831 resultados para weight status


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L’objectif de recherche principal poursuivi dans cette thèse de doctorat est de mieux comprendre le rôle d’une insatisfaction corporelle dans l’adoption de pratiques de maintien et de changement du poids chez des adolescent(e)s québécois(es). Pour atteindre cet objectif de recherche principal, trois articles scientifiques liés les uns aux autres ont été rédigés. Chaque article poursuit des objectifs spécifiques (1er article: estimer les proportions d’adolescent(e)s québécois(e)s poursuivant un objectif de poids apparié et non-apparié à leur poids actuel et identifier les déterminants des objectifs de poids non-apparié au poids actuel, 2e article: identifier des associations entre un objectif de poids apparié vs. non-apparié au poids actuel et la fréquence d’utilisation de différents comportements liés au poids et à l’alimentation, 3e article: observer des associations entre différents degrés d’insatisfaction corporelle et l’utilisation de divers comportements liés au poids et à l’alimentation et examiner le rôle modérateur d’un objectif de poids apparié vs. non-apparié au poids actuel dans ces associations) permettant de répondre à l’objectif de recherche principal. Ces articles ont tous été élaborés à partir de l’analyse secondaire d’une banque de données quantitatives constituée par l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) et nommée: Enquête sociale et de santé auprès des enfants et des adolescents québécois (ESSEA). L’ESSEA a été constitué auprès d’un échantillon populationnel et représentatif d’enfants et d’adolescent(e)s québécois(es) âgé(e)s de neuf, 13 et 16 ans. Les résultats de cette thèse indiquent qu’une insatisfaction corporelle est associée à la poursuite d’un objectif de poids non-apparié au poids actuel, ainsi qu’à l’utilisation de comportements liés au poids et à l’alimentation sains, malsains et déviants. Des associations ont également été observées entre l’objectif de poids poursuivi par un adolescent(e) et divers comportements utilisés pour l’atteindre. En effet, la poursuite d’un objectif de poids non-apparié au poids actuel est associée à l’utilisation de comportements malsains. Cette association n’est cependant pas présente en ce qui à trait à l’utilisation de comportements sains et déviants, ceux-ci étant strictement prédits par une insatisfaction corporelle. Des effets de médiation et de modération ont aussi été identifiés. Une insatisfaction corporelle est une variable de médiation entre une détresse psychologique chez les adolescentes et la poursuite d’un objectif de poids non-apparié au poids actuel. Finalement, un objectif de poids non-apparié au poids actuel est une variable modifiant l’association entre une insatisfaction corporelle et l’utilisation de comportements malsains chez les adolescent(e)s québécois(es). En conclusion, il existe diverses associations entre une insatisfaction corporelle et l’adoption de pratiques de maintien et de changement du poids chez des adolescent(e)s québécois(es). Une insatisfaction corporelle est donc une cible d’intervention pertinente pour la santé publique puisqu’elle peut servir de base à l’élaboration d’interventions visant la promotion d’un poids santé ainsi que de saines stratégies de contrôle du poids.

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Objectif: Examiner le lien entre la participation des parents aux activités physiques (AP) de leur enfant et les habitudes de vie et le statut pondéral de ces derniers. Méthode: Les données proviennent de l’Enquête Sociale et Santé des Enfants et des Adolescent Québécois (1999), comprenant des échantillons représentatifs de jeunes de 9, 13 et 16 ans (n=2511). L’implication des parents est définie par aucun, 1 seul, ou 2 parents faisant de l’AP avec leur enfant ≥1/semaine. Un rappel 7 jours a servi à classer les jeunes selon leur niveau d’AP, soit faible, modéré ou élevé. Le temps d’écran a été défini par: ≤14 vs. >14 heures/semaine. Le statut pondéral a été défini selon les critères de Cole. Résultats: Lorsque les deux parents participent aux AP du jeune, le niveau d’AP des adolescents de 13 (OR 3.89, IC 95%: 1.85-8.18) et 16 ans (OR 3.45, IC 95%: 1.32-9.01) est davantage élevé, et le temps d’écran moindre (OR 2.36, IC 95%: 1.30-4.25) chez ceux de 13 ans. Des analyses secondaires montrent que le lien entre l’implication des parents et le niveau d’AP des jeunes est présent chez les familles biparentales seulement; le lien avec le temps d’écran est présent dans les quartiers sécuritaires seulement. Aucune association n’est observée pour le statut pondéral. Conclusion: Les stratégies de promotion de la santé ciblant la participation des parents aux AP de leurs enfants pourraient réduire le fardeau des maladies chroniques, étant donné l’association favorable entre leur implication et les habitudes de vie des jeunes.

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Le surpoids (embonpoint et obésité) chez l’enfant est un problème préoccupant qui prend de plus en plus d’ampleur. Le rôle du parent dans cette problématique est prédominant, puisqu’il assure la disponibilité des aliments, choisit les mets présentés, joue le rôle de modèle dans l’acte alimentaire et interagit avec l’enfant durant les prises alimentaires pour guider son comportement alimentaire. Le parent offre et façonne l’environnement dans lequel évolue l’enfant. Cette thèse explore le rôle de la mère dans cet environnement. Le parent utilise diverses pratiques alimentaires pour guider l’alimentation de l’enfant. Certaines sont douces, comme encourager positivement l’enfant à essayer un aliment (ex. Goûtes-y, moi je trouve ça très bon!) et d’autres plus coercitives (ex. Tu ne sors pas de table sans avoir terminé ton assiette). Les interactions parent-enfant lors de la prise alimentaire sont susceptibles d’avoir différentes conséquences sur l’alimentation de l’enfant, modifiant possiblement les apports alimentaires, les préférences, la néophobie et le statut pondéral. Les interactions parent-enfant en général, donc hors du contexte précis de l’alimentation, peuvent aussi influencer les comportements alimentaires de l’enfant. L’objectif général de cette thèse est d’explorer les relations entre les interactions parent-enfant en général, aussi nommées « styles parentaux » (SP), les interactions parent-enfant dans le contexte alimentaire, portant le nom de «styles parentaux alimentaires» (SPA), les stratégies alimentaires utilisées par les parents pour guider l’alimentation de l’enfant, nommées « pratiques alimentaires parentales » (PAP), les comportements alimentaires de l’enfant et le statut pondéral de ce dernier. Cette thèse comprend 4 objectifs spécifiques. D’abord, d’examiner les relations entre les SP, les SPA et les PAP. Dans un deuxième temps, les relations entre les SPA, le comportement alimentaire de l’enfant (préférence et fréquence de consommation) et le statut pondéral de l’enfant seront explorées. Puis, l’existence de relations entre l’usage de PAP et le comportement alimentaire de l’enfant sera évaluée. Finalement, les relations entre les attitudes de la mère à l’égard de son poids et de celui de son enfant et du comportement néophobique de l’enfant seront explorées. Cent vingt-deux mères d’enfants d’âge préscolaire, de 3 à 5 ans, ont été recrutées par des milieux de garde de l’île de Montréal et ont complété et retourné un questionnaire auto-administré portant sur le style parental, style parental alimentaire, les PAP, les fréquences de consommation de l’enfant, les préférences de l’enfant pour certains aliments et groupe d’aliments, la néophobie de l’enfant, le poids et la taille de l’enfant, le régime actuel de la mère, la perception du poids de l’enfant, la préoccupation face au poids de l’enfant ainsi que la description du profil familial. Les SP, les SPA et les PAP montrent des corrélations. Les SPA, plus particulièrement les deux échelles qui les composent (exigence et sensibilité) montrent des corrélations avec la consommation et la préférence pour certains aliments. Des différences sont aussi notées entre les différents SPA et le statut pondéral de l’enfant et certains comportements alimentaires. La présente thèse suggère une implication de trois concepts, soient les SP, les SPA et les PAP, dans la dynamique alimentaire de la dyade mère-enfant. Des relations importantes entre les SPA et les préférences alimentaires sont suggérées. Les futures recherches dans ce domaine devront évaluer l’impact relatif des PAP, des SP et des SPA sur le comportement alimentaire (consommation et préférence) et le poids de l’enfant. Une intervention efficace visant des changements de comportements alimentaires auprès des familles devra adresser à la fois les PAP, mais aussi les SP et les SPA.

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Au cours des 30 dernières années, l’embonpoint et l’obésité infantile sont devenus de véritables défis pour la santé publique. Bien que l’obésité soit, à la base, un problème physiologique (i.e. balance calorique positive) une série de facteurs psychosociaux sont reliés à son développement. Dans cette thèse, nous avons étudié le rôle des facteurs périnataux et de la petite enfance dans le développement du surpoids, ainsi que la relation entre le surpoids et les troubles internalisés au cours de l’enfance et au début de l’adolescence. Nous avions trois objectifs généraux: 1) Modéliser le développement de l’indice de masse corporelle (IMC) ou du statut pondéral (le fait d’être en surpoids ou non) durant l’enfance, ainsi qu’estimer l’hétérogénéité dans la population au cours du temps (i.e. identification de trajectoires développementales de l’IMC). 2) Identifier les facteurs périnataux et de la petite enfance pouvant accroitre le risque qu’un enfant suive une trajectoire menant au surpoids adolescente. 3) Tester la possibilité que le surpoids durant l’enfance soit associé avec des problèmes de santé mentale internalisés à l’adolescence, et vérifier la possibilité qu’une telle association soit médiatisée par l’expérience de victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle. Ce travail est mené dans une perspective de développement au cours de la vie (life span perspective), considérant l’accumulation des facteurs de risques au cours du temps ainsi que les facteurs qui se manifestent durant certaines périodes critiques de développement.1,2 Nous avons utilisé les données provenant de l’Étude Longitudinale du Développement des Enfants du Québec (ELDEQ), une cohorte de naissances de la province de Québec, Canada. L’échantillon initial était composé de 2120 familles avec un bébé de 5 mois nés au Québec en 1997. Ces familles ont été suivies annuellement ou à tous les deux ans jusqu’à ce que les enfants atteignent l’âge de 13 ans. En ce qui concerne le premier objectif de recherche, nous avons utilisé la méthode des trajectoires développementales fondée sur des groupes pour modéliser l’IMC en continu et en catégories (surpoids vs poids normal). Pour notre deuxième objectif, nous avons effectué des modèles de régression multinomiale afin d’identifier les facteurs périnataux et de la petite enfance associés aux différents groupes développementaux du statut pondéral. Les facteurs de risques putatifs ont été choisis parmi les facteurs identifiés dans la littérature et représentent l’environnement périnatal, les caractéristiques de l’enfant, ainsi que l’environnement familial. Ces facteurs ont été analysés longitudinalement dans la mesure du possible, et les facteurs pouvant servir de levier potentiel d’intervention, tels que l’usage de tabac chez la mère durant la grossesse, le sommeil de l’enfant ou le temps d’écoute de télévision, ont été sélectionnés pour l’analyse. Pour notre troisième objectif, nous avons examiné les associations longitudinales (de 6 à 12 ans) entre les scores-z d’IMC (selon la référence CDC 2000) et les problèmes internalisés avec les modèles d’équations structurales de type « cross-lagged ». Nous avons ensuite examiné comment la victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle durant l’enfance peuvent médiatiser un lien potentiel entre le surpoids et les troubles internalisés au début de l’adolescence. Les contributions scientifiques de la présente thèse incluent l’identification de trajectoires distinctes du statut pondérale durant l’enfance (précoce, tardive, jamais en surpoids), ainsi que les facteurs de risques précoces et les profils de santé mentale pouvant différer selon la trajectoire d’un enfant. De plus, nous avons identifié des mécanismes importants qui expliquent une partie de l’association entre les trajectoires de surpoids et les troubles internalisés: la victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle.

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Estudio cualitativo que analiza los abordajes teóricos utilizados por diferentes autores en la comprensión de la influencia de los recursos económicos en la actividad física desde los modelos de determinantes y determinación social.

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Chemotherapy is a common and effective method to treat many forms of cancer. However, treatment of cancer with chemotherapy has severe side effects which often limit the doses of therapy administered. Because some cancer chemotherapeutics target proliferating cells and tissues, all dividing cells, whether normal or tumor, are affected. Cell culture studies have demonstrated that UCN-01 is able to reversibly and selectively arrest normal dividing cells; tumor cells lines do not undergo this temporary arrest. Following UCN-01 treatment, normal cells displayed a 50-fold increase in IC50 for camptothecin; tumor cells showed no such increased tolerance. We have examined the response of the proliferating tissues of the mouse to UCN- 01 treatment, using the small bowel epithelium as a model system. Our results indicate that UCN-01 treatment can cause a cell cycle arrest in the gut epithelium, beginning 24 hours following UCN-01 administration, with cell proliferation remaining suppressed for one week. Two weeks post-UCN-01 treatment the rate of proliferation returns to normal levels. 5-FU administered during this period demonstrates that UCN-01 is able to provide protection to normal cells of the mouse within a narrow window of efficacy, from three to five days post-UCN-01. UCN-01 pretreated mice displayed improved survival, weight status and blood markers following 5-FU compared to control mice, indicating that UCN-01 can protect normal dividing tissues. The mechanism by which UCN-01 arrests normal cells in vivo was also examined. We have demonstrated that UCN-01 treatment in mice causes an increase in the G1 phase cell cycle proteins cdk4 and cyclin D, as well as the inhibitor p27. Phosphorylated Rb was also elevated in the arrested cells. These results are a departure from cell culture studies, in which inhibition of G1 phase cyclin dependent kinases led to hyposphosphorylation of Rb. Future investigation will be required to understand the mechanism of UCN-01 action. This is important information, especially for identification of alternate compounds which could provide the protection afforded by UCN-01.

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This descriptive systematic review describes intervention trials for children and youth that targeted screen time (ST) as a way to prevent or control obesity and measured ST, and at least one of the following: physical activity, dietary intake, and adiposity. Both “hands-on” (e.g., video games) and “hands free” (e.g., television viewing) ST were included. Published, completed intervention trials (k=12), not-yet-published, completed trials (k=6), and in-progress trials (k=11) were identified through searches of electronic databases, including trial registries and bibliographies of eligible study reports. Study characteristics of the 29 identified trials were coded and presented in evidence tables. Considerable attention was paid to the type of ST addressed, measures used, and the type of interventions. Based on the number of in-progress and not-yet-published trials, the number of completed, published reports will double in the next three years. Most of the studies were funded by federal sources. General populations, not restricted by race, gender, or weight status, were targets of most interventions with children ages 9-12 yeas as the modal age group. Most trials used randomized control trials in which the majority of control or comparison group received an intervention. The mean number of participants was 242.8 (SD=314.7) and interventions were delivered over an average of 10.5 months and consisted of approximately 16 sessions, with a total time of about eight hours. The majority of completed trials evaluate each of the four constructs, however, most studies have more than one measure to assess each construct (e.g., BMI and tricep skinfold thickness to evaluate adiposity) and rarely did studies use the same measures. This is likely why the majority of studies produced at least one significant intervention effect on each outcome that was assessed. The four major outcomes should be evaluated in all interventions attempting to reduce screen time in order to determine the mechanisms involved that may contribute to obesity. More importantly researchers should work together to determine the best measures to evaluate the four main constructs to allow studies to be compared. Another area for consensus is the definition of ST. ^

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Children with Special Health Care Needs comprise approximately 13% of children within the state of Texas. In addition to their primary diagnosis, it is estimated that approximately 18% of these children with special health care needs are overweight. Many times parents of children with special health care needs are extremely busy dealing with the daily responsibilities required to care for a child with a chronic illness, and thus, lose connections with their local communities and available resources for health needs such as obesity. Texas Children’s Hospital’s Wellness Program for Children with Special Health Care Needs is a family-centered wellness program to prevent obesity in this population; however, no formal evaluation of the program has been conducted. The purpose of this study was to assess the effectiveness of the Texas Children’s Saturday Wellness Program on weight status, nutrition knowledge, and the frequency of physical activity of children who participated in the program. A secondary data analysis was conducted with 50 children with special health care needs and their families who participated in the program during 2007 and 2008. A pre post-test study design was used with data collected immediately before and after participation in the 4 week program. Data measures included demographics (age, race, etc.), anthropometrics (height and weight), a quality of life survey focusing on nutrition and physical activity behaviors, and a knowledge survey on physical activity and nutrition. Of 50 participants, 33 (66%) completed the program. Children participating in the program showed a significant decrease in BMI (mean=29.83 to mean=29.22, BMI z score p<0.01), as well as frequency of physical activity (p<0.05) and knowledge (p<0.01). Texas Children’s Hospital’s wellness program for children with special health care needs provided a promising structure for a wellness program within a multi-ethnic special needs population; however, long term effect research is needed with a larger sample size and more comprehensive outcomes and process measures. Nonetheless, this program indicates the effectiveness and feasibility of a family-based approach to weight loss in children with special needs.^

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Obesity prevalence in the U.S. has increased during the last three decades with major impact on public health. Screening for obesity in a population with unknown weight status can be time- and resource-consuming, but the information is valuable for prioritizing and allocating scarce resources. The challenge remains to properly assess obesity with the available methods. Body Image Rating Scales (BIRS) have initially been developed to assess body image disturbances, but also seem useful as an alternative method in assessing obesity prevalence. Several different BIRS exists. In this project I reviewed the literature that exists regarding the use of BIRS, and its advantages and limitations for the assessment of obesity status with regards to BMI. The result yielded nine publications that examined eight different scales and their correlation with BMI, ranging from r=.59 for self-reported BMI to r=.94 for measured BMI. One concern is the lack of standardization of this method to assess obesity, given the range of different scales. While many methods for obesity assessment are available, the simplicity, ease of use and cost-effectiveness of BIRS make it very appealing. BIRS remain a potentially attractive option to assess the weight status of a large population with minimal requirements in assets and time, especially in situations where measuring instruments are not available, or when height or weight could not be recalled.^

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The relationship between obesity and mental health disorders has not been explored among adolescents in India. Although evidence from western countries has failed to demonstrate conclusive associations, a tremendous increase in the prevalence of obesity and overweight among urban adolescents in India, along with an absolute lack of studies into mental health of Indian adolescents, necessitate the need for research in this population. This present study used data collected from 861 urban 6th and 8th graders from Delhi, India and tested for the associations of weight status with psychiatric symptomatology and other weight related behaviors. The Strengths and Difficulties questionnaire (SDQ) was used to collect data on psychiatric symptoms. Falling into the overweight or obese category was hypothesized to be associated with borderline or abnormal scores on the SDQ scales. Results indicated a high prevalence for overweight/obesity among the population (>30%). No significant associations were demonstrated between weight status and borderline/abnormal SDQ scores on all the scales. However, significant associations were found between sedentary behaviors (screen time >2 hrs daily), positive and negative weight-control behaviors and borderline/abnormal SDQ scores on various scales. In light of these new findings, a further exploration of the relationship in this population is indicated.^

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The study objectives were to (i) Describe the frequency and priority of family meals, (ii) Compare the family mealtime environment by gender and SES, (iii) Examine the association between family meals and weight status among adolescents living in New Delhi, India, (iv) Examine the association between family meals and eating patterns (healthy/unhealthy) among adolescent boys and girls living in New Delhi, India. Survey and anthropometric data were collected from 8th and 10th grade students (n=1818) from four Government (public) schools and four private schools who participated in the HRIDAY study. Chi-square tests were used to evaluate if the distributions of outcomes and exposure varied by gender and SES groups. Logistic regression models were used to obtain the association of weight status (underweight / normal weight Vs overweight / obese) with frequency of family meals as the main exposure. Overall the prevalence of obesity was more among the mid- high SES group and in boys. Over half of the participants had 7 or more family meals in the past week. There was no statistically significant association seen between family meals and weight status. Majority of the participants believed that eating healthy food and maintaining a healthy weight was important and eating at least one family meal was important. Majority of the participants who ate more than 3 or more family meals eat healthy food and also ate fast food. Intervention strategies should focus on the high risk group. Private schools are appropriate settings for interventions. Eating with families should be encouraged and future research should examine family meal patterns.^

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Background. The childhood obesity epidemic has disproportionately impacted the lives of low-income, minority preschoolers and their families. Research shows that parents play a major role as "gatekeepers" who control what food is brought into the home and as role models for dietary practices. Currently, there is limited research regarding ethnic differences in families of low-income preschoolers. ^ Objective. The objective of this study was to look at ethnic differences in food availability at home among the low-income families of Hispanic and African American preschoolers attending Head Start centers in Harris County, Texas. ^ Design/Subjects. Descriptive data on food availability at home between Hispanic and African American families were used and analyzed for this study. Parents or primary caregivers (n = 718) of children enrolled at Head Start Centers in Houston, Texas completed the Healthy Home Survey. ^ Methods. In the Healthy Home Survey, participants were asked to answer open-ended questions regarding various types of foods currently available at home, such as fresh, canned or jarred, dried and frozen fruits; fresh, canned or jarred, and frozen vegetables; salty snacks, sweet snacks, candy, and soda. Descriptive analyses were conducted to identify significant differences between Hispanics and African Americans via a paired t-test to compare the means of variables between the study groups and a Pearson's chi-square or Fischer's exact (if cell size was <5) test calculated for food availability (food types) between ethnicities to determine differences in distributions. ^ Results. Although both Hispanics and African Americans reported having all categories of food types at home, there were statistically significant differences between ethnic groups. Hispanics were more likely to have fresh fruits and vegetables at home than African Americans. At the same time, more African American families reported having canned or jarred fruits and canned green/leafy vegetables than Hispanics. More Hispanic families reported having diet, regular, and both diet and regular sodas available compared to African American families. However, high percentages of unhealthy foods (including snacks and candy) were reported by both ethnicities. ^ Conclusions. The findings presented in this study indicate the implicit ethnic differences that exist in the food availability among low-income families of Hispanic and African American preschoolers. Future research should investigate the associations between food availability and children's weight status by ethnicity to identify additional differences that may exist.^

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Background. Previous studies suggest an association between timing of introduction of solid food and increased risk of obesity in pre-school aged children, but no study included a representative sample of US children. We sought to examine whether there was any association between the timing of solid food introduction and overweight/obesity in pre-school aged children. Design/methods. Cross-sectional study of a nationally representative sample (N=2050) of US children aged 2 to 5 years with information on infant feeding practices and measured weight and height from the National Health and Nutrition Examination Survey 2003–2008. The main outcome measure was BMI for age and sex ≥ 85th percentile. The main exposure was timing of solid food introduction at < 4, 4–5, or ≥ 6 months of age. Binomial logistic regression was used in the analysis controlling for child's sex, birth weight and breastfeeding status as well as maternal age at birth, smoking status and socio-demographic variables. Results. Two thousand and fifty children were included in the sample; 51% male and 49% female; 57.1% Non-Hispanic White, 21.9% Hispanic, 14.0% Non-Hispanic Black, and 7% other race/ethnicity. Twenty-two percent of the children were overweight or obese. Sixty-nine percent were breastfed or fed breast milk at birth and 36% continued breastfeeding for ≥ six months. Solid foods were introduced before 4 months of age for 11.2% of the children; 30.3% received solid foods between 4 to 5 months; with 58.6% receiving solid foods at 6 months or later. Timing of solid food introduction was not associated with weight status (OR= 1.36, 95% CI [0.83–2.24]). Formula-fed infants and infants breastfed for < 4 months had increased odds of overweight and obesity (OR=1.54, 95% CI [1.05–2.27] and OR= 1.60, 95% CI [1.05–2.44], respectively) when compared to infants breastfed for ≥ 6 months. Conclusion. Timing of solid food introduction was not associated with weight status in a national sample of US children ages 2 to 5 years. More focus should be placed on promoting breastfeeding and healthy infant feeding practices as strategies to prevent obesity in children. ^

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Child obesity in the U.S. is a significant public health issue, particularly among children from disadvantaged backgrounds. Thus, the roles of parents’ human and financial capital and racial and ethnic background have become important topics of social science and public health research on child obesity. Less often discussed, however, is the role of family structure, which is an important predictor of child well-being and indicator of family socioeconomic status. The goal of this study, therefore, is to investigate how preschool aged children’s risk of obesity varies across a diverse set of family structures and whether these differences in obesity are moderated by family poverty status and the mothers’ education. Using a large nationally representative sample of children from the Early Childhood Longitudinal Study – Birth Cohort, we find that preschoolers raised by two biological cohabiting parents or a relative caregiver (generally the grandparent) have greater odds of being obese than children raised by married biological parents. Also, poor children in married biological parent households and non-poor children in married step parent households have greater obesity risks, while poor children in father only, unmarried step, and married step parent families actually have lower odds of obesity than children in non-poor intact households. The implications of these findings for policy and future research linking family structure to children’s weight status are discussed.

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La investigación del peso corporal en sujetos con retraso mental (RM) ha sido emparentada con la obesidad y, en menor medida, con el bajo peso. Con el motivo de determinar el estado del peso corporal y establecer si existen desviaciones respecto al peso normal, es que se realizó un estudio con diseño descriptivo transversal teniendo en cuenta las diferentes variables que afectan a sujetos con retraso mental, tomando como indicadores de evaluación el Índice de Masa Corporal y el IMC para la Edad, recolectándose los datos en concurrentes a un Centro de Día. Según este trabajo, el estado de peso corporal en sujetos con RM varía entre el peso normal y el exceso de peso en forma de sobrepeso y de obesidad, en menor medida el bajo peso. Los grupos de mujeres, individuos mayores de edad, sujetos con capacidad ambulatoria, discapacidad mental, menor grado de retraso mental, poseen mayor riesgo de sobrepeso y obesidad según los porcentuales obtenidos; mientras que los conjuntos de sujetos menores de 20 años, discapacidad motora, mayor grado de retraso mental, parálisis cerebral, individuos cuyo desplazamiento ambulatorio es nulo o casi nulo, y en menor medida varones y personas con discapacidad visual, presentaron tendencia al peso normal y el bajo peso como grupo. En los sujetos que recibían medicación su peso corporal se distribuía en valores proporcionales entre los diferentes estados. Nuevas investigaciones que muestren preocupación por las personas con discapacidad intelectual favorecerán la calidad de vida y el desenvolvimiento de este conjunto en la sociedad