199 resultados para hairy merremia
Resumo:
Scopolamine is an alkaloid widely used in medicine for its anticholinergic activity. The aim of this review is to show that metabolic engineering techniques constitute a suitable tool to improve the production of tropane alkaloids, focusing in particular on scopolamine. We present an overview of results obtained by various research groups, including our own, who have studied the overexpression of genes involved in the biosynthesis of scopolamine in different plant species that produce tropane alkaloids. Experiments carried out to improve production in hairy root cultures will also be described, as well as those attempting to biotransform hyoscyamine into scopolamine in roots and transgenic tobacco cells.
Resumo:
Résumé A Madagascar, comme dans plusieurs pays en développement, une grande partie de la population utilise les plantes pour se soigner. Plusieurs espèces des plantes sont ainsi utilisées en médecine traditionnelle malgache. Par ailleurs, la plupart de ces plantes ne font l'objet que de très peu d'étude scientifique. En effet, dans le cadre de l'investigation phytochimique de plantes utilisées en médecine traditionnelle malgache et dans la recherche des nouvelles substances biologiquement actives, Hypoestes serpens (Vahl) R. Br. (Acanthaceae) a été étudiée. Elle se présente sous deux variétés (glabre et poilue) qui sont tous utilisées dans la région sud-centre de Madagascar pour traiter la blennorragie. De l'extrait dichlorométhanique des feuilles de H. serpens (Vahl) R. Br. variété glabre, 12 diterpénoides dont 8 nouveaux ont été isolés. Ils ont tous montré une activité antifongique contre un champignon pathogène des plantes, Cladosporium cucumerinum, dans la bioautographie directe sur CCM. Quelques-uns ont également présenté une activité contre une levure saprophyte chez l'homme, Candida albicans et une activité inhibitrice de l'enzyme acétylcholinesterase. Les diterpènoïdes sont déjà considérés comme les principaux métabolites secondaires du genre Hypoestes. Le fractionnement de l'extrait méthanolique a conduit à l'isolement de 5 glycosides des flavonoïdes dont 4 sous formes C-g,lycosides qui n'ont jamais été identifiés dans la famille Acanthaceae. Ces flavonoïdes ont présenté une activité antiradicalaire contre le DPPH. Le fractionnement et la purification des extraits ont été effectués à l'aide des différentes techniques chromatographiques telles que la chromatographie sur colonne ouverte, la filtration sur gel, la chromatographie liquide à haute pression, la chromatographie liquide à moyenne pression et la chromatographie liquide à basse pression. Par ailleurs, les structures des composés isolés ont été élucidées par des techniques spectroscopiques (UV, MS, RMN) et de méthode chimique (hydrolyse acide). En plus de ces techniques, certaines méthodes physiques (cristallographie par rayons-X, mesure de rotation optique) ont été réalisées pour confirmer certaines structures. Comme l'espèce Hypoestes serpens (Vahl) R. Br. se présente en deux variétés, une étude comparative a été effectuée. Cette étude avait montré que ces deux variétés ont une activité biologique similaire. Finalement, une technique analytique couplée, HPLC-UV-APC1-MS a permis de montrer la présence de toutes les substances isolées de la variété glabre dans la variété poilue. Second résumé Depuis des milliers d'almées, l'homme utilise les plantes pour se soigner. De nos jours, même avec le développement de la médecine moderne, la phytothérapie reste toujours la forme des soins de santé abordable et accessible pour la majorité des populations rurales des pays en développement. En outre, les plantes médicinales constituent une source potentielle de molécules biologiquement actives pour les industries pharmaceutiques et actuellement, on estime que 25% des médicaments commercialisés dans le monde sont à base de plantes Dans le cadre de la recherche des nouvelles molécules à intérêt thérapeutique qui pourraient devenir un médicament ou un modèle de structure ("lead compound") pour le développement de nouveaux médicaments, nous avons fait une étude sur l'espèce, Hypoestes serpens (Vahl) R. Br, plante utilisée en médecine traditionnelle malgache. Cette espèce existe en deux variétés, une glabre et une autre poilue qui sont tous utilisées dans la région sud-centre de Madagascar pour traiter la blennorragie. Par ailleurs, les tradipraticiens utilisent de préférence la variété poilue. Dans la première partie de ce présent travail, une investigation phytochimique de H serpens, variété glabre (variété moins utilisée) a d'abord été effectuée afm d'isoler et d'identifier le maximum des molécules biologiquement actives qu'elle contient. De ce fait, 17 composés dont 8 nouveaux ont été isolés. Les potentiels d'activités thérapeutiques des substances isolées ont ensuite été dépistés sur les différents cibles suivants.: deux souches de champignons (Cladosporium cucumerinum et Candida albicans), l'enzyme acétylcholinesterase et le radical DPPH. La deuxième partie de ce travail a été consacrée sur l'étude comparative des deux variétés (glabre et poilue) de H. serpens à la fois sur le plan biologique et sur le plan phytochimique. A l'issue de cette comparaison, nous avons constaté que l'utilisation de ces deux variétés en médecine traditionnelle malgache n'est pas un hasard ; les deux variétés avaient présenté une activité biologique très remarquable et contiennent les mêmes substances actives. Ces résultats démontrent les potentiels thérapeutiques de H serpens en médecine traditionnelle malgache et pourraient également encourager les tradipraticiens à utiliser la variété glabre tout en protégeant la variété poilue qui est en voie de disparition actuellement. En bref, l'investigation phytochimique de H. serpens justifiée par l'isolement et l'identification de certains de ses principes actifs ouvre la voie aux recherches des médicaments d'origine naturelle. Abstract In Madagascar, as in many developing countries, most people use plants to cure. A large number of plant species are employed in Malagasy traditional medicine. Moreover, most of these plants have been subject only very little scientific study. As part of a phytochemical investigation of plants used in Malagasy traditional medicine and in the search for new biologically active substances, Hypoestes serpens (Vah1) R.Br. (Acanthaceae) was investigated. This species exists in two varieties (glabrous and hairy) which are used in the south-center part of Madagascar to treat gonorrhoea. From the dichloromethane extract of the leaves of H. serpens (Vah1) R. Br. glabrous variety, 12 diterpenoids 8 of which were new, were isolated. They showed antifungal activity against the plant pathogen Cladosporium cucumerinum, in the direct TLC bioautography. Some of them also had activity against the yeast Candida athicans and inhibited acetylcholinesterase. The diterpenes are considered as the principal secondary metabolites of the genus Hypoestes. Fractionation of the methanol extract led to the isolation of 5 flavonoid glycosides, 4 of which were C-glycosides, never before identified in the Acanthaceae family. These flavonoids showed radical scavenging activity against DPPH. The fractionation and the purification of the extracts were achieved by different chromatographic techniques such as open-column chromatography, gel filtration, high- pressure liquid chromatography, medium-pressure liquid chromatography and low-pressure liquid chromatography. Moreover, the structures of the isolated compounds were elucidated by spectroscopic techniques (UV, MS, NMR) and chemical technique (acid hydrolysis). In addition, some physical methods (X-ray crystallography, measurement of optical rotation) were performed to confirm some structures. As the species Hypoestes serpens (Vah1) R. Br. is present in two varieties, a comparative study was carried out. This study showed that these two varieties had similar biological activity. Finally, a coupled analytical technique HPLC-UV-APCI-MS showed the presence of the same compounds in both the glabrous and hairy varieties.
Resumo:
The natural formation of the bioactive C17-polyacetylenes (−)-(R)-panaxynol and panaxydol was analyzed by 13C-labeling experiments. For this purpose, plants of Panax ginseng were supplied with 13CO2 under field conditions or, alternatively, sterile root cultures of P. ginseng were supplemented with [U-13C6]glucose. The polyynes were isolated from the labeled roots or hairy root cultures, respectively, and analyzed by quantitative NMR spectroscopy. The same mixtures of eight doubly 13C-labeled isotopologues and one single labeled isotopologue were observed in the C17-polyacetylenes obtained from the two experiments. The polyketide-type labeling pattern is in line with the biosynthetic origin of the compounds via decarboxylation of fatty acids, probably of crepenynic acid. The 13C-study now provides experimental evidence for the biosynthesis of panaxynol and related polyacetylenes in P. ginseng under in planta conditions as well as in root cultures. The data also show that 13CO2 experiments under field conditions are useful to elucidate the biosynthetic pathways of metabolites, including those from roots.
Resumo:
The natural formation of the bioactive C17-polyacetylenes (−)-(R)-panaxynol and panaxydol was analyzed by 13C-labeling experiments. For this purpose, plants of Panax ginseng were supplied with 13CO2 under field conditions or, alternatively, sterile root cultures of P. ginseng were supplemented with [U-13C6]glucose. The polyynes were isolated from the labeled roots or hairy root cultures, respectively, and analyzed by quantitative NMR spectroscopy. The same mixtures of eight doubly 13C-labeled isotopologues and one single labeled isotopologue were observed in the C17-polyacetylenes obtained from the two experiments. The polyketide-type labeling pattern is in line with the biosynthetic origin of the compounds via decarboxylation of fatty acids, probably of crepenynic acid. The 13C-study now provides experimental evidence for the biosynthesis of panaxynol and related polyacetylenes in P. ginseng under in planta conditions as well as in root cultures. The data also show that 13CO2 experiments under field conditions are useful to elucidate the biosynthetic pathways of metabolites, including those from roots.
Resumo:
Here, we report the culture and characterization of an alphaproteobacterium of the order Rhizobiales, isolated from the gut of the honey bee Apis mellifera. Strain PEB0122T shares >95 % 16S rRNA gene sequence similarity with species of the genus Bartonella, a group of mammalian pathogens transmitted by bloodsucking arthropods. Phylogenetic analyses showed that PEB0122T and related strains from the honey bee gut form a sister clade of the genus Bartonella. Optimal growth of strain PEB0122T was obtained on solid media supplemented with defibrinated sheep blood under microaerophilic conditions at 35-37 °C, which is consistent with the cultural characteristics of other species of the genus Bartonella. Reduced growth of strain PEB0122T also occurred under aerobic conditions. The rod-shaped cells of strain PEB0122T had a mean length of 1.2-1.8 μm and revealed hairy surface structures. Strain PEB0122T was positive for catalase, cytochrome c oxidase, urease and nitrate reductase. The fatty acid composition was comparable to those of other species of the genus Bartonella, with palmitic acid (C16 : 0) and isomers of 18- and 19-carbon chains being the most abundant. The genomic DNA G+C content of PEB0122T was determined to be about 45.5 mol%. The high 16S rRNA gene sequence similarity with species of Bartonella and its close phylogenetic position suggest that strain PEB0122T represents a novel species within the genus Bartonella, for which we propose the name Bartonella apis sp. nov. The type strain is PEB0122T ( = NCIMB 14961T = DSM 29779T).
Resumo:
Este trabalho foi conduzido na Faculdade de Ciências Agrárias e Veterinárias de Jaboticabal-UNESP, com o objetivo de estudar o efeito de diferentes quantidades de palha de cana-de-açúcar deixadas na superfície do solo sobre a emergência de algumas espécies de plantas daninhas pertencentes à família Convolvulaceae. Os tratamentos foram distribuídos no esquema de parcelas subsubdivididas, com a quantidade de palha nas parcelas de 0, 5, 10, 15 e 20 t ha-1, as variedades SP 79 2233 e RB 83 5486 nas subparcelas e as espécies de plantas daninhas nas subsubparcelas. Aos 45 dias após semeadura (DAS), a presença de 15 t ha-1 de palha reduziu em 46 e 62% o número de plantas de I. quamoclit e M. cissoides, respectivamente. Entretanto, a presença de 20 t ha-1 reduziu em 82, 65, 62, 70, 60 e 88% o número de plantas de I. quamoclit, I. purpurea, I. grandifolia, I. hederifolia, I. nil e M. cissoides, respectivamente, quando comparadas à ausência de palha.
Resumo:
O objetivo deste estudo foi avaliar a eficiência do herbicida fluridone no controle de plantas aquáticas submersas (Egeria densa, Egeria najas e Ceratophyllum demersum) que ocorrem no reservatório da Usina Hidrelétrica Eng. Souza Dias (Jupiá), região noroeste do Estado de São Paulo. A pesquisa, que consistiu de aplicações de fluridone, foi conduzida em lagoas marginais do rio Tietê, denominadas Flórida e Barrenta. As lagoas foram divididas em faixas, cada uma delas representando um tratamento. As faixas das lagoas receberam uma aplicação inicial de fluridone, procurando-se atingir a concentração de 20 ppb. As aplicações subseqüentes foram dimensionadas para recompor e/ou manter esta concentração, sendo realizadas sempre com o auxílio de uma barra de aplicação munida de três mangueiras, com pontas injetoras submersas na água, em três profundidades (0,2, 0,6 e 1,2 m). O volume de aplicação foi mantido próximo a 54 l ha-1 de calda. Foram feitas avaliações visuais dos sintomas de fitointoxicação nas três espécies estudadas, assim como avaliação da biomassa. Nas condições da pesquisa, o fluridone controlou as macrófitas submersas Egeria najas e Egeria densa; quando cessou o efeito do fluridone, aconteceu a reinfestação de Egeria densa e Egeria najas; e não houve controle de Ceratophyllum demersum nem das espécies não-alvo, como Salvinia auriculata, Ipomoea spp., Merremia sp., Typha latifolia e Cyperus spp.
Resumo:
A palha pode alterar a dinâmica do herbicida oxyfluorfen no sistema de cana-crua; assim, este trabalho teve por objetivo avaliar a eficácia do oxyfluorfen em condições de casa de vegetação, com a cobertura de palha, no controle das plantas daninhas que ocorrem em cana-crua. Foram avaliadas as espécies de Brachiaria decumbens, Ipomoea grandifolia, Ipomoea quamoclit e Merremia cissoides. A dose utilizada do oxyfluorfen foi de 3 L ha-1 (720 g i.a. ha-1). Os tratamentos constaram de diferentes posicionamentos do herbicida e condições antes e após a aplicação. A porcentagem de controle das plantas daninhas foi avaliada aos 12, 20, 26, 33 e 38 DAA. Os maiores índices de controle aos 38 DAA, independentemente da planta daninha estudada, foram alcançados quando se aplicou oxyfluorfen em tratamentos com a presença de palha em cobertura, com ou sem umidade. No entanto, os resultados obtidos nos demais tratamentos mostraram-se eficientes no controle das diferentes espécies de plantas daninhas estudadas.
Resumo:
A eficácia dos herbicidas no sistema de cana-crua é diretamente influenciada pela quantidade e distribuição de palha na área, bem como pela ocorrência da primeira chuva superior a 20 mm posterior à aplicação, uma vez que a palha é capaz de interceptar o herbicida antes que este atinja o solo. Nesse contexto, a presente pesquisa teve como objetivo avaliar a eficácia e o comportamento do herbicida amicarbazone no controle de plantas daninhas no sistema de cana-crua. Para isso, foi realizado um experimento em condições controladas, considerando diferentes doses de amicarbazone (D1 = 1,05 kg ha-1, D2 = 0,875 kg ha-1, D3 = 0,700 kg ha-1 e D4 = 0,525 kg ha-1) e situações de aplicação desse herbicida, a saber: sobre 5 t de palha ha-1, sobre o solo e coberto com 5 t de palha ha-1, além de pulverização sobre o solo sem cobertura de palha, resultando assim em 12 tratamentos. Aos 7, 14, 21 e 28 dias após a aplicação (DAA), foi avaliada a porcentagem de controle das seguintes espécies de plantas daninhas: Ipomoea grandifolia, Brachiaria decumbens, Merremia cissoides e Euphorbia heterophylla. Pelos resultados obtidos, pode-se constatar que, independentemente da espécie de planta daninha avaliada, os maiores índices de controle foram observados quando o amicarbazone foi aplicado sobre a palha, simulando-se em seguida precipitação correspondente a 30 mm de chuva, e nos tratamentos em que o herbicida foi aplicado diretamente no solo sem palha. Dessa forma, para as espécies I. grandifolia, M. cissoides e E. heterophylla, todos os tratamentos apresentaram excelente controle (nota 6 - 100%) a partir dos 14 DAA; para B. decumbens, o controle total ocorreu aos 28 DAA. Portanto, pode-se concluir que o amicarbazone é uma excelente alternativa para o manejo dessas espécies de plantas daninhas em cana-crua.
Resumo:
As famílias Convolvulaceae e Euphorbiaceae possuem diferentes espécies que infestam os canaviais de forma rápida e agressiva, especialmente em áreas cobertas pela palha remanescente da colheita que não foram queimadas. Essa infestação, associada às extensas áreas de cultivo, tem dificultado a operacionalidade do manejo químico exclusivamente durante a estação chuvosa do ano, levando aos produtores a necessidade de aplicar os herbicidas também no período de estiagem. Nesse contexto, o presente trabalho objetivou estudar a persistência dos herbicidas aplicados durante o período de estiagem em resistir às intempéries climáticas até o início da estação chuvosa, avaliando-se o controle sobre as espécies dos gêneros de Ipomoea, Merremia e Euphorbia. O delineamento experimental foi em blocos casualizados com 42 tratamentos, distribuídos em esquema de parcelas subdivididas com seis repetições. Os herbicidas amicarbazone (1.050 g ha-1), imazapic (1.22,5 g ha-1), sulfentrazone (600 g ha-1) e as associações clomazone (1.000 g ha-1) + hexazinone (250 g ha-1), sulfentrazone (600 g ha-1) + diurom (936 g ha-1) + hexazinone (264 g ha-1), sulfentrazone (500 g ha-1) + amicarbazone (700 g ha-1) e testemunha foram alocados nas parcelas. As espécies Ipomoea nil, I. hederifolia, I. quamoclit, I. grandifolia, Merremia aegyptia e Euphorbia heterophylla foram semeadas diretamente no solo, cobertas com o equivalente a 15 t ha-1 de palha de cana-de-açúcar e alocadas nas subparcelas. Após a aplicação dos herbicidas, registraram-se 70 dias de ausência de chuvas e o estresse hídrico impossibilitou a avaliação de controle, devido à não emergência das plantas daninhas em todos os tratamentos. Entretanto, com o início da estação chuvosa aos 90 dias após o tratamento, iniciaram-se as avaliações de eficácia devido à emergência das plantas daninhas. Aos 150 DAT (dias após os tratamentos) os herbicidas sulfentrazone e sulfentrazone associado a amicarbazone foram os mais persistentes e apresentaram média de eficácia de controle superior a 85%, considerando todas as espécies, quando comparada à da testemunha.
Resumo:
Em casa de vegetação, cinco experimentos foram desenvolvidos com o objetivo de avaliar a influência da profundidade de semeadura e da condição de cobertura do solo na emergência de plântulas de cinco espécies da família Convolvulaceae (Ipomoea hederifolia, I. nil, I. quamoclit, I. triloba e Merremia cissoides). Foi utilizada combinação fatorial entre quatro profundidades de semeadura (0, 20, 40 e 80 mm) e duas condições de solo (exposto ou coberto com palha de cana-de-açúcar em quantidade proporcional a 10 t ha-1), com delineamento experimental de blocos ao acaso e quatro repetições. Foi realizada contagem diária do número de plântulas emersas e, ao final dos experimentos, calculou-se o índice de velocidade de emergência. Quanto à profundidade de semeadura no solo, maior emergência foi observada para as sementes que foram dispostas na superfície, tanto na presença quanto na ausência de palha. Considerando-se I. hederifolia e I. nil, não foi observado efeito da cobertura do solo, nem mesmo interação de profundidade e cobertura, sobre a emergência das espécies. Para I. quamoclit, observaram-se efeitos isolados da cobertura do solo e da profundidade de alocação das sementes, que indicaram maior adaptação da espécie para emergir em solo sem palhada superficial. Também para as espécies I. triloba e M. cissoides, a emergência foi inferior nas parcelas com palha distribuída na superfície do solo, quando comparadas àquelas sem palha, e, ainda, a presença de palha reduziu a velocidade de emergência e estabelecimento das plântulas.
Resumo:
Realizou-se um experimento em uma área de implantação da cultura do eucalipto no município de São Miguel Arcanjo-SP, com o objetivo de avaliar a eficácia da aplicação aérea de grânulos de argila como veículo dos herbicidas sulfentrazone e isoxaflutole, no controle de plantas daninhas. Foi realizada aplicação aérea dos herbicidas sulfentrazone, nas doses de 500 e 750 g i.a. ha-1, e isoxaflutole, nas doses de 150 e 225 g i.a. ha-1, utilizando-se como veículo grânulos de argila com densidade de 1,05 g cm ³, alta capacidade de absorção (24 mL 100 g-1), alta resistência ao desgaste e tamanho das partículas entre 500 mícrons e 1 mm. Também foram feitas aplicações via líquida dos mesmos herbicidas e doses com um pulverizador convencional, acoplado a um trator. Além desses tratamentos, foi mantida uma parcela testemunha, sem aplicação dos herbicidas. Nas parcelas experimentais foram semeadas as espécies de plantas daninhas Brachiaria decumbens, Ipomoea grandifolia, Merremia cissoides e Panicum maximum, sendo realizadas avaliações visuais de controle aos 75 e 110 dias após a aplicação. Em geral, foram observados, nas plantas daninhas avaliadas, resultados de controle semelhantes ou superiores para a aplicação aérea (via grânulos) até 75 DAA e superiores para essa modalidade de aplicação aos 110 DAA, indicando uma extensão no período do efeito do residual dos herbicidas estudados.
Resumo:
O objetivo deste trabalho foi avaliar a eficiência fotossintética, através da taxa de transporte de elétrons, de seis espécies de plantas daninhas e três cultivares de cana-de-açúcar após aplicação do herbicida diuron em pós-emergência inicial. Os cultivares utilizados (PO8862, SP80-3280 e RB83-5486) foram cortados em gemas e plantados em vasos com capacidade de 12 litros. A semeadura das seis espécies de plantas daninhas - Brachiaria decumbens, Digitaria horizontalis, Panicum maximum, Ipomoea grandifolia, Ipomoea hederifolia e Merremia cissoides - foi realizada para obter 25 plantas por vaso. A aplicação do herbicida diuron em pós-emergência inicial das plantas daninhas e dos cultivares de cana-de-açúcar foi realizada na dose de 3,0 kg ha-1, com adição de 0,2% de surfatante. As avaliações da taxa de transporte de elétrons no fotossistema (ETR) das plantas após a aplicação foram realizadas com auxílio de um fluorômetro portátil. Para as espécies de plantas daninhas, a ETR foi avaliada após intervalos de 2, 4, 24, 48, 72, 96 e 144 horas após a aplicação. Quanto aos cultivares de cana-de-açúcar, os intervalos avaliados foram de 2, 24, 48, 72, 120, 168 e 240 horas após a aplicação. De maneira geral, as reduções dos valores da ETR indicaram o nível de sensibilidade dos diferentes cultivares de cana-de-açúcar e das diferentes plantas daninhas ao diuron, e a intoxicação foi detectada antes ou mesmo sem a presença dos sintomas. A classificação da sensibilidade dos cultivares de cana-de-açúcar foi em ordem decrescente: PO-8862, SP80-3280 e RB83-5486; para as plantas daninhas, as espécies mais sensíveis foram M. cissoides, I. grandifolia e I. hederifolia, seguidas das gramíneas D. horizontalis, P. maximum e B. decumbens.
Resumo:
As espécies Ipomoea grandifolia, I. nil e Merremia aegyptia tornaram-se importantes infestantes em diferentes sistemas de cultivo, causando problemas principalmente na colheita. O objetivo deste trabalho foi determinar o comportamento germinativo dessas espécies em diferentes condições de temperatura (15, 20, 25, 30 e 35 ºC), luz (presença e ausência) e profundidade de semeadura (0; 0,5; 1; 5; 10; 12; 15; e 20 cm) em solos com diferentes texturas. Os resultados evidenciaram que as espécies apresentaram maior germinação na faixa de temperatura entre 20 e 25 ºC. Houve maior capacidade de germinação quando elas foram submetidas à ausência de luz. Entre as espécies estudadas, I. grandifolia apresentou maior capacidade de germinar em maiores profundidades no solo arenoso. No solo argiloso, as espécies de Ipomoea spp. avaliadas apresentaram maior germinação na superfície. M. aegyptia germinou melhor na superfície do solo arenoso comparado ao argiloso, porém apresentou melhor capacidade de germinação em maiores profundidades no solo argiloso em relação às demais espécies avaliadas.
Resumo:
As plantas daninhas denominadas vulgarmente como corda-de-viola, pertencentes aos gêneros Ipomoea e Merremia, estão entre as mais importantes do Brasil. A identificação das espécies em campo, bem como o conhecimento da suscetibilidade específica a herbicidas, notadamente a flumioxazin, cuja tolerância específica é variável, são informações essenciais para uma recomendação racional de manejo. Com o intuito de determinar a suscetibilidade diferencial das convolvuláceas Ipomoea purpurea, Ipomoea hederifolia, Ipomoea triloba, Merremia cissoides e Merremia aegyptia, foram construídas curvas de dose-resposta com o flumioxazin, para obtenção dos controles percentuais de 50, 80, 95 e 99. Para isso, foram conduzidos dois experimentos em casa de vegetação; para cada espécie de planta daninha, os tratamentos herbicidas foram: 0, 7,81, 15,63, 31,25, 62,5, 125, 250, e 500 g de flumioxazin ha-1, aplicados em condições de pré-emergência. A partir dos resultados, conclui-se que a suscetibilidade ao flumioxazin, em ordem decrescente, é: Merremia aegyptia < Ipomoea hederifolia < Ipomoea triloba < Ipomoea purpurea < Merremia cissoides. As doses que proporcionam 80% de controle são, respectivamente pela ordem de espécies, de 238,6; 173,1; 84,7; 43,8; e 16,8 g de flumioxazin ha-1. Merremia aegyptia não é satisfatoriamente controlada pelo flumioxazin.