994 resultados para Baars, Bernard J


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ABSTRACT:: Adherence patterns and their influence on virologic outcome are well characterized for protease inhibitor (PI)- and non-nucleoside reverse transcriptase inhibitor (NNRTI)-based regimens. We aimed to determine how patterns of adherence to raltegravir influence the risk of virological failure. We conducted a prospective multicenter cohort following 81 HIV-infected antiretroviral-naive or experienced subjects receiving or starting twice-a-day raltegravir-based antiretroviral therapy. Their adherence patterns were monitored using the Medication Events Monitoring System. During follow-up (188 days, ±77), 12 (15%) of 81 subjects experienced virological failure. Longer treatment interruption [adjusted odds ratio per 24-hour increase: 2.4; 95% confidence interval: 1.2 to 6.9; P < 0.02] and average adherence (odds ratio per 5% increase: 0.68; 95% confidence interval: 0.46 to 1.00, P < 0.05) were both independently associated with virological failure controlling for prior duration of viral suppression. Timely interdose intervals and high levels of adherence to raltegravir are both necessary to control HIV replication.

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INTRODUCTION: Delirium is a highly prevalent disorder, with serious consequences for the hospitalised patient. Nevertheless, it remains under-diagnosed and under-treated. We developed evidence-based clinical practice guidelines (CPGs) focusing on prevention, screening, diagnosis, and treatment of delirium in a general hospital. This article presents the implementation process of these CPGs and a before-after study assessing their impact on healthcare professionals' knowledge and on clinical practice. METHODS: CPGs on delirium were first implemented in two wards (Neurology and Neurosurgery) of the Lausanne university hospital. Interactive one-hour educational sessions for small groups of nurses and physicians were organised. Participants received a summary of the guidelines and completed a multiple choice questionnaire, assessing putative changes in knowledge, before and three months after the educational session. Other indicators such as "diagnosis of delirium" reported in the discharge letters, and mean duration of patients' hospital stay before and after implementation were compared. RESULTS: Eighty percent of the nurses and physicians from the Neurology and Neurosurgery wards attended the educational sessions. Both nurses and physicians significantly improved their knowledge after the implementation (+9 percentage-points). Other indicators were not modified by the intervention. CONCLUSION: A single interactive intervention improved both nurses' and physicians' knowledge on delirium. Sustained and repeated interventions are probably needed to demonstrate changes in clinical practice.

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La pierre et l'image. Etude monographique de l'église de Saint-Chef en Dauphiné: L'ancienne abbatiale de Saint-Chef-en-Dauphiné est située dans l'Isère, à 10 km de Bourgoin-Jallieu et à 2 km de l'ancienne voie romaine qui joignait Vienne à Aoste par le col du Petit-Saint-Bernard. L'abbaye dépendait, dès sa fondation, des archevêques de Vienne, dont la cité se trouvait à 70 km plus à l'ouest. Selon le récit de l'archevêque Adon de Vienne, écrit à la fin du IXe siècle, l'abbaye de Saint-Chef aurait été fondée au cours du VIe siècle par saint Theudère sur un territoire appartenant à sa famille, le Val Rupien. D'abord dédié à la Vierge le monastère est placé, dès l'époque carolingienne, sous le double patronage de la Vierge et du saint fondateur, dont les reliques furent déposées dans l'église. Sans doute détruite et abandonnée lors des guerres bosonides qui provoquèrent la ruine de Vienne (882), l'abbaye est restaurée quelques années plus tard par des moines venus de Champagne : en 887 les moines de Montier-en-Der, fuyant leur abbaye menacée par les invasions normandes, trouvent refuge à Saint-Chef. Afin de promouvoir la reconstruction de l'abbaye, l'archevêque Barnoin, soutenu par Louis l'Aveugle, roi de Bourgogne, lui offrent des privilèges d'exemption et plusieurs donations. Signe de la renommée et de la prospérité dont bénéficiait alors le monastère, Hugues, héritier de Louis l'Aveugle, y reçoit son éducation. Vers 925 ou 926, alors que la Champagne est à. nouveau pacifiée, les moines de Montier-en-Der regagnent leur abbaye d'origine après avoir reconstruit, selon les sources, le « petit monastère de Saint-Chef ». L'abbaye dauphinoise n'est pas pour autant abandonnée et reste vraisemblablement en contact avec les moines champenois : en 928, Hugues de Provence fait des donations importantes d l'abbaye qui est alors formellement placée sous la juridiction de l'Eglise de Vienne. En 962, le Viennois est intégré au royaume de Bourgogne puis, en 1032, au domaine impérial. Construction de l'abbaye : Après le départ des moines de Montier-en-Der, l'église dauphinoise a vraisemblablement été reconstruite par saint Thibaud, archevêque de Vienne entre 970 et l'an mil. Ayant peut-être reçu son éducation dans l'abbaye dauphinoise, il est enterré dans l'église qui, selon certaines sources, associe dès lors son patronage à celui du saint fondateur. Elevée en petit appareil irrégulier, la nef actuelle de l'église de Saint-Chef pourrait appartenir à cette phase de construction de l'église. Fils du comte Hugues de Vienne qui possédait d'importants territoires autour de Saint-Chef, Thibaud était aussi lié aux comtes de Troyes et de Champagne : ce sont ces liens qui expliquent la présence répétée de l'archevêque en Champagne et dans la région de Montier-en-Der. Or, à la même époque, l'église champenoise est reconstruite par le célèbre Adson, abbé de 968 à 992. Des ressemblances entre cette construction et celle de Saint-Chef suggèrent la réalisation, au Xe siècle, de deux églises-soeurs. L'église préromane de Montier-en-Der possédait, à. l'ouest, un massif à double étage et l'est, des tours jumelles s'élevant au-dessus des deux chapelles latérales entourant l'abside. Ce plan présente plusieurs points de comparaison avec l'église actuelle de Saint-Chef : on constate en particulier une équivalence au niveau des dimensions (largeur-longueur des nefs et le diamètre de l'abside), un choix identique pour l'emplacement du choeur et des entrées secondaires : à l'extrémité ouest du bas-côté nord et à l'extrémité orientale du bas-côté sud. Ces analogies nous aident à. restituer le plan de Saint-Chef, tel qu'il pouvait apparaître du temps de Thibaud : la partie orientale de l'église, alors élevée en petit appareil irrégulier comme la nef actuelle, était sans doute dépourvue de transept ; à l'image de l'église champenoise, des tours jumelles pouvaient toutefois s'élever au-dessus des deux chapelles orientales. Si notre hypothèse est exacte, le parti architectural adopté à Saint-Chef comme à Montier¬en-Der correspond au plan des églises monastiques réformées au Xe siècle par les abbayes de Fleury et de Gorze (dès 934). Dans ce type d'églises que l'on rencontre essentiellement dans l'ancienne Lotharingie, mais aussi dans une région proche de Saint-Chef, en Savoie, les tours orientales possédaient, à l'étage, des tribunes qui donnaient sur le choeur. La forme caractéristique de ces églises est déterminée par l'observance de coutumes liturgiques communes aux abbayes réformées. Ainsi, la règle établie par la réforme indiquait la nécessité d'espaces surélevés situés à l'est et à l'ouest de l'église : ces espaces avaient pour fonction d'accueillir les choeurs des moines dont les chants alternaient avec ceux des moines réunis au niveau inférieur, devant le sanctuaire. Par la suite, sans doute en raison de nouvelles pratiques liturgiques, la partie orientale de l'église de Saint-Chef, reconstruite en moyen appareil régulier, est augmentée d'un transept à quatre chapelles latérales. Les deux tours, si elles existaient, sont détruites pour être reconstruites aux extrémités du transept, abritant des chapelles hautes qui donnaient sur les bras du transept et le choeur. La vision latérale entre les deux tribunes est alors favorisée par l'alignement des baies des tribunes et des arcades du transept. Grâce à ce système d'ouverture, les choeurs des moines se voyaient et s'entendaient parfaitement. Ce système de tribunes orientales apparaît dans certaines églises normandes du XIe siècle ou dans d'autres églises contemporaines qui semblent s'en inspirer, telles que la cathédrale du Puy ou l'abbatiale de Saint-Sever-sur-l'Adour. L'importance croissante des chants alternés dans les offices semble avoir favorisé l'émergence d'une telle architecture. L'étude du décor sculpté, et notamment des chapiteaux ornant les différentes parties de l'édifice, permet de dater les étapes de transformation de l'abbatiale. L'aménagement des chapelles orientales semble remonter à la première moitié du XIe siècle ; l'installation des piliers soutenant le transept et les deux tours de l'édifice est datable des années 1060-1080. Par la suite, sans doute du temps de Guillaume de la Tour-du-Pin, archevêque de Vienne entre 1165 et 1170, le transept et la croisée sont surélevés et voûtés et des fenêtres viennent ajourer le mur pignon oriental. Les indices de datation tardives, rassemblés au niveau supérieur du transept, ont été utilisés par les spécialistes de l'architecture, tels Raymond Oursel et Guy Barruol, pour dater l'ensemble de l'église du XIIe siècle. Pourtant, dans d'autres études, Otto Demus, Paul Deschamp et Marcel Thiboud dataient les peintures de Saint-Chef de la seconde moitié du XIe siècle, soit un demi-siècle au moins avant la datation proposée pour l'élévation architecturale. Cette contradiction apparente se trouve désormais résolue par la mise en évidence de phases distinctes de construction et de transformations de l'édifice. Les peintures : Le décor peint de l'abbatiale est conservé dans trois chapelles du transept : dans la chapelle Saint-Theudère, à l'extrémité sud du transept, dans la chapelle Saint-Clément, à son autre extrémité, et dans la chapelle haute s'élevant au-dessus de celle-ci. Selon une dédicace peinte derrière l'autel, cette chapelle est dédiée au Christ, aux archanges et à saint Georges martyr. L'analyse stylistique permet de dater les peintures du troisième ou du dernier quart du XIe siècle : leur réalisation semble donc succéder immédiatement à l'élévation du transept et des deux tours que l'on situe, on l'a vu, dans les années 1060-1080. Au cours de cette étude, on a aussi relevé la parenté des peintures avec des oeuvres normandes et espagnoles : ces ressemblances s'affirment par certaines caractéristiques de style, mais aussi par le traitement de l'espace. Par exemple, l'alignement des anges sur la voûte, ou des élus sur le mur ouest de la chapelle haute de Saint-Chef, rappellent certains Beatus du XIe siècle, tels que celui de Saint-Sever antérieur à 1072. Dans la chapelle haute, la hiérarchie céleste est distribuée par catégories autour du Christ, représenté au centre de la voûte ; cette disposition se retrouve à Saint-Michel d'Aiguilhe au Xe siècle, ainsi que dans le premier quart du XIIe siècle à Maderuelo en Catalogne et à Fenouilla en Roussillon. D'autres rapprochements avec des oeuvres ottoniennes et carolingiennes ont aussi été observés, ainsi qu'avec certaines enluminures d'Ingelard, moine à Saint-Germain des Prés entre 1030 et 1060. L'iconographie: Le sens de l'image avait donné lieu à quelques études ponctuelles. Cette thèse a permis, d'une part, la mise en évidence d'un unique programme iconographique auquel participent les peintures des trois chapelles de l'abbatiale et, d'autre part, la découverte des liens entre le choix iconographique de Saint-Chef et certaines sources littéraires. Ces rapports ont par exemple été relevés pour la figure de l'ange conduisant saint Jean à la Jérusalem céleste, sur le voûtain ouest de la chapelle haute. La figure très soignée de l'ange, portant les mêmes vêtements que le Christ peint au centre de la voûte, présente sur son auréole quelques traces sombres qui devaient à l'origine dessiner une croix : ce détail fait de l'ange une figure du Christ, figure qui apparaît dans certaines exégèses apocalyptiques telles que le Commentaire d'Ambroise Autpert au Ville siècle, celui d'Haymon d'Auxerre au IXe siècle ou, au début du XIIe siècle, de Rupert de Deutz. Pour Ambroise Autpert, l'ange guidant saint Jean est une image du Christ amenant l'Eglise terrestre à la Jérusalem céleste, à laquelle elle sera unie à la fin des temps. Les deux figures symboliquement unies par le geste du Christ empoignant la main de saint Jean est une image du corps mystique de Jésus, le corps étant l'Eglise et la tête, le Christ qui enseigne aux fidèles. L'iconographie des peintures de la chapelle haute est centrée autour de l'oeuvre de Rédemption et des moyens pour gagner le salut, la Jérusalem céleste étant le lieu de destination pour les élus. Au centre de la voûte, le Christ présente ses deux bras écartés, en signe d'accueil. Sur le livre ouvert qu'il tient entre les genoux, les mots pax vobis - ego sum renvoient aux paroles prononcées lors de son apparition aux disciples, après sa Résurrection et au terme de son oeuvre de Rédemption. A ses pieds, sur le voûtain oriental, la Vierge en orante, première médiatrice auprès de son Fils, intercède en faveur des humains. Grâce au sacrifice du Christ et à travers la médiation de la Vierge, les hommes peuvent accéder à la Jérusalem céleste : les élus sont ici représentés sur le dernier registre du mur ouest, directement sous la Jérusalem ; un cadre plus sombre y indique symboliquement l'accès à la cité céleste. A l'autre extrémité du voûtain, Adam et Eve sont figurés deux fois autour de l'arbre de la connaissance : chassés du paradis, ils s'éloignent de la cité ; mais une fois accomplie l'oeuvre de Rédemption, ils peuvent à nouveau s'acheminer vers elle. Les peintures de la chapelle inférieure participent elles aussi au projet iconographique de la Rédemption. Sur la voûte de la chapelle, les quatre fleuves paradisiaques entouraient à l'origine une colombe. Selon l'exégèse médiévale, ces fleuves représentent les quatre temps de l'histoire, les vertus ou les quatre évangiles, diffusés aux quatre coins de la terre. Selon une tradition littéraire et iconographique d'origine paléochrétienne, ce sont aussi les eaux paradisiaques qui viennent alimenter les fonts baptismaux : l'association de la colombe, figure du Saint-Esprit et des fleuves du paradis suggère la présence, au centre de la chapelle, des fonts baptismaux. L'image de la colombe se trouve, on l'a vu, dans le prolongement vertical du Christ ressuscité, représenté au centre de la voûte supérieure. Or, selon une tradition qui remonte à Philon et Ambroise de Milan, la source des quatre fleuves, de la Parole divine diffusée par les quatre Evangiles, c'est le Christ. Dans son traité sur le Saint-Esprit, l'évêque de Milan place à la source de l'Esprit saint l'enseignement du Verbe fait homme. Il ajoute que lorsqu'il s'était fait homme, le Saint-Esprit planait au-dessus de lui ; mais depuis la transfiguration de son humanité et sa Résurrection, le Fils de Dieu se tient au-dessus des hommes, à la source du Saint-Esprit : c'est la même logique verticale qui est traduite dans les peintures de Saint-Chef, le Christ ressuscité étant situé au-dessus du Saint-Esprit et des eaux paradisiaques, dans la chapelle haute. Si les grâces divines se diffusent de la source christique aux hommes selon un mouvement descendant, l'image suggère aussi la remontée vers Dieu : en plongeant dans les eaux du baptême, le fidèle initie un parcours qui le ramènera à la source, auprès du Christ. Or, cet ascension ne peut se faire qu'à travers la médiation de l'Eglise : dans la chapelle Saint-Clément, autour de la fenêtre nord, saint Pierre et Paul, princes de l'Eglise, reçoivent la Loi du Christ. Dans la chapelle supérieure, ici aussi autour de la fenêtre septentrionale, deux personnifications déversaient les eaux, sans doute contenues dans un vase, au-dessus d'un prêtre et d'un évêque peints dans les embrasures de la fenêtre : c'est ce dont témoigne une aquarelle du XIXe siècle. Ainsi baignés par l'eau vive de la doctrine, des vertus et des grâces issue de la source divine, les représentants de l'Eglise peuvent eux aussi devenir sources d'enseignement pour les hommes. Ils apparaissent, en tant que transmetteurs de la Parole divine, comme les médiateurs indispensables entre les fidèles et le Christ. C'est par les sacrements et par leur enseignement que les âmes peuvent remonter vers la source divine et jouir de la béatitude. Si l'espace nord est connoté de manière très positive puisqu'il est le lieu de la représentation théophanique et de la Rédemption, les peintures de la chapelle sud renvoient à un sens plus négatif. Sur l'intrados d'arc, des monstres marins sont répartis autour d'un masque barbu aux yeux écarquillés, dont les dents serrées laissent échapper des serpents : ce motif d'origine antique pourrait représenter la source des eaux infernales, dont le « verrou » sera rompu lors du Jugement dernier, à la fin des temps. La peinture située dans la conque absidale est d'ailleurs une allusion au Jugement. On y voit le Christ entouré de deux personnifications en attitude d'intercession, dont Misericordia : elle est, avec Pax, Justifia et Veritas, une des quatre vertus présentes lors du Jugement dernier. Sur le fond de l'absidiole apparaissent des couronnes : elles seront distribuées aux justes en signe de récompense et de vie éternelle. L'allusion au Jugement et à l'enfer est la vision qui s'offre au moine lorsqu'il gagnait l'église en franchissant la porte sud du transept. S'avançant vers le choeur où il rejoignait les stalles, le moine pouvait presque aussitôt, grâce au système ingénieux d'ouvertures que nous avons mentionné plus haut, contempler les peintures situées sur le plafond de la chapelle haute, soit le Christ en attitude d'accueil, les anges et peut-être la Jérusalem céleste ; de là jaillissaient les chants des moines. De façon symbolique, ils se rapprochaient ainsi de leurs modèles, les anges. Dans ce parcours symbolique qui le conduisait de la mer maléfique, représentée dans la chapelle Saint¬Theudère, à Dieu et aux anges, les moines pouvaient compter sur les prières des intercesseurs, de la Vierge, des anges et des saints, tous représentés dans la chapelle haute. A Saint-Chef, l'espace nord peut-être assimilé, pour plusieurs aspects, aux Westwerke carolingiens ou aux galilées clunisiennes. Les massifs occidentaux étaient en effet le lieu de commémoration de l'histoire du salut : sites Westwerke étaient surtout le lieu de la liturgie pascale et abritaient les fonts baptismaux, les galilées clunisiennes étaient réservées à la liturgie des morts, les moines cherchant, par leurs prières, à gagner le salut des défunts. A l'entrée des galilées comme à Saint-Chef, l'image du Christ annonçait le face à face auquel les élus auront droit, à la fin des temps. Elevée au Xe siècle et vraisemblablement transformée dans les années 1060-1080, l'église de Saint-Chef reflète, par son évolution architecturale, celle des pratiques liturgiques ; son programme iconographique, qui unit trois espaces distincts de l'église, traduit d'une manière parfois originale les préoccupations et les aspirations d'une communauté monastique du XIe siècle. On soulignera toutefois que notre compréhension des peintures est limitée par la perte du décor qui, sans doute, ornait l'abside et d'autres parties de l'église ; la disparition de la crypte du choeur nuit aussi à l'appréhension de l'organisation liturgique sur cette partie de l'édifice. Seules des fouilles archéologiques ou la découverte de nouvelles peintures pourront peut-être, à l'avenir, enrichir l'état de nos connaissances.

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Objective: To analyze the atmosphere inside incubators regarding alcoholic solvent such as isopropanol or ethanol which are commonly used in hand disinfecting solutions. Design: Observational. Setting: The third level neonatal unit of the Centre Hospitalier Universitaire Vaudois, Lausanne, Switzerland. Patients: Nine neonates with median (range) gestational age of 29 4/7 (25 5/7-39 0/7) weeks and birth weight of 960 (550-3050) grams. All neonates were inside incubators. Interventions: Alcoholic vapors inside incubators were directly and cumulatively measured by photoionisation and gas chromatography respectively after absorption on a charcoal sampling tube. Results: Eleven studies (mean study time: 230 ± 19 minutes) were performed. Highly variable isopropanol/ethanol concentrations profiles were found inside incubators. Peak value for isopropanol was 1982 part per million and for ethanol was 906 part per million. Conclusions: Incubators' inner atmosphere can be highly polluted by alcohol vapors. To reduce them staff should respect long evaporation time between hands disinfection and manipulations inside incubators. The use of an ethanol-based disinfecting solution, because of its short evaporation time, could be favored. As alcohol vapor toxicity for neonate remains largely unknown, further studies could be welcome.

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[Table des matières] 1. Patients et méthodes. 1.1. Enquête dans la population générale : population, modalités d'envoi, taux de réponse. 1.2. Questionnaire SF-36 et questionnaire Medical Outcome Study (MOS) : PF physical functioning = activité physique (fonctionnement) ; RP role physical = limitations (du rôle) liées à la santé physique ; BP bodily pain = douleur physique ; GH General Health = santé générale ; VT vitality = vitalité (énergie/fatigue) ; SF social functioning = fonctionnement ou bien-être social ; RE role éemotional = limitations (du rôle) liées à la santé mentale ; MH mental health = santé mentale ; CF cognitive functioning = fonctionnement cognitif (dimension absente du SF-36 classique) ; HT eported health transition = modification perçue de l'état de santé ("dimension" annexe, = item 2 ou Q2). 1.3. Analyse : calcul des scores du SF-36 et du SF-36 + CF, cohérence des réponses, fiabilité de l'instrument, validité. 1.4. Analyse statistique. 2. Résultats commentés de l'enquête dans la population générale. 2.1. Fréquence des non-réponses par item et par question. 2.2. Cohérence des réponses. 2.3. Scores d'état de santé par dimension : description et comparaison avec une population américaine, comparaison des scores vaudois et genevois. 2.4. Existe-t-il une concentration des bons et des mauvais scores chez les mêmes répondants ? 2.5. Fiabilité. 2.6. Validité : validité convergente et discriminante, analyse factorielle, validation en fonction de variables externes. 3. Discussion. 3.1. Evaluation du questionnaire. 3.2. Mesure de la qualité de vie liée à l'état de santé perçu dans la population générale. 3.3. Adjonction de la dimension "fonctionnement cognitif". 3.4. Conclusions et recommandations.

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BACKGROUND: HIV-infected individuals have an increased risk of myocardial infarction. Antiretroviral therapy (ART) is regarded as a major determinant of dyslipidemia in HIV-infected individuals. Previous genetic studies have been limited by the validity of the single-nucleotide polymorphisms (SNPs) interrogated and by cross-sectional design. Recent genome-wide association studies have reliably associated common SNPs to dyslipidemia in the general population. METHODS AND RESULTS: We validated the contribution of 42 SNPs (33 identified in genome-wide association studies and 9 previously reported SNPs not included in genome-wide association study chips) and of longitudinally measured key nongenetic variables (ART, underlying conditions, sex, age, ethnicity, and HIV disease parameters) to dyslipidemia in 745 HIV-infected study participants (n=34 565 lipid measurements; median follow-up, 7.6 years). The relative impact of SNPs and ART to lipid variation in the study population and their cumulative influence on sustained dyslipidemia at the level of the individual were calculated. SNPs were associated with lipid changes consistent with genome-wide association study estimates. SNPs explained up to 7.6% (non-high-density lipoprotein cholesterol), 6.2% (high-density lipoprotein cholesterol), and 6.8% (triglycerides) of lipid variation; ART explained 3.9% (non-high-density lipoprotein cholesterol), 1.5% (high-density lipoprotein cholesterol), and 6.2% (triglycerides). An individual with the most dyslipidemic antiretroviral and genetic background had an approximately 3- to 5-fold increased risk of sustained dyslipidemia compared with an individual with the least dyslipidemic therapy and genetic background. CONCLUSIONS: In the HIV-infected population treated with ART, the weight of the contribution of common SNPs and ART to dyslipidemia was similar. When selecting an ART regimen, genetic information should be considered in addition to the dyslipidemic effects of ART agents.

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BACKGROUND: Chronic kidney disease (CKD) is associated to a higher stroke risk. Anemia is a common consequence of CKD, and is also a possible risk factor for cerebrovascular diseases. The purpose of this study was to examine if anemia and CKD are independent risk factors for mortality after stroke. METHODS: This historic cohort study was based on a stroke registry and included patients treated for a first clinical stroke in the stroke unit of one academic hospital over a three-year period. Mortality predictors comprised demographic characteristics, CKD, glomerular filtration rate (GFR), anemia and other stroke risk factors. GFR was estimated by means of the simplified Modification of Diet in Renal Disease formula. Renal function was assessed according to the Kidney Disease Outcomes Quality Initiative (K/DOQI)-CKD classification in five groups. A value of hemoglobin < 120 g/L in women and < 130 g/L in men on admission defined anemia. Kaplan-Meier survival curves and Cox models were used to describe and analyze one-year survival. RESULTS: Among 890 adult stroke patients, the mean (Standard Deviation) calculated GFR was 64.3 (17.8) ml/min/1.73 m2 and 17% had anemia. Eighty-two (10%) patients died during the first year after discharge. Among those, 50 (61%) had K/DOQI CKD stages 3 to 5 and 32 (39%) stages 1 or 2 (p < 0.001). Anemia was associated with an increased risk of death one year after discharge (p < 0.001). After adjustment for other factors, a higher hemoglobin level was independently associated with decreased mortality one year after discharge [hazard ratio (95% CI) 0.98 (0.97-1.00)]. CONCLUSIONS: Both CKD and anemia are frequent among stroke patients and are potential risk factors for decreased one-year survival. The inclusion of patients with a first-ever clinical stroke only and the determination of anemia based on one single measure, on admission, constitute limitations to the external validity. We should investigate if an early detection and management of both CKD and anemia could improve survival in stroke patients.

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Background: Modelling epidemiological knowledge in validated clinical scores is a practical mean of integrating EBM to usual care. Existing scores about cardiovascular disease have been largely developed in emergency settings, but few in primary care. Such a toll is needed for general practitioners (GP) to evaluate the probability of ischemic heart disease (IHD) in patients with non-traumatic chest pain. Objective: To develop a predictive model to use as a clinical score for detecting IHD in patients with non-traumatic chest-pain in primary care. Methods: A post-hoc secondary analysis on data from an observational study including 672 patients with chest pain of which 85 had IHD diagnosed by their GP during the year following their inclusion. Best subset method was used to select 8 predictive variables from univariate analysis and fitted in a multivariate logistic regression model to define the score. Reliability of the model was assessed using split-group method. Results: Significant predictors were: age (0-3 points), gender (1 point), having at least one cardiovascular risks factor (hypertension, dyslipidemia, diabetes, smoking, family history of CVD; 3 points), personal history of cardiovascular disease (1 point), duration of chest pain from 1 to 60 minutes (2 points), substernal chest pain (1 point), pain increasing with exertion (1 point) and absence of tenderness at palpation (1 point). Area under the ROC curve for the score was of 0.95 (IC95% 0.93; 0.97). Patients were categorised in three groups, low risk of IHD (score under 6; n = 360), moderate risk of IHD (score from 6 to 8; n = 187) and high risk of IHD (score from 9-13; n = 125). Prevalence of IHD in each group was respectively of 0%, 6.7%, 58.5%. Reliability of the model seems satisfactory as the model developed from the derivation set predicted perfectly (p = 0.948) the number of patients in each group in the validation set. Conclusion: This clinical score based only on history and physical exams can be an important tool in the practice of the general physician for the prediction of ischemic heart disease in patients complaining of chest pain. The score below 6 points (in more than half of our population) can avoid demanding complementary exams for selected patients (ECG, laboratory tests) because of the very low risk of IHD. Score above 6 points needs investigation to detect or rule out IHD. Further external validation is required in ambulatory settings.