869 resultados para resource-based theory (RBV)
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Tämän kandidaatintutkielman aiheena on selvittää ja analysoida energiatoimialan allianssien kehitystä Euroopassa vuosien 1990–2009 aikana. Euroopan energia- ja sähkömarkkinat muuttuivat 1980-luvun lopulla, jolloin kansallisia monopoleja puret-tiin ja energia- ja sähkötoimialalle haluttiin luoda kilpailulliset markkinat. Tarkoituksena on tutkia, onko energiatoimialalla muodostettu alliansseja noususuhdanteisesti vuosien 1990–2009 aikana. Tutkimusaineiston avulla on pyritty selvittämään, millaisia alliansseja energiatoimialalla on solmittu, mitkä motiivit ovat vaikuttaneet allianssin muodostamiseen, mitkä kriteerit ovat vaikuttaneet allianssipartnerin valintaan ja mihin toimialaan allianssipartnerit kuuluvat. Tässä tutkimuksessa allianssit on rajattu koskemaan yhteisyrityksiä ja strategisia alliansseja. Motiiveja allianssien muodostamiseen on käsitelty kolmen eri teorian pohjalta, jotka ovat resurssiperusteinen teoria, transaktiokustannusteoria ja strategisten ja sosiaalisten aspektien teoria. Allianssikumppanin valintaan vaikuttavia tekijöitä on käsitelty tehtävä- ja partnerisuuntautuneita kriteereitä koskevan teorian pohjalta. Tutkimuksen empiirisessä osassa on käytetty SDC Platinum-tietokantaa, josta on saatu kaikki Euroopassa muodostetut energia-alan allianssit vuosina 1990–2009. SDC Platinum-tietokannasta saatavaa aineistoa on kuvailtu ja analysoitu laadullisin menetelmin.
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The literature on agency suggests different implications for the use of export intermediaries. However, only few studies provide a view on import intermediaries. This thesis tries for its part to fill this research gap by studying the import intermediaries in the EU–Russia trade from a Russian industrial company’s point of view. The aim is to describe import intermediation and explain the need for import intermediary companies in the EU–Russia trade. The theoretical framework of this thesis originates from an article by Peng and York (2001), in which they study the performance of export intermediaries. This thesis applies resource-based theory, transaction cost theory and agency cost theory, following the idea of Peng and York. The resource-based theory approach is utilised for describing an ideal import intermediary company, and transaction cost theory provides a basis for understanding the benefits of using the services of import intermediary companies, while agency cost theory is applied in order to understand the risks the Russian industrial company faces when it decides to use the services of import intermediaries. The study is performed in the form of a case interview with a representative of a major Russian metallurgy company. The results of the study suggest that an ideal intermediary has the skills required specifically for the imports process, in order to save time and money of the principal company. The intermediary company helps reducing the amount of time the managers and the staff of the principal company use to make imports possible, thus reducing the salary costs and providing the possibility to concentrate on the company’s core competencies. The benefits of using the services of import intermediary companies are the reduced transaction costs, especially salary costs that are minimised because of the effectiveness and specialisation of import intermediaries. Intermediaries are specialised in the imports process and thus need less time and resources to organise the imports. They also help to reduce the fixed salary costs, because their services can be used only when needed. The risks of being misled by intermediaries are minimised by the competition on the import intermediary market. In case an intermediary attempts fraud, it gets replaced by its rival.
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Les milieux de travail canadiens présentent des visages diversifiés et en pleine mutation. En raison de facteurs tels que les nouvelles technologies, la mondialisation, l’économie du savoir ou encore l’évolution démographique, la transformation des entreprises canadiennes passe par une main-d’œuvre qualifiée, adaptable et de qualité. Notre recherche s’inscrit dans le cadre des études s’intéressant aux comportements des entreprises en matière d’investissement en capital humain au Canada. Nous avons retenu un cadre théorique qui est constitué principalement de la théorie du capital humain, de celle des ressources internes et de l’approche des coûts et des bénéfices. Pour les fins de notre recherche, nous retenons une approche quantitative longitudinale, en utilisant des données secondaires issues du questionnaire des employeurs de l’Enquête sur le milieu de travail et les employés pour les années 1999 à 2005 inclusivement. La nature longitudinale de l’EMTE permet de corriger pour les biais liés à l’hétérogénéité non observée des firmes et à l’endogénéité possible de la variable de formation. Notre étude se divise globalement en trois articles. Dans les deux premiers cas, les dépenses en formation sont considérées comme une variable explicative de la productivité et du taux de roulement des employés. Dans le troisième cas, les dépenses de formation constituent la variable dépendante à l’étude. Le premier article examine l’effet des investissements en formation sur la productivité des entreprises canadiennes. La littérature scientifique traitant de l’impact de la formation sur la performance des entreprises continue de s’accroître dû aux nouvelles techniques d’estimations, à la disponibilité des données, et à l’intérêt grandissant pour le capital humain. Les résultats partiels des études antérieures montrent la possibilité que les retours des investissements réalisés en formation puissent avoir des effets au-delà de l’année courante. Sur le plan théorique, cette hypothèse a du sens, mais au niveau empirique il semble que les liens formels entre la formation et la productivité des entreprises ne sont pas clairement identifiés. Nos résultats montrent que les investissements en formation réalisés avec trois années de retard engendrent des effets positifs et significatifs sur la productivité à court et à moyen termes. L’interaction entre les différents types d’investissements permet de vérifier l’hypothèse à l’effet que les investissements en capital physique et en capital humain soient complémentaires et se supportent mutuellement. Après avoir procédé à l’estimation de l’effet des dépenses en formation structurée sur la productivité des entreprises, nous nous demandons pour quelles raisons les employeurs demeurent réticents quant aux retours des investissements en formation ? Dans le cadre de cette seconde réflexion, nous nous intéressons à deux dimensions de l’estimation du roulement, à savoir le roulement de nature volontaire et une mesure de l’optimum. Les résultats obtenus quant à l’effet des dépenses en formation structurée par employé sur les taux de roulement volontaire et optimal montrent que la relation est positive dans les deux cas. Cet article vise également à vérifier si différents outils organisationnels associés aux relations industrielles peuvent avoir un effet sur la réduction du taux de roulement volontaire des employés. Nos résultats montrent aussi que la présence syndicale et la perception d’un bon climat de travail traduisent dans un sens, un environnement dans lequel l’employeur et les employés ont des intérêts communs pour la poursuite de mêmes objectifs. Dans le cadre du troisième article, nous examinons certains déterminants des investissements en formation structurée au sein des milieux de travail. Nos résultats montrent qu’une entreprise de grande taille, qui investit davantage en capital physique par employé par rapport à la moyenne, au sein de laquelle un grand pourcentage de travailleurs utilisent un ordinateur, où il y a une proportion élevée de nouvelles embauches et pour laquelle l’employeur introduit un système cohérent de pratiques dépense davantage en formation structurée qu’une entreprise qui ne possède pas ces caractéristiques, toutes choses égales par ailleurs. Ces résultats permettent de discuter également de la complémentarité des facteurs faisant partie d’un cercle vertueux de croissance des entreprises pouvant déterminer les investissements en formation.
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No es requerido en este caso
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La obtención de una ventaja competitiva, el desarrollo, el crecimiento, la perdurabilidad, entre otros, son los aspectos que buscan las organizaciones a través de las estrategias que se definen. Sin embargo, no es suficiente con diseñar las metas y los objetivos que se quieren alcanzar, es necesario aterrizar estos propósitos en planes de acción e involucrar a todos los miembros de la organización, lo cual se consigue a través de la implantación de la estrategia. En este sentido, la etapa de implantación de la estrategia en una organización, da curso al camino establecido en la etapa de formulación de la estrategia, por lo tanto, se relaciona directamente con su éxito o su fracaso. No obstante, este proceso no depende de algunos pocos miembros de la organización, de directivos o de funcionarios, sino que depende de la buena sincronización y armonía de todos aquellos que hacen parte de ella. La presente investigación a través de la revisión teórica y de evidencias empíricas, busca poner de manifiesto la incidencia de dos aspectos clave en la organización sobre la implantación de la estrategia, por un lado, los líderes, a partir de sus competencias interpersonales y por otro el capital humano, a partir de sus valores. Los resultados obtenidos muestran que tanto las competencias del líder como los valores del capital humano son determinantes para la adecuada implantación de la estrategia organizacional.
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En este proyecto se realizará una investigación del método analítico, en donde se utilizará una herramienta descrita en el libro “Análisis estructural de sectores estratégicos” (Restrepo & Rivera, 2008) que permitirá comparar los sectores de la construcción y las variables de mercado, para poder plantear una estrategia adecuada que le permita a la empresa Redes y Proyectos de Energía S.A. ser competitiva y cumplir con las necesidades y expectativas de sus clientes. Por este motivo se ve la necesidad de proponer una estrategia de crecimiento para que Redes y Proyectos de Energía S.A., pueda orientarse estratégicamente y pueda llegar a ser una empresa corporativa sostenible y fuertemente posicionada en el sector de las instalaciones eléctricas de media y baja tensión, telecomunicaciones y automatización, puesto que el mismo, ha evolucionado y crecido de una manera acelerada, por lo cual se considera necesario incursionar en nuevos campos y estrategias para mantener su crecimiento y que pueda ser perdurable. Los estudios que van a permitir proponer estas tácticas se soportan en un análisis de aplicación de pruebas económicas como son: Análisis de Hacinamiento, Levantamiento de Panorama Competitivo, Análisis estructural de la Fuerzas del Mercado y Estudio de Competidores, (Restrepo & Rivera, 2006, pág. 29) en donde con un análisis estructural de sectores, se investigarán las necesidades del sector, exigencias de los clientes y se examinará que estará pasando con los competidores, para que se pueda precisar el modelo de negocio que la empresa debe seguir y plantear alternativas que generen un escenario futuro exitoso.
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Como parte del trabajo de doctorado de la Señora Ángela Lucia Noguera Hidalgo, el presente documento reúne un compilado de las diversas fuentes relacionadas con el concepto biológico de la “competencia” y su relación con las organizaciones. Es un trabajo en donde a partir de las investigaciones ya existentes se realiza un resumen concienzudo sobre el tema, logrando de este modo un estado del arte.
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Este trabajo recopila literatura académica relevante sobre estrategias de entrada y metodologías para la toma de decisión sobre la contratación de servicios de Outsourcing para el caso de empresas que planean expandirse hacia mercados extranjeros. La manera en que una empresa planifica su entrada a un mercado extranjero, y realiza la consideración y evaluación de información relevante y el diseño de la estrategia, determina el éxito o no de la misma. De otro lado, las metodologías consideradas se concentran en el nivel estratégico de la pirámide organizacional. Se parte de métodos simples para llegar a aquellos basados en la Teoría de Decisión Multicriterio, tanto individuales como híbridos. Finalmente, se presenta la Dinámica de Sistemas como herramienta valiosa en el proceso, por cuanto puede combinarse con métodos multicriterio.
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La creación de conocimiento al interior de las organizaciones es visible mediante la dirección adecuada del conocimiento de los individuos, sin embargo, cada individuo debe interactuar de tal manera que forme una red o sistema de conocimiento organizacional que consolide a largo plazo las empresas en el entorno en el que se desenvuelven. Este documento revisa elementos centrales acerca de la gestión de conocimiento visto desde varios autores y perspectivas e identifica puntos clave para diseñar un modelo de gestión de conocimiento para una empresa del sector de insumos químicos para la industria farmacéutica, cosmética y de alimentos de la ciudad de Bogotá.
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Siguiendo un marco teórico integrado por varios autores entorno a los sistemas de control de gestión a lo largo de varias décadas, este trabajo pretende estudiar y contrastar la relación entre el desarrollo de dichos sistemas y los recursos y capacidades. Para tal fin, se desarrolló un estudio de caso en Teleperformance Colombia (TC), una empresa dedicada a prestación de servicio de tercerización de procesos o business process outsourcing. En el estudio se establecieron dos variables para evaluar el desarrollo de sistema de control de gestión: el diseño y el uso. A su vez, para cada uno de ellos, se definieron los indicadores y preguntas que permitieran realizar la observación y posterior análisis. De igual manera, se seleccionaron los recursos y capacidades más importantes para el desarrollo del negocio: innovación, aprendizaje organizacional y capital humano. Sobre estos se validó la existencia de relación con el SCG implementado en TC. La información obtenida fue analizada y contrastada a través de pruebas estadísticas ampliamente utilizadas en este tipo de estudios en las ciencias sociales. Finalmente, se analizaron seis posibles relaciones de las cuales, solamente se ratificó el relacionamiento positivo entre uso de sistema de control gestión y el recurso y capacidad capital humano. El resto de relacionamientos, refutaron los planteamientos teóricos que establecían cierta influencia de los sistemas de control de gestión sobre recursos y capacidades de innovación y aprendizaje organizacional.
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O trabalho analisa em caráter exploratório, através de um estudo de caso com a Etna, quais são os fatores de competitividade e sua relevância para uma nova entrante no setor de móveis. Para isso, o trabalho parte da literatura para indicar possíveis fatores candidatos e segue para uma etapa de campo, em busca de elementos que permitam a análise de sua relevância através de um modelo de competitividade retirado da literatura de estratégia, o modelo VRIO. Os fundamentos teóricos utilizados neste trabalho vieram principalmente da escola estratégica da Visão Baseada em Recursos (Resource-based View – RBV), do marketing de varejo e da gestão de serviços. Na etapa de campo, foram realizadas entrevistas com gestores da Etna, consumidores de móveis, e visita de observação à loja e a concorrentes, com o objetivo de verificar na realidade e nas atuais condições do mercado, as manifestações de possíveis fontes de vantagem competitiva para a empresa, para a partir disso inferir a respeito das condições de competitividade da empresa no setor. Os resultados encontrados apontaram que a Etna hoje se encontra em uma situação de paridade competitiva no mercado, não se podendo dizer que haja vantagem relevante, apesar do sucesso anunciado. Isso equivale a dizer que os fatores competitivos de que ela dispõe, hoje, são tão valiosos quanto os dos concorrentes. No momento atual, seu sucesso está mais relacionado ao fato dela ter atingido a paridade competitiva rapidamente em um mercado pouco dinâmico e com concorrentes pouco inovadores e diferenciados, do que com a detenção de recursos diferenciados. A vantagem competitiva, entretanto, poderia surgir com o tempo, que será o fator fundamental para o sucesso futuro. A atividade dos concorrentes, por sua vez, poderia seria um fator limitador, dado que não há indicações concretas que eles não possam seguir o caminho da Etna.
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Diversos estudos vêm analisando a contribuição da gestão da qualidade para o resultados financeiros das empresas, sejam eles conduzidos por acadêmicos ou por firmas de consultoria diretamente interessadas em comprovar a relação entre qualidade e desempenho superior. Apesar dos benefícios atribuídos ao gerenciamento da qualidade, o conjunto de pesquisas empíricas publicadas até hoje apresenta resultados não conclusivos. A grande maioria desses trabalhos se utilizam de dados de empresas americanas ou européias; no Brasil tal linha de pesquisa ainda é incipiente. Além de comparar o desempenho financeiro de uma amostra de empresas que efetivamente adotam a gestão da qualidade com as demais empresas de seus respectivos setores de atuação, este trabalho avaliou também a evolução do desempenho das próprias empresas dessa amostra no longo prazo (10 anos), comparando seus resultados no período pós-implementação da qualidade com os resultados obtidos anteriormente. Como proxy para a adoção efetiva da qualidade foram consideradas na amostra de estudo 33 empresas reconhecidas como ganhadoras ou finalistas do Prêmio Nacional da Qualidade (PNQ). O desempenho financeiro foi medido em três dimensões: crescimento, lucratividade e valor de mercado. Esses dados foram obtidos de um conjunto de bases de dados entre as quais se destacam o Balanço Anual da Gazeta Mercantil, a Economática e as Pesquisas Industriais Anuais do IBGE. Para isolar o efeito do setor de atuação das empresas, as variáveis foram parametrizadas de acordo com uma relação entre o desempenho das empresas da amostra de estudo, o desempenho do setor e a variância do desempenho do setor. No total, foram utilizadas 12.010 observações de 2.624 empresas (33 da amostra de estudo e 2.591 dos setores), no período de 1987 a 2006. Na primeira etapa da metodologia, o desempenho de cada empresa da amostra de estudo foi sumarizado por meio de regressões lineares, resultando em dois coeficientes: um linear representando o desempenho no ponto médio do período e um angular representando a taxa de evolução do desempenho no mesmo período. A seguir, análises paramétricas (testes t) e não-paramétricas (testes de Wilcoxon para observações pareadas e teste dos sinais) foram realizadas para os dados de toda a amostra. Os resultados mostraram que a rentabilidade foi a única dimensão estudada onde as empresas da amostra tiveram desempenho superior à média de seus respectivos setores; por outro lado, não foram observadas melhorias no desempenho quando comparados os períodos anterior e posterior à implementação efetiva da qualidade. A análise em conjunto desses dois achados fornece indícios de uma relação de co-variância, e não causal, entre qualidade e lucratividade. As conclusões apresentam as principais implicações dos resultados, com ênfase na formulação de possíveis hipóteses para se entender as causas da falta de associação entre qualidade e desempenho superior. Entre as mais importantes destacam-se hipóteses que relacionam qualidade e a perda da capacidade de inovação e que avaliam a gestão da qualidade sob a ótica da linha de pesquisa em estratégia conhecida por visão baseada em recursos (resource-based view – RBV).
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A compreensão das condições necessárias para a criação de vantagem competitiva sustentável nas empresas tem sido o principal campo de estudo da estratégia empresarial. A discussão sobre quais fatores são geradores de diferenças significativas no desempenho entre empresas e qual a razão da criação de valor superior de algumas sobre outras que operam no mesmo mercado, são temas de extrema relevância, tanto na academia quanto na gestão empresarial. Entre as escolas de pensamento estratégico, a Visão Baseada em Recursos – RBV (Resource-Based View) oferece uma explicação conceitual para estes temas, indicando que os recursos e competências internas das empresas podem ser a base para a construção de diferenciais competitivos sustentáveis. Este trabalho foi desenvolvido a partir desta base teórica e da pergunta de pesquisa: “A utilização efetiva de práticas de gestão operacional influencia o desempenho das empresas do setor sucroalcooleiro no Estado de São Paulo?” O trabalho está estruturado em quatro grandes tópicos: (a) a descrição do contexto da Indústria pesquisada, principalmente no que se refere à evolução do ambiente competitivo e das práticas de gestão utilizadas; (b) uma revisão teórica sobre competitividade e sobre as fontes de vantagem competitiva, a partir dos conceitos da RBV e sobre o construto desempenho; (c) a pesquisa de campo, realizada a partir de um questionário desenvolvido pelo “Observatório de Gestão: Práticas Gerenciais de Empresas Brasileiras”, que por sua vez tem como base o questionário da pesquisa originalmente conduzida pelo Centre for Economic Performance (CEP) da London School of Economics and Political Science. O questionário base foi adaptado após pesquisa qualitativa realizada com especialistas do setor sucroalcooleiro do Estado de São Paulo e (d) a análise dos dados obtidos e conclusões resultantes da pesquisa. Os resultados da regressão múltipla e da análise de clusters evidenciaram que existe relação positiva significativa entre a utilização de práticas de gestão operacional e de gestão financeira sobre o desempenho das empresas representado por lucratividade e crescimento. Foram encontrados ainda resultados indicando que outras práticas avaliadas, ainda que não tenha relação estatística significativa, apresentaram a mesma tendência de relação positiva com o desempenho.
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Nas últimas décadas, diversos estudos empíricos foram desenvolvidos na área de operações analisando a relação entre práticas operacionais de gestão e desempenho das empresas de manufatura. Os resultados, em sua maioria, indicam um efeito positivo das práticas sobre o desempenho, embora alguns deles tenham apresentado resultados contrários. A inconsistência na análise conjunta de tais estudos pode ter origem na utilização de diferentes designs de pesquisa, na abordagem individual de cada prática e nos diferentes contextos que adicionam imprecisão a estudos multisetoriais. Além disso, os estudos pouco trataram dos fatores que favorecem ou dificultam a adoção e evolução das práticas de gestão nas empresas. Apesar dos supostos benefícios amplamente divulgados no ambiente corporativo, não está claro o que leva algumas organizações a enfrentar dificuldades na adoção e utilização de tais práticas. Buscando minimizar duas possíveis causas de inconsistências citadas anteriormente, a presente pesquisa estudou os efeitos de um amplo grupo de práticas de gestão no desempenho das empresas e os fatores internos que influenciam na sua adoção e evolução em um ambiente controlado e comparável, por se tratar de um único setor. A lente teórica emprestada foi a Visão Baseada em Recursos (Resource-Based View – RBV), perspectiva prevalente na literatura de gestão estratégica. A abordagem utilizada nesta pesquisa trata práticas operacionais de gestão como rotinas que executam atividades relevantes para os objetivos da empresa. Estas rotinas incorporam o resultado das interações entre várias formas de conhecimento, tornando-se cada vez mais específicas e, portanto, menos transferíveis. A dificuldade de observar estas complexas inter-relações e a natureza tácita e dependente do caminho de cada rotina individualmente levam a fortes barreiras à imitação. Práticas de gestão, sob esta perspectiva, acumulam conhecimento, são específicas e difíceis de copiar tornando-se competências, respectivamente, valiosas, raras e de difícil imitação ou substituição. Segundo a RBV, este cenário leva a vantagens competitivas sustentáveis, podendo contribuir para o aumento do desempenho da organização. O estudo fornece evidências, a partir da análise de dados obtidos em 124 entrevistas realizadas com executivos e gestores exclusivamente do setor de embalagens no Brasil, de que um alto grau de utilização de grupos de práticas de gestão tem influência direta no desempenho superior medido pela lucratividade, crescimento do faturamento e produtividade das empresas. Em especial, foram encontradas evidências de que quanto maior o porte, maiores as chances de a empresa apresentar alto grau de utilização das práticas de gestão. Na direção oposta, o excesso de autoconfiança dos gestores (hubris) mostrou-se fator de influência negativa na evolução de tais práticas. Não foram encontradas evidências que o tipo de estrutura societária familiar influencie na adoção de práticas de gestão.
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O mercado de arquitetura atende a um nicho específico de pessoas de poder econômico e gosto, ou seja, é uma atividade de luxo, que conta com uma concorrência acirrada. O presente trabalho tenta entender como alguns escritórios de arquitetura, mesmo diante de tais barreiras, conseguem se sobressair perante outros. O projeto tenta identificar quais os recursos e capacidades mais relevantes dentro desses escritórios de arquitetura de sucesso. O estudo está centrado na teoria dos recursos (RBV) e nos conceitos relativos a empresas de serviços profissionais. A metodologia utilizada foi qualitativa, através de estudo exploratório com coleta de dados realizada por meio de entrevista semiestruturada, seguida de uma análise comparativa. Os escritórios de arquitetura foram selecionados por um painel com os critérios de sucesso, elaborado a partir de entrevistas com especialistas do mercado de arquitetura. Os resultados mostraram a relação entre a dimensão dos escritórios escolhidos (número de arquitetos, de projetos em andamento e de obras concluídas) e os recursos e as capacidades encontrados (o papel da liderança, a centralização da criação, a prospecção, a gestão do escritório e a terceirização).