973 resultados para inactivation
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Melanoma antigen recognized by T cells 1 (MART-1) is a melanoma-specific antigen, which has been thoroughly studied in the context of immunotherapy against malignant melanoma and which is found only in the pigment cell lineage. However, its exact function and involvement in pigmentation is not clearly understood. Melanoma antigen recognized by T cells 1 has been shown to interact with the melanosomal proteins Pmel17 and OA1. To understand the function of MART-1 in pigmentation, we developed a new knockout mouse model. Mice deficient in MART-1 are viable, but loss of MART-1 leads to a coat color phenotype, with a reduction in total melanin content of the skin and hair. Lack of MART-1 did not affect localization of melanocyte-specific proteins nor maturation of Pmel17. Melanosomes of hair follicle melanocytes in MART-1 knockout mice displayed morphological abnormalities, which were exclusive to stage III and IV melanosomes. In conclusion, our results suggest that MART-1 is a pigmentation gene that is required for melanosome biogenesis and/or maintenance.
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The protease activity of the paracaspase Malt1 has recently gained interest as a drug target for immunomodulation and the treatment of diffuse large B-cell lymphomas. To address the consequences of Malt1 protease inactivation on the immune response in vivo, we generated knock-in mice expressing a catalytically inactive C472A mutant of Malt1 that conserves its scaffold function. Like Malt1-deficient mice, knock-in mice had strong defects in the activation of lymphocytes, NK and dendritic cells, and the development of B1 and marginal zone B cells and were completely protected against the induction of autoimmune encephalomyelitis. Malt1 inactivation also protected the mice from experimental induction of colitis. However, Malt1 knock-in mice but not Malt1-deficient mice spontaneously developed signs of autoimmune gastritis that correlated with an absence of Treg cells, an accumulation of T cells with an activated phenotype and high serum levels of IgE and IgG1. Thus, removal of the enzymatic activity of Malt1 efficiently dampens the immune response, but favors autoimmunity through impaired Treg development, which could be relevant for therapeutic Malt1-targeting strategies.
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The mammalian target of rapamycin complex 1 (mTORC1) is a highly conserved protein complex regulating key pathways in cell growth. Hyperactivation of mTORC1 is implicated in numerous cancers, thus making it a potential broad-spectrum chemotherapeutic target. Here, we characterized how mTORC1 responds to cell death induced by various anticancer drugs such rapamycin, etoposide, cisplatin, curcumin, staurosporine and Fas ligand. All treatments induced cleavage in the mTORC1 component, raptor, resulting in decreased raptor-mTOR interaction and subsequent inhibition of the mTORC1-mediated phosphorylation of downstream substrates (S6K and 4E-BP1). The cleavage was primarily mediated by caspase-6 and occurred at two sites. Mutagenesis at one of these sites, conferred resistance to cell death, indicating that raptor cleavage is important in chemotherapeutic apoptosis.
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Le recours au plasma pour stériliser des dispositifs médicaux (DM) est un domaine de recherche ne datant véritablement que de la fin des années 1990. Les plasmas permettent, dans les conditions adéquates, de réaliser la stérilisation à basse température (≤ 65°C), tel qu’exigé par la présence de polymères dans les DM et ce contrairement aux procédés par chaleur, et aussi de façon non toxique, contrairement aux procédés chimiques comme, par exemple, l’oxyde d’éthylène (OEt). Les laboratoires du Groupe de physique des plasmas à l’Université de Montréal travaillent à l’élaboration d’un stérilisateur consistant plus particulièrement à employer les effluents d’une décharge N2-%O2 basse pression (2-8 Torrs) en flux, formant ce que l’on appelle une post-décharge en flux. Ce sont les atomes N et O de cette décharge qui viendront, dans les conditions appropriées, entrer en collisions dans la chambre de stérilisation pour y créer des molécules excitées NO*, engendrant ainsi l’émission d’une quantité appréciable de photons UV. Ceux-ci constituent, dans le cas présent, l’agent biocide qui va s’attaquer directement au bagage génétique du micro-organisme (bactéries, virus) que l’on souhaite inactiver. L’utilisation d’une lointaine post-décharge évite du même coup la présence des agents érosifs de la décharge, comme les ions et les métastables. L’un des problèmes de cette méthode de stérilisation est la réduction du nombre de molécules NO* créées par suite de la perte des atomes N et O, qui sont des radicaux connus pour interagir avec les surfaces, sur les parois des matériaux des DM que l’on souhaite stériliser. L’objectif principal de notre travail est de déterminer l’influence d’une telle perte en surface, dite aussi réassociation en surface, par l’introduction de matériaux comme le Téflon, l’acier inoxydable, l’aluminium et le cuivre sur le taux d’inactivation des spores bactériennes. Nous nous attendons à ce que la réassociation en surface de ces atomes occasionne ainsi une diminution de l’intensité UV et subséquemment, une réduction du taux d’inactivation. Par spectroscopie optique d’émission (SOE), nous avons déterminé les concentrations perdues de N et de O par la présence des matériaux dans le stérilisateur, ainsi que la diminution de l’émission UV en découlant. Nous avons observé que cette diminution des concentrations atomiques est d’autant plus importante que les surfaces sont catalytiques. Au cours de l’étude du phénomène de pertes sur les parois pour un mélange N2-%O2 nous avons constaté l’existence d’une compétition en surface entre les atomes N et O, dans laquelle les atomes d’oxygènes semblent dominer largement. Cela implique qu’au-delà d’un certain %O2 ajouté à la décharge N2, seuls les atomes O se réassocient en surface. Par ailleurs, l’analyse des courbes de survie bi-phasiques des micro-organismes a permis d’établir une étroite corrélation, par lien de cause à effet, entre la consommation des atomes N et O en surface et la diminution du taux d’inactivation des spores dans la première phase. En revanche, nous avons constaté que notre principal agent biocide (le rayonnement ultraviolet) est moins efficace dans la deuxième phase et, par conséquent, il n’a pas été possible d’établir un lien entre la diminution des concentrations et le taux d’inactivation de cette phase-là.
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Au cours des dernières années, des méthodes non-invasives de stimulations permettant de moduler l’excitabilité des neurones suivant des lésions du système nerveux central ont été développées. Ces méthodes sont maintenant couramment utilisées pour étudier l’effet de l’inhibition du cortex contralésionnel sur la récupération motrice à la suite d’un accident vasculocérébral (AVC). Bien que plusieurs de ces études rapportent des résultats prometteurs, les paramètres permettant une récupération optimale demeurent encore inconnus. Chez les patients victimes d'un AVC, il est difficile de débuter les traitements rapidement et d'initier l’inhibition dans les heures suivant la lésion. L'impact de ce délai est toujours inconnu. De plus, aucune étude n’a jusqu’à maintenant évalué l’effet de la durée de l’inhibition sur la récupération du membre parétique. Dans le laboratoire du Dr Numa Dancause, nous avons utilisé un modèle bien établi de lésion ischémique chez le rat pour explorer ces questions. Nos objectifs étaient d’évaluer 1) si une inactivation de l’hémisphère contralésionnel initiée dans les heures qui suivent la lésion peut favoriser la récupération et 2) l’effet de la durée de l’inactivation sur la récupération du membre parétique. Suite à une lésion dans le cortex moteur induite par injections d’un vasoconstricteur, nous avons inactivé l’hémisphère contralésionnel à l’aide d’une pompe osmotique assurant l’infusion continue d’un agoniste du GABA (Muscimol). Dans différents groupes expérimentaux, nous avons inactivé l’hémisphère contralésionnel pour une durée de 3, 7 et 14 jours suivant la lésion. Dans un autre groupe, le Muscimol a été infusé pour 14 jours mais à un débit moindre de façon à pouvoir étudier le lien entre la fonction du membre non-parétique et la récupération du membre parétique. Les données comportementales de ces groupes ont été comparées à celles d’animaux ayant récupéré de façon spontanée d'une lésion similaire. Nos résultats indiquent que l’augmentation de la durée de l’inactivation (de 3 à 14 jours) accélère la récupération du membre parétique. De plus, les deux groupes ayant reçu une inactivation d'une durée de 14 jours ont montré une plus grande récupération fonctionnelle que le groupe n’ayant pas reçu d’inactivation de l’hémisphère contralésionnel, le groupe contrôle. Nos résultats suggèrent donc que l’inactivation de l’hémisphère contralésionnel initiée dans les heures suivant la lésion favorise la récupération du membre parétique. La durée d’inhibition la plus efficace (14 jours) dans notre modèle animal est beaucoup plus longues que celles utilisées jusqu’à maintenant chez l’homme. Bien qu’il soit difficile d’extrapoler la durée idéale à utiliser chez les patients à partir de nos données, nos résultats suggèrent que des traitements de plus longue durée pourraient être bénéfiques. Finalement, un message clair ressort de nos études sur la récupération fonctionnelle après un AVC: dans le développement de traitements basés sur l’inhibition de l’hémisphère contralésionnel, la durée de l’inactivation est un facteur clef à considérer.
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Ribonucleases are promising agents for use in anticancer therapy. Among the different ribonucleases described to be cytotoxic, a paradigmatic example is onconase which manifests cytotoxic and cytostatic effects, presents synergism with several kinds of anticancer drugs and is currently in phase II/III of its clinical trial as an anticancer drug against different types of cancer. The mechanism of cytotoxicity of PE5, a variant of human pancreatic ribonuclease carrying a nuclear localization signal, has been investigated and compared to that of onconase. Methods: Cytotoxicity was measured by the MTT method and by the tripan blue exclusion assay. Apoptosis was assessed by flow cytometry, caspase enzymatic detection and confocal microscopy. Cell cycle phase analysis was performed by flow cytometry. The expression of different proteins was analyzed by western blot.n Results: We show that the cytotoxicity of PE5 is produced through apoptosis, that it does not require the proapoptotic activity of p53 and is not prevented by the multiple drug resistance phenotype. We also show that PE5 and onconase induce cell death at the same extent although the latter is also able to arrest the cell growth. We have compared the cytotoxic effects of both ribonucleases in the NCI/ADR-RES cell line by measuring their effects on the cell cycle, on the activation of different caspases and on the expression of different apoptosis- and cell cycle-related proteins. PE5 increases the number of cells in S and G2/M cell cycle phases, which is accompanied by the increased expression of cyclin E and p21WAF1/CIP1 together with the underphosphorylation of p46 forms of JNK. Citotoxicity of onconase in this cell line does not alter the cell cycle phase distribution and it is accompanied by a decreased expression of XIAP. Conclusions: We conclude that PE5 kills the cells through apoptosis associated with the p21WAF1/CIP1 induction and the inactivation of JNK. This mechanism is significantly different from that found for onconase
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The aim was to investigate (i) the occurrence of sublethal injury in Listeria monocytogenes, Escherichia coli, and Saccharomyces cerevisiae after high hydrostatic pressure (HHP) treatment as a function of the treatment medium pH and composition and (ii) the relationship between the occurrence of sublethal injury and the inactivating effect of a combination of HHP and two antimicrobial compounds, tert-butyl hydroquinone (TBHQ) and citral. The three microorganisms showed a high proportion of sublethally injured cells (up to 99.99% of the surviving population) after HHP. In E. coli and L. monocytogenes, the extent of inactivation and sublethal injury depended on the pH and the composition of the treatment medium, whereas in S. cerevisiae, inactivation and sublethal injury were independent of medium pH or composition under the conditions tested. TBHQ alone was not lethal to E. coli or L. monocytogenes but acted synergistically with HHP and 24-h refrigeration, resulting in a viability decrease of >5 log(10) cycles of both organisms. The antimicrobial effect of citral depended on the microorganism and the treatment medium pH. Acting alone for 24 h under refrigeration, 1,000 ppm of citral caused a reduction of 5 log(10) cycles of E. coli at pH 7.0 and almost 3 log(10) cycles of L. monocytogenes at pH 4.0. The combination of citral and HHP also showed a synergistic effect. Our results have confirmed that the detection of sublethal injury after HHP may contribute to the identification of those treatment conditions under which HHP may act synergistically with other preserving processes.
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A combined mathematical model for predicting heat penetration and microbial inactivation in a solid body heated by conduction was tested experimentally by inoculating agar cylinders with Salmonella typhimurium or Enterococcus faecium and heating in a water bath. Regions of growth where bacteria had survived after heating were measured by image analysis and compared with model predictions. Visualisation of the regions of growth was improved by incorporating chromogenic metabolic indicators into the agar. Preliminary tests established that the model performed satisfactorily with both test organisms and with cylinders of different diameter. The model was then used in simulation studies in which the parameters D, z, inoculum size, cylinder diameter and heating temperature were systematically varied. These simulations showed that the biological variables D, z and inoculum size had a relatively small effect on the time needed to eliminate bacteria at the cylinder axis in comparison with the physical variables heating temperature and cylinder diameter, which had a much greater relative effect. (c) 2005 Elsevier B.V All rights reserved.
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A new primary model based on a thermodynamically consistent first-order kinetic approach was constructed to describe non-log-linear inactivation kinetics of pressure-treated bacteria. The model assumes a first-order process in which the specific inactivation rate changes inversely with the square root of time. The model gave reasonable fits to experimental data over six to seven orders of magnitude. It was also tested on 138 published data sets and provided good fits in about 70% of cases in which the shape of the curve followed the typical convex upward form. In the remainder of published examples, curves contained additional shoulder regions or extended tail regions. Curves with shoulders could be accommodated by including an additional time delay parameter and curves with tails shoulders could be accommodated by omitting points in the tail beyond the point at which survival levels remained more or less constant. The model parameters varied regularly with pressure, which may reflect a genuine mechanistic basis for the model. This property also allowed the calculation of (a) parameters analogous to the decimal reduction time D and z, the temperature increase needed to change the D value by a factor of 10, in thermal processing, and hence the processing conditions needed to attain a desired level of inactivation; and (b) the apparent thermodynamic volumes of activation associated with the lethal events. The hypothesis that inactivation rates changed as a function of the square root of time would be consistent with a diffusion-limited process.
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Aims: The aim was to evaluate (i) the resistance of Escherichia coli BJ4 to citral in a buffer system as a function of citral concentration, treatment medium pH, storage time and initial inoculum size, (ii) the role of the sigma factor RpoS on citral resistance of E. coli, (iii) the role of the cell envelope damage in the mechanism of microbial inactivation by citral, and (iii) possible synergistic effects of mild heat treatment and pulsed-electric fields (PEF) treatment combined with citral. Methods and Results: The initial inoculum size greatly affected the efficacy of citral against E. coli cells. Exposure to 200 µl l-1of citral at pH 4.0 for 24 h at 20 ºC caused the inactivation of more than 5 log10 cycles of cells starting at an inoculum size of 106 or 107 CFU ml-1, whereas increasing the cell concentration to 109 CFU ml-1 caused less than 1 log10 cycle of inactivation. E. coli showed higher resistance to citral at pH 4.0 than pH 7.0. The rpoS null mutant strain E. coli BJ4L1 was less resistant to citral than the wild-type strain. Occurrence of sublethal injury to both, the cytoplasmic and outer membranes was demonstrated by adding sodium chloride or bile salts to the recovery media. The majority of sublethally-injured cells by citral required energy and lipid synthesis for repair. A strongly synergistic lethal effect was shown by mild heat treatment combined with citral but the presence of citral during the application of a PEF treatment did not show any advantage. Conclusions: This work confirms that cell envelope damage is an important event in citral inactivation of bacteria, and it describes the key factors on the inactivation of E. coli cells by citral. Significance and Impact of Study: Knowledge about the mechanism of microbial inactivation by citral helps establish successful combined preservation treatments.