103 resultados para métaphysique
Resumo:
Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
Resumo:
El propósito general de este trabajo consiste en hallar conexiones entre la obra El mito gaucho de Carlos Astrada y su contexto ideológico. El análisis aspira a exponer los elementos políticos del texto, y su adscripción ideológica al peronismo, como constituyendo una segunda capa interpretativa por la cual se redimensiona su significado, dominado primeramente por la especulación metafísica de corte existencialista. Este tema, en una segunda instancia, será acotado a un análisis comparativo entre este libro y la conferencia de Juan Perón, conocida como La comunidad organizada, en torno a la doctrina oficial de "la tercera posición".
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El propósito general de este trabajo consiste en hallar conexiones entre la obra El mito gaucho de Carlos Astrada y su contexto ideológico. El análisis aspira a exponer los elementos políticos del texto, y su adscripción ideológica al peronismo, como constituyendo una segunda capa interpretativa por la cual se redimensiona su significado, dominado primeramente por la especulación metafísica de corte existencialista. Este tema, en una segunda instancia, será acotado a un análisis comparativo entre este libro y la conferencia de Juan Perón, conocida como La comunidad organizada, en torno a la doctrina oficial de "la tercera posición".
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El propósito general de este trabajo consiste en hallar conexiones entre la obra El mito gaucho de Carlos Astrada y su contexto ideológico. El análisis aspira a exponer los elementos políticos del texto, y su adscripción ideológica al peronismo, como constituyendo una segunda capa interpretativa por la cual se redimensiona su significado, dominado primeramente por la especulación metafísica de corte existencialista. Este tema, en una segunda instancia, será acotado a un análisis comparativo entre este libro y la conferencia de Juan Perón, conocida como La comunidad organizada, en torno a la doctrina oficial de "la tercera posición".
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La fusion entre la logique et la dynamique déclenche chez G. W. Leibniz une réforme de la notion de substance qui altère profondément le rapport entre le Je et le temps. Prototype de la substantialité, miroir de Dieu et expression du Tout créé, le Je dirait beaucoup, notamment Être, Un, Même: la persistance d’un « sujet » logique, d’un « je ne sais quoi » de métaphysique et d’un « personnage » moral. Sous l’angle de la temporalité, le Je véhicule tous les temps possibles et réels, passés et futurs. Il est question donc d’une communauté poly- et pan-chronique qui propose une sorte de synchronie de la diversité temporelle dans la notion complète et dans la force primitive qui semblent ainsi s’incliner vers ou se déplier de l’Eternel.
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La question de l’idéalisme leibnizien, qui permet d’entrer au cœur de la métaphysique de Leibniz, intéresse encore aujourd’hui de nombreux commentateurs. Ceux-ci utilisent les termes « réalisme », « idéalisme », voire « phénoménalisme », pour caractériser la métaphysique leibnizienne et un travail doit être fait pour rassembler et comparer leurs analyses, ce que nous proposons de faire d’abord dans ce mémoire. Ce sont surtout les textes mêmes de Leibniz qui seront abordés dans le présent travail et qui permettront de proposer la lecture suivante : si la métaphysique leibnizienne est réaliste en ce sens qu’elle met en place une entité elle-même « mind-independent », c'est-à-dire la monade, elle peut être considérée comme idéaliste (idéalisme substantiel), puisque cette entité, étant sans partie et sans étendue, est en ce sens idéelle. Et si tout peut se réduire à cette monade, c’est toute la fondation de la métaphysique de Leibniz qui se retrouve à être idéelle. Or, ceci ne règle pas le statut des corps qui peuvent être considérés soit comme de simples phénomènes réductibles aux perceptions des monades (idéalisme matériel), soit comme des êtres ayant une réalité indépendante d’un esprit, lesquels se réduiraient cette fois aux monades qui les composent (réalisme matériel). Face à ces deux possibilités, nous développerons une position mitoyenne qui défend l’idée que les corps sont en effet composés de monades qui leur procurent une certaine réalité, mais qu’ils dépendront toujours de l’action d’un esprit qui lui seul pourra leur procurer une certaine unité.
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Cette étude vise à comprendre le rôle de l’histoire dans la philosophie de Nietzsche et à faire ressortir son lien étroit avec l’articulation du corps vivant comme fil conducteur philosophique. Notre objectif principal est de montrer comment cette philosophie aphoristique a su maintenir les préoccupations historiographiques de jeunesse en permutant leur sens à l’aune de la pulsionnalité interprétative du corps. Prenant notre départ des considérations critiques écrites lors de son professorat à Bâle, nous démontrons que le sens historique se manifeste alors comme une sensibilité historique déterminée par une saisie intuitive, mais existentiellement difficile, du passé. Nous procédons ensuite à décrire comment le renouveau philosophique de sa période intermédiaire peut être vu comme une réduction pathologique de l’histoire de la métaphysique qui emprunte ses éléments critiques au scepticisme de Michel de Montaigne, à l’évolutionnisme naissant et au développement du néo-kantisme. Cette réduction, qui ramène l’expression des valeurs morales et métaphysiques au corps vécu (Leib). Par sa déconstruction de la subjectivité au profit d’une réalité pulsionnelle primordiale, mais irréductible, nous démontrons ensuite comment Nietzsche a su réinterpréter l’hérédité biologique comme une mémoire physiologique incorporée dont l’expression première est la reconduction de la notion d’espèce à celle de type. Enfin, par un retour à la sensibilité historique et notre analyse du phénomène historique en tant que tel, nous proposons de comprendre l’articulation ultime de la philosophie nietzschéenne comme une philosophie historique qui ne cherche pas à comprendre ou à expliquer le devenir, mais en opérer la synthèse par le truchement de « l’instant décisif ».
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La question de l’idéalisme leibnizien, qui permet d’entrer au cœur de la métaphysique de Leibniz, intéresse encore aujourd’hui de nombreux commentateurs. Ceux-ci utilisent les termes « réalisme », « idéalisme », voire « phénoménalisme », pour caractériser la métaphysique leibnizienne et un travail doit être fait pour rassembler et comparer leurs analyses, ce que nous proposons de faire d’abord dans ce mémoire. Ce sont surtout les textes mêmes de Leibniz qui seront abordés dans le présent travail et qui permettront de proposer la lecture suivante : si la métaphysique leibnizienne est réaliste en ce sens qu’elle met en place une entité elle-même « mind-independent », c'est-à-dire la monade, elle peut être considérée comme idéaliste (idéalisme substantiel), puisque cette entité, étant sans partie et sans étendue, est en ce sens idéelle. Et si tout peut se réduire à cette monade, c’est toute la fondation de la métaphysique de Leibniz qui se retrouve à être idéelle. Or, ceci ne règle pas le statut des corps qui peuvent être considérés soit comme de simples phénomènes réductibles aux perceptions des monades (idéalisme matériel), soit comme des êtres ayant une réalité indépendante d’un esprit, lesquels se réduiraient cette fois aux monades qui les composent (réalisme matériel). Face à ces deux possibilités, nous développerons une position mitoyenne qui défend l’idée que les corps sont en effet composés de monades qui leur procurent une certaine réalité, mais qu’ils dépendront toujours de l’action d’un esprit qui lui seul pourra leur procurer une certaine unité.
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Cette étude vise à comprendre le rôle de l’histoire dans la philosophie de Nietzsche et à faire ressortir son lien étroit avec l’articulation du corps vivant comme fil conducteur philosophique. Notre objectif principal est de montrer comment cette philosophie aphoristique a su maintenir les préoccupations historiographiques de jeunesse en permutant leur sens à l’aune de la pulsionnalité interprétative du corps. Prenant notre départ des considérations critiques écrites lors de son professorat à Bâle, nous démontrons que le sens historique se manifeste alors comme une sensibilité historique déterminée par une saisie intuitive, mais existentiellement difficile, du passé. Nous procédons ensuite à décrire comment le renouveau philosophique de sa période intermédiaire peut être vu comme une réduction pathologique de l’histoire de la métaphysique qui emprunte ses éléments critiques au scepticisme de Michel de Montaigne, à l’évolutionnisme naissant et au développement du néo-kantisme. Cette réduction, qui ramène l’expression des valeurs morales et métaphysiques au corps vécu (Leib). Par sa déconstruction de la subjectivité au profit d’une réalité pulsionnelle primordiale, mais irréductible, nous démontrons ensuite comment Nietzsche a su réinterpréter l’hérédité biologique comme une mémoire physiologique incorporée dont l’expression première est la reconduction de la notion d’espèce à celle de type. Enfin, par un retour à la sensibilité historique et notre analyse du phénomène historique en tant que tel, nous proposons de comprendre l’articulation ultime de la philosophie nietzschéenne comme une philosophie historique qui ne cherche pas à comprendre ou à expliquer le devenir, mais en opérer la synthèse par le truchement de « l’instant décisif ».
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Reprinted from Revue de métaphysique et de morale. Paris, 1914.
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Article I is reprinted, with new title, from the Revue philosophique, May 1876; II reprinted from the Revue de métaphysique et de morale, March 1906; III reprinted, with additions, from the Revue de métaphysique et de morale, November 1903; IV extracted from the Revue de métaphysique et de morale, March 1902.
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Le but de la vie chez Schopenhauer et chez Nietzsche.--Sur la sociologie des sens.--La notion de valeur.--Le christianisme et l'art.--Du réalisme dans l'art.--La philosophie de l'aventure.--La religion et les contrastes de la vie.--Métaphysique de la mort.--Sur le matérialisme historique.--De l'essence de la philosophie, etc.
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t. 1. Introduction à l'histoire de la philosophie. Cours de l'histoire de la philosophie. Cours de philosophie sur le fondement des idées absolues du vrai, du beau et du bien. De la métaphysique d'Aristote.--t. 2. Cours d'histoire de la philosophie morale. Fragments philosophiques.--t. 3. De l'instruction publique en Allemagne, en Prusse et en Hollande. Nouvelles considérations sur les rapports du physique et du moral de l'homme.
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v. 1-3. De la recherche de la vérite.--v. 4. Conversations chrétiennes.--v. 5. Traité de la nature et de la grâce.--v. 10. Méditations chrétiennes et métaphysiques.--v. 11. Traité de moral.--v. 12-13. Entretiens sur la métaphysique et sur la religion. Entretiens sur la mort.--v. 14. Traité de l'amour de Dieu.--v. 15. Entretien d'un philosophie chrétien et d'un philosophie chinois.--v. 16. Réflexions sur la prémotion physique.--v. 17. Pièces joimtes, ecrits divers.--v. 18. Correspondance, actes et documents, 1638-1689.--v. 19. Correspondance, actes et documents, 1690-1715.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.