945 resultados para film industry
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Don’t tell me the moon is shining; show me the glint of light on broken glass Anton Chekhov Representations of Africa in cinema are almost as old as cinema itself and date back to Hollywood’s silent era. Most early examples feature the continent as a mere exotic backdrop and include The Sheik (Melford 1921), soon followed, in 1926, by George Fitzmaurice’s Son of the Sheik starring Rudolph Valentino. The next decade brought Van Dyke’s Tarzan movies, Robert Stevenson’s King Solomon’s Mines (1937), and, on the European side, Duvivier’s Pépé le Moko (1936). For representations of Francophone Africa by Africans themselves, the viewing public more or less had to wait, however, until decolonisation in the 1960s (with, for example, Sembene Ousmane’s Borom Sarret and La Noire de…, both released in 1966 and, in 1968, Mandabi). Since then Francophone African cinema has come a long way and has diversified into various strands. Between Borom Sarret and Mahamat-Saleh Haroun’s 2006 Daratt, Saison sèche - or the same director’s Un homme qui crie, almost half a century has elapsed. Over this period, films inevitably have addressed a spectrum of visual, ideological and political tropes. They range from unadorned depictions of the newly independent states and their societies to highly aestheticised productions, not to mention surreal and poetic visions as displayed for instance in Djibril Diop Mambéty’s Touki Bouki (1973). Most of the early films send an overt socio-political message which is a clear and explicit denunciation of a corrupt state of affairs (Souleymane Cissé’s Baara, 1977). They aim to trigger strong emotional and political responses from the viewer, in unambiguous support for the film-maker’s stand. Sembene himself declared: “I consider cinema a means of political action” (Murphy 2000: 221). Similarly, the Mauritanian director Med Hondo wishes to “take up this technical medium and to make it a mouthpiece on behalf of [his] fellow Africans and Arabs” (Jeffries 2002: 11). All this echoes the claims of the Fédération Panafricaine des Cinéastes (FEPACI, founded in 1969), an organisation “dedicated to the liberation of Africa”. In sharp contrast to the incipient momentum given Francophonie by Bourguiba, the Nigerien Hamani Diori and the Senegalese Senghor, who invoked a worldwide communauté organique francophone, FEPACI called for “the creation of an aesthetics of disalienation… [using] didactic... forms to denounce the alienation of countries that were politically independent but culturally and economically dependent on the West” (Diawara 1996: 40). Sembene’s Xala (1974) became the blueprint for this, to this day the best-known vein of Francophone African cinema. Thus considered, this pedigree seems a million miles from mainstream global cinema with its overriding mission to entertain. A question therefore arises: to what extent can a cinema that sprang from such beginnings be seen to interface in any meaningful way with a global film industry that, overwhelmingly and for a century, has indeed entertained the world – with Hollywood at its centre?
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Ayant réalisé neuf longs-métrages entre 1988 et 2007, aussi que plusieurs campagnes publicitaires, vidéo-clips, courts-métrages et projets collectifs, Wong Kar-wai est un des réalisateurs contemporains les plus importants actuellement. Issu de l'industrie cinématographique fortement commerciale de Hong Kong, Wong est parvenu à attirer l'attention du circuit international des festivals de cinéma avec son style visuel unique et son récit fragmenté. Considéré par plusieurs critiques comme le poète de la recherche d’identité de Hong Kong après 1997, Wong Kar-wai défie toutes les tentatives de catégorisation. L’étude qui se poursuivit ici a donc pour objet essentiel de fournir une analyse attentive et complète de son oeuvre, tout en se concentrant sur les traits stylistiques qui donnent à ses films une unité. Ces caractéristiques correspondent à une certaine façon de raconter des histoires, de composer des personnages et des récits, de manipuler le temps et d'utiliser des ressources techniques de sorte que ses films offrent une identité cohérente. L'objectif est d'analyser les différents composants de ses images pour découvrir comment ses films communiquent les uns avec les autres afin de créer une identité unique. Pour atteindre cet objectif, je pose comme hypothèse de travail que le cinéma de Wong est marqué par une structure dualiste qui permet à ses films de présenter des qualités contradictoires simultanément. La plupart de mes arguments se concentrent sur le travail du philosophe français Gilles Deleuze, qui a proposé une théorie du cinéma divisé entre l’image-mouvement et l’image-temps. Je considère que sa théorie fournit un cadre valide sur lequel les films de Wong peuvent être projetés. Tandis que ma recherche se concentre sur l’interprétation textuelle des films, je profiterais également d’une analyse comparative.
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Dans ce mémoire, nous étudions les productions bollywoodiennes issues de la foisonnante industrie du film de Mumbai. Nous explorons la forme populaire que ce cinéma propose et la nouvelle tendance qui émerge dans les années 1990, à travers laquelle se développent des représentations liées à la nouvelle classe moyenne indienne. Cette étude cherche à interroger les films les plus populaires des années 1990 afin de comprendre comment ils déploient leurs narratifs et leur narration. En procédant à des analyses descriptives et poétiques des récits, l’étude est principalement préoccupée par le traitement de la romance, un thème majeur de cette décennie. À travers ce thème, nous analysons les motifs narratifs, les procédés stylistiques, les détours de l’expression des sentiments ainsi que les dynamiques entre les sphères privée, publique et familiale. Essentiellement, nous mettons en lumière comment la distribution des informations narratives place le spectateur dans une position privilégiée organisant les plaisirs de sa participation aux films bollywoodiens.
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En 2010, les écrans du Québec étaient occupés par des films américains dans une proportion de 78,4 %. Ce mémoire veut mettre en lumière les mécanismes de la distribution de films au Québec et la responsabilité des distributeurs dans l'offre cinématographique nationale. Après avoir décrit les cinq étapes de la fabrication d'un film, nous dressons l'inventaire des politiques fédérales et provinciales qui régissent la distribution au Québec. Nous établissons ensuite des parallèles entre les politiques nationales et celles de pays de l'Union européenne afin de considérer comment et pourquoi, pour protéger leur identité « de la déferlante américaine », ces pays tentent de réglementer l'industrie cinématographique. Par la suite, nous observons quel est le rôle de la distribution dans la filière économique en général et dans l'industrie québécoise du cinéma en particulier à travers une série d'entrevues semi-dirigées avec les principaux protagonistes du milieu. Nous nous intéressons subséquemment à l'avenir de la distribution cinématographique relativement à la dématérialisation des images et du son. Finalement, nous concluons que le menu cinématographique québécois est composé par le positionnement des distributeurs américains et québécois en réponse à une demande artificielle des consommateurs reflétée par la billetterie (box-office); positionnement légitimé par les politiques gouvernementales.
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La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU).
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Cette recherche porte sur le langage cinématographique (ou mode de représentation) adopté par Mizoguchi en contraste avec le style classique hollywoodien. Notre hypothèse est que le refus de Mizoguchi de recourir au découpage classique et au gros-plan procurerait au spectateur une expérience de perception qui tendrait à se rapprocher de celle vécue par un spectateur de théâtre ou le témoin d’une action se déroulant dans notre monde physique. Mizoguchi a débuté son métier au début des années 1920. Le cinéma japonais venait tout juste de prendre la voie d’un art nouveau en quittant son statut de simple captation de spectacles théâtraux. L’industrie cinématographique japonaise était alors en incubation marquée par diverses influences occidentales. Nous nous pencherons plus particulièrement sur les questions stylistiques à partir du moment où le cinéma japonais s’engageait dans le parlant en imitant le style classique hollywoodien. Ce cinéma dominant devenait une norme que Mizoguchi décida de ne pas suivre pour préférer un style caractérisé par des plans-séquences. Ce style plus « neutre » et «objectif » allait être encensé par Bazin après la guerre au moment où ce dernier découvrit notamment Welles et Wyler. À partir de plusieurs extraits filmiques, nous analysons le plan-séquence mizoguchien comme substitution à une série de plans rapprochés qui se serait imposé normalement avec le style classique hollywoodien. Et ce, afin de discuter des enjeux de réalisme et de théâtralité soulevés par Bazin.
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La saga Saw est une franchise qui a marqué le cinéma d’horreur des années 2000. Le présent mémoire tâchera d’en faire une étude détaillée et rigoureuse en utilisant la notion de jeu. En élaborant tout d’abord un survol du cinéma d’horreur contemporain et en observant la réception critique de la saga à travers l’étude de différents articles, ce travail tentera en majeure partie d’analyser la franchise Saw en rapport avec l’approche ludique du cinéma en général et celle adoptée par Bernard Perron. Cette étude, qui s’élaborera tant au niveau diégétique que spectatoriel, aura pour but de montrer l’importance de la place qu’occupe la notion de jeu dans cette série de films.
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Jusqu’à la fin du vingtième siècle, les études sur le cinéma iranien ont tendance à aborder ce cinéma par rapport à la Révolution islamique de 1979, c’est-à-dire à le diviser en deux époques, prérévolutionnaire et postrévolutionnaire. Cette recherche s’inscrit dans une pensée récente qui étudie l’émergence de ce cinéma national en tant que cheminement continu et dominé par des politiques culturelles contradictoires et ambiguës. Dans cette étude, nous ferons au premier chapitre un survol de l’histoire du cinéma iranien, avec un intérêt particulier pour la culture des festivals. Il s’agira de décrypter les enjeux politiques et culturels qui dirigent les décisions du gouvernement et des professionnels de l’industrie. Le deuxième chapitre proposera un questionnement sur la notion de cinéma national, et appliquera cette notion au cinéma iranien. Une attention particulière sera portée à la Fondation du cinéma Farabi, une institution clé dans la promotion du cinéma national et dans l’émergence des films iraniens dans les festivals de films internationaux. Finalement, le troisième chapitre présentera le rôle des festivals dans l’industrie cinématographique ainsi qu’une analyse de l’évolution des films iraniens présentés au Festival des films du monde de Montréal afin de démontrer l’influence des politiques culturelles iraniennes floues sur la présence des films iraniens dans les festivals occidentaux.
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En esta monografía se analizan las acciones y decisiones impulsadas por el gobierno colombiano para fomentar y fortalecer la industria cinematográfica colombiana. Primero se hará un recuento de la historia del cine colombiano desde la llegada del cinematógrafo al país, poniendo especial énfasis en los intentos de fomento a la industria cinematográfica nacional antes de la entrada en vigor de la Ley General de Cultura y la Ley del Cine, que se analizan por separado, para ver de qué manera funcionan como bases para una política pública para la cinematografía nacional, para finalizar con un inventario de la producción cinematográfica a partir de 1997 para observar el efecto de la regulación en la materia en general. El texto tiene como base estos tres objetivos principales que se desarrollan por separado en uno de los capítulos. El trabajo es de carácter descriptivo analítico por lo cual se cuenta tanto con datos estadísticos como con entrevistas, entre otros, combinando datos cuantitativos y cualitativos para generar un análisis lo más completo posible sobre el tema. Lo que se intenta mostrar con esta monografía es que con la expedición de la Ley General de Cultura (397 del 97) y de la Ley del Cine (814 de 2003) se sientan las bases para una política pública para la cinematografía nacional, ya que se crean e implementan mecanismos de fomento a la industria del cine en todas sus etapas (desarrollo, preproducción, producción, postproducción, distribución y exhibición), que están en proceso de consolidación y generación de resultados.
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O objetivo desta pesquisa é analisar como políticas públicas de regulação, fiscalização e incentivo à indústria audiovisual no Brasil, a partir da criação da ANCINE ¿ Agência Nacional do Cinema estão inseridas na perspectiva das transformações recentes do aparato institucional do Estado brasileiro e qual o seu sentido para o entendimento das agências reguladoras independentes no país. Além disso, avaliamos o debate sobre a mudança no perfil e escopo da agência, para uma perspectiva mais estritamente regulatória,com a proposta de sua substituição pela ANCINAV ¿ Agência Nacional do Cinema e do Audiovisual e a forma polêmica pela qual esta proposta foi discutida, tanto no campo setorial como no âmbito político mais amplo. Interpretamos essa experiência brasileira como a difusão de um aparato institucional articulador de política pública setorial, concretização, ainda que potencial, dos anseios por legitimidade, credibilidade e estabilidade institucional no setor, ao mesmo tempo que limitada em seu escopo regulatório pela dificuldade em ampliar sua atividade em direção aos meios de comunicação de massa.
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O presente trabalho tem como objetivo analisar o processo de difusão das agências reguladoras independentes no Brasil, ou agencificação, com o intuito de verificar se este processo foi convergente ou divergente, de acordo com duas perspectivas teóricas concorrentes que buscam compreender os processos de difusão. Para isso, foram verificados os mecanismos de difusão – natureza política, verticais e horizontais – e identificadas variáveis contextuais relevantes – como a aparente confusão feita entre flexibilidade de gestão e regulação, o federalismo regulatório, a presença de atores setoriais fortemente articulados, e a importância das moedas de troca no presidencialismo multipartidário brasileiro – que atuaram no processo brasileiro de agencificação. As peculiaridades do caso brasileiro, como a criação de uma agência independente para o cinema e as mudanças ocorridas em âmbito estadual, indicam tratar-se de uma “difusão sem convergência” ou “convergência divergente”, uma vez que, embora o Brasil tenha experimentado uma “explosão” de agências reguladoras, estas foram modeladas de acordo com as necessidades locais e especificidades do contexto nacional.
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Este estudo exploratório teve como objetivo investigar os principais mecanismos de gestão utilizados no planejamento na indústria cinematográfica. Para tanto, foi realizado um estudo de casos múltiplos, envolvendo quatro produtoras cinematográficas, das quais três estão localizadas no estado do Rio de Janeiro e uma em São Paulo. Os dados foram obtidos a partir de entrevistas focalizadas com profissionais dessas quatro empresas. Os casos foram analisados sob à luz de teorias sobre planejamento e controle em ambientes incertos e nas indústrias culturais. Os resultados indicam que o orçamento e controle dos filmes é feito de forma rigorosa. Todas as produtoras efetuam revisões orçamentárias durante a produção dos filmes. A maior incerteza relatada por todas as empresas foi a estimativa da receita e para isso, duas produtoras indicaram o uso de cenários para auxiliá-los nesta tarefa. Além disso, duas produtoras relataram a elaboração de carteiras de projetos a fim de reduzir o risco das produções. Por fim, um caso especificamente trouxe um elemento novo em relação aos demais casos ao incluir sócio em busca de investimento de risco na composição acionária do filme. Este modelo de negócio acarretou orçamentos em patamares menores do que nos demais casos.
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Este trabalho apresenta uma aplicação da Logística Reversa numa empresa multinacional que atua na área de laminação de vidros no Brasil. Na empresa estudada, a sucata gerada pelos seus clientes pode ser usada para realimentar o seu processo de produção. Inicialmente, são discutidos os principais aspectos relacionados ao tema, tais como, definição de Logística Reversa, ciclo de vida do produto, motivos e destinos do retorno, além dos fatores que influenciam a eficiência de um processo de Logística Reversa. A seguir, ilustradas pelo estudo de caso, são apresentadas e comentadas as etapas para uma implementação de um sistema de Logística Reversa ser bem sucedida. Finalmente, comentam-se as dificuldades, ganhos e vantagens competitivas obtidas por empresas que adotaram soluções da Logística Reversa, em particular na empresa em que o estudo de caso foi desenvolvido.
Resumo:
Pós-graduação em Ciências Sociais - FCLAR
Resumo:
Pós-graduação em História - FCLAS