécessaire de vérifier s’il existe un lien entre les fleurs, l’image de Louis XIV et l’armure. Ensuite, le contraste entre la polychromie des fleurs et la monochromie de la sculpture et de l’ameublement est frappante ; il est possible de lier ce contraste au phénomène des débats entre le dessin et la couleur de l’Académie royale de peinture et de sculpture à la deuxième moitié du 17e siècle. D’ailleurs, les fleurs, qui n’étaient pas le sujet central dans le programme original de Le Brun, deviennent le sujet principal du tableau et occupent une place plus importante que le buste de Louis XIV. Cette modification n’a cependant pas choqué les juges de l’Académie puisque la toile a été acceptée sans contestation. Elle amène donc à s’interroger sur la hiérarchie des genres de peinture qui est la doctrine officielle de l’Académie royale de peinture et de sculpture de l’époque. Le noyau de la recherche consiste à vérifier si les fleurs n’occupent qu’une simple fonction décorative ou si elles peuvent être associées à des symboles. Notre recherche examine d’abord l’utilisation des symboles floraux dans la culture française du 17e siècle. Par la suite, elle étudie cette utilisation dans le domaine politique, à savoir que les fleurs pourraient être liées à la louange de Louis XIV. Enfin, elle analyse les domaines artistiques et esthétiques, c’est-à-dire la façon dont le tableau reflète, par l’utilisation des symboles floraux, l’évolution des théories de l’art, la hiérarchie des genres de peinture et les débats du dessin et de la couleur, en France, durant la deuxième moitié du 17e siècle.
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La leptine circule en proportion de la masse graisseuse du corps et la transduction de son signal à travers la forme longue de son récepteur via un certain nombre de voies neurales , y compris MAPK, PI3-K ,AMPK et JAK2 - STAT3 . Il faut noter que STAT3 constitue une voie clée au récepteur de la leptine par laquelle la leptine module l'expression des gènes impliqués dans la régulation du bilan énergétique. La plupart des recherches ont porté sur la fonction du récepteur de la leptine au sein de l' hypothalamus, en particulier la fonction du récepteur de la leptine dans le noyau arqué. Toutefois, les récepteurs de la leptine sont également exprimés sur les neurones dopaminergiques de l'aire tégmentale ventrale et la leptine agit sur cette région du cerveau pour influencer la prise alimentaire, la motivation, la locomotion, l'anxiété et la transmission de la dopamine. De plus, la leptine active la STAT3 dans les dopaminergiques et GABAergiques populations neuronales. Bien que ces résultats contribuent à notre compréhension des multiples actions de la leptine dans le système nerveux central, il reste à résoudre les cellules et la signalisation du récepteur de la leptine qui sont responsables des effets neurocomportementaux de la leptine dans le mésencéphale. Visant à déterminer la contribution de la voie de signalisation STAT3 dans les neurones dopaminergiques du mésencéphale, nous avons généré une lignée de souris knockout conditionnel dans lequel l'activation du gène de STAT3 sur son résidu tyrosine 705 ( Tyr 705 ) est absent spécifiquement dans les neurones dopaminergiques. Avec l'utilisation de ce modèle de souris génétique, nous avons évalué l'impact de l'ablation de la signalisation STAT3 dans les neurones dopaminergiques sur un certain nombre de fonctions liées à la dopamine, y compris l'alimentation, la locomotion, les comportements liés à la récompense, l'émotion et la libération de dopamine dans le noyau accumbens. Fait intéressant, nous avons observé un dimorphisme sexuel dans le phénotype des souris STAT3DAT-KO. L'activation de la voie de signalisation STAT3 dans les neurones dopaminergiques est responsable de l'action de la leptine dans la réduction de la locomotion, récompense liée à l'activité physique, et de l'augmentation de la libération et de la disponibilité de la dopamine chez les souris mâles. Cependant, il ne module pas le comportement émotionnel. D'autre part, les souris femelles STAT3DAT-KO augmentent les niveaux d'anxiété et les niveaux plasmatiques de corticostérone, sans provoquer de changements de la dépression. Cependant, la perte d'activation de STAT3 dans les neurones dopaminergiques ne module pas le comportement locomoteur chez les souris femelles. Notamment, les actions de la leptine dans le mésencéphale pour influencer le comportement alimentaire ne sont pas médiées par l'activation de STAT3 dans les neurones dopaminergiques, considérant que les souris mâles et femelles ont un comportement alimentaire normal. Nos résultats démontrent que la voie de signalisation STAT3 dans les neurones dopaminergiques est responsable des effets anxiolytiques de la leptine, et soutient l'hypothèse que la leptine communique l'état d'énergie du corps (i.e. la relation entre la dépense et les apports énergétiques) pour les régions mésolimbiques pour atténuer les effets de motivation et de récompense de plusieurs comportements qui servent à réhabiliter ou à épuiser les réserves d'énergie. En outre, ce travail souligne l'importance d'étudier la modulation de la signalisation de la leptine dans différente types de cellules, afin d'identifier les voies de signalisation et les mécanismes cellulaires impliqués dans les différentes fonctions neuro-comportementales de la leptine.
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Recourant volontiers au voilement ou à un jeu de paravents, l’écriture pudique est marquée par la précaution – souvent troublante en soi – d’éviter de provoquer le trouble chez son lecteur. Hamaguri d’Aki Shimazaki se construit autour d’un noyau apparemment contradictoire qui transcende le tabou de l’inceste. L’étude de ce roman, mis en parallèle avec L’amant de Duras et Les belles endormies de Kawabata, permet de mettre en relief un érotisme pudique dont la principale caractéristique consiste en une remise en cause de son principe transgressif, découlant de la dissolution de la limite tracée par l’interdit. Dans un phénomène de coïncidence des opposés, l’érotisme pudique aplanit le rapport dualiste entre des éléments donnés comme inconciliables : chair et esprit, Éros et Thanatos, licite et illicite. Empreint de ce type d’érotisme, Probablement personne met en scène une jeune femme et son professeur de peinture sumi-e, de quarante ans son aîné. Une passion indéfinissable, à la lisière de la hantise, les lie de plus en plus étroitement l’un à l’autre. Leur relation se joue dans le non-dit, les regards, la gestuelle; elle se révèle graduellement à travers des traits d’encre sur le papier et la symbolique de la fleur : fascinante, cueillie, flétrie… Leur drame se joue dans la zone grise entre ce qui a eu lieu et n’a jamais eu lieu.
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Connaître le sexe d’un oiseau est important pour divers domaines notamment pour les vétérinaires, les écologistes ainsi que pour les éleveurs d’oiseaux qui veulent former des couples qui serviront à la reproduction. Plusieurs espèces d’oiseaux, juvéniles et adultes, n’ont pas de dimorphisme sexuel. L’utilisation de l’ADN est une façon rapide de déterminer le sexe à partir d’un échantillon de sang, de muscle, de plumes ou de fèces. Par contre, la méthode devrait être validée pour chaque espèce et idéalement, standardisée. Le premier objectif de cette étude est de développer une méthode de sexage par séquençage des oiseaux à partir des séquences du gène CHD, en utilisant les oiseaux de proie et les perroquets vus en clinique au Québec. Un deuxième objectif est de faire l’identification de l’espèce à sexer, à partir du gène mitochondrial COX-1 et aussi à partir des séquences CHD-Z et CHD-W, utilisés pour le sexage. Un troisième objectif est d’évaluer les séquences sorties (CHD-Z, CHD-W et COX-1) en vue d’une étude phylogénique. Une extraction d’ADN a été effectuée chez 27 espèces de perroquets, 34 espèces d’oiseaux de proie, une corneille (Corvus brachyrhynchos) et un poulet (Gallus gallus). Une amplification par PCR a été exécutée pour les exons partiels 23 et 24 du gène CHD. Le séquençage de cet amplicon permettait de savoir s’il s’agissait d’un mâle (séquence simple CHD-Z) ou d’une femelle (séquences CHD-Z et CHD-W qui se chevauchent). Afin d’avoir des séquences CHD-W distinctes, un sous-clonage a été fait chez les femelles de chaque espèce. De cette manière, les séquences partielles du gène CHD, Z et W, ont été trouvées pour les espèces échantillonnées. Une étude phylogénique a été effectuée avec les séquences de COX-1, CHD-Z et CHD-W grâce au site « Clustal-Omega ». La méthode de sexage des oiseaux par séquençage du gène CHD est standard et efficace. Le gène COX-1 permet une meilleure identification des espèces parentes et le gène CHD-Z est le plus utile pour étudier la phylogénie profonde.