959 resultados para hépatite autoimmune
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BACKGROUND. Autoimmunity appears to be associated with the pathophysiology of Meniere's disease (MD), an inner ear disorder characterized by episodes of vertigo associated with hearing loss and tinnitus. However, the prevalence of autoimmune diseases (AD) in patients with MD has not been studied in individuals with uni or bilateral sensorineural hearing loss (SNHL). METHODS AND FINDINGS. We estimated the prevalence of AD in 690 outpatients with MD with uni or bilateral SNHL from otoneurology clinics at six tertiary referral hospitals by using clinica criteria and an immune panel (lymphocyte populations, antinuclear antibodies, C3, C4 and proinflammatory cytokines TNFα, INFγ). The observed prevalence of rheumatoid arthritis (RA), systemic lupus erythematosus (SLE) and ankylosing spondylitis (AS) was higher than expected for the general population (1.39 for RA, 0.87 for SLE and 0.70 for AS, respectively). Systemic AD were more frequently observed in patients with MD and diagnostic criteria for migraine than cases with MD and tension-type headache (p = 0.007). There were clinical differences between patients with uni or bilateral SNHL, but no differences were found in the immune profile. Multiple linear regression showed that changes in lymphocytes subpopulations were associated with hearing loss and persistence of vertigo, suggesting a role for the immune response in MD. CONCLUSIONS. Despite some limitations, MD displays an elevated prevalence of systemic AD such as RA, SLE and AS. This finding, which suggests an autoimmune background in a subset of patients with MD, has important implications for the treatment of MD.
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Despite evidence for the important role of oestrogens in the aetiology and pathophysiology of chronic immune/inflammatory diseases, the previous view of an unequivocal beneficial effect of oestrogens on RA compared with a detrimental effect on SLE has to be reconsidered. Likewise, the long-held belief that RA remits in the majority of pregnant patients has been challenged, and shows that only half of the patients experience significant improvement when objective disease activity measurements are applied. Pregnancies in patients with SLE are mostly successful when well planned and monitored interdisciplinarily, whereas a small proportion of women with APS still have adverse pregnancy outcomes in spite of the standard treatment. New prospective studies indicate better outcomes for pregnancies in women with rare diseases such as SSc and vasculitis. Fertility problems are not uncommon in patients with rheumatic disease and need to be considered in both genders. Necessary therapy, shortly before or during the pregnancy, demands taking into account the health of both mother and fetus. Long-term effects of drugs on offspring exposed in utero or during lactation is a new area under study as well as late effects of maternal rheumatic disease on children.
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The relationship between autoimmunity and malaria is not well understood. To determine whether autoimmune responses have a protective role during malaria, we studied the pattern of reactivity to plasmodial antigens of sera from 93 patients with 14 different autoimmune diseases (AID) who were not previously exposed to malaria. Sera from patients with 13 different AID reacted against Plasmodium falciparum by indirect fluorescent antibody test with frequencies varying from 33-100%. In addition, sera from 37 AID patients were tested for reactivity against Plasmodium yoelii 17XNL and the asexual blood stage forms of three different P. falciparum strains. In general, the frequency of reactive sera was higher against young trophozoites than schizonts (p < 0.05 for 2 strains), indicating that the antigenic determinants targeted by the tested AID sera might be more highly expressed by the former stage. The ability of monoclonal auto-antibodies (auto-Ab) to inhibit P. falciparum growth in vitro was also tested. Thirteen of the 18 monoclonal auto-Ab tested (72%), but none of the control monoclonal antibodies, inhibited parasite growth, in some cases by greater than 40%. We conclude that autoimmune responses mediated by auto-Ab may present anti-plasmodial activity.
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Actuellement, en Suisse, environ 1% des femmes en âge de procréer ont une hépatite B chronique(8). En l'absence de mesures de prévention, le risque de transmission du virus de l'hépatite B, de la mère à son enfant, est estimé à 40%(3,4,5) lors de l'accouchement. Ce risque s'étend bien au-delà de la période péri¬natale. Les enfants infectés dans ces circonstances ont une probabilité de 90% de développer une infection chronique(5,7) et un quart meurent prématurément de cirrhose ou d'hépatocarcinome(2). L'Office fédéral de la santé publique recommande d'effectuer un dépistage anténatal de l'antigène HBsAg lors de toute grossesse(1) et d'effectuer une vaccination passive et active chez tous les enfants naissant d'une mère avec une hépatite B chronique. Cette prophylaxie doit être effectuée comme suit : immunoglobuline spécifique et lere dose de vaccin dans les 12 heures suivant la naissance (en maternité) ; 2eme dose de vaccin à 1 mois, 3eme dose de vaccin à 6 mois et contrôle de la réponse immune entre le 7eme et le 12eme mois (par le médecin traitant). Cette étude vise à évaluer la compliance du système de soins envers ces recommandations qui exigent l'intervention des maternités et des médecins traitants et qui s'étalent dans le temps. Pour ce faire, un recensement rétrospectif des enfants nés de mère avec une hépatite B chronique, en 2005 et 2006 dans 4 maternités vaudoises, a été effectué. Les mesures appliquées par les maternités, les informations transmises aux médecins traitants et les mesures appliquées par ces derniers ont été évaluées. Sur un total de 10'412 parturientes testées, 70 présentent une infection chronique et 51 acceptent le recrutement dans l'étude (représentant un collectif de 54 enfants). En maternité, l'immunisation active et passive est effectuée chez tous les enfants. L'évidence qu'elle est effectuée dans les 12 heures suivant la naissance est fournie dans 61% des cas (mais dans 100% des dossiers dans lequel ce renseignement est consigné). La nécessité de poursuivre la vaccination n'est mentionné au médecin traitant que dans 15% des cas, et dans seulement 11% des cas les modalités du calendrier vaccinal sont précisées. La recommandation d'effectuer un contrôle sérologique n'apparaît dans aucun document de transmission. Chez les médecins traitants, la 2eme dose de vaccin est administrée à 100% des enfants, mais seulement dans 15% des cas dans les délais recommandés. La 3eme dose de vaccination est administrée à 98% des enfants, mais seulement dans 43% des cas dans les délais recommandés. La sérologie de contrôle n'est effectuée que chez 24% des enfants, et seulement dans 7% des cas dans les délais recommandés. Les maternités appliquent les mesures de prophylaxie dans le délai imparti, tout au moins quand l'heure d'intervention est indiquée. Les médecins traitants sont rarement informés de la nécessité de compléter la vaccination et jamais des modalités ni de la nécessité d'effectuer un contrôle sérologique. L'application des mesures de prévention par les médecins traitants est non conforme aux recommandations. Nous émettons l'hypothèse que cet état reflète la carence d'information de la part des maternités et nous proposons que celles-ci utilisent un document de transmission standardisé qui indique précisément aux médecins traitants ce qui reste à faire, et quand, en matière de prévention de l'hépatite B chez le nouveau-né/nourrisson.
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L'analyse de la situation de l'hépatite C chez les usagers de drogue en Suisse a fait appel à plusieurs méthodes: synthèse de la littérature publiée et grise sur le sujet et analyse secondaire de données disponibles, interviews d'experts nationaux, interviews d'usagers de drogues (UD), études de cas dans 4 cantons (Zurich, Vaud, Argovie, Valais), enquête par internet auprès des institutions prenant en charge des UD en traitement résidentiel et ambulatoire et dans les structures à bas seuil d'accès pour la réduction des risques. La prévalence du VHC estimée sur l'ensemble de la population en Suisse varie selon les auteurs entre 0.7% et 1.75%. Elle est un peu plus élevée (2%) chez les hommes ayant des relations sexuelles avec d'autres hommes (HSH). Chez les ressortissants de pays réputés à plus haute prévalence (Afrique sub-saharienne, certains pays du Moyen-Orient et d'Asie du Sud-Est), la prévalence est probablement plus élevée que dans la population générale mais n'est pas connue. En prison, du fait de la surreprésentation des UD et de populations de pays à plus haute prévalence, la prévalence du VHC est plus élevée que dans la population générale (entre 5 et 10%). On estime qu'environ 2/3 des cas vont évoluer vers la chronicité...
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Distinguishing drug-induced liver injury (DILI) from idiopathic autoimmune hepatitis (AIH) can be challenging. We performed a standardized histologic evaluation to explore potential hallmarks to differentiate AIH versus DILI. Biopsies from patients with clinically well-characterized DILI [n = 35, including 19 hepatocellular injury (HC) and 16 cholestatic/mixed injury (CS)] and AIH (n = 28) were evaluated for Ishak scores, prominent inflammatory cell types in portal and intra-acinar areas, the presence or absence of emperipolesis, rosette formation, and cholestasis in a blinded fashion by four experienced hepatopathologists. Histologic diagnosis was concordant with clinical diagnosis in 65% of cases; but agreement on final diagnosis among the four pathologists was complete in only 46% of cases. Interface hepatitis, focal necrosis, and portal inflammation were present in all evaluated cases, but were more severe in AIH (P < 0.05) than DILI (HC). Portal and intra-acinar plasma cells, rosette formation, and emperiopolesis were features that favored AIH (P < 0.02). A model combining portal inflammation, portal plasma cells, intra-acinar lymphocytes and eosinophils, rosette formation, and canalicular cholestasis yielded an area under the receiver operating characteristic curve (AUROC) of 0.90 in predicting DILI (HC) versus AIH. All Ishak inflammation scores were more severe in AIH than DILI (CS) (P ≤ 0.05). The four AIH-favoring features listed above were consistently more prevalent in AIH, whereas portal neutrophils and intracellular (hepatocellular) cholestasis were more prevalent in DILI (CS) (P < 0.02). The combination of portal inflammation, fibrosis, portal neutrophils and plasma cells, and intracellular (hepatocellular) cholestasis yielded an AUC of 0.91 in predicting DILI (CS) versus AIH. Conclusion: Although an overlap of histologic findings exists for AIH and DILI, sufficient differences exist so that pathologists can use the pattern of injury to suggest the correct diagnosis.
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The aetiology of autoimmune hepatitis (AIH) is uncertain but the disease can be triggered in susceptible patients by external factors such as viruses or drugs. AIH usually develops in individuals with a genetic background mainly consisting of some risk alleles of the major histocompatibility complex (HLA). Many drugs have been linked to AIH phenotypes, which sometimes persist after drug discontinuation, suggesting that they awaken latent autoimmunity. At least three clinical scenarios have been proposed that refers to drug- induced autoimmune liver disease (DIAILD): AIH with drug-induced liver injury (DILI); drug induced-AIH (DI-AIH); and immune mediated DILI (IM-DILI). In addition, there are instances showing mixed features of DI-AIH and IM-DILI, as well as DILI cases with positive autoantibodies. Histologically distinguishing DILI from AIH remains a challenge. Even more challenging is the differentiation of AIH from DI-AIH mainly relying in histological features; however, a detailed standardised histologic evaluation of large cohorts of AIH and DI-AIH patients would probably render more subtle features that could be of help in the differential diagnosis between both entities. Growing information on the relationship of drugs and AIH is being available, being drugs like statins and biologic agents more frequently involved in cases of DIAILD. In addition, there is some evidence on the fact that patients diagnosed with DIAILD may have had a previous episode of hepatotoxicity. Further collaborative studies in DIAILD will strengthen the knowledge and understanding of this intriguing and complex disorder which might represent different phenotypes across the spectrum of disease.
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INTRODUCTION: Q fever is a zoonotic infection that may cause severe hepatitis. Q-fever hepatitis has not yet been associated with autoimmune hepatitis and/or primary biliary cirrhosis. CASE PRESENTATION: We describe a 39-year-old man of Sri Lankan origin with chronic Q-fever hepatitis who developed autoantibodies compatible with autoimmune hepatitis/primary biliary cirrhosis overlap syndrome. Ursodeoxycholic acid in addition to antibiotic therapy markedly improved hepatic enzyme levels suggesting that autoimmunity, potentially triggered by the underlying infection, was involved in the pathogenesis of liver damage. CONCLUSION: We suggest that Coxiella burnetii might trigger autoimmune liver disease. Patients with Q-fever hepatitis who respond poorly to antibiotics should be investigated for serological evidence of autoimmune hepatitis, primary biliary cirrhosis or overlap syndrome, as these patients could benefit from adjunctive therapy with ursodeoxycholic acid. Conversely, C. burnetii serology might be necessary in patients with autoimmune liver disease in order to exclude underlying Coxiella infection.
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BACKGROUND: Statins have been increasingly associated with drug-induced autoimmune reactions, including lupus erythematosus. OBJECTIVE: To identify and determine the clinical and biological characteristics of statin-induced autoimmune reactions. MATERIAL AND METHODS: The MEDLINE database (1966 to September 2005) was used to identify all reported cases of statin-induced autoimmune diseases. The keywords used were statins, 3-hydroxy-3-methylglutaryl coenzyme A reductase inhibitors, adverse effects, autoimmune disease, lupus erythematosus, dermatomyositis and polymyositis. RESULTS: Twenty-eight cases of statin-induced autoimmune diseases have been published so far. Systemic lupus erythematosus was reported in 10 cases, subacute cutaneous lupus erythematosus in three cases, dermatomyositis and polymyositis in 14 cases and lichen planus pemphigoides in one case. Autoimmune hepatitis was observed in two patients with systemic lupus erythematosus. The mean time of exposure before disease onset was 12.8+/-18 months; range 1 month-6 years. Systemic immunosuppressive therapy was required in the majority of cases. In many patients, antinuclear antibodies were still positive many months after clinical recovery. A lethal outcome has been recorded in two patients despite aggressive immunosuppressive therapy. CONCLUSION: Long-term exposure to statins may be associated with drug-induced lupus erythematosus and other autoimmune disorders. Fatal cases have been reported despite early drug discontinuation and aggressive systemic immunosuppressive therapy.
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Suite à un accident exposant à du sang (piqûre; coupure), provenant d'un patient infecté, le risque d'infection par VIH est d'environ 0,3% et par le virus de l'hépatite C (VHC) d'environ 0,5%. Chez les personnes vaccinées avec une réponse immunitaire adéquate (titre d'anticorps HBs >100 mUI/ml), aucune infection professionnelle par hépatite B n'a été reconnue en Suisse. La plupart des infections par VIH et VHB peuvent être prévenues par un traitement d'urgence et une prophylaxie postexpositionnelle (PEP). Il n'y a actuellement aucune prophylaxie postexpositionnelle pour le VHC. En cas de transmission de VHC, un traitement rapide par peginterféron et ribavirine est à envisager. Chaque hôpital et cabinet médical doivent mettre sur pied un système pour assurer une prise en charge optimale et en urgence des blessures par piqûres ou coupures. Lors de blessures accidentelles avec du sang de patients séropositifs pour le VIH et dans des situations complexes, il est recommandé de consulter un médecin du personnel ou un infectiologue expérimenté. The risk of infection after an occupational needle stick injury with blood from an infected source patient is approximately 0.3% for HIV and 0.5% for hepatitis C virus (HCV). In Switzerland no cases of occupational HBV infection have been recorded in fully vaccinated persons with a documented adequate vaccine response (HBsantibody titer >100 mIU/mL). Most occupational HIV und HBV infections can be prevented by appropriate emergency measures and post-exposure prophylaxis (PEP). No HCV-PEP is currently available. Early therapy with peginterferon and ribavirin should be considered in cases of occupational HCV seroconversion. Every hospital and office practice should establish a system for 24 h/24 h emergency management of occupational needle stick injuries. In the setting of an HIV-seropositive source patient and in complex situations, early consultation with a specialist in occupational medicine or infectious diseases should be considered.
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Les réponses immunitaires innées et adaptatives déclenchées par une infection virale chez l'humain sont classiquement décrites comme une succession d'événements communs à tous les virus- la réponse innée, caractérisés par la libération rapide de cytokines antivirales et des chémokines, recrutant monocytes, NK et lymphocytes Τ vers le site d'infection, suivis par l'activation de l'immunité adaptative. Notre compréhension de la dynamique de ces mécanismes dynamiques est limitée chez l'humain. En effet, il existe peu d'études portant sur la cinétique et l'analyse quantitative de la réponse Τ spécifique au virus, parallèlement aux aspects plus qualitatifs de cette réponse (cytokines sériques produites lors de différentes infections virales, notamment). Méthode: Nous avons étudiés trois groupes de patients tous recrutés au cours de la phase aiguë d'une infection par le virus de la dengue (28 patients), le virus influenza A (13 patients) et le virus de l'hépatite Β (HBV) (13 patients). Nous avons analysé le profil d'activation (CD38, HLA-DR) et de prolifération (Ki-67, Bcl-2) des lymphocytes Τ CD8+ (par cytométrie de flux), de façon longitudinale à différents timepoints (depuis le début des symptômes jusqu'à rémission totale) en quantifiant 15 cytokines et chémokines (par Luminex multiplex biométrie immunoassay) dans le sérum des patients infectés. Résultats: Nous avons comparé le profil des réponses innée et adaptative chez les 3 types d'infection virales; les patients infectés par l'HBV ont une fréquence élevée de CD8+ spécifiques activés et proliférant ainsi que des taux sériques élevés de TNF-α et d'IFN-γ. Les patients infectés par le virus de la dengue et par le virus Influenza présentent quant à eux une activation CD 8+ moins intense mais une forte expression de la réponse innée, marquée par une élévation des cytokines IFN-α, IFN-γ, et TNF-α. De plus, une particularité des patients infectés par le virus de la dengue est de présenter une élévation marquée des cytokines immunorégulatrices (IL-10, IL- 1RA). Conclusion: Ces résultats permettent de montrer que la réponse immunologique consécutive à une infections virale spécifique est caractérisée par sa propre signature, tant au niveau de la production de cytokines/chemokines que de la quantité des lymphocytes Τ CD+8+ spécifiques activés et proliférantes. Ce travail contribue ainsi à une meilleure compréhension de l'immunité antivirale chez les humains, grâce à la description de la cinétique et de la quantification des cellules Τ CD8+ activées et des taux de cytokines dans chaque infection étudiée. Abstract Knowledge of innate and adaptive immune parameters triggered by viral infections is limited but important for understanding disease pathogenesis. We performed a comparative longitudinal analysis of serum cytokines/chemokines and of virus-activated CD8 Τ cells population in patients with acute dengue, influenza A or HBV infections from onset to disease recovery. We observed that each viral infection is characterized by its own signature of cytokines/chemokines production and size of activated and proliferating CD8 Τ cell pool. This is, to our knowledge, the first comparative longitudinal study of the immune response in human subjects in three distinct viral infections.
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Polyarteritis nodosa is a vasculitis of unknown origin which can be rarely associated with hepatitis B. A exceptional clinical situation of a polyarteritis nodosa associated with hepatitis C is described. This case is also the occasion to review the clinical manifestations, the diagnostic strategy und the therapeutic options of this rare vasculitis.
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Treatment of chronic hepatitis C with pegylated interferon-a and ribavirin is now adapted individually based on the virological response on treatment. This approach should improve the tolerability while maintaining or even improving in some patients the efficacy of antiviral therapy. Several new antiviral drugs are currently being evaluated in advanced clinical trials, with very promising results. These new drugs should greatly broaden treatment options for chronic hepatitis C in the near future.