920 resultados para cognitive task analysis
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The purpose ofthis study was to explore the process oftherapeutic riding as an experiential and holistic approach to learning and recovery for people with disabilities as perceived by the providers oftherapeutic riding. To enhance the connection between theory and practice and to suggest future research, the researcher endeavoured to develop a theory that contributed to the knowledge base oftherapeutic riding, animal-assisted therapy and education, experiential education, and experiential therapy in addition to contributing to connections among them. This topic was investigated because ofthe lack ofresearch about the process of therapeutic riding, particularly from learning and a recovery perspective. Few studies have addressed how therapeutic riding outcomes are achieved or how the therapeutic riding process actually works. This study was identified as grounded theory using qualitative data through interviews and narrative reflections with therapeutic riding providers, a researcher's journal, field notes, and written documents. Grounded theory analysis was used to analyze the qualitative data. This consisted ofdoing open, axial, and selective coding. This study provided detailed descriptions ofthe research approach, researcher's involvement, participant and site selection, data collection and analysis, methodological assumptions and limitations, credibility established, and ethical considerations. The findings ofthe data analysis revealed the theme ofrelationships as central to the learning and recovery process oftherapeutic riding for people with disabilities. The significance ofthe team relationships, the horse and rider relationship, and the providers and rider relationship was found. The essential components ofthe learning and recovery process were presented in a diagram in the selective coding phase. Goals oftherapeutic riding included psycho-education; behavioural and social; physical; and equestrian. Parts ofthe process ofhow outcomes were achieved included motivation; "opens new doors;" risk; task analysis; control; communication; and environmental factors. Outcomes of therapeutic riding included independence and mobility; confidence; and transfer abilities or skills. The implications ofthese findings for theory, practice, and further research were also. explored.
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Objectifs : Ce mémoire propose de répertorier par une revue systématique les instruments de mesure clinique des conduites addictives établies et émergentes; de les comparer au moyen d’une grille d’analyse afin de de déterminer si ces conduites sont cohésives au plan conceptuel. Méthode : La stratégie analytique employée s’est déroulée en trois étapes : 1) Via les moteurs de recherche Pubmed, Psychinfo, HAPI et Embase, nous avons cherché, pour l’ensemble des conduites addictives, les questionnaires ayant fait l’objet d’une étude de validation interne au plan psychométrique. 2) Une grille d’analyse a été développée et validée, couvrant 21 paramètres tirés de 4 catégories conceptuelles : les critères diagnostiques de dépendance (DSM-IVTR), le tempérament (Cloninger et Zuckerman), le processus de production du handicap social (Fougeyrollas) et une grille d’analyse cognitivo-comportementale (Beck). 3) tous les instruments ont été analysés et comparés au moyen de cette grille qui a été développée est validée par un accord inter-juge élevé. Résultats : Nous avons répertorié 191 questionnaires répartis sur 21 conduites addictives. On constate que les conduites les plus prévalentes sont également celles pour lesquelles on retrouve le plus grand nombre de questionnaires. Les catégories que les questionnaires évaluent le plus sont celles des critères de la dépendance et l’analyse cognitivo-comportementale, les catégories beaucoup moins bien représentées étant celles du tempérament et du processus de production du handicap social. On note des tendances semblables pour les paramètres entre les questionnaires portant sur la toxicomanie et ceux portant sur les addictions sans drogues. Conclusion : Ce mémoire confirme une cohésion clinique dans la mesure des addictions, tel que déterminé par une grille validée appliquée sur un ensemble exhaustif de questionnaires répertoriés par une revue systématique.
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L’objectif de la présente étude visait à évaluer les effets différentiels de la privation de sommeil (PS) sur le fonctionnement cognitif sous-tendu par les substrats cérébraux distincts, impliqués dans le réseau fronto-pariétal attentionnel, lors de l’administration d’une tâche simple et de courte durée. Les potentiels évoqués cognitifs, avec sites d’enregistrement multiples, ont été prévilégiés afin d’apprécier les effets de la PS sur l’activité cognitive rapide et ses corrélats topographiques. Le matin suivant une PS totale d’une durée de 24 heures et suivant une nuit de sommeil normale, vingt participants ont exécuté une tâche oddball visuelle à 3 stimuli. L’amplitude et la latence ont été analysées pour la P200 et la N200 à titre d’indices frontaux, tandis que la P300 a été analysée, à titre de composante à contribution à la fois frontale et pariétale. Suite à la PS, une augmentation non spécifique de l’amplitude de la P200 frontale à l’hémisphère gauche, ainsi qu’une perte de latéralisation spécifique à la présentation des stimuli cibles, ont été observées. À l’opposé, l’amplitude de la P300 était réduite de façon prédominante dans la région pariétale pour les stimuli cibles. Enfin, un délai de latence non spécifique pour la N200 et la P300, ainsi qu’une atteinte de la performance (temps de réaction ralentis et nombre d’erreurs plus élevé) ont également été objectivées. Les résultats confirment qu’une PS de durée modérée entraîne une altération des processus attentionnels pouvant être objectivée à la fois par les mesures comportementales et électrophysiologiques. Ces modifications sont présentes à toutes les étapes de traitement, tel que démontré par les effets touchant la P200, la N200 et la P300. Qui plus est, la PS affecte différemment les composantes à prédominance frontale et pariétale.
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Objectif: Cette étude visait à évaluer les effets aigus d’une session d’exercice aérobie sur la performance à une tâche sollicitant les fonctions cognitives exécutives et à déterminer la durée de ces effets. Méthode: Quarante-huit participants universitaires ont été divisés en deux groupes expérimentaux et un groupe contrôle. L'intervention expérimentale consistait à 30 minutes d'exercice à une intensité sous-maximale sur tapis roulant. Les deux groupes expérimentaux ont complété la tâche de Stroop soit immédiatement (groupe 1) ou 10 minutes (groupe 2) après la session d’exercice. Le groupe contrôle a complété la même tâche cognitive mais sans pratique d'exercice. Résultats: Les analyses statistiques indiquent qu’il n’y a pas d’effet d’amélioration de la performance cognitive et ce, peu importe le délai d’exécution de la tâche de Stroop suite à l’exercice. Conclusion : Une seule session d’exercice n’a aucun effet sur les fonctions exécutives. Les limites de l’étude sont présentées en relation avec les résultats obtenus. Les implications des résultats sont discutées en terme de retombées pour les recherches futures.
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Les pertes d’équilibre représentent une cause importante de blessure et de mortalité, notamment sur le milieu du travail et chez les personnes âgées. Cette thèse explore les effets du manque de sommeil sur le contrôle postural en fonction de l’âge et s’intéresse à l’influence des ressources attentionnelles, perceptuelles et motrices sur la relation entre le sommeil et le contrôle postural. Des sujets jeunes et âgés ont effectué diverses tâches posturales statiques sur des plates-formes de force après une nuit de sommeil et après 25 heures de privation de sommeil. L’étendue et la vitesse des déplacements du centre de pression ont été mesurées en gardant les yeux ouverts et les yeux fermés sous trois niveaux de charge cognitive. Les résultats montrent que la privation de sommeil a augmenté l’étendue du centre de pression dans les deux groupes d’âge et a augmenté la vitesse du centre de pression chez les sujets âgés. De plus, les effets de la privation de sommeil sur le contrôle postural étaient davantage prononcés lorsque les sujets âgés gardent les yeux fermés. L’augmentation de la charge cognitive sous privation de sommeil a poussé la majorité des sujets jeunes à adopter un contrôle postural plus statique, alors que chez les sujets âgés, les effets de la charge cognitive ne se surajoutaient pas à ceux de la privation de sommeil. Ces observations suggèrent que la privation de sommeil ait des effets déstabilisateurs sur le contrôle postural qui sont plus marqués chez les personnes âgées, surtout lorsque les informations visuelles sont altérées. Il est donc proposé que le manque de sommeil soit un facteur de risque significatif pour les chutes.
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L’étude du cerveau humain est un domaine en plein essor et les techniques non-invasives de l’étudier sont très prometteuses. Afin de l’étudier de manière non-invasive, notre laboratoire utilise principalement l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) et l’imagerie optique diffuse (IOD) continue pour mesurer et localiser l’activité cérébrale induite par une tâche visuelle, cognitive ou motrice. Le signal de ces deux techniques repose, entre autres, sur les concentrations d’hémoglobine cérébrale à cause du couplage qui existe entre l’activité neuronale et le flux sanguin local dans le cerveau. Pour être en mesure de comparer les deux signaux (et éventuellement calibrer le signal d’IRMf par l’IOD), où chaque signal est relatif à son propre niveau de base physiologique inconnu, une nouvelle technique ayant la capacité de mesurer le niveau de base physiologique est nécessaire. Cette nouvelle technique est l’IOD résolue temporellement qui permet d’estimer les concentrations d’hémoglobine cérébrale. Ce nouveau système permet donc de quantifier le niveau de base physiologique en termes de concentrations d’hémoglobine cérébrale absolue. L’objectif général de ma maîtrise était de développer un tel système afin de l’utiliser dans une large étude portant sur la condition cardiovasculaire, le vieillissement, la neuroimagerie ainsi que les performances cognitives. Il a fallu tout d’abord construire le système, le caractériser puis valider les résultats avant de pouvoir l’utiliser sur les sujets de recherche. La validation s’est premièrement réalisée sur des fantômes homogènes ainsi qu’hétérogènes (deux couches) qui ont été développés. La validation des concentrations d’hémoglobine cérébrale a été réalisée via une tâche cognitive et appuyée par les tests sanguins des sujets de recherche. Finalement, on présente les résultats obtenus dans une large étude employant le système d’IOD résolue temporellement en se concentrant sur les différences reliées au vieillissement.
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Les études sont mitigées sur les séquelles cognitives des commotions cérébrales, certaines suggèrent qu’elles se résorbent rapidement tandis que d’autres indiquent qu’elles persistent dans le temps. Par contre, aucunes données n’existent pour indiquer si une tâche cognitive comme l’imagerie mentale visuelle fait ressortir des séquelles à la suite d’une commotion cérébrale. Ainsi, la présente étude a pour objet d’évaluer l’effet des commotions cérébrales d’origine sportive sur la capacité d’imagerie mentale visuelle d’objets et d’imagerie spatiale des athlètes. Afin de répondre à cet objectif, nous comparons les capacités d’imagerie mentale chez des joueurs de football masculins de calibre universitaire sans historique répertorié de commotions cérébrales (n=15) et chez un second groupe d’athlète ayant été victime d’au moins une commotion cérébrale (n=15). Notre hypothèse est que les athlètes non-commotionnés ont une meilleure imagerie mentale que les athlètes commotionnés. Les résultats infirment notre hypothèse. Les athlètes commotionnés performent aussi bien que les athlètes non-commotionnés aux trois tests suivants : Paper Folding Test (PFT), Visual Object Identification Task (VOIT) et Vividness of Visual Imagery Questionnaire (VVIQ). De plus, ni le nombre de commotions cérébrales ni le temps écoulé depuis la dernière commotion cérébrale n’influent sur la performance des athlètes commotionnés.
L’intégration de la prise de décision visuo-motrice et d’action motrice dans des conditions ambiguës
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La prise de décision est un mécanisme qui fait intervenir les structures neuronales supérieures afin d’effectuer un lien entre la perception du signal et l’action. Plusieurs travaux qui cherchent à comprendre les mécanismes de la prise de décision sont menés à divers ni- veaux allant de l’analyse comportementale cognitive jusqu'à la modélisation computationnelle. Le but de ce projet a été d’évaluer d’un instant à l’autre comment la variabilité du signal observé («bruit»), influence la capacité des sujets humains à détecter la direction du mouvement dans un stimulus visuel. Dans ces travaux, nous avons éliminé l’une des sources potentielles de variabilité, la variabilité d’une image à l’autre, dans le nombre de points qui portaient les trois signaux de mouvements cohérents (gauche, droite, et aléatoire) dans les stimuli de Kinématogramme de points aléatoires (KPA), c’est-à-dire la variabilité d’origine périphérique. Les stimuli KPA de type « V6 » étaient des stimuli KPA standard avec une variabilité instantanée du signal, et par contre les stimuli KPA de type « V8 », étaient modifiés pour éliminer la variabilité stochastique due à la variabilité du nombre de pixels d’un instant à l’autre qui portent le signal cohérent. Si la performance des sujets, qui correspond à leur temps de réaction et au nombre de bonnes réponses, diffère en réponse aux stimuli dont le nombre de points en mouvement cohérent varie (V6) ou ne varie pas (V8), ceci serait une preuve que la variabilité d’origine périphérique modulerait le processus décisionnel. Par contre, si la performance des sujets ne diffère pas entre ces deux types de stimuli, ceci serait une preuve que la source majeure de variabilité de performance est d’origine centrale. Dans nos résultats nous avons constaté que le temps de réaction et le nombre de bonnes réponses sont modulés par la preuve nette du mouvement cohérent. De plus on a pu établir qu’en éliminant la variabilité d’origine périphérique définit ci-dessus, on n’observe pas réellement de modification dans les enregistrements. Ce qui nous à amené à penser qu’il n y a pas de distinction claire entre la distribution des erreurs et les bonnes réponses effectuées pour chacun des essais entre les deux stimuli que nous avons utilisé : V6 et V8. C’est donc après avoir mesuré la « quantité d’énergie » que nous avons proposé que la variabilité observée dans les résultats serait probablement d’origine centrale.
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Les personnes vieillissantes doivent composer au quotidien avec des douleurs chroniques. Le but de ce travail est de mieux comprendre les mécanismes sous-jacents qui contribueraient aux douleurs chroniques liées au vieillissement et par là, ouvrir un chemin vers de nouvelles perspectives thérapeutiques. Les contrôles inhibiteurs diffus nociceptifs (CIDN) ont un rôle qui n’est pas des moindres dans le contrôle de la douleur. Des études expérimentales examinant l’effet analgésique de la contre stimulation hétérotopique nociceptive (HNCS), un protocole permettant de tester l’efficacité de ces CIDN, suggèrent que le recrutement des CIDN au sein de cette population était plus faible (i.e. moins d’inhibition) comparé à une population plus jeune. En revanche, les études examinant la sensibilisation centrale induite par sommation temporelle (TS) de la douleur rapportent des résultats mitigés. De plus, une composante importante influençant l’expérience de douleur, les ressources cognitives, dont l’inhibition cognitive, se voient aussi décliner avec l’âge. Premièrement, le recrutement des CIDN a été comparé entre des participants sains, jeunes et des plus âgés avec la HNCS, et le recrutement des mécanismes de sensibilisation centrale avec la TS. La stimulation électrique du nerf sural a été choisie pour permettre de quantifier la douleur, tout en prenant une mesure indicative de la nociception spinale qu’est le réflexe nociceptif spinal (RIII). Nos sujets ont aussi participé à une tâche cognitive (le Stroop), testant l’inhibition cognitive. Deuxièmement, l’efficacité des CIDN ainsi que de l’inhibition cognitive a été testée chez les jeunes et les aînés en imagerie par résonance magnétique (IRM), afin de vérifier la relation entre ces deux mesures psychophysiques et l’épaisseur corticale des régions qui y sont impliquées ainsi que l’effet de l’âge sur celles-ci. Les résultats suggèrent un moindre recrutement des CIDN chez les plus âgés lors de l’expérimentation de la HNCS. Également, les sujets âgés présentaient des capacités d’inhibitions cognitives plus faibles que les jeunes. En plus, une corrélation entre l’inhibition cognitive et la modulation du réflexe RIII par la HNCS a été mise en évidence. Pour l’expérience de TS, les résultats étaient comparables pour les deux groupes, suggérant que les mécanismes impliqués dans la régulation de la douleur ne subiraient pas l’effet de l’âge de la même manière. Pour l’étude de l’épaisseur corticale, on y trouve une diminution globale de l’épaisseur corticale liée à l’âge, mais aussi une corrélation de l’analgésie par la HNCS avec l’inhibition cognitive et également, une relation des deux avec l’épaisseur corticale du cortex orbitofrontal (OFC) latéral gauche, suggérant la possibilité d’une existence d’un réseau neuronal au moins partiellement commun du contrôle inhibiteur descendant sensoriel et cognitif. Ce travail montre que l’effet de l’âge sur les mécanismes centraux de la régulation de la douleur est loin d’être uniforme. Également, il montre une corrélation entre la modulation endogène de la douleur et l’inhibition cognitive, ces deux processus seraient associés à une même région cérébrale. Ces résultats pourraient contribuer à identifier d’autres méthodes thérapeutiques, ouvrant ainsi une nouvelle avenue vers d’autres options dans la prise en charge des douleurs chroniques chez les personnes vieillissantes.
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Notes that the central executive lies at the heart of A. D. Baddeley's theory of working memory, but that what it does has been characterized in several different ways. This chapter reviews and brings together various interpretations of central executive functioning. The authors describe an experiment involving a novel cognitive task to point out the restrictive nature of the term 'executive capacity.' The chapter concludes by commenting briefly on the implications of a working memory model in which the executive does not play a major part.
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It is widely recognized that small businesses with less than 50 employees make significant contributions to the prosperity of local, regional, and national economies. They are a major source of job creation and a driving force of economic growth for developed countries like the USA (Headd, 2005; SBA, 2005), the UK (Dixon, Thompson, & McAllister, 2002; SBS, 2005), Europe (European Commission, 2003), and developing countries such as China (Bo, 2005). The economic potential is further strengthened when firms collaborate with each other; for example, formation of a supply chain, strategic alliances, or sharing of information and resources (Horvath, 2001; O’Donnell, Cilmore, Cummins, & Carson, 2001; MacGregor, 2004; Todeva & Knoke, 2005). Owing to heterogeneous aspects of small businesses, such as firm size and business sector, a single e-business solution is unlikely to be suitable for all firms (Dixon et al., 2002; Taylor & Murphy, 2004a); however, collaboration requires individual firms to adopt standardized, simplified solutions based on open architectures and data design (Horvath, 2001). The purpose of this article is to propose a conceptual e-business framework and a generic e-catalogue, which enables small businesses to collaborate through the creation of an e-marketplace. To assist with the task, analysis of data from 6,000 small businesses situated within a locality of Greater Manchester, England within the context of an e-business portal is incorporated within this study.
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Human minds often wander away from their immediate sensory environment. It remains unknown whether such mind wandering is unsystematic or whether it lawfully relates to an individual’s tendency to attend to salient stimuli such as pain and their associated brain structure/function. Studies of pain–cognition interactions typically examine explicit manipulation of attention rather than spontaneous mind wandering. Here we sought to better represent natural fluctuations in pain in daily life, so we assessed behavioral and neural aspects of spontaneous disengagement of attention from pain. We found that an individual’s tendency to attend to pain related to the disruptive effect of pain on his or her cognitive task performance. Next, we linked behavioral findings to neural networks with strikingly convergent evidence from functional magnetic resonance imaging during pain coupled with thought probes of mind wandering, dynamic resting state activity fluctuations, and diffusion MRI. We found that (i) pain-induced default mode network (DMN) deactivations were attenuated during mind wandering away from pain; (ii) functional connectivity fluctuations between the DMN and periaqueductal gray (PAG) dynamically tracked spontaneous attention away from pain; and (iii) across individuals, stronger PAG–DMN structural connectivity and more dynamic resting state PAG–DMN functional connectivity were associated with the tendency to mind wander away from pain. These data demonstrate that individual tendencies to mind wander away from pain, in the absence of explicit manipulation, are subserved by functional and structural connectivity within and between default mode and antinociceptive descending modulation networks.
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Automotive sound systems vary widely in terms of functions and way of use between different brands and models what can bring difficulties and lack of consistency to the user. This study aimed to analyze the usability of car stereo commonly found in the market. Four products were analyzed by task analysis and after use reports and the results indicate serious usability issues with respect to the form of operation, organization, clarity and quality of information, visibility and readability, among others.
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Caffeine is considered the most consumed psychostimulant in the world, presenting several central and peripheral effects. In the Central Nervous System the major effect occur by its antagonistic activity at the A1 and A2a subtypes of the adenosine receptors. These receptors are responsible for the slow-wave sleep induction, and their binding, caused by the consumption of foods and beverages that contain caffeine, cause behaviors like increase of alertness, mood and locomotion. The effects of caffeine on memory are still discussed because of the diversity of experimental protocols. Also, it does not have the same effects on all stages of the processing of memory - acquisition, consolidation and recall. Thus, using the marmoset (Callitrhix jacchus) as subject, we aim to evaluate the effects of caffeine on the memory of this primate through the conditioned place preference paradigm, where the animal selects a context by presence of food. This cognitive task consists of five phases. The first phase was two sessions of pre-exposure, in which they were evaluated for preference for any compartment of the apparatus. Then, we proceeded the training, conditioning the animals to the food-present context for 8 days. Then, there was administration of caffeine or placebo (10mg/kg) for 8 consecutive days, during the pre-sleep phase, where the 20 animals were distributed in two groups: placebo and repeated. The forth phase was one day of retraining, a re-exposure of the apparatus to the marmosets followed by the administration of caffeine (for the repeated group and a new group called abstinence) or placebo (for placebo and abstinence groups). Finally, was the test where we evaluated if the subjects learned where the food was present. Moreover, in this work we evaluate the existence of differences between females and males on the task, and the locomotor activity for the experimental groups. The results showed that in the pre-exposure phase the animals were habituated on the apparatus and did not present differences for any contexts. In training, they were able to learn the conditioning task, independent of gender. For the retraining, the two groups exhibited more interactions in rewarded context than that in non-rewarded context. Nevertheless, in the locomotor activity, the repeated group moved similarly in contact with the apparatus and outside of it. In the other hand, the animals of the placebo group moved more when in contact with the apparatus. In the test phase, the marmosets under influence of caffeine presented an increase in the locomotor activity when compared with the placebo group, corroborating works that show this increase in locomotion. In the learning evaluation, the continuous and abstinence groups had a bad performance in the task in relation to the placebo and acute groups. This suggests that the prolonged administration of caffeine disrupts the memories because it affected sleep, which is largely responsible offline processing of memories
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The home care is a growing activity in homes around the world. Many benefits are related to the practice, but the health risks involving the caregiver is the issue of this analysis. Through field interviews and in loco evaluation is raised a previous scope of this peculiar and complex task.