992 resultados para endometrial cancer


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The molecular mechanisms of endometrail cancer invasion are poorly understood. S100A4, a member of the S100 Ca2+-binding protein family, was identified by oligonucleotide microarray qRT-PCR, and IHC, to be highly overexpressed in invasive endometrial carcinomas compared to non-invasive tumors. HEC-1A endometrial cancer cells transfected with S100A4 siRNA had undetectable S100A4 protein, decreased migration and invasion. The mechanism of S100A4 upregulation in endometrial cancer remains unclear. Methylation of the S100A4 gene was detected in benign endometrial glands and grade 1 tumors with no S100A4 expression. In contrast, grade 3 endometrioid tumors with high S100A4 expression showed no methylation of the gene. 5-Aza-2'-deoxycytidine, an inhibitor of DNA methyltransferase, induced the expression of S100A4 in the less invasive EC cell line, KLE, in which the S100A4 gene is hypermethylated and minimally expressed. S100A4 was induced during TGF-β1-triggered cell scattering in HEC-1A cells, in which S100A4 was demethylated. Transfection of HEC-1A cells with S100A4 siRNA significantly reduced the effect of TGF-β1 on basal migration and invasion. Our preliminary data suggested that this upregulation was mediated by the transcription factor Snail. One Snail binding consensus site was found in the region where DNA methylation was closely correlated with S100A4 gene expression. Chromatin immunoprecipitation assay confirmed the binding of Snail to this consensus site in HEC-1A cells. In SPEC2 endometrial cancer cells, loss of Snail leads to repressed S100A4 gene expression. Similar to S100A4, Snail was overexpressed in aggressive endometrial tumors. Our study suggested that the S100A4 gene was demethylated and further upregulated by the TGF-β1 and Snail pathway in invasive endometrial cancer. S100A4 could potentially serve as a good molecular marker for invasiveness and a target for therapeutic intervention for advanced endometrial cancer. ^

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Ce mémoire porte sur les propriétés fonctionnelles du plancher pelvien à la suite de traitements pour un cancer de l’endomètre. Chez les femmes, le cancer de l’endomètre est le cancer gynécologique ayant la plus forte prévalence. Les traitements oncologiques de ce cancer ont des conséquences néfastes sur la continence urinaire et il est possible que des altérations aux muscles du plancher pelvien à la suite de ces traitements puissent expliquer en partie cette problématique. Ce mémoire est composé de deux études principales. La première étude porte sur la recension des écrits liés aux impacts de la radiothérapie sur la structure anatomique et la fonction musculaire du plancher pelvien chez des adultes atteints d’un cancer pelvien. La deuxième étude compare les propriétés fonctionnelles du plancher pelvien de femmes avec incontinence urinaire à la suite d’un cancer de l’endomètre traité par chirurgie et une radiothérapie adjuvante (groupe à l’étude), à celles de femmes avec hystérectomie sans incontinence (groupe témoin). Cette étude a permis de mettre en évidence une diminution de l’ouverture maximale à l’entrée vaginale, de la longueur vaginale, de la force maximale volontaire du plancher pelvien, du taux de développement de la force dans un test de force maximale et de la coordination lors d’un test de contractions rapides. Ainsi, les deux études de ce mémoire apportent de nouvelles évidences sur les altérations des propriétés fonctionnelles du plancher pelvien à la suite de traitements pour un cancer génital.

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La fin du traitement actif et le début de la phase de survie correspondent à une période de transition qui présente de nombreux défis pour la personne survivante au cancer, les soignants et le système de santé. La phase de survie au cancer est une phase distincte mais négligée du continuum de soins. Pour faciliter la transition de la fin du traitement actif vers la survie et optimiser la coordination des soins de suivi, la mise en place d’un plan de soins de suivi (PSS) est proposée. Le but de cette recherche est de développer, de mettre en place et d’évaluer si un plan de soins de suivi (PSS) permet de répondre aux besoins globaux, de diminuer la détresse émotionnelle et de favoriser les comportements d’autogestion de santé de femmes atteintes du cancer de l’endomètre (FACE) lors de la transition de la fin du traitement actif vers la survie au cancer. Elle comprend deux phases distinctes. La première phase visait d’abord le développement d’un plan de soins de suivi (PSS) pour des femmes atteintes du cancer de l’endomètre avec traitements adjuvants. La sélection du contenu du PSS a été faite à partir de la recension des écrits et des données recueillies lors d’entrevues individuelles avec 19 FACE, 24 professionnels de la santé travaillant avec cette clientèle et quatre gestionnaires de proximité en oncologie. Cette première phase avait également pour but la validation du contenu du PSS auprès de dix professionnels de la santé impliqués dans l’étude. La seconde phase consistait à évaluer la faisabilité, l’acceptabilité du PSS et à en pré-tester l’utilité à répondre aux besoins globaux, à diminuer la détresse émotionnelle (peur de la récidive) et à favoriser l’autogestion de santé auprès d’un groupe de 18 femmes atteintes du cancer de l’endomètre avec traitements adjuvants à la fin du traitement actif vers la survie. Sur le plan de la faisabilité, les résultats suggèrent que la mise en place du PSS comporte des défis en termes de temps, de ressources et de coordination pour l’infirmière pivot en oncologie (IPO). Concernant l’acceptabilité du PSS, les FACE le perçoivent comme un outil d’information utile qui favorise la communication avec le médecin de famille ou d’autres professionnels de la santé. Les IPO soutiennent sa valeur ajoutée à la fin du traitement et soulignent que la discussion du contenu du PSS fait ressortir des éléments de surveillance et de suivi essentiels à prendre en compte pour la phase de survie et permet de mettre l’emphase sur l’autogestion de sa santé. Pour les médecins de famille, le PSS est un outil d’information pour les survivantes qui favorise la réassurance, la communication et la continuité des soins entre professionnels de la santé. Enfin, pour ce qui est de l’utilité du PSS à répondre aux besoins globaux, les résultats suggèrent que l’ensemble des besoins sont plus satisfaits trois mois après la fin des traitements pour le groupe ayant reçu un PSS. Bien que la peur de récidive du cancer (PRC) s’améliore au suivi de trois mois pour le groupe exposé au PSS, 55% des FACE conservent un score cliniquement significatif de 13 à la sous-échelle de sévérité de peur de récidive à la fin du traitement et 42% au suivi de trois mois. Les comportements d’autogestion de santé s’améliorent entre la fin du traitement et le suivi de trois mois pour le groupe exposé un PSS. Considérant ces résultats, la démarche soutient la pertinence de mettre en place un PSS à la fin du traitement actif pour les FACE pour répondre à des besoins d’information, favoriser la communication et la continuité des soins avec les professionnels de la santé et les comportements d’autogestion de santé dans la phase de survie. Cependant, des contraintes de temps, de ressources et de coordination doivent être prises en compte pour sa mise en place dans le milieu clinique. Mots-clés : Transition, fin du traitement actif, besoins, survie au cancer, plan de soins de suivi.

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Question: In middle-aged women, what is the association between body mass index (BMI) and cancer incidence and mortality?METHODSDesign: Prospective cohort study with mean follow-up of 5.4 years for cancer incidence and 7.0 years for cancer mortality.Setting: Population-based study in England and Scotland, United Kingdom.Patients: 1 222 630 women 55 to 64 years of age (mean 56 y) who had no history of cancer at baseline.Risk factors: BMI at baseline, divided into 5 categories (< 22.5, 22.5 to 24.9, 25.0 to 27.4, 27.5 to 29.9, and ≥ 30 kg/m2).Outcomes: Cancer incidence and mortality, overall and for 17 specific types of cancer, identified through linkage with the National Health Service central registers.Main results: Increasing BMI was associated with increasing risks for all cancers, endometrial cancer, esophageal adenocarcinoma, kidney cancer, leukemia, postmenopausal breast cancer, multiple myeloma, pancreatic cancer, non-Hodgkin lymphoma, and ovarian cancer; and with decreasing risks for esophageal squamous cell carcinoma, lung cancer, and premenopausal breast cancer (Table). Risks for stomach, colorectal, cervical, bladder, and brain cancer and malignant melanoma did not vary by BMI. Patterns for cancer mortality were similar to those for cancer incidence: Relative risk for death from any type of cancer was 1.06 (95% CI 1.02 to 1.10) per 10-unit increase in BMI. In postmenopausal women, the estimated proportion of cancer attributable to being overweight or obese (BMI ≥ 25 kg/m2) was 5% for all cancers and about 50% for endometrial cancer and esophageal adenocarcinoma.Conclusions: In middle-aged women, increasing body mass index was associated with increasing risk for cancer incidence and mortality overall. High body mass index increased risk for some types of cancer but reduced risk for other types.

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Pour chacun des cinq cancers, nous avons fait un rappel de l’épidémiologie en Amérique du Nord, des classifications et des facteurs pronostics, la description des études, l’étude commentée de la mortalité, et enfin la conclusion. L’étude du mélanome cutané a montré que les mélanomes sont assurables dès les premières années aux stades IA, IB, IIA et IIIA, aux stades IIB, IIC et IIIB après cinq ans et au stade IIIC après 15ans. L’étude du cancer broncho-pulmonaire a montré que le cancer à petites cellules n’est pas assurable et que les cancers broncho-pulmonaires non à petites cellules pourraient être assurables chez les moins de 65 ans aux stades IA à IIIA après dix ans, et chez les 65 ans et plus au stade IA dès les premières années, aux stades IB et IIA après cinq ans et aux stades IIB et IIIA après dix ans L’étude de la leucémie myéloïde chronique a montré l’assurabilité seulement des sujets de plus de 65 ans dès les premières années et des sujets de 60 à 65 ans après 5 ans. L’étude du lymphome de Hodgkin a montré que chez les sujets de moins de 45 ans le stade IA est assurable dès les premières années, les stades IB et IIA le sont après 5 ans et les stades IIB à IVA le sont après 10 ans. Les sujets de 45 à 64 ans aux stades IA et IIA sont assurables dès les premières années et autres stades après 5 ans. Les sujets de 65 ans et plus sont assurables dès les premières années aux stades IA à IIIA et après 5 ans aux autres stades. L’étude du cancer de l’endomètre montre qu’il n’est assurable les cinq premières années que pour le type I au stade I chez les femmes âgées de 45 ans et plus, au stade II chez les femmes de 55 ans et plus et au stade III chez les femmes de 65 ans et plus ; pour le type II au stade I chez les 65 ans et plus, et au stade II chez les 75 ans et plus ; et pour les tumeurs mullériennes malignes mixtes au stade I chez les 65 ans et plus.

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Pour chacun des cinq cancers, nous avons fait un rappel de l’épidémiologie en Amérique du Nord, des classifications et des facteurs pronostics, la description des études, l’étude commentée de la mortalité, et enfin la conclusion. L’étude du mélanome cutané a montré que les mélanomes sont assurables dès les premières années aux stades IA, IB, IIA et IIIA, aux stades IIB, IIC et IIIB après cinq ans et au stade IIIC après 15ans. L’étude du cancer broncho-pulmonaire a montré que le cancer à petites cellules n’est pas assurable et que les cancers broncho-pulmonaires non à petites cellules pourraient être assurables chez les moins de 65 ans aux stades IA à IIIA après dix ans, et chez les 65 ans et plus au stade IA dès les premières années, aux stades IB et IIA après cinq ans et aux stades IIB et IIIA après dix ans L’étude de la leucémie myéloïde chronique a montré l’assurabilité seulement des sujets de plus de 65 ans dès les premières années et des sujets de 60 à 65 ans après 5 ans. L’étude du lymphome de Hodgkin a montré que chez les sujets de moins de 45 ans le stade IA est assurable dès les premières années, les stades IB et IIA le sont après 5 ans et les stades IIB à IVA le sont après 10 ans. Les sujets de 45 à 64 ans aux stades IA et IIA sont assurables dès les premières années et autres stades après 5 ans. Les sujets de 65 ans et plus sont assurables dès les premières années aux stades IA à IIIA et après 5 ans aux autres stades. L’étude du cancer de l’endomètre montre qu’il n’est assurable les cinq premières années que pour le type I au stade I chez les femmes âgées de 45 ans et plus, au stade II chez les femmes de 55 ans et plus et au stade III chez les femmes de 65 ans et plus ; pour le type II au stade I chez les 65 ans et plus, et au stade II chez les 75 ans et plus ; et pour les tumeurs mullériennes malignes mixtes au stade I chez les 65 ans et plus.

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We report that 10% of melanoma tumors and cell lines harbor mutations in the fibroblast growth factor receptor 2 (FGFR2) gene. These novel mutations include three truncating mutations and 20 missense mutations occurring at evolutionary conserved residues in FGFR2 as well as among all four FGFRs. The mutation spectrum is characteristic of those induced by UV radiation. Mapping of these mutations onto the known crystal structures of FGFR2 followed by in vitro and in vivo studies show that these mutations result in receptor loss of function through several distinct mechanisms, including loss of ligand binding affinity, impaired receptor dimerization, destabilization of the extracellular domains, and reduced kinase activity. To our knowledge, this is the first demonstration of loss-of-function mutations in a class IV receptor tyrosine kinase in cancer. Taken into account with our recent discovery of activating FGFR2 mutations in endometrial cancer, we suggest that FGFR2 may join the list of genes that play context-dependent opposing roles in cancer.

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Olfactomedin-4 (OLFM-4) is an extracellular matrix protein that is highly expressed in human endometrium. We have examined the regulation and function of OLFM-4 in normal endometrium and in cases of endometriosis and endometrial cancer. OLFM-4 expression levels are highest in proliferative-phase endometrium, and 17 beta-estradiol up-regulates OLFM-4 mRNA in endometrial explant cultures. Using the luciferase reporter under control of the OLFM-4 promoter, it was shown that both 17 beta-estradiol and OH-tamoxifen induce luciferase activity, and epidermal growth factor receptor-1 is required for this estrogenic response. In turn, EGF activates the OLFM-4 promoter, and estrogen receptor-alpha is needed for the complete EGF response. The cellular functions of OLFM-4 were examined by its expression in OLFM-4-negative HEK-293 cells, which resulted in decreased vimentin expression and cell adherence as well as increased apoptosis resistance. In cases of endometriosis and endometrial cancer, OLFM-4 expression correlated with the presence of epidermal growth factor receptor-1 and estrogen receptor-alpha (or estrogen signaling). An increase of OLFM-4 mRNA was observed in the endometrium of endometriosis patients. No change in OLFM-4 expression levels were observed in patients with endometrial cancer relative with controts. In conclusion, cross-talk between estrogen and EGF signaling regulates OLFM-4 expression. The role of OLFM-4 in endometrial tissue remodeling before the secretory phase and during the predisposition and early events in endometriosis can be postulated but requires additional investigation. (Am J Pathol 2010, 177:2495-2508: DOI: 10.2353/ajpath.2010.100026

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Objective. To estimate the burden of disease attributable to excess body weight using the body mass index (BMI), by age and sex, in South Africa in 2000. Design. World Health Organization comparative risk assessment (CRA) methodology was followed. Re-analysis of the 1998 South Africa Demographic and Health Survey data provided mean BMI estimates by age and sex. Populationattributable fractions were calculated and applied to revised burden of disease estimates. Monte Carlo simulation-modelling techniques were used for the uncertainty analysis. Setting. South Africa. Subjects. Adults 30 years of age. Outcome measures. Deaths and disability-adjusted life years (DALYs) from ischaemic heart disease, ischaemic stroke, hypertensive disease, osteoarthritis, type 2 diabetes mellitus, and selected cancers. Results. Overall, 87% of type 2 diabetes, 68% of hypertensive disease, 61% of endometrial cancer, 45% of ischaemic stroke, 38% of ischaemic heart disease, 31% of kidney cancer, 24% of osteoarthritis, 17% of colon cancer, and 13% of postmenopausal breast cancer were attributable to a BMI 21 kg/m2. Excess body weight is estimated to have caused 36 504 deaths (95% uncertainty interval 31 018 - 38 637) or 7% (95% uncertainty interval 6.0 - 7.4%) of all deaths in 2000, and 462 338 DALYs (95% uncertainty interval 396 512 - 478 847) or 2.9% of all DALYs (95% uncertainty interval 2.4 - 3.0%). The burden in females was approximately double that in males. Conclusions. This study shows the importance of recognising excess body weight as a major risk to health, particularly among females, highlighting the need to develop, implement and evaluate comprehensive interventions to achieve lasting change in the determinants and impact of excess body weight.

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Endometriosis has a genetic component, and significant linkage has been found to a region on chromosome 10q. Two candidate genes, EMX2 and PTEN, implicated in both endometriosis and endometrial cancer, lie on chromosome 10q. We hypothesized that variation in EMX2 and/or PTEN could contribute to the risk of endometriosis and may account for some of the linkage signal on 10q. We genotyped single nucleotide polymorphisms (SNPs) in a case-control design to evaluate association between endometriosis and common variations in these two genes. The genotyping and statistical analysis were based on samples collected from Australian volunteers. The cases were 768 unrelated women with surgically confirmed endometriosis selected from affected sister pair (ASP) families participating in the Australian Genes behind Endometriosis Study. The controls were 768 female participants in twin studies who, based on screening questions, did not have a diagnosis of endometriosis. Genotypes of 22 SNPs in the EMX2 gene and 15 SNPs in the PTEN gene were the main outcome measures. Statistical analysis provided measures of linkage disequilibrium and association. Permutation testing showed no globally significant association between any SNPs or haplotypes and endometriosis for either gene. It is unlikely that the EMX2 or PTEN gene variants investigated contribute to risk for initiation and/or development of endometriosis.

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Individuals with inherited deficiency in DNA mismatch repair(MMR) (Lynch syndrome) LS are predisposed to different cancers in a non-random fashion. Endometrial cancer (EC) is the most common extracolonic malignancy in LS. LS represents the best characterized form of hereditary nonpolyposis colorectal carcinoma (HNPCC). Other forms of familial non-polyposis colon cancer exist, including familial colorectal cancer type X (FCCX). This syndrome resembles LS, but MMR gene defects are excluded and the predisposition genes are unknown so far. To address why different organs are differently susceptible to cancer development, we examined molecular similarities and differences in selected cancers whose frequency varies in LS individuals. Tumors that are common (colorectal, endometrial, gastric) and less common (brain, urological) in LS were characterized for MMR protein expression, microsatellite instability (MSI), and by altered DNA methylation. We also studied samples of histologically normal endometrium, endometrial hyperplasia,and cancer for molecular alterations to identify potential markers that could predict malignant transformation in LS and sporadic cases. Our results suggest that brain and kidney tumors follow a different pathway for cancer development than the most common LS related cancers.Our results suggest also that MMR defects are detectable in endometrial tissues from a proportion of LS mutation carriers prior to endometrial cancer development. Traditionally (complex) atypical hyperplasia has been considered critical for progression to malignancy. Our results suggest that complex hyperplasia without atypia is equally important as a precursor lesion of malignancy. Tumor profiles from Egypt were compared with colorectal tumors from Finland to evaluate if there are differences specific to the ethnic origin (East vs.West). Results showed for the first time a distinct genetic and epigenetic signature in the Egyptian CRC marked by high methylation of microsatellite stable tumors associated with advanced stage, and low frequency of Wnt signaling activation, suggesting a novel pathway. DNA samples from FCCX families were studied with genome wide linkage analysis using microsatellite markers. Selected genes from the linked areas were tested for possible mutations that could explain predisposition to a large number of colon adenomas and carcinomas seen in these families. Based on the results from the linkage analysis, a number of areas with tentative linkage were identified in family 20. We narrowed down these areas by additional microsatellite markers to found a mutation in the BMPR1A gene. Sequencing of an additional 17 FCCX families resulted in a BMPR1A mutation frequency of 2/18 families (11%). Clarification of the mechanisms of the differential tumor susceptibility in LS increases the understanding of gene and organ specific targets of MMR deficiency. While it is generally accepted that widespread MMR deficiency and consequent microsatellite instability (MSI) drives tumorigenesis in LS, the timing of molecular alterations is controversial. In particular, it is important to know that alterations may occur several years before cancer formation, at stages that are still histologically regarded as normal. Identification of molecular markers that could predict the risk of malignant transformation may be used to improve surveillance and cancer prevention in genetically predisposed individuals. Significant fractions of families with colorectal and/or endometrial cancer presently lack molecular definition altogether. Our findings expand the phenotypic spectrum of BMPR1A mutations and, for the first time, link FCCX families to the germline mutation of a specific gene. In particular, our observations encourage screening of additional families with FCCX for BMPR1A mutation, which is necessary in obtaining a reliable estimate of the share of BMPR1A-associated cases among all FCCX families worldwide. Clinically, the identification of predisposing mutations enables targeted cancer prevention in proven mutation carriers and thereby reduces cancer morbidity and mortality in the respective families.

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Objective: To describe the prevalence of hysteroscopic findings and histologic diagnoses inpatients with abnormal uterine bleeding (AUB).Design: Retrospective series of consecutive patients.Setting: Tertiary care University hospital and private office.Patient(s): Four thousand fifty-four hysteroscopies with biopsy in patients with AUB evaluated between June 1993 and December 2004.Intervention(S): Hysteroscopies were performed using 2.9-mm or 4-mm telescopes with CO2 or saline as the distension media. Biopsies were (lone with a 5-mm grasper or with a Novak's curette.Main Outcome Measure(s): Prevalence of hysteroscopic findings and histologic analysis of biopsies.Result(S): Endometrial polyp was the most frequent hysteroscopic finding, accounting for 1,374 (33.9%) cases. Normal uterine cavity and cervical canal were found in 814 (20.1%) patients. Submucous fibroids were diagnosed in 302 (7.5%) women. Normal endometrium was the most frequent histologic diagnosis, accounting for 1,888 (46.6%) cases. Endometrial polyp was found in 1, 115 (27.5%) patients. Endometrial hyperplasia was diagnosed in 613 (15.1%) and endometrial cancer in 105 (2.6%) women.Conclusion(s): Endometrial polyps are the most frequent hysteroscopic findings in patients with AUB, whereas normal endometrium is the most frequent histologic diagnosis.

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Objetivos: avaliar a eficácia do acetato de medroxiprogesterona e do acetato de megestrol nas hiperplasias de endométrio. Métodos: foram incluídas, retrospectivamente 47 pacientes com sangramento uterino anormal, submetidas a curetagem uterina diagnóstica e/ou biópsia de endométrio, cujo achado histopatológico foi de hiperplasia de endométrio. Nas pacientes com hiperplasia sem atipia foi iniciado a terapêutica com acetato de medroxiprogesterona por via oral, na dose de 10 mg/dia durante 10-12 dias por mês. Nas com atipia, era utilizado o acetato de megestrol por via oral, dose de 160 mg/dia, uso contínuo. O período de tratamento variou de 3 a 18 meses. Biópsia de endométrio e/ou curetagem uterina de controle foram realizadas entre três e seis meses do início do tratamento e periodicamente para avaliar a resposta terapêutica. Resultados: foram analisadas 42 pacientes com hiperplasia endometrial sem atipia e cinco com atipia. A média de idade das pacientes foi de 49,5 ± 10,6 anos, sendo 70,2% com idade superior a 45 anos. O acetato de medroxiprogesterona foi eficaz em fazer regredir as hiperplasias sem atipias em 83,2% (35/42) e o acetato de megestrol em 80% (4/5) das hiperplasias com atipia. em 16,8% (7 casos) das hiperplasias sem atipia e em 20% (1 caso) das com atipia, ocorreu persistência das lesões, apesar do tratamento. em nenhum caso ocorreu progressão para câncer de endométrio, durante o período de seguimento que foi de 3 meses a 9 anos. No acompanhamento dessas pacientes, verificamos que 18 (38,3%) apresentaram amenorréia, em 12 (25,5%) ocorreu regularização do ciclo menstrual e 17 (36,2%) permaneceram com sangramento uterino anormal, sendo submetidas a histerectomia total abdominal. O exame anatomopatológico mostrou a persistência da lesão hiperplásica em oito casos, leiomioma em quatro, adenomiose em três, mio-hipertrofia uterina difusa em um caso e útero normal em outro, tendo havido regressão das lesões hiperplásicas nesses últimos nove casos. Conclusões: o tratamento das hiperplasias de endométrio com acetato de medroxiprogesterona e/ou acetato de megestrol, representa uma alternativa satisfatória para mulheres que desejam preservar o útero ou que tenham risco cirúrgico elevado. Entretanto, é necessário monitorização cuidadosa do endométrio, o que deve ser realizado pela avaliação dos sintomas, ultra-sonografia transvaginal e biópsia periódica.

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In this article we rewiewed the indications of the low-dose hormone replacement therapy in post menopausal women. We evaluate the effects of this therapy on menopausal symptoms bone metabolism, cardiovascular risk and endometrial cancer. The low-dose hormone replacement therapy is satisfactory to relief menopausal symptoms and improves lipid profile preventing atherosclerosis. It does not increase the risk of hyperplasia or endometrial cancer when is associate with progestagens. The low dose hormone replacement therapy is also associate to improve bone mineral density but to have better comprehension about the effective action of the low dose hormone replacement therapy on bone, more studies evaluating the risk of fractures are necessary.